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La maladie d'Alzheimer

Article de santé naturelle


L’Alzheimer est une maladie neurodégénérative multifactorielle* caractérisée par une perte progressive de la mémoire et de certaines fonctions intellectuelles. Le cerveau rétrécit. C’est le type de démence le plus répandu, elle touche environ 4,5% de la population au-delà de 65 ans.


Il est assez clair que l’environnement et les habitudes de vie ont un impact sur les risques de la développer.


*36 causes ont été identifiées par le docteur américain Dale Bredesen, neurologue, chercheur et expert internationalement reconnu des maladies neurodégénératives.



La maladie d’Alzheimer se situe dans le quadrant 3 du bioélectronigramme Vincent (ci dessous), c’est le milieu alcalin et oxydé, celui de la dégénérescence.


Ce terrain est favorable au développement de toutes les maladies de civilisations et dégénératives.


Il n’existe aucun traitement conventionnel pour traiter la maladie d’Alzheimer.


Pour régénérer, stabiliser et améliorer l’état du malade, nous devrons donc effectuer une correction du terrain biologique en acidifiant le sang et en réduisant l’oxydation. Il faudra se diriger vers la quadrant 1 en zone acide et réduite qui est le milieu de la Vie. Les aliments se situant dans cette zone sont bons d’un point de vue vital : fruits, légumes, racines, graines germées, enzymes, fermentations, vitamines, algues vertes, eau de qualité. C’est le milieu régénérateur.


La maladie d’Alzheimer est reconnue réversible même par la médecine conventionnelle. Elle est détectable 10 à 15 ans avant d’être déclarée, ce qui permet d’éviter une dégénérescence avancée plus difficilement récupérable. Il est d’ailleurs intéressant de rechercher le génotype apoE dès que possible dans une simple prise de sang pour évaluer les risques de développer la maladie afin d'intervenir le plus tôt possible.


En 2005, une importante étude des équipes du Dr. Suzanne M. de la Monte et d’Éric Steen (Université Brown, Hôpital de Rhode Island) assimile l'Alzheimer à une nouvelle forme de diabète. Ces résultats ont été publiés dans le "Journal of Alzheimer's Disease" cette même année. Ces chercheurs ont découvert que le cerveau produisait sa propre insuline.


En surveillant le cerveau de ces patients sur plusieurs années, ils ont pu confirmer que l'insuffisance d'insuline augmentait proportionnellement avec l'évolution de la maladie. Cela a été publié en 2008… Une situation dans laquelle les cellules cérébrales ne peuvent pas utiliser le glucose. Chez les personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer, le métabolisme du glucose et des lipides est perturbé (maladie métabolique).


L'aluminium a un effet délétère sur les neurones et peut nuire à la mémoire, c’est un neurotoxique notoire. Certaines études ont observé que le cerveau des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer contenait des concentrations plus élevées d'aluminium que celles ne souffrant pas de cette maladie. En effet, à l'autopsie, on constate que le cerveau des personnes atteintes contient une concentration élevée d'aluminium 10 à 30 fois plus que la normale.


Étant donné que la barrière hémato encéphalique est incomplètement formée aux stades prénatal et post-natal et qu’elle perd son étanchéité chez les personnes âgées, les enfants et les personnes âgées ont-ils un risque plus important de développer des effets toxiques neurologiques dus aux nanoparticules d’aluminium ? Nous pouvons nous poser la question.


Je pense que nous pouvons incriminer les adjuvants des vaccins qui ont pu contenir des doses importantes de produits toxiques, et notamment d’aluminium dépassant largement de plusieurs fois les quantités autorisées par les autorités sanitaires. Rappelons que les vaccins sont des produits chimiques suroxydants et qu’ils se trouvent à l’instar des maladies dégénératives dans la zone 3 du bioélectronigramme Vincent, déplaçant ainsi le terrain vers la dégénérescence.


Le risque de neurotoxicité est lié au passage d’une partie de l’aluminium dans la circulation sanguine et à sa distribution aux différents organes, en particulier le cerveau et le squelette.


Attention aux médicaments contenant des hautes doses d’aluminium, comme les IPP et le Maalox :


Chaque cuillère à soupe de suspension buvable de MAALOX contient : 525 mg x 27/78 = 181,7 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 181,73 mg/60 kg = 3,03 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS. Pour la posologie maximale autorisée, de 6 cuillères à soupe par jour, un homme de 60 kg absorbera 3 x 6 = 18 fois la dose minimale toxique par jour. https://professeur-joyeux.com/2018/06/19/3eme-edition-speciale-aluminium/


Au cours de leurs six premiers mois de vie, les nourrissons ingèrent environ 7 mg d’aluminium à travers le lait maternel (environ 38 mg s’ils consomment du lait en poudre, et environ 117 mg s’ils sont nourris avec du lait de soja).


« L’aluminium vaccinal diminue la réponse immunitaire et augmente la toxicité locale. […] L’aluminium est donc une substance qui nous est étrangère et donc immanquablement toxique… […] On discute très sérieusement du rôle de l’aluminium dans la fragilité osseuse, dans l’Alzheimer et, de façon générale comme neurotoxique. » - Dr. Michel de Lorgeril, Analyse Scientifique de la Toxicité des Vaccins, p. 105, 110 & 112.


Le Dr. Olivier Soulier soulève toutefois un fameux lièvre : la maladie d’Alzheimer est un fléau en pleine expansion dans les générations massivement vaccinées avec le BCG. Rendu obligatoire en 1950, déconseillé par l’OMS dès 1997 et finalement supprimé du calendrier en 2007, ce vaccin a été administré aux millions d’enfants qui sont aujourd’hui des personnes âgées. Ce serait la vaccination contre la tuberculose qui aurait « préparé le terrain » à l’épidémie contemporaine d’Alzheimer… (Source : Néosanté, infolettre du 15/01/2020).


Le silicium s’oppose aux effets négatifs de l’aluminium qui inhibe l’activité des ostéoblastes, la formation de la trame osseuse et sa minéralisation, en prenant la place du calcium. (Source : La Nutrithérapie. Bases scientifiques et pratique médicale).


L’eau peut également contenir une quantité variable d’aluminium selon les municipalités, mais même lorsqu’elle en contient une quantité élevée, elle n’est responsable que de 5% de l’apport quotidien en aluminium. Quelques études épidémiologiques ont tout de même observé que les populations dont l’eau potable contenait des concentrations élevées d’aluminium avaient plus de risques de souffrir de la maladie d’Alzheimer.


Concernant les maladies neurodégénératives en général, il est important de faire enlever les amalgames dentaires au mercure. Les individus dont l'organisme ne se détoxifie pas assez vite ont plus de risque de développer des maladies neurodégénératives dont la maladie d’Alzheimer notamment, en particulier en cas d'exposition au mercure organique perdu par les plombages dentaires.


Les pesticides sont des substances toxiques, cancérigènes qui occasionnent des problèmes cognitifs et neuro-dégénératifs.


Une perturbation du microbiote intestinal a un impact sur nos émotions et peut être liée à des pathologies neurologies ou psychiatriques tels que : l'anxiété, la dépression, le mal-être, l'autisme, Parkinson, etc.


Les additifs alimentaires, notamment le glutamate monosodique et l’aspartame sont des neurotoxiques. En conclusion d’une étude américaine publiée le 20.04.2017, ceux qui consommaient au moins une canette de boisson light par jour avaient 3 fois plus de risque de faire un AVC et de développer la maladie d’Alzheimer.


Les glandes et la plupart des organes, y compris le cerveau, souffrent énormément de la déficience en enzymes. Ce dernier peut en effet s’atrophier à cause d’une alimentation essentiellement composée de produits transformés dépourvus d’enzymes dont l’organisme a désespérément besoin.


Les psychotropes, plusieurs études ont démontré une relation de cause à effet entre une prise au long cours de ces drogues et le développement de la maladie d’Alzheimer. Une consommation de benzodiazépines supérieure à 3 mois est associée à une augmentation de près de 50% du risque.


Le Viagra, par augmentation du taux sanguin d'oxyde nitrique, est associé à une longue liste d'effets secondaires dont la maladie d'Alzheimer et la démence.


Les statines, le cholestérol est un élément essentiel pour le fonctionnement du cerveau.


La neuro-inflammation, l’inflammation, l’oxydation et la glycation sont des éléments fortement impliqués dans les maladies dégénératives et neuro-dégénératives. D’où l’importance d’adopter une alimentation anti-inflammatoire et antioxydante adaptée à notre génotype. Vérifier le taux d’HbA1c dans le bilan sanguin car plus l’hémoglobine glycosylée est haute, plus la mémoire se détériore.


Les traumatismes, la commotion cérébrale pour augmenter le risque de développer la maladie.


Aides et solutions :


  • Consommer quotidiennement du plasma marin de Quinton et des enzymes digestives.

  • Stopper les vaccins au plus tôt, les adjuvants qu’ils contiennent sont hautement toxiques et dangereux.

  • Arrêter la consommation d’overtoniens puisqu’ils sont toxiques et qu’ils portent atteinte au système nerveux, l'alcool en particulier.

  • Arrêter les sucres raffinés et le grignotage.

  • Drainer les déchets de la partie cérébrale : détoxification par paliers, monodiètes, jeûne.

  • Alimentation plus vivante, biologique, drainante, hypotoxique. Comprenant des petits poissons gras, des œufs et des noix riches en oméga-3.

  • Réduire les glucides et les aliments mucogènes (hémogliase, lymphogliase). Rien que la suppression des céréales, pain, pâtes, etc. et des produits laitiers permet de rétablir 90% de troubles chroniques dégénératifs.

  • Consommer dès que possible et progressivement environ 5 c à s d’huile de coco biologique à répartir sur la journée au repas (triglycérides à chaînes moyennes), soit 1 gr. d’huile de coco par kilo de masse corporelle. Sauf pour le génotype Apoe4.

  • Consommer du vinaigre de cidre biologique en condiment et en boisson. 2 cl de vinaigre dans un verre d’eau faiblement minéralisée (Spa Reine, Montcalm) tous les jours. Ce qui amènera des protons.

  • Supprimer la consommation d’eau du robinet (oxydante) et l’absorption d’aluminium que l’on retrouve également dans la farine et le sel raffinés, l’Aspirine, les déodorants, les vaccins, les cosmétiques, etc.

  • Supprimer toutes sources de fluor (eau, dentifrice), les pesticides, les médicaments comme les statines, les inhibiteurs de pompe à proton, les somnifères, les anti-dépresseurs, les produits chimiques et toxiques.

  • Drainer le foie, la vésicule et les intestins, corriger la dysbiose et la porosité (intestins 2ème cerveau).

  • Cohérence cardiaque pour oxygéner le cerveau, diminuer le stress et équilibrer le système nerveux.

  • Gymnastique intellectuelle pour stimuler les neurones : lecture, sport cérébral, Scrabble, jeux de société, etc.

  • Exercices physiques adaptés pour faire circuler la lymphe, diminuer le stress et s’oxygéner. Les exercices doivent être associés à de bonnes périodes de repos et de récupération.

  • Pratiquer la planche inclinée.

  • S'exposer suffisamment au soleil et à l’air libre.

  • Négativation : marcher pieds nus sur l’herbe, le sable, la terre, tous les jours.

  • Vérifier le taux sérique de prégnénolone.


L’autophagie induite par le jeûne et le jeûne intermittent a un rôle important dans la recherche sur le cancer et la démence.


Biologie :



Antioxydants et compléments :


  • Vitamine C : 2-3 gr. /J.

  • Vitamine D : 2.000-3.500 UI/J.

  • Vitamine E : 400 UI/J.

  • Vitamine K2-MK7.

  • Coenzyme-Q10 : 100-200 mg/J.

  • N-acétylcystéine : 600 mg/J. (précurseur du glutathion).

  • Pycnogénol de pin.

  • Jus de grenade.

  • Synergie chlorophyllienne : ail des ours, coriandre, chlorella (élimination des métaux lourds).

  • L'ail et l'extrait d'ail.*

  • Bleu de méthylène**.

  • Acide alpha lipoïque de 600 mg à 2 fois 800 mg/J. pour stimuler l'activité mitochondriale.

  • Acétyl-L-carnitine.

  • Quercétine.


*L'allicine réduit les niveaux élevés de stress oxydatif, qui sont étroitement liés à la pathologie de la maladie d'Alzheimer, réduisant ainsi le dysfonctionnement mitochondrial.


**Le bleu de méthylène à faible dose est décrit comme une intervention pharmacologique qui peut augmenter avec succès la respiration mitochondriale et entraîner une amélioration de la mémoire et une neuroprotection.


Oligothérapie :

  • Phosphore et cuivre/or/argent 1J/2 en cure de 3 mois.

  • Silicium organique (élimination de l’aluminium).


Nutrithérapie :

  • Iode.

  • Zinc.

  • Magnésium.

  • Oméga-3 et alkylglycérols.

  • Mélatonine.


Chez l’homme, le glutathion (puissant antioxydant endogène) est diminué dans de nombreuses pathologies telles que la cirrhose (Bianchi et al., 2000), le diabète (Ghosh et al., 2004) ou encore la maladie d’Alzheimer (Liu et al., 2005) et le SIDA (Jahoor et al., 1999).


Les 9 paramètres de la santé intégrale devront être respectés si nous voulons réellement inverser le processus oxydatif et dégénératif. Nous pourrons nous attendre à des améliorations remarquables. C’est en reconstituant la santé que la maladie disparaît.


Phytothérapie :


Gingko Biloba, bacopa, éleuthérocoque, ashwagandha, tulsi gotu kola.


Citations :


« Le seul édulcorant clairement lié à des risques de troubles cognitifs, est l'aspartame (E 951). » - Anne-Laure Denans, Dr. en pharmacie, auteure du Nouveau Guide des additifs.


« Les pesticides sont une des causes fondamentales de l’Alzheimer en détruisant les neuromédiateurs. Il y a d’autres causes, notamment les psychotropes, le grignotage et le portable. On sait parfaitement pourquoi l’Alzheimer a été multiplié. D’où l’importance du BIO pour éviter l’Alzheimer et la fatigue chronique ! […] De Nombreuses dysfonctions, baisse de l’intellect, de la mémoire, etc. auront une origine hépatique. » – Robert Masson


« Les environnements dépressifs, pessimistes, ou l’élan vital est faible, limitant la curiosité intellectuelle et les interactions humaines ont possiblement des effets délétères. » - Dr. Michel Logak, neurologue à l'hôpital Saint-Joseph à Paris


« Le cerveau intestinal n’est que le prolongement du cerveau crânien. L’altération du cerveau intestinal entraine conséquemment une altération du cerveau crânien, d’où les maladies neurodégénérative comme Parkinson et l’Alzheimer par exemple… » - Pr. Grégoire Jauvais


« Les intestins représentent aussi le cerveau et quand les intestins sont malades, on a du mal à communiquer avec le cerveau. […] Quand vous prenez 6 mois de benzodiazépines, vous êtes sûr de faire la maladie d’Alzheimer. » - Dr. Jean-Pierre Willem


« L’aluminium étant un médicament toxique mortifère, son administration à l’homme est formellement interdite. » - Pr. Jean-Bernard Fourtillan, toxicologue


« Les personnes qui consomment beaucoup de calories, en particulier du sucre, ont une probabilité 6 fois plus importante de contracter la maladie d’Alzheimer. » - Dr. Russell Blaylock


« Il faut entretenir le cerveau d’un point de vue psychique et d’un point de vue cognitif en faisant différents exercices. Surtout des relations sociales, c’est ce qui est important à retenir. Le fait d’avoir des interactions avec des gens stimule le cerveau, c’est sans doute le point clé pour garder une bonne mémoire. » - Yannick Béjot, Pr. De neurologie


« L’inflammation (chronique) fait le lit du cancer, de l’Alzheimer, de Parkinson et de tout le reste. » - Dr. Laurent Schwartz


« La prévalence croissante des maladies dégénératives neuronales (SEP, SLA, Parkinson, Alzheimer) ne peut s’expliquer sans une responsabilité importante des facteurs environnementaux. Ce sont des facteurs toxiques comme certains métaux lourds, aluminium et mercure, ingérés et absorbés par voie digestive et/ou d’origine topique transdermique (cosmétique et vaccinale !) qui fragilisent (ou agressent !) les fonctions cellulaires à très fort métabolisme oxydant. » - Dr. Michel Massol


« Il faut bien se rendre compte que la prise en charge de la maladie d’Alzheimer, c’est à la fois l’alimentation, la micro alimentation, la complémentation et l’hormonologie. » - Dr. Stéphane Résimont


« On sait aujourd’hui que les hommes sont carencés en testostérone et que les femmes sont carencées en estrogènes, depuis un siècle, les taux de testostérone diminuent énormément. Hors, la testostérone est indispensable pour le cerveau chez l’homme. » - Dr. Boris Dufournet, neurologue


« Le sucre est mauvais pour le cerveau, pour le métabolisme, pour la mémoire et il augmente considérablement les risques de déclin cognitif sur le long terme. » - Dr. Dale Bredesen, neurologue


« Les curcuminoïdes et la vitamine D agissent en synergie pour stimuler l’élimination des plaques amyloïdes chez des patients atteints de la maladie d’Alzheimer. » - Dr. Jean-Paul Curtay


« Alzheimer est une maladie mitochondriale d’origine multifactorielle. […] On sait que le microbiote joue un rôle important dans l’origine de l’Alzheimer, la première chose à faire est de sanifier son microbiote. » - Pr. Vincenzo Castronovo


« L’aluminium est un énorme problème, beaucoup de gens sont intoxiqués à l’aluminium avec des conséquences très dommageables au niveau du système nerveux central. » - Dr. Georges Mouton

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