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L'hypothèse VIH/SIDA en clair - Les faits



Cet article représente 2 années de recherches, plusieurs centaines d’heures d’études, d’audition et la lecture de plusieurs milliers de pages de littérature médicale.


On ne détecte pas le virus ou que très rarement même chez des malades au stade final du SIDA, seule une chance rare et une extrême persévérance peuvent faire apparaître le VIH (in vitro) chez une personne séropositive, donc un problème énorme se pose pour les virologues qui ne trouvent pas de virus actif chez les malades…


En effet, à ce jour, aucun virus n’a été photographié dans la salive, le sang ou d’autres parties du corps humain/animal/végétal ou dans des liquides, bien que l’imagerie au microscope électronique soit désormais une technique standard facile et courante. Ce seul fait non équivoque et facilement vérifiable, à savoir qu’il n’existe pas d’images de virus dans le corps humain/animal/végétal ou dans des liquides provenant de celui-ci, réfute toutes les allégations concernant les virus. (Source : Dr. Stefan Lanka, virologue)


On ne remarque que des anticorps qui seraient une réponse de défense au VIH. En fait ces anticorps sont NON SPÉCIFIQUES puisqu'on les retrouve dans 70 autres causes ou facteurs pouvant faire cette même réaction de "séropositivité" (liste de Christine Johnson, en bas d'article).


Les anticorps sont traditionnellement un signe de ce que le système immunitaire a rejeté le virus (vaccination naturelle efficace et protection absolue contre une maladie infectieuse). Certaines personnes ont d'ailleurs naturellement des taux d'anticorps élevés et sont bien entendu en parfaite santé.


Ce sont des anticorps (protéines) que reconnaissent les "tests de dépistage" de l'infection et non le virus lui-même. Il n’existe pas de test directement capable de détecter la présence d’un virus. Ces tests de dépistage sont aléatoires, car les critères de diagnostic ne sont pas les mêmes dans tous les pays, vous pouvez donc vous retrouver positif au Canada et négatif en France, la définition de séropositivité varie donc d'un pays à l'autre, aux USA cela dépend d'un laboratoire à l'autre... Encore mieux au Royaume Uni le test Western Blot n'est pas reconnu valide pour confirmer une infection au VIH. Les notices accompagnant ces tests, avertissent qu'aucun d'entre eux n'a été validé ni approuvé par la FDA pour diagnostiquer l’infection VIH.


« La fiabilité des tests du SIDA est complètement hallucinante, c’est du délire total ! » - Dr. Alain Scohy


Cela signifie que la première chose à faire en cas de test VIH +, c’est d’en chercher la cause !


Pour qu'un test soit fiable, un virus doit être isolé de manière purifiée, ses protéines spécifiques pourront alors être reconnues par le test.


La plupart des gens croient que le test de "charge virale" met en évidence le vrai virus, or ce n’est pas le cas. Ce test recherche de minuscules brins d’ARN qu’on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une formule mathématique complexe qui génère un nombre qu’on étiquette « charge virale » ce terme est trompeur car il suggère que le virus est présent à un titre élevé, bien qu'un virus infectieux soit généralement indétectable. Au lieu de cela, ce terme désigne la quantité de fragments d'ADN viral ("copies") qui peuvent être générés in vitro par la réaction en chaîne polymérase 'PCR' (amplification de l'ordre du milliard de fois) au départ de l'ARN de rares virus neutralisés par les anticorps, ou de l'ADN des rares cellules infectées de manière latente isolées à partir du patient (artificiellement et à l'extérieur du corps, culture cellulaires in vitro).



La méthode PCR a été inventée par le prix Nobel Kary Mullis opposant de l'hypothèse VIH/SIDA… Ainsi, pour prendre un exemple : une personne qui a fait une infection par Cyto Mégalo Virus qui est en train de disparaître, verra une diminution régulière de la charge virale de ce virus bien précis. Il en est de même pour d’autres infections virales comme l’hépatite B ou la mononucléose infectieuse. Par contre dans le cas du VIH, on ne sait pas ce qu’on mesure puisque ce très hypothétique virus n’a jamais été vu, isolé ou cultivé ! Kary Mullis a toujours refusé de donner son aval pour l’utilisation de sa technique dans le cas du VIH.


Le nombre d’unités infectieuses constitue le seul critère clinique correct pour déterminer si l’on est en présence d’une pathogénie virale. Aucun scientifique n'a JAMAIS réussi à démontrer, au microscope électronique, la moindre particule de rétrovirus directement dans le sang d'un patient étiqueté comme ayant une "charge virale" élevée. Ce virus fantôme n’a JAMAIS été isolé et multiplié en culture de manière purifiée à ce jour -> 'purification par centrifugation de gradient de densité de saccharose'.


En effet, toute la recherche virale se passe in vitro et in silico. Les chercheurs fabriquent in vitro une soupe microbiologique à partir de fragments génétiques rénaux de singe Vero ou de sérum bovin avec d’autres tissus ou de fluides humains (morve) ou animaux qu’ils laissent pourrir une bonne semaine, puis ils y ajoutent des enzymes (trypsine), des antibiotiques, plusieurs produits chimiques (amphotéricine, gentamicine), ensuite ils appliquent un colorant de contraste et un fixateur (vernis) et étudient le résultats (un artefact). Ils entrent les données des résidus de ce bouillon de morceaux de matériel génétique (fragments protéiques, ARN, ADN) dans des programmes informatiques (in silico) qui tente de recréer et de déterminer le résultat. Ils appellent cela l’isolement !!!

Ils n'ont JAMAIS réussi à isoler un virus de manière purifiée par ultracentrifugation au gradient de densité de saccharose en prélevant du sang ou d’autres tissus d’une personne malade. Ils n'ont jamais pu prouver en respectant les postulats de Koch ou de Rivers qu'un virus était la cause d'une maladie, parce qu’ils ne trouvent pas de virus directement dans les tissus d’un organisme. Ils n’ont donc jamais su prouver la contagion. Ils travaillent sur du matériel mort, ils sont incapables de travailler sur le vivant.


Selon le Pr. Peter Duesberg, le virus latent et biochimiquement inactif 'VIH' n'est présent que dans moins d'un lymphocyte T-CD4 sur 500, il n'existe en biologie aucun précédent de gène dormant ayant jamais eu un effet quelconque ni, moins encore, causé une maladie mortelle.


Le professeur émérite d'immunologie de l'université de Genève Alfred Hassïg explique pourquoi les personnes diagnostiquées séropositives risquent entre autres choses de présenter une baisse de leur taux de cellules T. En effet, sous l'état de stress (cortisol) ou d'administration de corticoïdes, les cellules T circulantes dans le sang (2%) se réfugient principalement dans la mœlle osseuse, elles reviennent dans la circulation sanguine lorsque le stress s'estompe.


Les taux de lymphocytes T4 sont extrêmement variables même chez des individus en parfaite santé et ce même à différents moments de la journée. Qui plus est, des taux inhabituellement élevés de lymphocytes T4 n'indiquent généralement pas la santé mais plutôt un processus inflammatoire dans le corps, telles que les allergies ou une affection auto-immunitaire qui oblige la population de lymphocytes T-CD4 à rester en état d'extrême alerte.


Le fait que les thérapies rétrovirales produisent un accroissement presque immédiat du nombre de lymphocytes T-CD4+, n'est pas dû à l'efficacité de leur intervention contre le virus, mais plutôt à la stimulation chimique artificielle occasionnée par un effet nommé ‘hystérésis’, ce qui signifie que la réponse immunitaire produite pour contrer l'envahisseur chimique se traduit au début par une augmentation des T4, qui n'est pas nécessairement bénéfique ni significative au point de vue santé.


Le virus VIH ne respecte aucun des postulats de Koch qui servent à prouver qu'un microbe est la cause d'une maladie.


Hypothèse : 'Le VIH pénètre dans la cellule et la désintègre immédiatement !' - Ceci n'a jamais été observé et est absolument contraire à la caractéristique spéciale enseignée à propos des rétrovirus, à savoir que les rétrovirus ne tuent pas la cellule hôte.


Le 'SIDA' a toujours existé, c'est un nouveau nom qui sert à étiqueter d'anciennes maladies (tuberculose, paludisme, immunodépression… environ 35 à ce jour), la liste dans laquelle on inclut ces maladies est de plus en plus allongée, ce qui permet d'essayer de justifier la pandémie annoncée depuis les années 80'.


Si une personne est atteinte de la tuberculose et qu’elle est séropositive, on dira qu’elle a le SIDA. Mais si elle est séronégative on dira qu’elle a la tuberculose. Même chose pour les autres maladies.


Plus de 30 ans et plus de 500.000.000.000 $ (500 milliards de dollars, selon l'université de Harvard) ont été investi dans la recherche sans aboutir. Devant autant d'échecs, abstraction faite des bénéfices mirobolants réalisés par les laboratoires pharmaceutiques, il serait temps d'investiguer vers d'autres pistes plus prometteuses, car l'hypothèse VIH-$IDA est restée improductive et non démontrée jusqu'à ce jour. Plus de 80.000 articles ont été publiés sur le $IDA, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes, ni essayé de prouver que le VIH causait bien le $IDA. Aucune preuve scientifique n’a jamais été établie à ce sujet. Ce n’est qu’une hypothèse qui a été érigée en certitude, puis en dogme, enfin en idéologie de dictature. Cette simple hypothèse de travail a été introduite en 1984 lors d’une conférence de presse internationale politico-pharmaceutique par le Dr. Robert GALLO qui avait passé 20 ans de sa carrière à essayer de prouver que le cancer était une maladie virale transmissible !


Depuis 2002, une prime de 100.000 $ de récompense est offerte par Alexander Russel à quiconque peut prouver que le VIH est la cause du SIDA, la prime n’a jamais été décrochée à ce jour…


Par exemple, le "stress oxydatif" - TOXÉMIE - souligné par le Pr. Luc Montagnier (prix Nobel et découvreur du “VIH”) et bien d'autres scientifiques (+/- 2.000) dont plusieurs prix Nobel pourrait être une piste à exploiter sérieusement, ce stress peut induire une immunodépression toxique grave comprenant un ou plusieurs facteurs :


  • Malnutrition.

  • Médicaments (+/- 2.000) dont 'ARV' (Antirétroviraux), antibiotiques, stéroïdes, vaccins

  • Produits chimiques, toxiques.

  • Drogues récréatives : principalement les "Poppers" et les drogues injectables.

  • Transfusions sanguines.

  • Infections à répétition.

  • Peur, stress intense et prolongé, etc.


Il sera dès lors judicieux d’adopter une alimentation antioxydante supplémentée d’antioxydants comme : la vitamine C et E, la N-acétylcystéine (précurseur du glutathion).


"Le problème ce n'est pas le virus sur la seringue, mais la drogue qui est dedans. […] L’hypothèse du virus a éloigné les chercheurs du vrai problème, à savoir le mode de vie immuno-destructeur qui mène au SIDA." - Pr. Peter Duesberg


"Le stress est le vrai VIH." - Dr. Marc Deru


"Ce sont les vaccinations de masse à base de virus vivants, inutiles et dangereuses, qui sont à l’origine de l’extension du SIDA." - Pr. Richard Delong



De ce fait, le SIDA ne se transmet pas sexuellement, contrairement aux autres IST (gonorrhée, syphilis, etc.). Plusieurs centaines de rapports médicaux ont été établis à propos de prostituées africaines, états-uniennes, européennes et asiatiques, ainsi que sur des couples sérodifférents, uniquement les personnes consommatrices de drogues ont les syndromes du SIDA. Une étude scientifique réalisée par l'épidémiologiste Nancy Padian, en 1997, met à mal l'affabulation liée à la prétendue contagion par voie sexuelle, du VIH. Après avoir suivi des couples sérodifférents pendant de nombreuses années, elle n'a pas pu montrer un seul cas de séroconversion de partenaires séronégatifs.


Comble de l’ironie, le préservatif, la protection contre le VIH (prétendument vecteur du SIDA) est illusoire puisque selon un laboratoire, les pores des préservatifs (marque Durex) ont un diamètre de 170 nanomètres pendant que celui des rétrovirus est de 100 nanomètres.


L'homo sapiens a naturellement des relations sexuelles depuis 185.000 ans et les virus étaient là avant lui, nous sommes des êtres microbiens, c’est grâce aux bactéries et aux virus que nous vivons, il n'y a pas de 'nouveaux virus' depuis 1980...


Le Pr. Montagnier est très clair dans ce qu’il explique lors de l'interview avec le journaliste Brent Leung, le répétant à plusieurs reprises de différentes manières. Pour l’essentiel, il dit que :

- On peut être exposé au VIH plusieurs fois sans être infecté de manière chronique, un bon système immunitaire peut s'en débarrasser en quelques semaines. - On peut combattre le SIDA grâce à une alimentation correcte et en se préservant d'autres infections affaiblissantes. - L’importance d'un vaccin et de médicaments contre le SIDA est exagérée.

- La médication ARV est toxique et ne peut être prise à vie comme par exemple l'insuline chez les diabétiques. - Le SIDA peut être traité autrement qu’avec un vaccin, avec des choses peu coûteuses et hautement efficaces. - Pour se protéger du SIDA, ce dont les Africains ont réellement besoin, c’est d’une meilleure nutrition et d’eau potable. - Les faits concernant la nutrition et le SIDA sont négligés (par l’établissement médical et les administrations locales).


A la conférence internationale sur le SIDA de San Francisco en 1990, le Dr. Luc Montagnier qui a originellement découvert le VIH, déclara : « Le VIH serait inoffensif ».


6 points scientifiques simples pour prouver que le VIH cause le SIDA :


1. Isoler le VIH de manière purifiée.

2. a) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4.

b) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4 en présence d'anticorps et ce de manière plus rapide que la réplication de nouveaux lymphocytes.

3. Trouver du VIH en grand nombre chez tous les séropositifs.

4. Exclure toutes autres causes de positivité.

5. Montrer les sources qui constituent la preuve que le VIH est la cause du SIDA.

6. Se conformer aux postulats de Koch.


« L’histoire du VIH/SIDA est entachée de mauvaise science, de politique, d’égotisme, de définitions changeantes, de carrières détruites, de cupidité et d’escroqueries. » - Qu’est-ce qui nous rend réellement malade ? Tome 1, p. 252.



Réf. : Dr. Robert Wilner, Bryan Ellison, Pr. Peter H. Duesberg, Dr. Charles A. Thomas Jr., Dr. Kary Mullis, Dr. Robert Root-Bernstein, Dr. Gordon Stewart, Dr. Joseph Sonnabend, Dr. Jim Humble, T.C. Fry, Celia Farber, Claude Tracks, Dr. Etienne De Harven, Pr. Luc Montagnier, Pr. Henry H. Bauer, Dr. Eleni Papadopulos, Pr. Alfred Hassïg, Rebecca Culshaw, Dr. Marc Deru, Dr. Jacques Gwinner, Dr. Ghislaine Lanctot, Albert Mosséri, Dr. Alain Scohy, Dr. Stefan Lanka, Dr. Jacqueline Bousquet, Sylvie Simon, Michel Dogna, Renaud Russeil, etc.


Documentaires :


Vidéos online :


Livres :

  • "L'invention du virus du sida"

  • "Les 10 plus gros mensonges sur le sida"

  • "Sida supercherie scientifique et arnaque humanitaire"

  • "Sortez de l'hypnose collective"

  • "Théorie VIH du sida, incohérence scientifique !"

  • "Enquête sur le sida, les vérités muselées"

  • "Le Goulag du Sida"

  • "La Mafia Médicale"

  • "L'escroquerie du Sida, l'ultime supercherie"

  • “Prenez en main votre santé”

  • "SIDA, Opium, Diamants et Empire"

  • "Virus Mania"

… et bien d'autres en anglais.


Magazines :

  • Nexus n° 79

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Facteurs connus susceptibles de produire des résultats faussement positifs lors de tests anticorps au « VIH »1 [1]


• Anticorps anti hydrates de carbone.

• Anticorps générés naturellement.

• Immunisation passive : réception de globuline gamma ou globuline. Immune (en tant que prophylaxie contre une infection contenant des anticorps).

• Lèpre.

• Tuberculose.

• Mycobacterium avium.

• Lupus érythémateux disséminé.

• Fonction rénale déficitaire.

• Hémodialyse (en cas de fonction rénale déficitaire).

• Thérapie par interféron alpha chez les patients en hémodialyse.

• Grippe.

• Vaccin antigrippal.

• Herpès simplex I.

• Herpès simplex II.

• Infection des voies respiratoires supérieures.

• Infection virale récente ou exposition à un vaccin antiviral.

• Grossesse chez les femmes multipares.

• Malaria.

• Taux élevés de complexes immuns dans la circulation sanguine.

• Hypergamma globulinémie (taux élevés d’anticorps).

• Fausse positivité à d’autres tests, tels que le test RPR (réactif plasma rapide) pour la syphilis.

• Arthrite rhumatoïde.

• Vaccination contre l’hépatite B.

• Vaccination contre le tétanos.

• Transplantation d’organes.

• Transplantation rénale.

1[1] Christine Johnson, “Whose Antibodies Are They Anyway?” Sept./Oct. 1996, Continuum

• Anticorps anti-lymphocytaires.

• Anticorps anti-collagènes (que l’on trouve chez les homosexuels, les hémophiles, les Africains des deux sexes ainsi que les personnes atteintes de la lèpre).

• Sérologies positives au facteur rhumatoïde, anticorps antinucléiques (trouvés l’un et l’autre en cas d’arthrite rhumatoïde et d’autres problèmes auto-immunitaires).

• Maladies auto-immunitaires : lupus érythémateux disséminé, sclérodermie, maladie du tissu conjonctif, dermatomyosites.

• Infections virales aiguës, Infections par virus ADN.

• Néoplasmes malins (cancers).

• Hépatite alcoolique ou cirrhose du foie d’origine alcoolique.

• Cholangite sclérosante primitive.

• Hépatite.

• « Sticky » blood, (chez les Africains). Ce syndrome est aussi appelé Hugues’syndrome ou syndrome antiphospholipide.

• Anticorps présentant une grande affinité avec le polystyrène (utilisé dans le matériel des tests).

• Transfusions sanguines, transfusions multiples.

• Myélome multiple.

• Anticorps HLA (correspondant aux antigènes leucocytaires humains de classes I et II).

• Anticorps contre les muscles lisses.

• Anticorps contre les cellules pariétales.

• Anticorps IgM contre l’hépatite A.

• Anticorps IgM contre les hépatites B et C.

• Administration de préparations à base d’immunoglobuline humaine composée avant 1985.

• Hémophilie.

• Affections hématologiques malignes / lymphomes.

• Cirrhose biliaire primaire.

• Syndrome de Stevens Johnson.

• Fièvre Q associée à une hépatite.

• Echantillons traités à la chaleur.

• Sérum lipémique (sang contenant un taux élevé de graisse ou de lipide).

• Sérum hémolysé (sang dans lequel l’hémoglobine est séparée des globules rouges).

• Hyper bilirubinémie.

• Globulines produites lors des gammopathies polyclonales (que l’on trouve chez les groupes à risque de « SIDA »).

• Réactions croisées mal expliquées chez des sujets sains.

• Protéines ribonucléiques humaines normales.

• Autres rétrovirus (que le « VIH »).

• Anticorps anti-mitochondriaux.

• Anticorps anti-nucléiques.

• Anticorps anti-microsomaux.

• Anticorps aux antigènes leucocytaires des lymphocytes T.

• Présence de protéine sur le papier du filtre.

• Virus Epstein-Barr.

• Leishmaniose viscérale.

• Sexualité anale réceptive.


Décision judiciaire :

Le 24 février 1997, le tribunal prononça l’acquittement du Dr. Gunther Ekkart de tous les chefs d’accusation au motif que l’existence du virus VIH n’est pas établie. Ce jugement marquait une étape historique dans le débat sur l’existence du VIH car, pour la première fois depuis une décennie que durait la controverse (occultée par les médias à ce jour), une autorité judiciaire reconnaissait enfin que le soi-disant virus VIH n’a jamais été isolé.

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