Article naturo-hygiéniste
Description :
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative multifactorielle détruisant les neurones du cerveau avec un déficit en dopamine. La dopamine est un neurotransmetteur appelé aussi « hormone du plaisir et de l'action ». Le précurseur de la dopamine est l’acide aminé L-Tyrosine.
6 millions de personnes dans le monde sont atteintes.
Comme pour les autres maladies neurodégénératives, il est assez clair que l’environnement et les habitudes de vie ont un impact sur les risques de la développer.
La maladie de Parkinson se situe dans le quadrant 3 du bioélectronigramme Vincent, c’est le milieu alcalin et oxydé, celui de la dégénérescence. L’énergie vitale est basse, la toxémie est haute, en conséquence la santé périclite. Les signaux d’alarme précurseurs et les crises aigues de détoxification ont été refoulés par les techniques chimiques allopathiques. Les déchets n’ont pas pu être évacués et ont été refoulés dans les profondeurs humorales entraînant une intoxination élevée.
Ce milieu pauvre en protons et en électrons est favorable au développement de toutes les maladies de civilisations et dégénératives. Nous veilleront donc à corriger le terrain en l’orientant vers le quadrant 1.
Symptômes :
Troubles du système nerveux affectant les mouvements et entrainant de la rigidité musculaire, ainsi que des tremblements.
Causes :
L'inflammation chronique, l'oxydation et la glycation.
L’alcool, le tabac, les overtoniens (neurotoxiques).
Les éléments suroxydants : médicaments, vaccins, pesticides, conservateurs, produits chimiques, eau du robinet, etc.
Les rayonnements électromagnétiques et la sur-électrisation : Téléphone sans fil, smartphone, ordinateur, tablette, Wi-Fi, radio-réveil sur secteur.
Le manque d’activité physique.
Les carences alimentaires (vitamines, minéraux, oligo-éléments, etc. mais attention à l'excès de fer).
Les mauvaises associations alimentaires provoquant la surcharge du trio : foie, vésicule, intestins.
Le stress.
Les troubles digestifs dont la constipation chronique.
Les compléments alimentaires non-organiques, non-adaptés, la surcharge minérale inorganique qui augmente la conductibilité électrique pro-oxydante.
Des liens ont été établis entre la présence invasive d’Helicobacter pylori et la maladie de Parkinson.
Une perturbation du microbiote à un impact sur nos émotions et peut être liée à des pathologies neurologiques ou psychiatriques : anxiété, dépression, mal-être, autisme, Parkinson, etc. De plus en plus de recherches ont mis en lumière la connexion entre la maladie et les activités du tractus digestif, dont le microbiote intestinal.
Des études récentes suggèrent que les troubles digestifs précoces, notamment la constipation chronique, pourraient être des signes avant-coureurs de cette maladie neurodégénérative.
"L’intestin des patients parkinsoniens serait plus poreux que celui des personnes indemnes de la maladie et cette porosité permettrait le passage des substances potentiellement toxiques, participant ainsi à la diffusion et à l’aggravation de la maladie." - Fédération pour la recherche sur le cerveau
Pour régénérer et détoxifier l’organisme, nous devons épurer le foie et les intestins.
Remarque :
Les médecines traditionnelles de santé naturelle ne sont pas des médecines douces. L’individu malade n’est plus un patient, mais un acteur, un acteur de sa santé. Il n’est plus question ici de laisser faire les choses et de laisser agir les autres. Il faut prendre sa santé en main ou subir les affres de la déchéance.
Il n'y a pas de maladies qui soient incurables !
Solutions :
Réglage alimentaire rigoureux en respectant les règles basiques et le génotype apoE.
Suppression impérative des overtoniens.
Contrôler l’inflammation, l’oxydation et la glycation.
Etablir le statut en acides gras.
Consommer des aliments riches en L-Tyrosine : bananes, avocats, graines de citrouille, protéines animales (fruits de mer, poissons, volailles), œufs, légumineuses (sans excès), champignons shiitaké, algues, noix.
Consommer des bons lipides en bonne quantité.
Consommer des fruits, des légumes et du vinaigre de cidre biologiques qui sont acides et réducteurs (quadrant 1).
Consommer de l’eau de source faiblement minéralisée.
Détoxifier : jeûnes réguliers, monodiètes, drainages émonctoriels.
Faire la chasse aux toxiques et aux métaux lourds (fluor, aluminium, mercure, plomb, etc.)
Pratiquer une activité physique adaptée.
Pratiquer la cohérence cardiaque.
Nettoyer la lymphe et régénérer les glandes surrénales (système nerveux), alcaliniser au maximum, passer progressivement à une alimentation plus vivante, antioxydante, fruits et légumes biologiques dans un premier temps, puis 100% fruits quelques jours.
Vérifier les carences notamment en vitamines du complexe B, dont la thiamine (B1), son manque peut provoquer tremblements et perte de mémoire.
Respecter les 9 facteurs de la santé intégrale, ce sont les conditions de la guérison.
Négativer : connexion à la terre le plus souvent possible (décharge électrostatique - ions positifs - et recharge en électrons).
D’après des recherches suédoises comparant 2 groupes de 197.685 personnes, un mode de vie physiquement actif est associé à un risque réduit de près de 30% de développer la maladie de Parkinson. Source : Journal of Parkinson’s Disease, 13/01/2020.
Compléments alimentaires :
Huile de coco biologique : 3 à 6 c à s /J. Sauf génotype apoE4.
Vitamine C : 3 à 4 gr/J.
Vitamine D si pas d’exposition au soleil : 3.000 UI/J (taux sanguin 50-60 µg/L).
Vitamine E : 200 UI/J.
Iode.
N-acétylcystéine : 600 mg/J.
L-théanine (neuroprotecteur, anti-inflammatoire, antioxydant, anxiolytique).
L-tyrosine 500 mg le matin, surtout pour les personnes ne déjeunant pas avec des protéines.
Coenzyme Q10.
Pyrroloquinoline quinone (PQQ).
Sélénium (2 noix du Brésil par jour).
Silicium organique (antidote de l'aluminium).
Synergie chlorophyllienne : ail des ours, coriandre, chlorella (élimination des métaux lourds).
Algue Klamath (stimule la production de cellules souches).
Alkylglycérols (huile de foie de requin).
Astaxanthine (antioxydant).
Phytothérapie :
Pois mascate - Mucuna pruriens riche en L-Dopa précurseur de la dopamine qui a la capacité de passer la barrière hémato-encéphalique.
Lapacho.
Curcumine (antioxydante et anti-inflammatoire).
Gemmothérapie : bourgeons de cassis.
Citations :
« Le cerveau intestinal n’est que le prolongement du cerveau crânien. L’altération du cerveau intestinal entraine conséquemment une altération du cerveau crânien, d’où les maladies neurodégénérative comme Parkinson et l’Alzheimer par exemple… » - Pr. Grégoire Jauvais
« Avec toutes les paralysies, on se trouve devant une des forme les plus graves d’intoxication, puisque celle-ci a atteint les centres nerveux. » - Raymond Dextreit
« L’ignorance n’a plus d’excuse à notre époque, mais elle est pratique pour une majorité, parce qu’elle dispense de la responsabilité. » – Michel Dogna
« La prévalence croissante des maladies dégénératives neuronales (SEP, SLA, Parkinson, Alzheimer) ne peut s’expliquer sans une responsabilité importante des facteurs environnementaux. Ce sont des facteurs toxiques comme certains métaux lourds, aluminium et mercure, ingérés et absorbés par voie digestive et/ou d’origine topique transdermique (cosmétique et vaccinale !) qui fragilisent (ou agressent !) les fonctions cellulaires à très fort métabolisme oxydant. » - Dr. Michel Massol
« La santé c’est une responsabilité individuelle. » - Dr. Christian Tal Schaller
« Ce n’est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade lui-même. » - Dr. Georg Groddeck
« La maladie, la déformation et la dégénérescence sont les amandes que l’homme paye pour s’être éloigné des normes de la nature dans tout son mode de vie. » - Albert Mosséri
« La santé n’est pas un dû… Elle s’entretient tous les jours et est du domaine de la responsabilité de chacun par les choix qu’il opère dans sa vie de tous les jours. » - Laurence Gallais, psychologue, naturopathe, bioélectronicienne.
« Les mêmes causes produisent les mêmes effets ; les mêmes troubles de santé reviendront inéluctablement si les mêmes habitudes incorrectes sont reprises. La nature ne fait d’exception pour personne et nous subissons inexorablement les conséquences de nos actes. » - Dr. André Passebecq
« Personne ne peut résoudre un problème de santé, en restant dans l’état d’esprit qui a créé le problème. » – Thomas Edison.
« L’inflammation (chronique) fait le lit du cancer, de l’Alzheimer, de Parkinson et de tout le reste. » - Dr. Laurent Schwartz
« Le magnésium et l’aluminium ont été étudié dans la maladie de Parkinson et un lien de hautes concentrations d’aluminium et de bas niveaux de magnésium dans le cortex et la substance noire semble apparaître dans la pathogénie de la maladie. » - Philippe Chappuis et Alain Favier
« Tous les facteurs comme les sucres rapides, le gluten, les produits laitiers, qui altèrent la flore, favorisent également la neurodégénérescence. » - Dr. Stéphane Résimont et Alain Andreu
« La maladie de Parkinson démarre au niveau de l’intestin jusqu’à 30 ans avant les premiers symptômes neurologiques sous forme de constipation chronique. » - Dr. Georges Mouton
« Alzheimer, Parkinson, Lou Gehrig, toutes ces maladies sont caractérisées par un fort taux de peroxydation lipidique* qui commence à détruire la structure du cerveau, ses connexions, ses cellules, ses mitochondries, son ADN. » - Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien.
*La peroxydation lipidique est la conséquence du stress oxydatif. Pour le Dr. Russell Blaylock, la genèse des maladies neurologiques est due à un stress oxydatif très important. Lorsque les radicaux libres sont en surnombre, on parle de stress oxydatif. Les antioxydants luttent contre le stress oxydatif en neutralisant les radicaux libres. Le glutathion empêche la peroxydation des lipides.
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