Article d'hygiénisme et de bromatologie
Genèse 1.29 : Et Dieu dit : « Voici, que je vous ai donné toute végétation portant semence qui est à la surface de toute la terre et tout arbre dans lequel il y a du fruit d’arbre portant semence. Que cela vous serve de nourriture ! ».
Chaque espèce animale sur terre a sa nourriture physiologique propre et adaptée à son organisme. Si on défie les lois de la Nature et qu'on change la nourriture prévue pour son fonctionnement optimal, la dégénérescence, la souffrance et la maladie survient.
Un aliment est un produit qui maintient la santé, et donc qui maintient le bon fonctionnement et l'équilibre entre les organes et les systèmes du corps. Un aliment ne doit pas nuire, il doit être ortho-biologique, c'est-à-dire spécifique à l’espèce, naturel et vivant, propre à notre anatomo-physiologie digestive et émonctorielle d’anthropoïde. Une nourriture spécifique ne provoque pas de troubles digestifs, mais elle renforce, régénère, vitalise et draine l’organisme, sans l’encrasser.
Plus un aliment possède d'énergie, plus grande est sa capacité de guérison. Voilà pourquoi le fructose et le glucose naturels sont essentiels. Ces sucres simples constituent l'un des facteurs les plus importants pour stimuler les cellules à se régénérer. Le glucose assimilé résultant de la digestion constitue la principale source d'énergie pour les cellules. Ils sont donc vitaux pour l’organisme en tant que principale source de carburant notamment pour les microzymas.
Les fruits sont les aliments du cerveau et des nerfs, ainsi que les nettoyeurs des tissus. Ils constituent la meilleure source de sucre naturel nécessaire à l'énergie cellulaire. Les lipides sont également les aliments indispensables pour le système nerveux et les cellules.
Les légumes et les protéines sont les constructeurs et conviennent aux tissus musculaires et squelettiques.
Les noix et graines sont des aliments structurels et renforcent le corps à un niveau global.
Véritables bombes nutritionnelles, les fruits frais, mûrs et biologiques sont classés parmi les meilleurs aliments. Ils contiennent l'énergie de la vie, de l'eau, de la terre et du soleil. Leur valeur nutritionnelle est directement liée à leur stade de maturité. L'eau contenue dans les fruits est complètement saine, c'est à dire qu'elle est sans aucune trace de minéraux inorganiques ou d'autres matières qui soient susceptibles de se combiner avec les fluides corporels et d'obstruer les reins, les vaisseaux sanguins, les cellules ou les espaces interstitiels.
Gardons à l'esprit que beaucoup de soi-disant légumes sont en fait des fruits non sucrés comme le concombre et que, techniquement, les noix et les avocats sont des fruits aussi.
Parce que nous étions chasseurs-cueilleurs dans l'état primitif de la nature, au paléolithique, et en raison d'un régime abondants en végétaux donnant suffisamment d'eau, les humains n'ont pratiquement jamais développé de mécanismes d'eau potable.
Les fruits frais et mûrs contiennent presque tous les facteurs alimentaires nécessaires à la vie humaine : enzymes, macronutriments, micronutriments, phytonutriments, chlorophylle, principes actifs & antioxydants, ainsi que des fibres essentielles au transit, au microbiote (prébiotiques) et au bon fonctionnement du système digestif. Ce sont des aliments physiologiques de tout premier ordre. Ils contiennent de l’acide L-ascorbique (vitamine C) qui est un catalyseur pour les microzymas, c’est une molécule essentielle à leur fonctionnement.
Les fruits se récoltent sans efforts et à profusion, mais l’homme se casse le dos à planter du riz et du blé qui l’empoisonnent insidieusement (amidon, gluten) et il laisse pourrir les fruits sur les arbres alors qu’il n’a qu’à tendre le bras pour s’en délecter… Un manguier ne demande aucun entretien et produit jusqu’à 15 tonnes de fruits en une année ! Cherchez l’erreur…
Ne nous privons pas des fruits exotiques, en tant qu’anthropoïde d’origine tropicale nos organismes leurs sont génétiquement bien adaptés. Ils seront particulièrement bénéfiques sur le plan de notre santé. Il est important de consommer les fruits mûrs qui nous attirent le plus, ceux dont on a le plus envie, autant qu’on en a envie, mais en limitant la quantité en fonction de notre tempérament et de notre génotype.
L’excès de consommation de fruits peut entrainer une stéatose hépatique, du diabète, de l’hyperuricémie, une faiblesse musculaire et immunitaire.
Les fruits qui murissent après cueillette sont dits "climactériques". En voici une petite liste :
Les mangues.
Les bananes.
Les avocats.
Les ananas.
Les kiwis.
Les melons.
Les papayes.
Les poires.
Les abricots.
Les tomates.
Les kakis.
Les fruits de la passion.
Les fruits et les légumes sont vitalisants, alcalinisants, ce sont des aliments vibratoires à hautes fréquences bioactifs. Ils n’encrassent pas l’organisme, ils ne font pas grossir, les tempéraments dilatés pourront en manger à volonté et toute leur masse grasse excédentaire disparaîtra rapidement.
N.B. Les fruits se mangent seuls ! C’est à dire en dehors des autres repas ou au moins 45 minutes avant un repas, à la croque ou en smoothie avec les fibres, pas en jus (insuline). Ne les mélangeons jamais avec d’autres aliments, car ils inhibent radicalement la digestion stomacale et assurent nombre de fermento-putrescences entériques.
(Voire : Les compatibilités alimentaires). Leur digestibilité est exceptionnelle, environ 30 minutes.
Pour notre santé, les sucres simples organiques et naturels des fruits (carburant cellulaire) n’ont rien à voir avec le sucre raffiné toxique, industriel et chimique.
Un fruit qui commence à pourrir est à jeter parce qu’il est en cours de radio-dévitalisation avancée et parce que sa chair apparemment saine est contaminée par les toxiques de la pourriture.
Les personnes qui ont une diarrhée en mangeant des fruits sont en grande intoxination, le corps se purge par les intestins.
Vous n’arrivez pas à digérer les fruits ? Cela signifie que vous avez un problème au pancréas et au foie + vésicule biliaire.
Voir aussi l'article : Les fruits acides chez les personnes sous-vitales.
Texte de Alain Labelle, mars 2017 :
Les humains et les singes se différencient des autres espèces par une caractéristique importante : leurs gros cerveaux.
Cette réalité permet aux babouins comme aux humains d'utiliser des outils, de trouver de la nourriture et de naviguer dans les relations complexes de la vie de groupe.
Une question demeurait toutefois dans l’esprit des scientifiques : qu’est-ce qui a conduit leurs cerveaux à grossir au fil de l’évolution ? Certains avancent que c’est le fait de vivre en groupe qui en est la cause, mais une nouvelle théorie inattendue fait aujourd’hui surface : la consommation de fruits.
En effet, selon l’anthropologue Alex Decasien et ses collègues de l'Université de New York, le volumineux et performant cerveau de l'homme moderne est le résultat d'une longue évolution dont l'une des étapes cruciales serait une diète de plus en plus riche en fruits.
Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé les mets préférés de plus de 140 espèces de primates pour constater que ceux qui avaient un penchant prononcé pour les fruits avaient des cerveaux environ 25 % plus gros que ceux qui se contentaient de feuilles.
Citations :
« C'est grâce à ça que nous avons développé nos cerveaux incroyablement volumineux. Nous avons fait exploser l'apport nutritionnel des aliments que nous mangions. » - Alex Decasien
« Un excès de fruits dans l’alimentation peut abîmer le foie et augmenter les triglycérides. » - Sylvain Duvel, biologiste et nutritionniste
« Que ton aliment soit ta seule médecine ! » - Hippocrate
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