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Ne jamais enlever d’organes : appendice, amygdales, vésicule, etc.

Article de santé naturelle


Dans le corps humain, tous les tissus sont liés les uns aux autres, intégrés dans un ensemble, harmonisés, équilibrés par une régulation humorale, sanguine et neuroendocrinienne. Le corps est donc un assemblage de parties et d’organes en relation réciproque, en interdépendance, chaque organe ou partie est fait de tissus, et ces tissus sont composés de cellules. (Voire : Les lois qui régissent notre santé - n° 4 & n° 8).


Si l'homme mange une nourriture adaptée à son système digestif de primate, ses organes ne tomberont jamais malades et ne poseront jamais de problèmes, car ses cellules seront baignées dans des humeurs propres et nourricières.


Tous les organes sont importants au bon fonctionnement du corps, on n’ôte pas d’organes, on les régénère à partir de la cellule, qui est la plus petite masse vivante organisée, c’est l’unité du premier ordre du corps humain.


Lorsqu'un symptôme signale une anomalie dans le système, il ne faut pas masquer ce signal d'alarme par la prise de médicaments chimiques allopathiques, mais plutôt chercher la cause du problème à la racine, en agissant de la sorte, on corrige le terrain et l'anomalie se résout définitivement et naturellement.


L'appendice


Cette excroissance d'une dizaine de centimètres située au bout du colon a un rôle bien réel. Elle sert de refuge aux « bonnes bactéries » qui tapissent les parois de notre intestin. Lors de fortes diarrhées, ou de prise d'antibiotiques, ces micro-organismes sont protégés à l'intérieur de cet abri naturel à partir duquel ils peuvent recoloniser l'intestin.


Chez l'homme et les autres primates, la communication entre l'intestin et l'appendice n'est pas directe. Elle se fait par un renflement qui forme une sorte de barrière. Cela a un rôle immunitaire. L’appendice iléo-cæcal ou vermiculaire crée également des anticorps et est surtout constitué de ganglions lymphatiques.


L’appendice produit et secrète aussi un puissant liquide germicide qui se libère automatiquement dans le cæcum lorsque des déchets provenant de l’intestin grêle peuvent s’avérer néfastes pour l’individu.


C’est seulement si la bile n’est pas émise régulièrement ou en quantité suffisante que la région appendiculaire s’enflamme et s’infecte. Il faut donc être attentif à un dérèglement hépatique.


Solutions :


  • Adopter une alimentation pour laquelle le système digestif humain est prévu avec suffisamment de fibres, les fibres sont en outre des prébiotiques.

  • Le jeûne doit être appliqué.

  • Il existe des moyens naturels efficaces pour se débarrasser d'une appendicite.

  • Environ 19% des cas d’appendicite peuvent terminer en péritonite, dans la majorité des cas provoquée par l’auscultation maladroite du médecin… En cas de péritonite, l’intervention chirurgicale d’urgence s’impose sans équivoque !


Les amygdales


Et les végétations, sont des glandes qui font partie du système lymphatique. Elles ont la capacité de fabriquer des globules blancs. Ceux-ci sont la principale source de défense du corps, les amygdales agissent comme organes d’élimination, leur rôle est vital.


En formant ces globules blancs et en produisant des anticorps, les amygdales contribuent à la défense de l’organisme contre les microbes. Comme elles sont situées à l’arrière gorge, elles offrent une barrière qui protège les voies aériennes inférieures de toute invasion. Ce sont les filtres du système lymphatique, elles aident à combattre les infections en piégeant les bactéries et les virus, c’est là que les cellules immunitaires vont détruire les cellules endommagées. Les ganglions lymphatiques sont de vraies usines immunitaires : avec des lymphocytes, des neutrophiles, des macrophages, des phagocytes et des anticorps.


Des amygdales enflammées sont le reflet d’une surcharge des déchets, la conséquence et non la cause de l’état toxémique du corps. Les extirper sans modifier les causes des troubles de santé revient à faire disparaître un symptôme, une sonnette d’alarme, pour éteindre un incendie. La solution est facile et rentable, mais elle détruit en partie les possibilités de désintoxication de l’individu. L’amygdalite et les végétations adénoïdes vont donc de pair avec un encrassement humoral et cellulaire (toxémie). Les symptômes locaux sont l’expression d’un trouble général.


Des chercheurs signalent que l’ablation des amygdales favorise le développement de la poliomyélite. (Dr. Michel Georget – Vaccination Les Vérités Indésirables)


En ôtant ces filtrent précieux, l’état humoral et l’état toxémique s’aggraveront tôt ou tard, en débouchant sur des troubles plus importants et plus graves…


« Une enquête menée sur des milliers d’ouvriers, à qui l’on avait enlevé les amygdales dans leur jeunesse, a clairement démontré que les troubles consécutifs à une amygdalectomie renvoient tous à une perte de dynamisme physique, sexuel et mental. Trente années d’études en Italie ont démontré que, tôt ou tard, l’ablation des amygdales réduit la vigueur et la vitalité des individus qui l’ont subie. » – Dr. Norman Walker.


“Des chercheurs se sont intéressés aux conséquences à long terme de l’ablation des amygdales, organes impliqués dans les défenses immunitaires. Les résultats de leurs travaux sont alarmants : l’exérèse des végétations est associée à un risque d’affections respiratoires multiplié par presque 3, comparé au taux observé dans la population n’ayant pas subi ce type d’intervention. Asthme, grippe, pneumonie et bronchopathie chronique obstructive (BPCO) sont concernés. L’amygdalectomie, quant à elle, est reliée à un risque multiplié par un facteur voisin de 2 pour ce qui est des pathologies respiratoires citées et de la conjonctivite. Quant au risque d’otite moyenne, il est multiplié par 4 à 5 !” - S. G. Byars, S. C. Stearns et J. J. Boomsma, dans Jama Otolaryngology Head and Neck Surgery, juin 2018.


“Ne mettez jamais votre système immunitaire en péril, ne faites jamais enlever de ganglions lymphatiques ! Les conséquences peuvent être dévastatrices. Ne traitez pas, régénérez !” - Dr. Robert Morse


Solutions :


  • Supprimer les causes de la toxémie,

  • Corriger l’alimentation et supprimer les aliments mucogènes ‘colles’ (surtout lait de vache & céréales) et acidifiants (cristaux) qui congestionnent et enflamment les amygdales via une lymphe surchargée de déchets (Voire articles : Les aliments mucogènes et acidifiants).

  • En attendant l’effet de la suppression des causes, une série d’irrigations du colon aiderait à éliminer la putréfaction de l’organisme qui se manifeste dans les amygdales malades.

  • Un jeûne de quelques jours apportera un grand bénéfice pour permettre à la lymphe et aux ganglions de se désengorger.

  • Vérifier la fonction thyroïdienne.


La vésicule biliaire


Cet organe est une petite poche située sous le foie. La vésicule biliaire a un rôle de stockage de la bile et participe à la digestion. La bile émulsionne les lipides, ce qui favorise leur transformation par l’action des sucs pancréatique et intestinal. La bile joue donc un rôle indispensable dans la digestion des graisses. Elle permet également d’éliminer certains déchets, principalement la bilirubine, l’excès de cholestérol et les produits de dégradation des médicaments de l’organisme, ainsi qu’aider le foie à se débarrasser de ses toxines. Elle a un rôle complémentaire à ceux du foie. La bile permet aussi la lubrification du bol intestinal, l’alcalinisation du bol duodénal et la fabrication de la vitamine K.


Son ablation (cholécystectomie) rend les digestions plus délicates et perturbées, conduit à l’appauvrissement du sang et fragilise l’organisme qui se défend moins bien.


Remarque : Il y a des troubles accrus de la vésicule biliaire chez les femmes qui prennent la pilule contraceptive.


Une douleur du côté de la nuque et de l’épaule droite signe en général un problème de la vésicule.


Une vésicule biliaire chargée de lithiases est un signal indiquant qu’il est temps de réformer l’hygiène de vie.

Solutions :


  • Le comportement causal devra être abandonné sous peine de récidives.

  • Limiter les aliments mucogènes et acidifiants et adopterons une alimentation pour laquelle le système digestif humain est prévu, avec suffisamment de fibres.

  • Reposer le système digestif par du jeûne, du jeûne intermittent, des diètes de bouillons de légumes ou de raisin. Prendre des repas moins complexes, plus légers et plus digestes.

  • Eviter le ralentissement digestif, la suralimentation et la constipation.

  • Supprimer les overtoniens dont l'alcool notamment, les sucres raffinés (sodas, confitures, bonbons, etc.), les graisses cuites et les margarines, la viande rouge en excès, les produits laitiers et les charcuteries.

  • Ne jamais associer de fruits, de jus de fruits ou des aliments acides avec des amidons au même repas.

  • Prendre du jus de radis, radis noir, navet et raifort 10 à 50 ml/J. pensant 3 semaines.

  • Prendre chaque matin à jeun pendant un mois : une cuillère à soupe d’huile d’olive avec 2 gouttes d’huile essentielle de citron zest et 1 goutte de romarin à verbénone.

  • Acides gras oméga-3.

  • Tester la cure A. Moritz, mais elle ne fonctionne pas toujours.


Phytothérapie :

  • Plantes anti-lithiasiques biliaires : Aubier de tilleul en première intention, boldo, radis noir, artichaut, chélidoine, romarin, pissenlit, orthosiphon, curcuma, gentiane si calculs < 5 mm.

  • Des tisanes de gaillet gratteron 3 à 4 fois par jour sont indiquées, aidant à dissoudre les calculs tout en ayant une bonne influence sur le système lymphatique.

  • Gemmothérapie : érable champêtre + frêne + romarin.

  • Aromathérapie : HE de genévrier 2 g – 3 x/J. en cure de 10 jours.


Oligothérapie : soufre.


Nutrithérapie : iode qui augmente la T3 et l'évacuation de la bile.


Il existe des moyens naturels qui ont fait leurs preuves pour se débarrasser des calculs à la vésicule sans douleurs et sans chirurgie.


« La nature n’a pas conçu la vésicule biliaire chez l’être humain pour qu’elle soit retirée. La vésicule biliaire est indispensable au bon fonctionnement du foie. Votre corps vous appartient et si, par ignorance de son fonctionnement, vous acceptez de vous soumettre au bistouri d’un chirurgien, vous ne pourrez vous en prendre qu’à vous-même. » - Dr. Norman Walker


« L’hypothyroïdie constitue une cause très fréquente de calculs biliaires et il faut y voir un lien évident avec l’hypercholestérolémie concomitante. » - Dr. Georges Mouton


Témoignage :

« Je me suis faite opérer de la vésicule biliaire en octobre 2020 et depuis j'enchaîne les soucis hormonaux et digestifs. J'ai perdu beaucoup de poids, je suis constamment fatiguée et angoissée, j'ai des selles molles voire liquides avec une couleur jaune marron, j'ai des indigestions et des éructations intempestives qui me bloquent la respiration, j'ai donc du mal à m'alimenter car rien ne passe ni liquide ni solide. J'ai des douleurs au niveau des omoplates surtout côté gauche et une lourdeur à l'estomac. J'ai aussi de l'air bloqué dans l'œsophage et des remontées acides parfois. Je suis perdue… » - O. Y.


La prostate

Voire : Prostatisme



Par le Dr. André Passebecq, naturopathe hygiéniste (Extrait du livre : Initiation à la santé intégrale) :


"Existe-t-il, dans le corps, des organes inutiles ?

« Dans l’organisme, disait Kant, tout est réciproquement moyen et fin » ; c’est en cela que consiste sa finalité sans laquelle il ne pourrait réaliser son but par excellence, c’est-à-dire sa vie même. C’est la loi du corps vivant que chaque partie, ayant besoin de toutes les autres, se mette à leur service pour le plus grand bien du tout ; l’utilité réciproque n’est qu’un aspect particulier de l’unité fonctionnelle de l’être animé, source de la compensation interne.


Les organes prétendus inutiles

Au XIXe siècle, on comptait encore, dans le corps humain, huit organes prétendus inutiles : la thyroïde, les capsules surrénales, l’hypophyse, l’épiphyse, le thymus, la rate, les amygdales et l’appendice. Or, les trois premières glandes sont reconnues aujourd’hui chez les vertébrés comme des organes endocriniens d’une importance essentielle. La science a mis longtemps aussi à découvrir l’utilité des organes lymphoïdes, terrain de formation des petits globules blancs du sang. Telles sont la nature et la fonction de la rate, où se détruisent également les globules rouges. Aux formations lymphoïdes appartiennent également le thymus, les amygdales et peut-être aussi faut-il y ranger l’appendice, à cause des follicules lymphoïdes inclus dans sa paroi. Tous ces organes sont importants ; certains sont vitaux. Ce n’est pas sans danger que l’on peut en priver l’individu. Aristote disait que la nature ne fait rien en vain ; chez les êtres vivants, tous les organes fonctionnent au bénéfice de la vie, et là réside la définition même de toute fonction comme mécanisme dont l’action aboutit à une fin utile pour l’organisme tout entier.”


Anecdote :


Aux USA, environ 200.000 femmes subissent une ablation de l'utérus chaque année, souvent pour prévenir le cancer du col de l'utérus. En Allemagne, 99,983 % des femmes ne développent pas ledit cancer… (Source : Virus Mania, éditions Résurgence).


La santé ne peut être rétablie que si les causes disparaissent.

La médecine conformiste ne compte généralement que sur des procédés destructifs et suppressifs, l’ignorance des véritables causes et du processus de la ‘maladie’ perpétue de telles erreurs.


Ceux qui préfèrent utiliser des médicaments chimiques et/ou user du bistouri, ne doivent rien changer à leur hygiène de vie.


Voire loi n° 4 de symbiose interne : Aucun organe n’est inutile pour une symbiose optimale ; on ne saurait en retrancher un seul sans nuire au parfait fonctionnement de l’ensemble.


Citations :


« La peur et les théories erronées détournent les hommes de la nature et de la physiologie, et leur font faire beaucoup de choses absurdes et nocives. Les indications de la nature sont le guide véritable dans la recherche de la santé. Des théories éphémères, nommées à tort science, causent souvent beaucoup de tort. » - Dr. Herbert M. Shelton


« Une opération chirurgicale est plus spectaculaire que d’enseigner aux gens comment vivre pour éviter les maladies chroniques et la chirurgie. » Dr. John H. Tilden


« Dans notre organisme, chaque organe joue un rôle précis en association avec les autres. Leur interdépendance et les subtils équilibres qui sont réalisés entre eux font que rien ne peut être rajouté ou retranché à la « machine organique » pour qu’elle fonctionne mieux. La localisation et le volume de chaque organe sont strictement déterminés par rapport aux autres, et leur fonctionnement individuel est accordé afin qu’en tant que tout, ils puissent fonctionner harmonieusement. » - Christopher Vasey


« Jusqu’à ce que l’homme puisse reproduire un brin d’herbe, la Nature peut rire de ses prétendues connaissances scientifiques. » - Thomas Edison


« Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » - Hippocrate

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