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Épidémies et contagion

Les épidémies et la contagion du point de vue de l’hygiénisme, de la naturopathie orthodoxe et de la bioélectronique.


Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c'est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 8 milliards d’êtres humains sur Terre, il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.


Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agro-alimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chers marionnettes politiques et médiatiques.



Non, le Créateur n’a pas inventé les microbes pour nous faire du mal ou nous tuer. Contrairement à ce que pensait Louis Pasteur, les méchants virus et autres germes ne sont que des contes de fée pour effrayer des enfants de 6 ans. La Nature est bien plus subtile que ça…


La présence de micro-organismes fabriqués par nos propres microzymas, signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe par exemple signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année, c’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, chaleur, diète, jeûne, fièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l'enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.


Les causes des “épidémies” sont souvent multifactorielles :


  • Environnement pollué : air, eau, aliments, électromagnétisme, radioactivité, etc.

  • Information microzymienne et cellulaire perturbées.

  • Hygiène de vie déplorable : misère, famine, peur, détresse affective, stress de promiscuité, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique).

  • Modification du terrain et de ses paramètres bioélectroniques.

  • Influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques, températures*.

  • Causes iatrogènes : vaccins, antibiotiques, cortisone, etc. => dégradation du terrain => toxémie => “maladie” (symptôme).


*Selon une étude publiée dans The Lancet portant sur 75 millions de décès entre 1985 et 2012, le froid cause 17 fois plus de morts que la chaleur, sans que les températures n'aient besoin d'être extrêmes.


« 9% des décès dans le monde sont imputables à la température (soit : 5.157.000). » - Tiina Ikäheimo, spécialiste ne médecine environnementale, Université d’Oulu.



En rouge les décès annuels dus à la chaleur, en bleu à cause du froid.


Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :


  • Iatrogène (vaccins : oxydation, molécules toxiques. Aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives, nuit à l’action de vitamines et de minéraux).

  • Carences, famine, peur, épuisement, stress oxydatif (guerre).

  • Hygiène déficiente, insalubrité (encrassement).

  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).


« De tout temps, des armées entières furent décimées par des « épidémies » qui n’étaient rien d’autre que le scorbut, c'est-à-dire une carence aigüe en vitamine C. » - Dr. Gilbert H. Crussol


« En réalité, l’aspirine tue 12.000 personnes par an, rien qu’aux Etats-Unis, à la suite d’hémorragies digestives. » - Dr. Georges Mouton


WC utilisé par quatorze familles. (The Women's Municipal League of Boston Bulletin, vol. VII, n° 3, février 1916, p. 32). Source : https://dissolvingillusions.com/


Les épidémies de peste et le choléra se sont éteintes à partir du moment où il y a eu adduction d’eau potable, systèmes d'égouttages enterrés (émanations toxiques) et que les conditions d’hygiène se sont améliorées. La fumée des feux de cuisine, des poêles à charbon et l'éclairage à l'huile à l’intérieur des habitations était également une source majeure de pollution atmosphérique et d’intoxication dans le monde en développement.


Dans cette période, les cordonnées bioélectroniques du terrain biologique situées en zone 4 du bioélectronigramme Vincent se sont déportées. Malheureusement, elles se sont déportées en zones oxydées, qui sont entre autres les zones des maladies dégénératives, du développement viral et du cancer. La cause de cette modification vient du fait que l’eau d’adduction est oxydée par son traitement et les produits chimiques qu’elle contient (chlore, fluor, pesticides, médicaments, etc.). Mais aussi, du fait de la généralisation de la vaccination qui est suroxydante à cause des adjuvants toxiques qui y sont contenus. (Voir graphique ci-dessous).


La seule cortisone a pour effet d’effondrer l’immunité et de favoriser le développement viral.

Arrêtons de masquer nos symptômes avec des médications chimiques qui entraveront les processus homéostasiques de détoxification, car cela entraînera une modification morbide de notre terrain et finira par aggraver les choses. Les médicaments aboutissent à la destruction de la capacité du corps de se défendre. Quand on détruit les capacités du corps de déclencher et de conduire des maladies spécifiques, on hâte les maladies de dégénérescence et la mort !


Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.


La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.


Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.


Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C'est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.


Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.


Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.


Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 - rH2 : 22 - rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.


Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l'hygiénisme et la vraie naturopathie.


Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelle induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.


Que se passe-t-il lorsqu’une eau dégénère ?


Les paramètres bioélectroniques se modifient : Le pH augmente, le rH2 augmente, rô diminue jusqu’à un certain stade. Au-delà, le pH continue à augmenter, rô continue à diminuer, le rH2 fléchi brusquement, à ce moment-là, apparaît dans l’eau des formes microbiennes (endogenèse microbienne), autrement dit, il y a une latence de vie qui est incluse dans la structure de l’eau (microzymas). Cette latence de vie se manifeste ou ne se manifeste pas, cela dépend tout simplement des circonstances extérieures. N’oublions pas que nous sommes composés à 70% d’eau…


Les microzymas peuvent transmettre des informations qui permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance et d’éliminer la toxémie. Les humeurs dans lesquelles ils baignent sont le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniques, électromagnétiques et émotionnelles…


Il n'existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n'est qu'un banal service d'éboueurs pour l'évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.


En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…


L’ignorance est mère de tous les maux. - Rabelais

“Pour rappel, les infections ne sont pas dues à des microbes comme on le croit naïvement, mais à la morbidité du terrain psycho-organique dans lequel ils évoluent. Un mental infectieux infecte le soma, le soma infectieux donne naissance à des microbes spécifiques, c'est-à-dire propre à la nature et à l’importance de ces états infectieux. C’est ce qu’on appelle le polymorphisme, la mutation du microbe en fonction du milieu dans lequel il se développe. C’est le marécage qui fait le moustique et non l’inverse. C’est le terrain malsain qui fait le microbe. Le microbe est un ami, un éboueur qui se nourrit de nos déchets. Il nous aide donc à nous épurer. Avec des antibiotiques on ne corrige pas la morbidité du terrain qui est la vraie cause des infections, au contraire on l’aggrave ! Ce n’est pas l’allopathie qui a permis d’éliminer les grandes épidémies dites infectieuses mais l’hygiène et les conditions améliorées de vie, de travail, de salaire, de transport, d’habitat, etc. Les épidémies ne frappent que des individus de groupes ayant les mêmes comportements mentaux, alimentaires et existentiels." – Pr. Grégoire Jauvais


"De toutes les épidémies, la soi-disant maladie épidémique ne représente qu’un ensemble donné des symptômes affichés par le malade." - Herbert Shelton


“La potentialité contagieuse ne se passe pas au niveau de la matière, mais au niveau de la vibration. L’élément qui a le plus d’impact sur notre organisme ce sont nos pensées, notre psychisme, notre conditionnement, nos croyances, notre état émotionnel, nos peurs, cela nous apporte les mauvaises ondes vibratoires ou niveau du génome et modifie un certain nombre d’informations. La peur contribue à effondrer notre immunité. Notre immunité est un facteur d’informations. Il faut augmenter positivement nos champs vibratoires.” (Voire : Les 9 paramètres de la santé intégrale.) - Dr. Hugues Holleville


« Un être organisé est un être vivant végétal, animal ou humain, doué d’une organisation qui dépasse tout entendement humain… Il n’y a pas de contagion sur un être organisé. Le vaccin désorganise l’individu vacciné, en particulier par le fait de l’empoisonnement provoqué par le prétendu « adjuvant de l’immunité ». Mais il peut y avoir transmission d’information ou mimétisme. Antoine Béchamp est le premier à parler de la possibilité d’une contagion par les germes et corpuscules (molécules) vibrants de l’air… mais seulement pour les matériaux non « organisés. » … Les microzymas qui constituent les microbes peuvent transmettre, dans certains cas, des informations. Elles permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance. Ensuite, ces microzymas repartiront... Il n’y a jamais de multiplication de germes, de bactéries ou de prétendus virus à l’intérieur de notre corps qui viendraient de l’extérieur, cela Béchamp a démontré que c’est strictement impossible ! » - Dr. Alain Scohy


“Les pollutions (atmosphérique, électromagnétique, vaccinale et chimique) conduisent aux pandémies virales, aux cancers, puis à la mort. Le contraire, c’est la vie.” - Jean-Yves Rousseaux, bioélectronique


« Les épidémies peuvent revenir avec les pollutions. » - Pr. Louis-Claude Vincent, 1976


“C’est Pasteur qui a lancé la théorie microbienne telle qu’elle est connue de nos jours. Mais c’est aussi Pasteur, le même Pasteur, qui avait dit sur son lit de mort : “C’est Claude (Bernard) qui a raison : le microbe n’est rien le terrain est tout.” C’est ainsi que Pasteur avait, à la dernière minute de sa vie et d’un seul coup, reconnu la nullité de tous ses travaux sur les microbes. “Ses expériences dans ce domaine avaient toutes échoué,” écrit le Dr. H. M. Shelton, mais les fabricants de vaccins, qui sont tous des hommes d’affaires avisés, ont présenté ces expériences comme des succès. Nous ne nions pas l’existence des microbes et des virus. Mais si un microbe particulier est censé être la cause spécifique de la maladie, il devrait toujours la causer. Or on rencontre le microbe dans la santé comme dans la maladie. On ne peut donc pas le considérer comme la cause.” - Albert Mosséri


"La vie sobre met à l'abri des épidémies ou tout du moins atténue l'imminence du danger, les intempérants étant en cas d'épidémie atteints les premiers." - Dr. Paul Carton


« Lorsqu’on parle de maladies épidémiques et contagieuses, il faut tenir compte de toutes les circonstances qui affectent, simultanément, l’ensemble des populations touchées par ces troubles de santé. Les épidémies sont dues à une altération généralisée du terrain, des résistances individuelles et collectives à cause de conditions biologiquement défavorables : habitat malsain, alimentation incorrecte (carencée ou surabondante ou déséquilibrée), empoisonnement par des agents divers, soins inadéquats, conditions de travail inhumaines, dérèglements psychologiques, conditions météorologiques encore mal déterminées. Les effets de la peur sont souvent déterminants. Le seul vrai remède consiste à rechercher et corriger les causes. La plupart des maladies dont souffre l’humanité sont dues aux traitements médicaux qu’elle subit. Beaucoup de nos maux sont iatrogènes et les microbes et virus sont, bien à tort, mis en cause. » – Dr. André Passebecq, extrait du livre : Cours de Psychosomatique Naturelle.


“En réalité, dans le cas des maladies, ni dans l’organisme malade ni dans les fluides corporels n’a jamais été vu ou isolé une quelconque structure que vous pourriez caractériser comme un virus. La proposition qu’il y a un quelconque virus fabriquant une maladie quelconque est clairement une escroquerie, un mensonge mortel avec des conséquences dramatiques.” - Dr. Stefan Lanka, virologue et docteur en biologie moléculaire


"Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes (exosomes) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. Pour étayer ces affirmations, nous citons des dizaines de scientifiques de renom, parmi lesquels les lauréats du prix Nobel Kary Mullis, Barbara McClintock, Walter Gilbert, Sir Frank Macfarlane Burnet et le microbiologiste et lauréat du prix Pulitzer René Dubos. Nous présentons dans notre ouvrage environ 1.100 références scientifiques pertinentes, dont la plupart ont été publiés récemment." - Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania : Comment l'industrie médicale invente continuellement les épidémies.


Deux cellules se transmettant de l'information à l'aide d'exosomes.

Exosomes = débris cellulaires = virus = microzymas ?


« Les exosomes sont le produit de dégradation de cellules endommagées et mourantes. » - Dr. Andrew Kaufman


« Le virus est un exosome dans tous les sens du terme. Les exosomes sont totalement indissociables de ce que les virologues appellent les ‘virus’. » - Dr. James Hildreth, immunologiste, PDG du Maharry Medical College.


« La fonction bactérienne et fermentative est exclusivement remplie par des granulations micrococciques libres et mobiles qui, chez les animaux, sont les coccis colibacillaires du sang (microzymas de Béchamp). Ces microzymas pénètrent évidemment dans les cellules et y exercent leur action, mais n’y restent pas ; elles en sortent avec les liquides secrétés par la cellule. » - Dr. Jules Tissot


« Les exosomes sont probablement ce que Béchamp appelait les « microzymas » et Gaston Naessens les « somatides ». Les chercheurs disent que les exosomes sont indissociables des virus parce qu’ils ont la même dimension, la même structure, la même fonction. Il n’existe aucune méthodologie aujourd’hui pour différencier les deux. Comme nous savons que les virus n’existent pas, la seule chose qui existe sont les exosomes. » – Dr. Stefano Scoglio, microbiologiste


« Quant à la contagion, que nous pouvons considérer comme un processus infantile d’’imitation’ (Rudolph Steiner), elle ne concerne que les êtres ayant une vulnérabilité comme, les mêmes carences, les mêmes conflits, les mêmes peurs, sinon personne n’aurait jamais survécu à une épidémie. » - Dr. Éric Ancelet


« On sait aujourd’hui que la vaccination antivariolique a causé plus de cas de variole que les épidémies elles-mêmes et qu’elle a favorisé la tuberculose. Autrement dit, la pratique de cette vaccination a permis de créer des foyers d’épidémie, alors même que la maladie était en constante régression par un ordre naturel des choses. » - Dr. Louis De Brouwer


« Personne dans l’histoire n’a jamais provoqué de maladie chez une personne ou un animal en y introduisant une bactérie pure et isolée ou un soi-disant virus. » - Dr. Thomas Cowan


« Il est à remarquer que les effroyables épidémies ont sévi justement lorsque l’alimentation était la moins diversifiées, la plus déséquilibrée. En effet, la surcharge en farineux entraîne une augmentation des fermentescences intestinales, point de départ des infections. La carence en protéines essentielles produit une insuffisance quantitative et qualitative des anticorps et leucocytes. Une alimentation chargée en glucides et réduite en protéines essentielles était, avec le manque d’eau (potable), l’insuffisance d’aération et d’ensoleillement des maisons, les conditions essentielles des épidémies du passé. » - Robert Masson


« Aucun virus n’a jamais été isolé selon le Gold Standard (test de référence). […] L’humanité n’a jamais été capable de trouver les micro-organismes pathogènes. Les micro-organismes sont produits dans nos corps à partir de nos propres particules, les microzymas. Nous ne pouvons pas les transmettre à un autre organisme, c’est impossible. La thèse microbienne est une imposture. » - Dr. Valentina Kiseleva


« Lorsque notre genre humain fut créé, une puissance, que nous pouvons nommer Dieu ou Nature, a mis sur la Terre tout ce qu’il faut pour assurer notre existence, notre vie et notre santé. Si tel n’était point le cas, nous n’existerions pas. Or, nous sommes. » - Dr. Catherine Kousmine


« Toute la psychose et tout ce qu’on raconte sur la contamination épidémique ne tient sur rien, il n’y a rien qui le justifie en terme de statistiques aujourd’hui. » – Pierre Chaillot, statisticien, Comité Scientifique Indépendant.


« La grande variation des ondes cosmiques explique la difficulté de maintenir l’équilibre cellulaire des êtres vivants, soit la santé. » - Dr. Georges Lakhovsky


« Depuis trois quarts de siècle quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur et qu’on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux, en même temps qu’ils mettaient un obstacle aux progrès de la biologie et de la physiologie générales en ce qui concerne de nombreux points de la plus haute importance pour ces deux branche de la science.


Ces quatre dogmes faux sont :

  1. Le dogme de la panspermie atmosphérique.

  2. Le dogme de l’asepsie des organismes vivants.

  3. Le dogme du monomorphisme bactérien.

  4. Le dogme de la contagion. » - Dr. Jules Tissot


Toutes les maladies épidémiques sont des intoxications chez des individus atteints d'énervation et de toxémie avancée.

Anecdotes :


De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19ème et au 20ème siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.


On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie ne s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.


Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.


Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n'a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop's Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d'une centaine d'hommes à l'hôpital public, et personne n'a contracté la grippe.


Pettenkofer (épidémiologiste) n'hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d'infection. Ses étudiants, qui l'imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).


A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA - Albert Mosséri, Editions Aquarius).


Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre, le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l'hypothèse de l'intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).


Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s'inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n'était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur "ignorant" n'avait pas peur car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !


En 2001, l'astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d'activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.


Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude

expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow - Arthur Firstenberg).


Le rhume et ses séquelles dont la rhinite, la pharyngite, la laryngite, la bronchite, la grippe et la pneumonie ne sont pas contagieux, mais sont dus à une perturbation de la réserve ou de l'équilibre alcalin (équilibre acido-basique). J'ai pu réfuter cela par des expériences sur un certain nombre de personnes indemnes de rhume en essayant de leur inoculer les sécrétions d'un individu atteint d'un rhume aigu. J'ai choisi le moment où les sécrétions étaient les plus abondantes pour mes inoculations. Dans aucun cas, un rhume n'a été contracté. (Source : Étiologie, prévention et traitement du « rhume » Volney S. Cheney, M. D., Fellow A. P. H. A.)


Aucune expérience physique réelle au monde n’a jamais été capable de prouver que des virus provoquaient des maladies ou la contagion.

Articles complémentaires :



En cas d’urgence ou lorsque le pronostic vital est engagé, consultez un médecin.

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