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Nos amis les microbes

Article naturo-hygiéniste


Pourquoi les naturopathes et les hygiénistes n’utilisent pas d’antibiotiques ?


Les microbes du point de vue hygiéniste et naturopathique


L'hygiénisme ne considérera jamais un virus ou une bactérie comme étant un méchant agresseur. La notion de méchant agresseur n'a pas lieu d'être. Le corps permet la prolifération d'un virus, d'une bactérie, d'une levure, d'un champignon, etc. uniquement car cela va dans le sens du rétablissement de son équilibre (homéostasie) ! C'est ce que Antoine Béchamp et Claude Bernard souhaitaient démontrer, contrairement à Louis Pasteur qui considérait le microbe ou le virus responsable de la maladie, ce qui a permis aux industriels de fabriquer les vaccins et les antibiotiques (la belle affaire !). Malheureusement, il semblerait que la médecine allopathique actuelle soit basée sur ce constat fallacieux.


Les virus, s'ils existent, sont souvent cités comme étant la causes de maladies, ce sont en fait des déblayeurs de terrain, des porteurs d'informations utiles à l'organisme. Ils sont accusés de tous les maux car ils rapportent des sommes considérables aux multinationales pharmaceutiques par la vente de médicaments chargés de les contrer. Enfin, il existe d'autres facteurs de “maladies” ou de santé qui sont cités dans l'article : Les 9 points de la santé ou de la maladie.


Théorie de Pasteur :


  • Chimiste

L'homme est stérile. Les virus, les bactéries, les levures, les champignons (microbes) sont des nuisibles. Il a fait croire à la majorité des gens du Monde qu’il existait des microbes pathogènes, alors qu’il n’existe en fait que des microbes saprophytes dominés par leur processus de nutrition.


Création des pesticides, des antibiotiques et des vaccins… C'est la guerre du vivant.


Il a avoué un peu tard sur son lit de mort à Claude Bernard :


Le germe n'est rien, le terrain est tout.

Louis Pasteur n’a absolument RIEN découvert dans sa carrière, si ce n’est le pouvoir du marketing bien rodé et les bonnes relations.


Deux hommes, deux théories


Théorie d'Antoine Béchamp 1816-1908 :


Véritable savant et grand scientifique,

  • Agrégé en pharmacie

  • Licencié en sciences physiques

  • Docteur en sciences physiques

  • Docteur en médecine

  • Pr. de chimie médicale

  • Pr. de physique et de toxicologie

  • Pr. de chimie organique et de biologique


Antoine Béchamp est le contemporain de Pasteur. Deux hommes que tout aurait pu rapprocher et qui ont développé des théories totalement inverses. Les formes microbiennes sont en nous, elles font parties de nous, elles sont nous, elles vont varier en fonction de l'état du terrain (état intérieur du corps) et des besoins de l’organisme. La fonction des microbes peut être modifiée par le déséquilibre du terrain. Les micro-organismes intracellulaires construisent et assistent les processus métaboliques du corps.


Antoine Béchamp et Claude Bernard sont les précurseurs de la pensée hygiéniste.


50 ans plus tard, voilà la remise en question totale du dogme pasteurien. Avec son microbiote, on découvre que l'homme est essentiellement microbien. 130.000 milliards de bactéries évoluent symbiotiquement avec nous, plus de 1.000 souches différentes, cela représente pas loin de 2 kilogrammes de matière (pour seulement 37.000 milliards de cellules pour un homme moyen, selon une nouvelle compilation de données de 1.500 sources en 2023) qui sont en équilibre (symbiose) selon la loi de l'homéostasie.


La bouche contient à elle seule 10 milliards de germes, la peau 1 million par cm². Le corps d'un homme adulte sain abriterait plus de 3.000 milliards de virus… plus de 8 % du génome humain dérivent de rétrovirus. Tout le monde héberge des levures et des champignons. Plus de 30 souches de champignons sont présentes chez la plupart des gens.


Les microbes appartiennent aux 3 règnes :


  1. Le règne animal : les parasites.

  2. Le règne végétal : les bactéries (algues) et levures (champignons).

  3. Le règne minéral : les virus (pas de noyau, pas de cytoplasme, pas métabolisme propre).


Des microbes essentiels au fonctionnement de l'humain, immunitaire, digestif, cognitif, psychologique… La vie n’est possible que grâce aux micro-organismes, reliés symbiotiquement aux autres êtres vivants et à l’homme en particulier.


Véritable cause du microbisme


Depuis PASTEUR, ceux qui vendent des vaccins et des antibiotiques, notamment, on fait croire et continuent de faire croire au grand public, ignorant de bonne foi, que le microbe d’origine externe est la cause des maladies infectieuses, des plus bénignes aux plus graves, et que pour s’en protéger il faut se faire vacciner et qu’en cas d’infections déclarées il faut recourir aux antibiotiques, voire aux « antiviraux » (?).


La vérité est tout autre : le réservoir à microbe (virus, bactéries, etc.) est l’intestin de l’homme lui-même. Les microbes que l’on trouve dans l’organisme humain ne sont pas la cause mais l’effet des maladies. Ils prennent naissance au sein des matières en fermentation et en putréfaction, qui stagnent dans l’intestin de ceux qui ne vidangent pas leur moteur intestinal tous les jours, avec 3 grosses selles. Ces microbes ne prolifèrent que sur des terrains organiques dévitalisés, qui vibrent à leur diapason.


En fait, il n’existe pas de microbes « pathogènes » mais seulement des terrains organiques altérés par la mauvaise hygiène interne des malades. C’est ce terrain altéré qui est étio-morbido-pathogène (infectieux), c’est-à-dire cause du microbisme.


Le microbe, lui, n’est dominé que par son trophisme. Il ne dévore que les terrains morbides (malsains, pollués, intoxiqués, dévitalisés). En fait, c’est un éboueur, un mangeur de crasses humorales et tissulaires. Il nettoie le terrain. Il est heureux que les antibiotiques ne soient que des bactériostatiques, des substances qui paralysent l’activité des microbes, car s’ils étaient vraiment antibiotiques ils provoqueraient une lyse microbienne qui aurait pour effet de libérer, dans les liquides humoraux, les toxines microbiennes aux effets secondaires redoutables à cause de leur extrême toxicité.


Le microbe n’est pas la cause de l’infection. Le microbe n’est qu’un effet, un opportuniste. C’est la maladie, la morbidité du terrain organique qui fait le microbe, comme c’est la mort qui fait les vers de cadavres, comme c’est le marécage qui fait les moustiques. Les poubelles remplies attirent les mouches et les asticots, en vidant les ordures, les mouches et les asticots disparaissent. On peut dire que nos maladies infectieuses sont microbiennes (ou virales) mais qu’aucune n’est d’origine microbienne (ou virale).


“Lutter contre un microbe ou un virus (effet), c’est vouloir arrêter un homme en marchant sur son ombre.” - P-V. MARCHESSEAU, Biologiste.


Le microbe n’est pas la cause de la maladie infectieuse. Celle-ci doit être recherchée essentiellement dans la nutrition anti-spécifique et dénaturée qui a permis au microbe de s’installer et de proliférer. Toute vraie médecine doit viser à corriger le terrain (psycho-organique) en corrigeant, à la fois, les distorsions mentales (sentiments négatifs habituels) et les distorsions nutrimentaires et comportementales.


« Si la théorie microbienne était exacte, écrit le Docteur SCHWING cité par le Biologiste P.V . MARCHESSEAU, que devrait-il arriver à la mort du malade ? Les globules blancs, les défenseurs de la place étant foudroyés, les microbes ne trouvant plus d’obstacle devant eux devraient pulluler et remplir tout l’organisme. Or, il n’en est rien. C’est même le contraire qui a lieu. Aussitôt le malade mort, les microbes diminuent et disparaissent totalement. Et celui qui examine le cadavre voit apparaître, à leur place, d’autres microbes, ceux de la putréfaction. Et, fait bien décisif, ces nouveaux microbes, substitués aux premiers, n’ont pas été introduit du dehors : ils s’y sont produits d’eux-mêmes, rien que parce que le milieu (intérieur ou humoral) a changé. Ce qui prouve que c’est uniquement le milieu qui fait le microbe, et non pas le microbe qui fait le milieu. À tout moment, dans l’intérieur de l’économie, dans les organes, spontanément, il peut se produire des microbes par autogène, aux dépens du plasma et de ses granulations.


Les microbes, quelle qu’en soit la forme, ne sont pas autre chose que des éléments histologiques. Ce sont de vraies cellules, libres, indépendantes, souvent mobiles. Cette ridicule théorie d’après laquelle le microbe serait la pièce maîtresse, la cheville ouvrière, la cause initiale et indispensable, sine qua non, dans la genèse et le développement des maladies infectieuses, n’a que trop duré ! C’est une mauvaise plaisanterie. C’est le contre-pied des faits, un défi au bon sens. C’est le monde à l’envers. Autant dire que l’enfant crée le père ».


Pourtant PASTEUR, l’inventeur de la théorie des microbes exogènes cause des maladies infectieuses, aurait bien dit au Professeur RENON qui le veillait durant sa dernière maladie :

“RENON, c’est BERNARD (Claude BERNARD) qui avait raison” :


“Le germe microbien n’est rien. C’est le terrain organique qui est tout !”


Que n’a-t-on suivi PASTEUR dans cette idée aussi ?


Microbes, bactéries, processus inflammatoire et antibiotiques :


Lorsque notre seuil de tolérance toxémique est dépassé, nous créons une maladie aigue, c’est à dire une crise de guérison éliminatrice et salvatrice pénible à supporter, on dit comme nous sommes malades. Les bactéries nettoient alors notre terrain des déchets qui s’y trouvent, ces sont des déblayeurs de crassent humorales. Les toxines produites par ce nettoyage et le métabolisme des bactéries provoquent une inflammation plus ou moins importante selon les individus malades, leur terrain, leur force vitale, leur capacité émonctorielle et le nombre de bactéries en action.


Cette inflammation ainsi que les tentatives d’autonettoyage du corps font que l’on se sent mal et fatigué, car notre énergie vitale est dirigée vers le système immunitaire. Ce ne sont pas les microbes qui provoquent ces malaises mais leurs excrétions toxiques. Nous sommes en permanence rempli de microbes et pourtant nous nous sentons bien la plupart du temps. Parce que le processus inflammatoire régulateur homéostasique n’est pas déclenché lorsque nous sommes en équilibre avec la génération et l’élimination de nos déchets métaboliques endogènes et exogènes.


Lorsqu’on prend des antibiotiques, on tue les bactéries. Elles arrêtent alors d’excréter leurs déchets provenant de leur travail de nettoyage et donc notre inflammation disparait, on se sent mieux, mais le travail n’est pas terminé. Le processus de guérison déclenché par la force vitale homéostasique et la réaction somatique s’est arrêté… ! Prendre des antibiotiques interrompt la guérison. Une nouvelle crise d’élimination appelée ‘maladie aigue’ sera alors entreprise tôt ou tard ou elle débouchera sur une maladie chronique plus grave par accumulation humorale de déchets non-éliminés. Notre système immunitaire s’affaibli par la prise d’antibiotiques délétères pour notre microbiote qui représente jusqu’à 80% de notre immunité.


Citations :


« La doctrine du microbisme est dangereuse, elle fait perdre le point de vue étiologique des maladies, elle place le danger hors de nous, tandis qu’il est en nous. » - Pr. A. Béchamp


« La crainte des responsabilités conduit trop souvent l’être humain à s’en remettre entièrement à d’autres pour l’entretien de sa santé. Comme, d’autre part, il n’admet que des agents extérieurs à l’origine de la maladie, jamais il n’envisage de modifier quoi que ce soit dans son comportement. C’est seulement d’un médicament, d’une opération qu’il attend le retour à un état apparemment normal. » - Raymond DEXTREIT


« Virus et bactéries ne sont pas des ennemis mais des éboueurs et des femmes de ménage dont le rôle est extrêmement précieux pour notre équilibre. » - Dr. Christian Tal Schaller


« Il faut comprendre que plus on défie la nature et les lois naturelles, plus il va y avoir des réactions imprévisibles et incontrôlables. Quand vous faites une vaccination de masse, vous allez avoir une augmentation d’épidémie. Quand vous faites un traitement d’antibiotiques massif, vous sélectionnez des souches résistantes et vous favorisez l’émergence de microbes qui ont une plus grande virulence et qu’on comprend moins bien parce qu’ils sont nouveaux. Ils ont été sélectionnés à cause des produits chimiques que l’on met dans la nature. » – Cyrinne Ben Mamou, PhD. Biologiste et docteur en neurosciences


« La vie de l’individu, de sa naissance à sa mort souvent accélérée, se place sous le symbole de la lutte à outrance contre les microbes, préventivement d’abord dans les premières années de sa vie par l’administration d’un nombre incroyable de vaccins, curativement ensuite par l’absorption de doses impensables de médicaments destinés à compenser les conséquences des dégâts occasionnés par ces vaccins et le mode de vie anormal qui s’en est suivi.


Durant la maladie, de nombreuses excrétions sont amplifiées au niveau cellulaire. Il n’est pas étonnant alors que les microbes s’y multiplient pour accomplir la tâche qui est la leur, celle de nécrophages qui se nourrissent de ces excrétions, en les transformant et en les faisant disparaître. » - Pr. Désiré Mérien


« Nous n'avons pas besoin de vivre dans la crainte des lois naturelles et des créatures qui la font respecter. Nous devons seulement apprendre comment œuvre la nature. Les parasites ne créent pas ou ne provoquent pas de maladies, ce ne sont que des charognards. Maintenez votre corps pur, libre de tout mucus et impureté. Souvenez-vous que les parasites ne représentent que l’effet et non la cause. Ils ne se développent qu’en présence de toxicité et de mucus, car cela constitue leur source de nourriture. » - Dr. Robert Morse


« Les microbes sont en fait des agents utiles, indispensables même à la vie terrestre. Deux raisons peuvent être avancées :

  1. Les microbes décomposent les matières organiques mortes ou en voie de dégénérescence.

  2. Les microbes perpétuent le cycle des différents minéraux dans la nature.

Sans microbes, la vie terrestre aurait disparu depuis longtemps, et même n’aurait probablement jamais existé… » - Dr. André Passebecq


« Les bactéries, bacilles et autres microchampignons comme le candida albicans sont endogènes. Ce ne sont pas des ennemis venant de l'extérieur. Les épidémies s'expliquent par la psychosomatique. La théorie de la guerre bactériologique ou virale est totalement gratuite et sans aucun fondement scientifique. C'est comme si l'on affirmait que le fumier est fabriqué par les mouches qui tournent autour. Ce que nous prenons pour des virus, sont en fait nos propres microzymas qui bâtissent normalement nos organes, nos cellules et l’ensemble de notre corps et ce ne sont absolument pas des agresseurs, on peut donc sortir complètement de la guerre virale. Il n’y a strictement jamais de bactéries, s’il n’y a pas un processus de guérison en route à l‘intérieur de l’organisme. Il faut complètement sortir de la peur des virus et des bactéries et entrer dans l'amour. Il n'y a pas de guerre virale ou bactériologique, le Créateur est bienveillant ! Il faut retrouver la rigueur scientifique du Pr. Antoine Béchamp ! » – Dr. Alain Scohy


« Les microbes ne sont pas la cause de la maladie mais son effet. » - Dr. Ryke Hamer


« Les champignons, les mycobactéries, les bactéries et les virus sont des alliés qui doivent être aidés et non des ennemis à combattre. Ce n'est que dans les cas extrêmement graves qu'il faudra agir pour diminuer l'ampleur de leur action. » - Pierre Pellizzari, réflexologue, naturopathe, Médecine Nouvelle de Hamer.


« Les microbes sont à la base de toutes les structures vivantes (il est aujourd’hui reconnu que nous renfermons plus de bactéries que de cellules), et ils ne demandent qu'à vivre en harmonie, pour le bénéfice de tous les écosystèmes, de toute la biosphère. Les charger de tous nos maux, prétendre qu'ils sont programmés pour nous détruire, et chercher à les exterminer sont d'une incommensurable absurdité, qui nous conduit à altérer et à dégrader de façon irréversible les structures intimes de la nature humaine, que nous léguons à notre descendance. Les microbes rencontrés dans les maladies ne sont pas leur cause, mais ils sont produits par le terrain déséquilibré du malade. » - Pr. André Fougerousse


« Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes (exosomes) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. » - Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania


« Les microbes sont nos amis qui nous aident dans nos fonctions physiologiques. Ils ne sont pas la cause de la maladie, ils sont l’agent de la maladie. » - Dr. Olivier Soulier


« Les virus ne nuisent pas à l’organisme hôte, ils ont plutôt une fonction de support dans l’interaction des cellules, ils jouent un rôle de soutien. Les virus sont des composants essentiels des formes de vie simples. Ils n’existent pas dans un organisme complexe tels que les humains, les animaux ou les plantes. » - Dr. Stefan Lanka, virologue & biologiste moléculaire.


« Les germes ne peuvent être la cause des maladies, car on trouve des germes de maladie dans des corps en bonne santé ». – Dr. Henry Lindlahr


« On cherche fébrilement le microbe ou le gène responsable, mais il est clair que ce n’est pas d’une agression extérieure dont nous sommes victimes, pas plus que d’une fatalité génétique, mais d’un processus morbide généré en chacun de nous par altération profonde de notre personnalité biologique. La maladie infectieuse, la mutation du gène, ne sont pas la cause, mais la conséquence de cette altération. » - Dr. Éric Ancelet


« Ceux qui prônent la peur des germes aujourd’hui sont les enfants spirituels de ceux qui prônaient la peur de Dieu, du diable, de l’enfer, du paradis dans le passé. Ils ne savent pas que la peur qu’ils inculquent est plus à redouter que ce contre quoi ils nous mettent en garde. La peur fait mille fois plus de ravages que toute autre cause de toxémie. » - Dr. John H. Tilden


« Les microbes se développent uniquement sur un terrain organique déficient, ils sont détruis lorsque ce terrain est ramené à la norme. » - Christopher Vasey


« Pasteur en orientant la médecine moderne vers la recherche d’antibiotiques de plus en plus actifs a rendu un très mauvais service à l’humanité ; ainsi l’attention des thérapeutes a été détournée de la voie normale qui était la recherche des meilleurs moyens de maintenir un terrain physiologiquement sain et de le reconstituer lorsqu’il avait été déséquilibré par une vie anormale, tant physique que psychique. » - Dr. Edouard Bertholet


« C’est seulement aujourd’hui que les hommes commencent à comprendre que les bactéries sont normales et nécessaires au corps humain et que la santé ne consiste pas à détruire des micro-organismes mais à restaurer les communautés microbiennes appropriées. » - Lynn Margulis et Dorion Sagan, l’Univers Bactériel


« Après que les cellules ont été endommagées par des déchets toxiques, il est facile pour les éboueurs que sont les bactéries d’attaquer et de dévorer les cellules affaiblies, endommagées et mortes. » - Dr. Henry Bieler


« Lorsque par des antibiotiques on supprime la fièvre, on arrête, on bloque toute l’activité immunitaire ; on décapite l’infection mais en même temps on décapite le système immunitaire tout entier. Malheureusement la médecine en décapitant avec les antibiotiques, de la naissance à l’âge adulte, la quasi-totalité des infections a mis totalement hors-fonction le système immunitaire et a conduit à sa dégénérescence progressive.» - Robert Masson


Attention : En médecine d’urgence, dans le cas particulier d’une septicémie, ou lorsque le pronostic vital est engagé, l’usage d’antibiotiques est obligatoire. Il existe aussi des antibiotiques naturels issus de plantes, d'huiles essentielles, etc.


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