top of page

Fruits locaux & tropicaux

Par le Dr. Miguel Barthéléry

Beaucoup de discussions récurrentes sur la saisonnalité et la localité des fruits et des légumes…


La saisonnalité et la localité sont des vrais faux débats.

Tant que votre corps n'a pas comblé ses carences et n'est pas assez nettoyé, manger local et de saison ne suffira pas : votre corps vous DEMANDERA les fruits et les légumes dont il aura le plus besoin pour se nettoyer et régénérer. Considérez les fruits et les légumes comme des "alicaments".


De plus, nous sommes à la base des animaux tropicaux, et seuls les fruits tropicaux nous satisfont véritablement. On en mange moins et ils nous satisfont bien plus longtemps (Livre : La cure zen detox p. 141 à 143). Idéalement nous vivrions tous nus sous les tropiques à manger des mangues et des papayes…


Nous avons l’extrême privilège de vivre à une époque et dans un pays où toutes ces choses nous sont disponibles toute l'année… Ou alors nous migrerions vers le sud en hiver, comme nous l'avons fait durant des millénaires pour ceux qui se sont aventurés plus au Nord.


ÉVITONS donc de faire un BRAS D'HONNEUR à la Nature généreuse quand son abondance vient jusqu’à nous, et que nous n'avons plus à nous déplacer jusqu’à elle !


Notez bien : une mangue du Pérou qui nous vient par avion aura une empreinte carbone infiniment moins élevée que la viande venue du pré d'à côté, ou du blé du champs voisin, ou que la tomate de la ferme hydroponique (sic!) de la région (Même si, cette mangue aura du être cueillie avant maturité, les fruits tropicaux ont cette particularité avec certains fruits du "nord" de mûrir même une fois cueillis…)


Pour vous en convaincre, regarder le film documentaire : “COWSPIRACY”.


Pour les grands primates que nous sommes, les fruits arboricoles tropicaux (de véritables pièges à carbone) sont probablement les plus nourrissants pour nous parce qu’extrêmement riches en micro-nutriments dont nous avons besoin.


RELATIVISONS, donc et ne faisons pas du mieux l'ennemi du bien.


Dans un premier temps, mangeons les fruits et les légumes que nous PRÉFÉRONS et nettoyons nos humeurs. La saisonnalité viendra intuitivement toute seule, c'est promis !


L'alimentation n'est pas affaire du mental mais du corps !


bottom of page