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Les aliments à hautes et basses fréquences

Article alimentation humaine hygiéniste


Manger ne doit pas être un acte sans conscience, parce qu’on à « l’habitude », que c’est obligé, parfois on mange juste ce que l’on a sous la main, ou seulement ce qui nous fait plaisir, souvent aussi pour compenser un mal-être, sans se soucier de ce que ça nous apporte sur le plan nutritionnel ou vibratoire. Chaque aliment a aussi son énergie, et vous « rempli » ou vous « vide ». Certains aliments ont une fréquence négative ou très basse et nuisent donc à notre santé et bien-être. Il est impératif de prendre la décision d’adopter une alimentation « vivante » haute en énergie qui a gardé ses micronutriments et ses électrons.


Nos aliments contiennent la vie sous forme d’ondes vibratoires qui interfèrent avec nos propres vibrations. Nous les consommons tous les jours, ils sont issus de la terre et ils émettent un taux vibratoire qui est calculé en Angströms (A°). Selon André Simoneton, la radio-vitalité d'un organisme humain en bonne santé se situerait entre 6200 et 7000 Angströms. Pour une personne atteinte d'un cancer en général 4875 A°.


Ce taux vibratoire ou énergie électromagnétique définit deux catégories principales d’aliments en fonction de leur longueur d’onde par rapport à celle de l’organisme humain :


  1. Les aliments supérieurs, vivants à fréquences hautes.

  2. Les aliments « morts » à fréquences basses.


Leur classification a été établie selon quelques principes fondamentaux comme leur digestibilité et leur assimilation qui permettent notamment de stimuler l’énergie vitale et la régénération de l’organisme.


Les aliments à fréquences hautes


Ils possèdent un taux vibratoire supérieur à celui du corps humain c'est à dire entre 6.500 et 10.000 A°. Ce sont les aliments les plus sains et les plus riches en micronutriments, ce sont ceux que l'on consommera en priorité si on désire obtenir ou conserver une bonne santé.


Ce sont les aliments frais, vivants comme les fruits (8.000-10.000 A°) et légumes (8.000-9.000 A°) mûrs, biologiques, les graines germées, les protéines végétales, les noix, de bonnes huiles vierges extraites à froid, les légumes lactofermentés, les coquillages, le miel artisanal, etc.).


Les aliments à fréquences basses


Cette catégorie d’aliments est celle des aliments morts. Leur taux vibratoire est très bas, il porte la peur, la souffrance des animaux en fin de vie dans nos abattoirs. Consommer ces produits revient à injecter dans notre corps leur vibration.


Dans les aliments morts, nous trouvons le sucre blanc, les farines raffinées (1.500 A°), les conservateurs, pesticides, produits chimiques, fritures, aliments cuits, viandes cuites (0 A°), poissons, œufs, laitages (1.800 A°), les conserves, ainsi que tous les produits transformés par l’industrie. On citera ainsi les pizzas surgelées, surimi, charcuteries, les cubes de bouillon, les plats préparés, les sauces industrielles, les plats surgelés, etc. Et on peut également ajouter les colorants, l’édulcorant, les sodas, les boissons industrielles, le café, le thé, le chocolat, les drogues, l’alcool (Les overtoniens).


Ces aliments n’apportent pas d’énergie vitale à notre métabolisme. Ils demandent à notre corps beaucoup d’effort d’assimilation et d’élimination. Ils nous demandent de consommer plus d’énergie vibratoire pour les digérer qu’ils n’en apportent. Il faut à tout prix éviter leur consommation quotidienne, ils fatiguent l'organisme et finissent par l'encrasser sérieusement ce qui est le début de l'intoxication. Ce qui différencie la vie de la mort, c'est l'énergie.


Le médecin et diététicien suisse Bircher-Benner fait remarquer que l’énergie solaire est convertie grâce à la photosynthèse des plantes en un état d’ordre supérieur, puis y est stockée dans cet état, et que la qualité de cette énergie se dégrade par toutes sortes de processus physiques et chimiques tels le fait de se faner, la cuisson ou la transformation industrielle. Il en conclut que lorsque nous mangeons les plantes fraîches et crues, nous recevons, directement de notre nourriture, la plus haute forme d’énergie possible.



L’alimentation spécifique et non spécifique à l’espèce humaine en 4 catégories :


Spécifique :


1. Les aliment biogéniques (ils engendrent la vie) ce sont des aliments vivants à très hautes fréquences, comme : les graines germées ; les jeunes pousses à mettre dans les salades, dans les crudités. Les baies biologiques mûres fraîchement cueillies. Les aliments biogéniques sont des détoxifiants, ils luttent contre la toxémie et sont alcalinisants.


2. Les aliments bioactifs (qui activent la vie) ce sont des aliments vivants à hautes fréquences, comme : les fruits frais mûrs ; les noix (qu’on peut tremper, la digestion sera facilitée) ; les légumes frais ; les baies ; les herbes sauvages ; les céréales crues trempées, germées ; les algues ; les fruits de mer vivants ; les œufs crus bio.


La consommation d’aliments biogéniques et bioactifs apporte de l’énergie vitale et la santé à tout âge.


Non-spécifique :


3. Les aliments biostatiques (qui ralentissent la vie) ne favorisent pas la santé, comme : les œufs cuits, les viandes, les fruits de mer, les poissons, les ratatouilles, les soupes cuites, les produits laitiers. Ils assurent le fonctionnement minimum de l’organisme et entraînent le vieillissement de nos cellules, car ils n’apportent pas les substances vivantes nécessaires à leur régénération. Ces aliments sont acidifiants et laissent beaucoup de déchets dans notre organisme. Ces sont des aliments de compromis à limiter en quantité.


N.B. Les cuissons au barbecue, à la poêle, au four à micro-ondes et les fritures détruisent toute vitalité et sont à éviter au maximum.


4. Les aliments biocidiques (qui détruisent la vie) ce sont des aliments morts à très basses fréquences, ils n’ont aucun intérêt pour l’organisme, au contraire. Citons : le sel, le sucre, les aliments industriels, le café, le thé, l’alcool, le chocolat, les graisses cuites, les charcuteries, les additifs, le gluten, les céréales non germées, les substances chimiques, les aliments frits, grillés, irradiés, pasteurisés… Ces aliments ne possèdent plus de force de vie et sont très acidifiants. Ils empoisonnent peu à peu nos cellules par leurs substances nocives, ils épuisent ainsi notre énergie vitale et notre système de défense, ouvrant la porte à la toxémie et aux maladies dégénératives bien présentes à notre époque.


L’alimentation spécifique humaine se digère facilement et rapidement et ne produit pas ou très peu de déchets, elle économise ainsi l’énergie vitale précieuse qui sera dirigée pour l’élimination et la détoxification.


« L’alimentation a toujours été liée à la spiritualité et l’est toujours fort heureusement, car on ne se nourrit pas que de matière, mais également de l’énergie qui la constitue. C’est pour cette raison que l’aliment est béni, remercié, respecté, chez tous les peuples de la planète. » - Laurence Gallais, psychologue, naturopathe et bioélectronicienne.

« Aliments trop raffinés, souvent trop vieux, privés de facteurs vitaux, tels que farine et sucre blancs, absence de céréales à l’état de graines complète et vivantes, huiles extraites à chaud, surabondance de corps gras inadéquats, insuffisance de corps gras indispensables, excès de viande, abus de conserves, pauvretés des rations en légumes et fruits crus, qui nous apportent des vitamines, des minéraux et des fibres végétales indispensables à une fonction intestinale régulière et normale, telles sont les erreurs les plus courantes que nous commettons quotidiennement dans la composition de nos menus, qui toutes sont faciles à corriger. » - Dr. Catherine Kousmine


« Que ton aliment soit ta seule médecine ! » - Hippocrate


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