Blog dédié à l'hygiénisme et à la santé naturelle


"La connaissance est une force. La connaissance de
la santé donne de grands pouvoirs." - J.H.Tilden
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- Le lait d'Or
Nutrition, ayurvéda C’est une boisson ayurvédique épicée, nutritive, chaude et saine, composée uniquement de produits naturels. Très agréable en hiver et vite préparé, le lait d’or est réchauffant, réconfortant et convient très bien aux tempéraments neuro-arthritiques, aux personnes frileuses et sous-vitales. Recette : 1. Mettre l’ensemble des ingrédients dans le blender. Si votre appareil n’est pas très puissant, il est préférable de mixer les noix pour obtenir une poudre avant d’ajouter les autres ingrédients. 1 tasse de noix au choix : amandes, noisettes, cajous (de préférence), Grenoble… 1 c à c de cannelle moulue, 2 pincées de clou de girofle moulu, 2 pincées de noix de muscade moulue, 2 pincées de cardamome moulue, 1 pincée de poivre noir, 1 racine de curcuma, 1 bout de gingembre, 6 dattes, 20 ml de plasma Quinton ou 1 pincée de sel gris de mer naturel. On peut aussi ajouter 1 c à s de graines de lin (mucilage et oméga-3) ou de chanvre écalé et 2 noix du Brésil pour l’apport de sélénium. 2. Verser l’équivalent d'environ 50 cl. d’eau très chaude (selon l’onctuosité désirée) sur le tout et démarrer le blender. On peut casser un œuf cru par-dessus pendant que ça tourne. L’eau frémissante permettra d’obtenir une boisson chaude sans détruire les propriétés des ingrédients par une cuisson délétère. 3. Servir. La muscade stimule puissamment le lobe postérieur de l’hypophyse (glande pituitaire). En Inde, elle est reconnue aphrodisiaque car elle augmente la vigueur sexuelle (action hypophysaire). Elle est décontractante musculaire, antivomitive et soulage les douleurs abdominales et les ballonnements. La cannelle possède des propriétés réchauffantes, aphrodisiaques, antibactériennes, antiparasitaires, antiseptiques et anti-inflammatoire. On dit qu'il n'y a pas de médecine chinoise sans prescription de cannelle. Le gingembre est un réchauffant digestif, un anti-nauséeux et un carminatif. Il pimente le lait d’or. Il est aussi anti-inflammatoire et antioxydant (gingérol). Il stimule la sécrétion de testostérone chez l’homme et d’œstrogène chez la femme. Le clou de girofle est aphrodisiaque, stomachique, digestif, antiseptique, anti-fermentaire intestinal, antiparasitaire et antifatigue. La cardamome est originaire de l'Inde du Sud et du Ceylan. Elle est aromatique, antinauséeuse, carminative, antispasmodique et facilite la digestion. Elle contribue à éliminer nos excès d’estrogènes au profit de la testostérone. Le curcuma est anti-inflammatoire, antioxydant, cholagogue et cholérétique. Il contribue aussi à éliminer nos excès d’estrogènes au profit de la testostérone. Le poivre noir améliore la biodisponibilité du curcuma. Il a une action stimulante sur les systèmes digestif et circulatoire. C'est un tonique et stimulant général aphrodisiaque. Préférez un poivre de haute qualité comme le poivre de Kâmpôt ou de Penja.
- La cure Breuss
Article naturopathique Appelée aussi cure « anticancer », la cure Breuss est une célèbre cure de santé bien connue des naturopathes. C’est une sorte de jeûne « nutrimentaire » composé de jus de légumes et de tisanes induisant la détoxification, la désacidification et la régénération de l’organisme. Ce protocole a été mis au point par le naturopathe Autrichien Rudolf Breuss (1899 – 1990). Elle émanerait d’un grimoire moyenâgeux. Efficacité : Pléthore de témoignages sur son efficacité ont été recensés au fil des ans. Rien d’étonnant vu que les ingrédients utilisés dans la cure figurent dans le trapèze vital du bioélectronigramme Vincent. L’apport de protéines est quasi nul ce qui rejoint les travaux du Rapport Campbell du Pr. T. Colin Campbell sur la relation protéines/cancer. L’autophagie va s’enclencher débarrassant le corps de ses déchets, tumeurs et toxines, tout en maintenant un apport d’éléments nutritifs alcalinisants. Sur ce bioélectronigramme, le trapèze vital (en vert) se trouve en zone acide et réductrice, à l’opposé du cancer et des maladies dégénératives qui sont en zone alcaline et oxydée. Le terrain devrait donc se déplacer vers SP (Santé Parfaite). Indications : Cancer. Leucémie. Toutes les maladies dégénératives et de civilisation (de 21 à 42 jours, selon). Cure de détoxification. Obésité. Perturbations et inflammations du tractus gastro-intestinal. Protocole : Il est indispensable d’acquérir un extracteur de jus de légumes (< 300 € en boutique spécialisée) pour obtenir un jus frais. La durée de la cure est de 42 jours. Le protocole doit être suivi à la lettre. Jus Breuss : 300 g de betteraves rouges, 100 g de carottes, 100 g de céleri rave (racine), 30 g de radis noir, 1 pomme de terre avec pelure de la taille d’un œuf de poule, facultatif, sauf pour le cancer du foie. Boire la quantité de jus obtenu (+/- 0,5 litre) en une ou deux fois dans la journée (fin de matinée et après-midi). On peut boire du jus de pomme frais seul ou du jus de citron, entre-temps, mais jamais mélangé avec les autres jus. On pourrait ajouter un morceau de curcuma au jus Breuss. Il ne faut jamais boire de jus à contrecœur, il est préférable de ne pas en boire pendant une journée. Décoctions Breuss : Les infusions seront préparées avec des eaux de source faiblement minéralisées. 1. Sauge : À prendre toute la durée de la cure et à répartir sur la journée. 2 cuillères à café de sauge dans 0,5 L d'eau bouillante, faire bouillir 3 minutes, ôter du feu et ajouter une pincée avec 3 doigts de millepertuis (2 g), de mélisse (2 g) et de menthe poivrée (2g) pendant 10 min. Puis filtrer. 2. Reins (max. 3 semaines) : À prendre les 3 premières semaines de la cure, ½ tasse en début, en fin de matinée et le soir. Composition : 15 g de prêle des champs 10 g d'ortie 8 g de renouée 6 g de millepertuis Une pincée (3 doigts) du mélange à infuser 10 min dans 1 tasse d'eau chaude, filtrer puis ajouter 2 tasses d'eau chaude sur le marc de plantes déjà infusée et faire bouillir 10 min, puis filtrer et mélanger les 2 (infusion et décoction). Remarques : Il est important d’utiliser des ingrédients biologiques, ainsi que de faire la chasse aux toxiques environnementaux qui pourraient compromettre le traitement. La cure Breuss est un remède miracle pour certains, mais ce n’est pas une panacée efficace à 100 %. Toutes les maladies sont guérissables, mais tous les malades ne le sont pas ! Il est recommandé de faire circuler la lymphe et de s'oxygéner quotidiennement en pratiquant la marche et/ou des exercices respiratoires (Les cellules cancéreuses se développent en milieu anaérobie). Sources : La Cure Breuss. De Rudolf Breuss – Editions Labussière Pratique de la Cure Breuss. De Jürgen H. R. Thomar – Editions Véga Articles complémentaires : Un mot sur le jeûne et les monodiètes La loi de l’homéostasie La maladie et la santé sont-elles le fruit du hasard ? La bioélectronique Vincent Le cancer Les jus de légumes et de fruits
- Loi de Hering
Article santé La loi de Hering ou “loi de guérison” est divisée en 4 points. C’est un principe fondamental en hygiénisme, en naturopathie et en homéopathie. Constantin Hering (1800-1880) médecin et homéopathe allemand C’est une loi naturelle intégrée aux processus d’auto-guérison. C’est en somme de la détoxification à rebours. Rappelons au passage que la force vitale est nécessaire pour accomplir les processus de guérison… L’évolution favorable des maladies se réalise par quatre lois : Loi 1. L’amélioration et la guérison survient de l’intérieur au sein de l’organisme et évolue vers l’extérieur (« centrifuge », c’est à dire tout ce qui sort par les émonctoires). Loi 2. Le retour d’anciens symptômes. Lors de la détoxification, notamment par le jeûne, les symptômes apparaissent et disparaissent dans le sens inverse de leur apparition. Cela peut remonter à des troubles anciens de plusieurs années. Loi 3. Les symptômes disparaissent du haut vers le bas. La guérison va démarrer des parties supérieures de l’individu vers les parties inférieures du corps. Exemple du rhumatisme dans la nuque qui se déplacent vers les doigts, le dos ou les genoux ; ou du psoriasis sur le coude qui va se déplacer sur la main. Loi 4. Les troubles vont de l’organe le plus important vers le moins important. Ce seront les organes comme les reins, le cœur, le cerveau, etc. qui seront nettoyés en premier. Et, du psychique vers le physique (psychosomatique). En effet, pour suivre l’évolution d’une thérapeutique et valider que les techniques ou les remèdes naturels choisis sont bénéfiques, les symptômes doivent évoluer de haut en bas, de l’intérieur vers l’extérieur (sorties : asthme, eczéma, etc.), des plus récents aux plus anciens et du psychique vers le physique. Par exemple, si l’on traite un eczéma et qu’une dépression ou un asthme apparaît, on peut considérer que le sujet s’est aggravé et que le remède choisi n’a rien fait ou a peut-être même aggravé l’état profond de l’individu. A l’inverse, si un adulte eczémateux dans son enfance guérit un asthme grâce à un jeûne et développe ensuite un eczéma, on peut alors considérer que le sujet s’est amélioré. Il faudra ensuite refaire un jeûne ou une autre détox pour éliminer l’eczéma, pour autant qu’on n’ait pas réintoxiqué l’organisme entre temps. Si un écoulement nasal aqueux s’arrête par prise de remède anti-symptomatique et que le patient développe une sinusite frontale aiguë, il s’agira d’une aggravation par suppression de symptôme : l’approche n’est pas la bonne, sans doute qu’une autre approche aurait été plus adaptée. Pour valider une guérison ou une amélioration d’un trouble de santé (symptôme) il faut absolument que la loi de Hering soit respectée. En cas de traitement adapté, tous les symptômes psychiques et physiques vont s’améliorer progressivement et durablement. A ce moment-là, il ne faut pas arrêter le traitement tant que l’amélioration se poursuit. Travailler sur l’émotionnel avec des exercices respiratoires comme la cohérence cardiaque est tout indiqué. Cela aura un impact équilibrant sur tout le système nerveux autonome et finalement sur le physique. En cas d’aggravation au début du traitement, des symptômes de guérison désagréables peuvent persister quelque temps, ce sont des signes de détoxification. Les efforts que l’organisme fait pour s’épurer sont parfois impressionnants. Le célèbre Docteur naturiste Paul Carton a bien remarqué ces étapes dans les processus de rétablissement dans le cadre de ses cures de santé. Il est important d’être patient, une accumulation de toxines due à un mode de vie existentiel anti-physiologique pendant 50 ou 60 ans ne s’évacuera pas en 6 mois de vie hygiéniste. La Nature, les cellules et les microzymas travaillent au rythme le mieux adapté pour rétablir la santé vraie et durable en toute sécurité, si on lui en laisse l’occasion… Il n’y a pas de hasard malheureux ou de fatalité, il n’y a que des sanctions que l’on s’inflige si on ne respecte pas les lois naturelles toutes puissantes et inébranlables. Leurs transgressions entraîneront souffrance, débilité et morbidité. Articles associées : Les 7 étapes de la maladie L’homéostasie L’énergie vitale Les lois qui régissent notre santé La maladie et la santé sont-elles le fuit du hasard ? La détox par paliers
- Pourquoi ne pas complémenter en minéraux et oligo-éléments ?
Article naturo-hygiéniste La différence entre minéraux et oligo-éléments n’est pas bien établie. Les minéraux (macro-éléments) se trouvent en plus grande quantité dans le sang (> 1 g./L), tandis que les oligo-éléments s’y trouvent en beaucoup plus faible quantité. Minéraux : sodium, potassium, calcium, magnésium, phosphore, chlore… Les oligo-éléments : zinc, fer, cuivre, iode, sélénium, silicium, manganèse… Tout principe isolé, c'est-à-dire extrait d’un complexe, est toujours toxique. Un élément doit faire partie du totum*, sinon ça devient un médicament anti-symptomatique plus ou moins toxique. *Totum : globalité, ensemble des constituants. L’équilibre synergétique des oligo-éléments : N’en déplaise aux industriels de la pharmacie, prendre un élément isolé et de surcroît chimique et non biologique perturbe l’ensemble de l’équilibre et nuit gravement aux différents systèmes organiques. Il est crucial d'apporter tous les minéraux de manière simultanée et de préférence sous une forme déjà chélatée* ou organique, par exemple sous la forme d'eau de mer ou par la consommation de végétaux vivants (enzymes) car les éléments sont interdépendants et dans une proportion précise. Par l’apport de leur TOTUM, le plasma marin de Quinton, les huitres ou la poudre d'huitres en gélules (P.O.P.), les fruits de mer, les plantes (fruits, légumes, aromates), les algues, les jus de légumes ou le pollen frais, etc. échappent à la grande problématique des antagonismes entre minéraux, pouvant empêcher le déroulement et même l’initiation de centaines de cascades métaboliques. *La chélation est un processus physico-chimique au cours duquel est formé un complexe (plusieurs éléments). Pour assimiler les minéraux chez les animaux et chez l’homme (êtres hétérotrophes*), il faut passer par le monde végétal qui a la capacité de rendre biodisponibles et assimilables les minéraux contenus dans la terre ; par exemple dans l’eau de mer de Quinton, c’est le phytoplancton qui permet la transformation des minéraux et leur assimilation**, c’est une eau vivante équilibrée. *L’hétérotrophie est la nécessité pour un organisme vivant de se nourrir de substances ORGANIQUES préexistantes. L'humain est ainsi hétérotrophe, tandis que la plupart des plantes sont autotrophes. **L’assimilation est un phénomène qui se réalise au niveau cellulaire. L’absorption est un phénomène qui se réalise au niveau des villosités intestinales. Une alimentation riche en vitamines (fruits frais, mûrs et biologiques) augmente l’assimilation des minéraux et oligo-éléments. L’inverse est également vrai : une alimentation riche en minéraux va permettre une absorption optimale des vitamines (synergie). Croire qu'il suffit de boire de l'eau minérale pour avoir sa ration quotidienne de minéraux et d'oligo-éléments est un leurre total entretenu par les vendeurs d'eau en bouteille qui ignorent superbement les lois de la physico-chimie colloïdale pour justifier le prix très élevé de l'eau qu'ils vendent. Consommer une eau riche en résidus secs, c'est-à-dire en minéraux inorganiques, inassimilables et encrassants va causer une perturbation du terrain en surchargeant l’organisme et les reins (colmatage des néphrons). Il en est de même pour les compléments alimentaires (calcium, fer, bicarbonate, magnésium, etc.). Ceci entraîne une épuration incomplète du sang, provoquant la formation de calculs, des coliques néphrétiques et des calcifications souvent douloureuses dans tous les organes. Ceci peut même aboutir à une calcification complète des reins et leur destruction. Cet entartrage accélère aussi le vieillissement cérébral. Le calcium assimilable se trouve dans la nourriture saine et naturelle à profusion. Le terrain surchargé en électrolytes va modifier les coordonnées bioélectroniques, ceci va induire une résistivité basse du sang veineux et donc électriser l’organisme qui va s’oxyder (vieillissement, dégénérescence, baisse immunitaire, pathologies…). C’est un état d’excitation et de surtension intérieur. En facilitant trop le passage du courant électrique (E > 250 mV), il se provoque une décharge accélérée des piles biologiques, dépassant la capacité de l’organisme à maintenir leur charge à un niveau de bonne santé. Le sang sera moins fluide, plus visqueux. Les mesures bioélectroniques vont s’éloigner de la santé parfaite. La mort interviendra quand les limites de dessèchement, d’encrassement et donc de résistivité seront dépassées. La résistivité du sang en bonne santé se situe entre 190 & 220 Ω.cm = +/- 210 Ω.cm (milieu bien hydraté). Plus le sang est chargé en minéraux (forte concentration en ions) et donc avec un nombre rô faible, plus le milieu est réceptif aux inductions électromagnétiques. Plus le sang est déficient en minéraux (faible concentration en ions) et donc avec un nombre rô élevé, plus le milieu est résistant aux inductions électromagnétiques. Une résistivité sanguine trop basse (trop de minéraux) est le reflet d’une forte pression osmotique au niveau de la cellule. L’eau tend alors à pénétrer dans les cellules pour équilibrer le milieu, l’organisme n’élimine plus et il s’encrasse… Les végétaux sont les seuls capables d’entretenir la santé en s’opposant aux risques des maladies de dégénérescence. Citation : « Une des raisons des carences en oligo-éléments de plus en plus fréquentes chez les hommes et les animaux d’élevage est à rechercher dans l’usage d’engrais chimiques qui en sont dépourvus. » - Dr. Catherine Kousmine Articles complémentaires : La Bioélectronique Vincent Le plasma marin de Quinton L’eau de boisson Notion de terrain La vitamine C
- Pasteur l’imposteur
Par Michel Dogna : Pasteur Imposteur Michel Dogna, ingénieur chimiste, naturopathe, auteur, conférencier Non "le bon docteur Louis Pasteur" que nous avons tous trouvé dans nos livres scolaires comme étant le sauveur de millions petits enfants, n’est pas celui que l’on nous a présenté. Pour des raisons politiques, culturelles ou affairistes, l’histoire a souvent abusé de la crédulité confiante et perméable des enfants ; lorsque plus tard ils deviennent parents, ils transmettent en toute bonne conscience leur formatage dans la tête de leurs progénitures. C’est ainsi que de multiples grands mensonges ont pu de générations en générations traverser des siècles, les quelques troublions sceptiques étant toujours jetés aux ordures ou punis. De fait, il est clair que relativement peu d’individus arrivent à s’extirper de l’éducation et coutumes de leur enfance. Heureusement, il y a de nos jours (grâce surtout à Internet) de plus en plus de dérangeurs de la pensée collective qui mènent des enquêtes indiscrètes les autorisant à jeter des pavés dans la mare des grands mensonges… Mais revenons à notre "bon docteur Pasteur" - D’abord, Pasteur n’était pas médecin mais chimiste – il n’a jamais soigné des malades, mais seulement effectué des expérimentations sur des malades… et aussi des bien portants. Mieux ces expérimentations n’ont la plupart du temps abouti à rien, sauf celles qu’il a volées à de vrais chercheurs discrets tels Toussant, Davaine, Galtier, Dubouet, Roux, et surtout Béchamp, pour les reprendre à son nom après les avoir traîné dans la boue. L’on devrait remplacer toutes les rues Pasteur par des rues Béchamp - le grand Béchamp, témoins gênant des incessantes erreurs de Pasteur. Mais Louis Pasteur était un remarquable tribun capable de confondre publiquement tous ses adversaires, sans compter son tempérament colérique bien connu et ses hautes relations qui le faisaient redouter. Le dilemme entre deux sources historiques La première, seule officielle que l’on nous a servi à l’école est l’autobiographie que Pasteur a fait de lui-même, rédigée par son gendre Valléry Ragot, se présentant comme un héros ainsi qu’il savait si bien faire devant l’académie des sciences où il attribuait toujours ses erreurs passées à ses adversaires, après s’être approprié leurs idées et leurs découvertes. La seconde, c’est Jean Rostand qui, ayant eu en mains une partie des œuvres de Davaine en 1948, eut l’initiative "audacieuse" de remettre en question la paternité légendaire de Pasteur sur l’origine microbienne des maladies infectieuses (voir Hommes de vérité, 2ème série). Aussi confia-t-il à un jeune zoologiste passionné d’histoire des sciences, nommé Jean Théodoridès, la mission d’approfondir l’œuvre de Davaine. Ce passionnant travail amena Théodoridès à entrer en contact avec un excellent historien des sciences, médecin retraité dans le Limousin, le Dr Léon Delhoume. Celui-ci avait rédigé trois volumes importants sur les vies de Dupuytren, Cruveilhier, d’Arsonval, mais surtout sur les œuvres inédites de Claude Bernard, d’une remarquable érudition. Sur la base de quels documents Delhoume avait-il travaillé ? D’Arsonval avait été le dernier assistant de Claude Bernard. Celui-ci, victime à 65 ans d’une maladie aiguë mortelle, consterné de ne pouvoir finir son œuvre, confia avant de mourir à ses intimes : "Pasteur s’est trompé". Puis il missionna D’Arsonval, alors âgé de 26 ans, pour faire publier ses travaux, hélas inachevés. Très impressionné, D’Arsonval préféra déléguer le grand chimiste Berthelot qui, derechef, fit effectuer une publication à l’Académie des sciences. Mais Pasteur entra dans une fureur démente, et le jeune D’Arsonval, effrayé, n’osa plus jamais rien communiquer. C’est ce qui explique la rétention de 50 années du dossier Claude Bernard, jusqu’à ce que D’Arsonval se décide enfin à le communiquer au Dr Delhoume, historien. Philippe Decourt, membre de l’Académie internationale d’histoire de la médecine, et ami de Théodoridès, rendait régulièrement visite au Dr Delhoume. C’est ainsi qu’un jour, il se vit remettre en mains propres par le docteur un ouvrage intitulé : "Béchamp ou Pasteur ?" avec, en sous-titre : "Un chapitre perdu de l’histoire de la biologie". Delhoume lui confia : "Je suis maintenant trop vieux. Vous devriez voir cela de plus près." Ce livre avait été rédigé par une Anglaise, sur les notes d’un médecin américain, ami personnel de Béchamp, puis traduit en français en 1948 aux Éditions Le François. Philippe Decourt écrira ensuite : "Ce que je constatais à la lecture des documents me stupéfia. Ma stupéfaction augmenta encore quand j’étudiai peu à peu les autres découvertes que l’on attribue à Pasteur. La réalité est tout à fait différente de la légende. On avait créé un mythe que l’on répétait sans rien vérifier. Nous étions victimes d’une immense supercherie." Exemples de faits précis La très célèbre expérience de Pouilly-le-fort où 60 moutons furent infestés par un bouillon charbonneux après avoir reçu le nouveau vaccin de Pasteur, ne fut un succès total que par l’intervention discrète de ses assistants Roux et Chamberland qui avaient rajouté au vaccin du bichromate de potassium selon la méthode de Toussant. Les italiens qui voulurent reproduire l’expérience essuyèrent une hécatombe. Pasteur se contenta de leur dire qu’ils n’avaient pas respecté ses consignes. L’imposture du vaccin de la rage Le cas de Joseph Meister, garçon de 9 ans mordu par un chien méchant a reçu le vaccin expérimental de pasteur – le chien fut abattu et déclaré enragé. Le garçon n’eut aucune séquelle ce qui fut l’objet d’une grande publicité, sauf que selon le Dr De Brouwer l’on n’a pas dit que cinq personnes avaient été précédemment mordues par ce même animal et n’ont présenté aucun problème (sans le vaccin) – le chien n’était donc pas enragé ! Le cas Jupille mordu par un chien dit enragé le 20 octobre 1885 qui reçut le vaccin de Pasteur. Le 27 octobre, Pasteur déclarait sa victoire à l’académie alors qu’il faut attendre 15 jours pour que s’installe l’immunité bactérienne. Quel manque de probité intellectuelle ! Philippe Decourt rapporte : "Le chien en question était un Berger picard réputé jamais méchant. Et c’est Jupille qui, accompagné de 6 enfants, a attaqué avec un fouet ce chien qui aboyait simplement. Le chien s’est défendu et a mordu Jupille à la main gauche. Jupille, selon les propres mots de Pasteur, se battit ensuite avec le chien, le ligota et le noya (on se demande qui était le plus enragé)." Les prétendus résultats de la vaccination de Jupille n’ont donc aucune valeur scientifique et il est étonnant de constater que les trois académies se soient laissées aussi facilement abuser devant des faits aussi aléatoires. Toujours est-il que les revues scientifiques à grand tirage, en français et en anglais, répercutèrent le spot publicitaire et que le Tout-Paris délira complètement sur les prouesses médicales de Pasteur. Des milliers de personnes mordues (par des chiens non enragés) affluèrent à l’Institut Pasteur. Quelques autres impostures en vrac Une avalanche de découvertes microbiennes ont pu être réalisées sur les bases des travaux de Davaine et non de Pasteur. Contrairement à ce que l’on croit habituellement, les vaccins actuels n’ont pas été créés à partir des travaux de Pasteur, mais par Toussaint, professeur à l’École vétérinaire de Toulouse. En l’occurrence, le vaccin atténué du charbon a été volé à Toussaint - le vaccin atténué du cholera des poules, lui aussi, encore volé à Toussaint. Ses trois méthodes d’atténuation bactérienne d’abord dénigrées par Pasteur et plus tard reprises à son compte, étaient les suivantes : – chauffage de la matière virulente à 55 °, – grande dilution, – action d’un antiseptique (acide phénique ou bichromate de potassium). (Ces sujets ainsi que beaucoup d’autres sont développés dans "Le crime vaccinal", version e-book aux Editions Irélia : www.irelia-editions.com, version papier ici : www.lesbrossesadents.fr/michel-dogna-crime-vaccinal.html ) Le fait de se tromper régulièrement n’a pas empêché Pasteur de se mettre en avant partout avec un énorme sens de la publicité, et de se faire grassement pensionner par la cour de Napoléon III qu’il courtisait assidûment pour des travaux sur la maladie du ver à soie… qui n’ont en outre jamais abouti. Pendant ce temps il n’a jamais cessé de traîner dans la boue le témoin le plus gênant de sa médiocrité, Antoine Béchamp qui malheureusement vaincu a fini sa vie dans la misère et la solitude. En conclusion selon les paroles de Philippe Decourt, la réalité de Pasteur fut celle d’un chimiste médiocre, mégalomane, arriviste, tricheur, arrogant, menteur, buté, coléreux redouté, voleur d’idées, prêt à toutes les bassesses pour décrocher la gloire – bref un redoutable imposteur qui fut dénommé : "le Staline de la médecine" Le titre "Crime Vaccinal" est-il exagéré ? Evidemment, dans l’ambiance générale sous le contrôle de la "police de la pensée", l’on pourrait avoir l’impression de donner dans un blasphème équivalent à cracher sur la bible. Pourtant, combien savent que plus de 40 ouvrages en français et de 200 en anglais dénoncent, certains depuis près d’un siècle, les multiples catastrophes vaccinales dans le monde – ceci à l’appui de statistiques très au-dessous de la réalité puisque l’on compte que seulement 10% des victimes ont fait un rapprochement avec les vaccins reçus. Connaissez-vous l’histoire réelle de la grippe espagnole de 1918 ? Elle a été dévoilée par le Dr L. DAY, MD., ex-chirurgien en chef du grand hôpital de San Francisco et professeur en faculté de médecine. Voici ce qu’il raconte : "Comme la première guerre mondiale n’a pas duré de longues années, les fabricants de vaccins n’ont pas pu vendre toutes leurs nouvelles productions à l’armée. Cherchant essentiellement le profit, ils décidèrent de vendre leurs stocks à la population. C’est ainsi qu’ils ont battu le rappel et lancé la plus grande campagne de vaccinations que les Etats-Unis n’aient jamais connue au cours de leur histoire. Il n’y avait cependant alors aucune épidémie pour justifier ces mesures. Ils ont alors imaginé une stratégie. Leur propagande prétendait que les soldats qui rentraient de l’étranger étaient atteints de toutes sortes de maladies et qu'il était un devoir pour chacun d'entre eux de se faire inoculer tous les vaccins qui étaient alors sur le marché… La grippe espagnole n’a donc d’espagnole que le nom ; mortelle en 3 jours, elle a fait entre 25 et 35 millions de morts dans le monde. Les premiers cas de l’épidémie ont été détectés en février 1918 dans des camps militaires aux U.S.A en Caroline du Sud, et non pas en Chine - et encore moins en Espagne !" Aucune guerre n’a fait autant de morts en si peu de temps. L’industrie des vaccins, c’est 52 milliards de dollars ! Voici quelques rappels sélectionnés dont on ne parle jamais En 1957, The New York Times a signalé que près de 50% des cas de polio chez des enfants âgés de 5 à 14 ans se produisaient chez des enfants qui avaient été vaccinés contre la polio (!!!). En 1972, au cours d’une audition devant le Sous Comité du Sénat, l’inventeur du vaccin anti polio, Jonas Salk, devait témoigner que presque toutes les poussées de polio depuis 1961 étaient le résultat ou avaient été provoquées par le vaccin polio oral (le vaccin qui donne la maladie…). En 1976, The Lancet a signalé que les vaccins ne protégeaient pas contre la coqueluche et que près d’un tiers des personnes qui avaient fait une coqueluche avaient bel et bien été complètement vaccinées… (l’efficacité avait été scientifiquement prouvée !). En 1977, la revue Science a signalé que 26% des enfants qui recevaient la vaccination contre la rubéole développaient de l’arthrite. 1/50 : c’est le taux d’autisme actuellement chez les enfants aux USA; il était de 1 sur 25.000 dans les années 70, de 1 sur 2.500 dans les années 80 et de 1 sur 250 dans les années 90. 49 : c’est le nombre de doses de 14 vaccins que les jeunes Américains ont reçu après avoir atteint l’âge de 6 ans, contre 36 doses de 10 vaccins administrés aux enfants belges jusqu’à leurs 6ème année. 21% : c’est le pourcentage des enfants américains (les plus vaccinés du monde) qui souffrent de handicaps mentaux et neurologiques à des degrés divers et + de 50% d’entre eux souffrent de maladies chroniques ! 34.240 : c’est le nombre d’effets secondaires rapportés aux USA avec les vaccins HPV jusque fin mars 2014 dont 162 décès, 11.428 visites aux urgences, 4.732 effets graves et 1.093 jeunes filles handicapées. Nota : Je parle toujours des USA par la force des choses, puisqu’en France on n’arrive à rien savoir. Qui connaît la composition réelle des vaccins ? De l'hydroxyde d'aluminium : 650 microgrammes par vaccin alors qu’il est admis que 60 microgrammes par litre de sang est dangereusement toxique pour la cellule nerveuse (Concours Médical, février 1997). Ce sel attaque le cerveau et peut entraîner autisme, chorée, Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob. Des sels de mercure (thiomersal) dont l’extrême dangerosité neurologique a été officialisée par la FDA américaine depuis 1997. Chaque nouveau vaccin cumule les doses d’une façon irréversible. Des virus OGM (vaccins viraux) obtenus à partir de matériel génétique séquentiel du SV40, précurseur du HIV, et que l’on retrouve dans de nombreux cancers du cerveau et mésothéliomes. Du sérum de veau fœtal (liquide nutritif) alors que tout extrait d’origine bovine est strictement interdit dans tout médicament depuis 1994. De l’enzyme Tdt, dangereux mutagène reconnu. Du formaldéhyde - interdit dans les jouets… mais autorisé dans les vaccins. Du borate de sodium (mort aux rats) dans le Gardasil (!!!). Du Squalène MF 59 responsable du syndrome des soldats US de l’Irak. Mais il y a aussi des difficilement détectables qui sont : Des nanotechnologies pour programmer le cerveau entre autres. Nota : – Le BCG est toujours cultivé sur de la bile de bœuf (méthode Calmette et Guérin) au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles concernant la vache folle. – La plupart des médecins ne sont aucunement informés de toutes ces infractions graves à la fois légales et sanitaires, le Vidal n’en faisant pas mention. – Chaque nouveau vaccin intoxique et fragilise un peu plus votre enfant pour toute une vie et peut-être même ses descendants. – Le scandale de l’hépatite B n’est que l’arbre qui cache la forêt. Il est clair que nous devons refuser toute vaccination sur nos enfants ainsi que sur nous-mêmes tant que les fabricants de vaccins n’auront pas clarifié leur fabrication. – Enfin, la nouvelle mode des cocktails pentavalents et hexavalents appliqués sur les enfants amène une véritable déflagration au sein du système immunitaire ! C’est catastrophique ! - Selon l'étude KIGGS, on relève 2% d'effets secondaires GRAVES repérés en relation directe avec des vaccins - concrètement, cela signifie que quand on vaccine 40 MILLIONS d’individus, il y a au moins 800.000 effets collatéraux graves… sans compter le reste ! Conclusion Un certain nombre de pays ne connaissent aucune obligation vaccinale, et c’est justement chez eux que les épidémies ont régressé le plus vite. La sagesse est sans aucun doute que le meilleur moyen pour échapper aux épidémies est de veiller à entretenir et renforcer nos défenses immunitaires par des moyens naturels que les plantes nous offrent depuis la nuit des temps, mais que l’on nous a amené à ignorer pour des raisons bassement mercantiles. Alors que tous les animaux, même craintifs deviennent agressifs quand ils veillent sur leurs progénitures, il semble qu’une grande partie du genre humain y fasse exception, et semble avoir perdu l’instinct de conservation, laissant la place à la peur qui est très mauvaise conseillère. L’ignorance n’a plus d’excuse à notre époque, mais elle est pratique pour une majorité, parce qu’elle dispense de la responsabilité. Compléments d’information : Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=nSpbQwRnx6k&t=1784s Livre : “Pour en finir avec Pasteur” - Dr. Eric Ancelet, Collection Résurgence. Substances dans les vaccins : https://www.santeglobale.world/article/20-substances-dans-les-vaccins/#.Xv2JfygzaM8 Initiative Citoyenne, site Belge d’information sur les vaccins : http://initiativecitoyenne.be Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, site Français d'information sur les vaccins : https://www.infovaccin.fr/ Article : Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins, par Sylvie Simon « Nous avons été pollués par les vaccinations d’un individu qui s’appelait Pasteur et qu’on honore dans toutes les universités, malgré que je proteste contre lui depuis plus de trente ans en le dénonçant comme le plus grand malfaiteur de l’humanité ! Celui qui a répandu sur la planète, non seulement les thromboses, les cancers, les dégénérescences, etc. avec ses vaccins, parce qu’il a triché avec sa théorie des vaccins. C’est une imposture absolument abominable que je ne cesse de dénoncer ! » - Pr. Louis-Claude Vincent
- Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins
Publié par Sylvie Simon, journaliste scientifique - 5 Décembre 2013 "Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques" (Mark Twain) Sylvie Simon auteure d'une trentaine d'ouvrages Les vaccins ne sont pas des médicaments et sont destinés à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une maladie hypothétique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. Or non seulement l’information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent elle est parfaitement mensongère. Mais comme l’avait recommandé Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la question : "Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ; répétez dix mille fois, il deviendra une vérité". C’est exactement ce qui se passe dans ce domaine, où des mensonges dix milles fois répétés sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d'hystérie dès lors qu’on ose les remettre en cause. L’histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges. Sylvie Simon a opté pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendré des dizaines de plus petits mensonges. "Le mensonge est rarement issu par génération spontanée d’une volonté déterminée à l’avance par quelque Machiavel. C’est bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une erreur perçue, mais inavouée, l’orgueil se mêlant ici à la cupidité" (Thierry Fenoy, avocat au barreau de Châlons-sur-Saône). MENSONGE N° 1 : Pasteur est un bienfaiteur de l’HUMANITÉ "Tous nos problèmes actuels sont l’inévitable résultat de nos brillantes solutions d’hier"(Henry Bergman) Bien que l’aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIème siècle lorsque le médecin anglais Edward Jenner entreprit d’inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté le long cortège de mensonges. Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes. C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable. Le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur. D’une part, Pasteur a maquillé les résultats d’expérience qui ne lui étaient pas favorables, ensuite, il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille. Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée et falsifiée aux profits des intérêts personnels de Pasteur. Dès l’école, nous apprenons que Pasteur « a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ». À vrai dire, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il l’aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas. L’affaire de la rage est l’exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour le commun des mortels. Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper. L’histoire n’a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage. Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination. Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants. Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin. Enfin, l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection. Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux. MENSONGE N° 2 : Il faut ÉRADIQUER LES microbes et LES virus "Il est étrange que la science qui jadis semblait inoffensive, se soit transformée en un cauchemar qui fait trembler tout le monde." (Albert Einstein) Nous vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Les bactéries maintiennent notre équilibre biologique et ne deviennent pathogènes que lors que notre système immunitaire est perturbé et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades. Il est donc essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis qu’il faut éradiquer à tout prix et que seul importe le terrain que nous devons préserver de ses véritables agresseurs. A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore complètement élaboré et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protégé par les anticorps transmis par sa mère. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles. C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables. Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, nous mettait déjà en garde bien avant l’overdose vaccinale actuelle : « L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent). De toute manière, les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies. De plus, l’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas pour la vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limitée dans le temps, ce qui entraîne un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population plus âgée, avec une mortalité multipliée par dix. MENSONGES N° 3 : Les ÉPIDÉMIES ont disparu GRÂCE aux vaccins "L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition". (Dr. Albert Schweitzer) Nombreux sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d’ignorer. Mais lorsqu’on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l’introduction du vaccin. D’ailleurs, la plupart des médecins l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour « prouver » l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration. Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale. Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche. Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination. Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr. Lépine constatait à son tour : "Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination". MENSONGE N° 4 : Vacciner un enfant c’est le PROTÉGER "S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin". (Pr. Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d'éthique) Un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel remarquable et développe progressivement son immunité. Il est parfaitement capable d’affronter l’épreuve des maladies infantiles qu’il ne faut pas redouter autant qu’on le prétend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants. Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve. Comme le disait déjà Hippocrate : "Le corps fait une maladie pour se guérir". Il est évident qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination. Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie. Lorsqu’on considère qu’un enfant vacciné ne développe pas telle ou telle maladie et qu’il est immunisé, la réalité est bien différente : il n’a plus la force de réagir. Dessin de René Bickel MENSONGE N° 5 : Les accidents VACCINAUX sont exceptionnels "Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé". (Dr. James A. Shannon, membre du National Institute of health) Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples "coïncidences". Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve. Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme "réactions vaccinales" les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits. Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux États-Unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales... Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants. MENSONGE N° 6 : Le vaccin contre le TÉTANOS est indispensable "Quand on a décidé d’être aveugle, l’évidence cesse d’avoir cours" (A.Peyrefitte, l’Empire immobile) Le tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d’individu à individu et- mention particulière – la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le Pr. J. Tissot, qui n’était pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : "puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie" ? Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément. On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance. Il faut donc relativiser les choses et ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner systématiquement tous les enfants contre une maladie qu’ils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n’ont pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ? En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive. Cette pratique est tombée en désuétude en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon. Aujourd’hui, quoi qu’il en soit, on impose systématiquement le vaccin en cas d’hospitalisation pour blessure. Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des épidémies, il est très difficile d’établir des courbes significatives d’évolution. Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire. Pour qu’il y ait tétanos, il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose. La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués. C’est pour cette raison que la plupart des piqûres ou blessures septiques n’entraînent pas la maladie. C’est pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et de mauvaise circulation. La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe. Le Dr. Méric précise : "Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie. Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer". D’après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable. De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux. Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du Pr. Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr. Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. Dans une lettre au Dr. Neveu, en date du 16 novembre 1944, il révélait : "La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations". Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie autorisée, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie. MENSONGE N° 7 : ÉVITEZ la grippe en vous faisant vacciner "L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition" (Dr Albert Schweitzer). Chaque année à l’automne, les médias payés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur, ils prétendent que c’est gratuit. Voilà déjà un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou presque n’est gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des mécènes. Les vaccins « gratuits » sont évidemment payés par les usagers sous forme de prélèvements de la Sécurité Sociale. Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin était efficace. En 1993, la Caisse d’Assurance Maladie de Loire-Atlantique a voulu étendre le bénéfice de la vaccination gratuite à 43.000 assurés sexagénaires, et dû arrêter l’expérience en constatant qu’à cet âge les vaccinés consultaient plus et dépensaient plus que les non-vaccinés. Et le journal Libération du 11 octobre 1994 titrait : "Les vaccinés contre la grippe coûtent plus cher à la Sécu". L’article précisait : "Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l’efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer." D’ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe. Ils sont bien placés pour savoir que ce vaccin est inutile. Le Dr. Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : "Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre." Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses. D’ailleurs, on recommande de faire au préalable un test cutané en milieu hospitalier sous surveillance, à proximité d’une unité de soins intensifs, avec de l’adrénaline à portée de main et un personnel médical et paramédical entraîné, ce qui n’est jamais fait, mais prouve la dangerosité du vaccin. Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive. Les recherches du Dr. Hugh Fudenberg, fameux immunologiste américain, l’ont amené à établir un lien entre les vaccinations régulières contre la grippe et un risque croissant de la maladie d’Alzheimer. MENSONGE N° 8 : HÉPATITE B est TRÈS dangereuse et s’attrape par la salive "L’ignorance est la mère de tous les maux" (Rabelais) C’est par un mensonge, qu’a été lancée la campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l’hépatite B, dont la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola. Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin de là ! Dès lors, les mensonges se sont succédés à une cadence rarement égalée auparavant dans le domaine de la santé. Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui avaient évidemment été soufflés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40.000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », osa t-il affirmer à Libération le 4 septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8.000 ? Le Dr. Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de "l’information", n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. L’esprit critique aurait à ce point déserté la France ? Ce chiffre qui représente 70% de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester officiellement. "Plus c’est gros plus ça passe", selon le dicton ! On peut aussi juger de la qualité des informations données aux adolescents en prenant connaissance d’une note interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mérieux : "Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie". A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère. Et c’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : "la salive est un important vecteur de la contamination". Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel... Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire. En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes. Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne. Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : "l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an" ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées. Le Dr. Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B. Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics. Le Dr. Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français "normal" est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave est très élevé. Mais cela, personne ne l’a jamais dit officiellement. Et personne, non plus, n’a jamais avoué que le nombre de victime de la maladie est bien loin d’atteindre celui des méfaits de l’alcool, mais il n’existe pas de vaccins contre l’alcoolisme, aussi en parle-t-on moins. Soyons sérieux. Etant donné que l’incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 qu’en 1978), on ne peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à vacciner qui que ce soit. MENSONGE N° 9 : Il n’existe aucun lien entre le vaccin contre HÉPATITE B et la SCLÉROSE en plaques "Les médecins apprennent à nos risques et périls. Ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine et le médecin est le seul qui puisse donner la mort." (Pline l’ancien, Histoire naturelle) Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres. En 1994, le Lancet (Vol. 344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ? Le Dr. Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : "Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination." L’expert, le Dr. Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques. A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux. Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent à claironner qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors qu’il n’y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité après ce vaccin, pour cette tranche d’âge, soit en France inférieur à celui des États-Unis. D’ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également. MENSONGE N°10 : L’autisme n’a aucun rapport avec les vaccinations "Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps." (Dr. Ron Paul, Sénateur américain) L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux "hasards" qui jalonnent le parcours des vaccins ? Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années. Alors qu’aux Etats-Unis on avait détecté seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard, après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. A présent les scientifiques sont très inquiets. S’agit-il d’une simple coïncidence, qu’avant l’introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et qu’ils se soient multipliés plus de dix fois depuis la vaccination ? Comment se fait-il qu’on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ? Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant. Les mensonges que nous dénonçons concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200.000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3.000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau "révisées", il fut reconnu un accident pour 1.300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés. Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin et à l’exiger pour l’admission en crèche. Dans le domaine du mensonge, nos «experts » restent imbattables ! leurs discours insultent l’intelligence et s’apparente à un faux témoignage. Quand demandera-t-on des comptes à ces spécialistes en rappelant leurs responsabilités ? demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé. POUR CONCLURE "Ce n’est pas le rôle du gouvernement d’empêcher le citoyen de tomber dans l’erreur ; c’est le rôle du citoyen d’empêcher le gouvernement de tomber dans l’erreur" (Robert Houghwout Jackson, Président du Tribunal de Nuremberg, 1945) Le dogmatisme médical pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou risquait de mettre en péril l’hégémonie de l’Eglise Catholique. Dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n’est guère de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent des dégâts irréparables. Il serait grand temps de nous réveiller et de secouer le joug des idées reçues. Il serait grand temps de penser par nous-mêmes, au lieu de laisser aux « experts » le soin de le faire à notre place. Devant la puissance financière des laboratoires, leur mainmise sur la politique de santé, sommes-nous condamnés à développer une certaine désobéissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la solidarité publique. Pourquoi ne pas utiliser cette arme que n’apprécient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en attendant qu’une évolution législative respectueuse des droits de l’homme et de la liberté des citoyens s’instaure ? Pour mieux désobéir et résister, il est prudent d’adhérer à des associations de consommateurs de santé, puisqu’il est bien connu que l’union fait la force. BIBLIOGRAPHIE Livres sur la vaccination qui ont pour auteur Sylvie SIMON : Vaccinations l’overdose Editeur déjà 1999. Déjà vacciné, comment s’en sortir ? (avec le Dr André BANOS) Déjà 2000. Faut-il avoir peur des vaccinations (ouvrage collectif) Déjà 2000. Vaccin hépatite B, les coulisses d’un scandale (avec le Dr Marc VERCOUTERE) MARCO PIETEUR 2001. Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »). Interview de 15 minutes : La Question des Vaccins - Sylvie Simon : https://www.youtube.com/watch?v=x5YofOVvTkY&t=328s Un médecin alerte : https://www.facebook.com/johnny.borr/videos/10219671771533051/ Site d’information complet sur les vaccins : http://initiativecitoyenne.be/ Soyons responsable de nos actes & de notre santé ! « Vacciner, c'est conférer la phase chronique de la maladie contre laquelle on prétend immuniser. » - Pr. Jules Tissot « Nous ne disposons pas d’une seule étude probante sur l’efficacité du vaccin utilisé comme barrière épidémique. » - Pr. Antoine Flahault, Directeur des hautes études en santé publique. « Je suis vaccinée contre la vaccination. Le vaccin est un danger et un poison ! » - Irène Grosjean, l’Info en Questions n°69, 07/10/21. Articles complémentaires : Pasteur l'imposteur Epidémies & contagions Nos amis les microbes Les microzymas et le polymorphisme microbien
- La kinésiologie
Kinésiologie, équilibre émotionnel J’ai testé pour vous et pour moi la KINESIOLOGIE. Rappelons que la gestion des EMOTIONS fait partie des 9 points essentiels de la santé intégrale. Pas assez connue à mon avis, la kinésiologie est une technique de santé naturelle surprenante par son efficacité. Je voulais faire part de cette découverte remarquable. Tous les thérapeutes de santé holistique prônent l’équilibre entre le physique et le psychique. Ce qui va de soi (psychosomatique), mais beaucoup de personnes négligent leur santé émotionnelle, c’est vraiment dommage. Je ne connaissais pas du tout la kinésiologie avant d’en entendre parler dans mon entourage il y a de ça quelques années déjà et récemment encore. Toutes les personnes avec qui j’ai discuté de cette approche de la gestion des émotions sont unanimement enchantées. Je connaissais quelques techniques de gestion du stress, mais celle-ci en particulier me semble être des plus performante, voilà pourquoi je veux la partager. En effet, la séance est agréable (+/- 1h30), les effets sont progressifs, mais rapides et durables. Parfois 1 ou 2 séances suffisent. Sensation après séance dans mon cas : apaisement, légèreté au niveau des épaules et de la nuque, petite fatigue, bien-être. Champs d’application de la kinésiologie : Gestion du stress et des émotions (tristesse, angoisse, burn-out, dépression, peur, blocages, colère, anxiété, nervosité, etc.). Amélioration des performances sportives. Manque de motivation, d’énergie ou de confiance en soi. Augmentation des facultés d’apprentissage. Douleurs. Troubles du sommeil. Vous serez surpris de ce que votre propre corps et votre subconscient peuvent vous révéler. Conseils : prenez rendez-vous chez un(e) kinésiologue que l’on vous recommande, qui a une certaine réputation. Anecdote sur la puissance des émotions : Cliniquement mesuré, l'effet placebo serait de l'ordre de 30 % et pourrait atteindre 60-70 % dans les migraines ou les dépressions. Définition de la kinésiologie : Par Carine Caussin, kinésiologue à Châtelet (Belgique) : La kinésiologie est un outil permettant à toutes les personnes stressées de retrouver leur potentiel d'action, un retour à l'équilibre émotionnel, d'être l'auteur de leur évolution et d'atteindre les buts qu'elles se sont fixées en trouvant leur solution pour aller vers leur mieux être. La spécificité de la kinésiologie est d'utiliser un test neuromusculaire (qui consiste à faire une légère pression sur le bras) et donc la mise en œuvre répond à des critères précis. Des pré-tests permettent de vérifier la clarté de la réponse du muscle. Il est utilisé comme outil de bio-feed-back et permet de découvrir les sources des déséquilibres de tous ordres inscrits dans notre mémoire corporelle. La kinésiologie a été créée aux Etats-Unis dans les années 60 par Georges Goodheart, chiropracteur, qui la nomme « kinésiologie appliquée ». John Thie, son élève, simplifie ce concept et donne naissance au « Touch for Health », technique d'équilibration énergétique qui rééquilibre le tonus musculaire. Par la suite cette technique a été adaptée par Paul Dennison qui créé « l'Edu kinésiologie/ Brain Gym » orientée sur les problèmes de l'apprentissage. Cette méthode facilite l'intégration des hémisphères cérébraux par des mouvements spécifiques. Ensuite, Wayne Topping met au point la « Welness kinésiologie » basée sur la gestion du stress. Puis, Daniel Whiteside et Gordon Stokes inventent le « Three in One Concept (One Brain) » qui ouvre les portes au monde des émotions. Ils démontrent que tout déséquilibre, qu'il soit physique ou émotionnel, trouve son origine dans le stress enkysté à un moment donné de notre histoire face à une situation traumatisante. En France, André Malachane développe depuis 1996 la « Symbio Kinésiologie ». Cette méthode a pour but de faire émerger les causes et le sens des problèmes pour une mise en conscience libératrice. La santé c'est une responsabilité individuelle ! « Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d'indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. » - Dr. Carl Gustave Jung « Les conséquences des émotions négatives comme la tristesse et la colère ont été bien étudiées. Elles sont associées à différentes pathologies : maladies cardiovasculaires, diabète, asthme et certains types de cancers. Elles sont aussi plus souvent présentes en cas de douleurs chroniques. » - Dr. Nathalie Rapoport-Hubschman, psychothérapeute « Des dizaines d’études ont souligné l’influence des émotions négatives sur le risque et l’évolution des pathologies cardiovasculaires. Concernant le cancer, tout ce que l’on peut affirmer aujourd’hui, c’est l’existence d’un lien entre les émotions négatives et la mortalité par cancer. » – Pr. Cédric Lemogne, Inserm « Il est certain que la personnalité sans conflit est immunisée contre la maladie. » - Dr. Edouard Bach « Il est folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l’esprit. » - Platon
- Oléagineux : trempage ou non ?
Bromatologie Je me suis toujours fait la réflexion que les autres anthropoïdes ne faisaient pas tremper les noix avant de les consommer, alors pourquoi le ferions-nous ? Réponse avec un excellent article de Valérie Moncan du 7 Février 2020. Valérie est créatrice culinaire, hygiéniste, coach en alimentation, pratiquante de l’alimentation sensorielle. Le trempage des oléagineux avant de les consommer est obligatoire. Cliché répété mécaniquement ou réalité ? Vous allez tout savoir ! En cuisine crue, il est toujours recommandé de faire tremper les oléagineux divers. C’est présenté comme une règle incontournable à laquelle il ne faut pas déroger, sous peine de mauvaise digestion, mauvaise assimilation, excommunication etc. J’exagère à peine ! Alors tout le monde le répète, oui, mais sur quelle base cela repose-t-il ? Est-il vraiment préférable de transformer l’aliment par rapport à ce que nous offre la nature ? Mise au point sur les oléagineux : Non, les oléagineux, ce n’est pas seulement les cacahuètes frites et salées que vous mangez avec mauvaise conscience à l’apéro ! C’est beaucoup mieux que ça ! Et malheureusement, on en consomme trop peu en Occident. Qu’appelle-t-on « oléagineux » ? Étymologiquement, « oléagineux » vient du latin « oleum », qui signifie « huile ». Un oléagineux est donc un végétal à partir duquel on peut faire de l’huile. Il s’agit à la fois de tout ce que les anglophones appellent « nuts », et des graines oléagineuses. Ce terme comprend donc : Des graines : sésame, courge, lin, tournesol, pavot, chanvre, chia … Et aussi des fruits : amande, noisette, noix, noix de Pécan, cajou, pignon, pistache, macadamia, kénari, olive, coco, avocat … L’arachide, dont le fruit s’appelle la cacahuète, est l’exception, car c’est une légumineuse. Mais on peut en faire de l’huile. Les graines oléagineuses sont les « embryons » des plantes, et les fruits secs oléagineux sont des fruits secs, le plus souvent à coquille épaisse. Les multiples bienfaits des oléagineux : Bien entendu, si l’on parle d’aliments, on ne considère que les oléagineux crus, sans transformation (pas grillés, pas frits, pas salés, pas enrobés …). Entre autres bienfaits, les noix diverses et les graines oléagineuses sont riches en fibres, présentent un index glycémique bas, sont riches en acides gras mono insaturés, en calcium (particulièrement le sésame), en protéines, en anti oxydants (surtout dans la peau des noix, des amandes …), sont une mine de nutriments (vitamines et minéraux) … Elles préviennent les maladies cardio vasculaires, sont excellentes pour le cerveau, sont anti cancer … Les noix bien françaises, celles dites « de Grenoble», sont pratiquement équilibrées en oméga-6 et oméga-3, sont une excellente source de vitamine E, se distinguent par leur fort taux en antioxydants … La noix du Brésil (ou noix d’Amazonie), quant à elle, est connue pour sa grande richesse en sélénium, qui préserve les cellules nerveuses, et donc protège des maladies neuro dégénératives, aide la thyroïde à mieux fonctionner, aide l’organisme à se détoxifier … Je pourrais continuer encore longtemps en louanges ! Mais attention à l’abus : La noix du Brésil, justement, est emblématique de la manière dont il faut manger ces oléagineux : une à deux noix du Brésil par jour sont excellentissimes … mais elles deviennent néfastes à partir de 8 (plus ou moins selon les personnes bien sûr) ! L’action du sélénium, alors, non seulement n’est plus optimisée, mais en abuser peut entraîner l’apparition d’effets toxiques. Ceci est particulier à la noix du Brésil, mais les oléagineux sont très riches, notamment en gras, il ne faut donc pas en abuser non plus, déjà pour ne pas surcharger votre foie : la quantité qui vous convient, au moment qui vous convient. Et cela peut beaucoup varier d’un individu à l’autre, selon son métabolisme, l’état de son foie, son activité, son âge etc. Le seul moyen de savoir quelle quantité nous convient à tel moment est de manger en conscience, en utilisant son sens olfactif. Capteurs sensoriels : En effet, nous disposons de capteurs olfactifs très nombreux (330 neurones pour l’olfaction, 2 pour la vision !) et très précis. Grâce à eux, nous sommes capables de différencier mille milliards d’odeurs. Une telle possibilité n’est pas là par hasard : cela nous permet de savoir de quoi nous avons besoin, à quel moment et en quelle quantité. Aucun « spécialiste » ne peut définir intellectuellement aussi exactement vos besoins ; les capacités du corps sont inégalables. Conçus pour des produits bruts : Mais attention : ces capteurs sont exclusivement conçus pour analyser les produits tels qu’ils existent dans la nature : bruts, « natifs », selon le terme consacré. À partir du moment où les aliments sont mélangés, transformés par le mixage, encore pire par la cuisson, nos capteurs sensoriels sont désactivés. On mange donc au hasard, en tombant souvent à côté de ce qui nous convient : pas le bon moment, pas la bonne quantité, molécules mélangées à d’autres, qui forment de nouvelles liaisons que le corps ne peut reconnaître et donc assimile moins bien. L’intellect et la « diététique » tentent bien de pallier au processus initialement prévu par la nature, mais cela ne fonctionne pas ou très mal, nous sommes bien obligés de le constater. Alors que faire si on mange transformé ? Fait-on tremper les oléagineux ? De temps en temps, pourquoi ne pas manger transformé si vous en avez envie. Le cru mélangé est de toute façon bien meilleur pour la santé que le cuit. Mais pour pallier aux problèmes que je viens d’évoquer, est-il mieux, dans ce cas, de faire tremper préalablement les oléagineux et fruits à coque, afin de les débarrasser de leurs phytates ? Phytates : Les phytates sont des molécules naturelles que la plante sécrète afin de se défendre des prédateurs, et qui limitent l’absorption correcte des nutriments, notamment des minéraux. Il est donc préconisé partout de faire tremper les oléagineux une nuit, puis on les égoutte, et on les rince bien. Ils seraient alors prêts à être consommés, plus digestes, et donc plus assimilables. Cette pratique du trempage des oléagineux est-elle réellement fondée ? Au-delà de toute étude scientifique, on est tout de même en droit de trouver un peu bizarre que l’aliment natif soit inférieur à un aliment transformé par une intervention humaine, car cela n’arrive jamais. Je vais vous présenter deux études, qui rejoignent le bon sens et la pratique sensorielle, où l’on mange tous les aliments sans transformation. Les effets de « l’activation » des amandes sur l’assimilation des consommateurs et la tolérance gastro-intestinale : L’objectif était de savoir si la recommandation habituelle de tremper les oléagineux avant consommation pour réduire les concentrations de phytates et améliorer la tolérance gastro-intestinale était justifiée scientifiquement ou non. L’étude a été réalisée sur 8 semaines, avec 76 personnes, en utilisant des amandes : Entières non trempées Entières trempées Émincées non trempées Émincées trempées. Si je résume les résultats, les symptômes gastro-intestinaux étaient minimes, mais les flatulences étaient significativement plus élevées pour les amandes entières trempées par rapport aux entières non trempées. Quant aux phytates, leur taux s’est même révélé légèrement plus élevé dans les amandes trempées entières, et aucune différence tangible n’a été constatée entre les amandes émincées trempées ou non. Cette recherche infirme donc l’idée reçue suggérant que le trempage améliore l’assimilation ou la tolérance gastro-intestinale. Une autre étude provient d’une thèse et va dans le même sens : L’effet du trempage des amandes et des noisettes sur les concentrations de phytate et de minéraux : Les oléagineux sont des sources importantes de macro nutriments (graisses insaturées) et phytonutriments, cardioprotecteurs. Mais le phytate amoindrit la bio disponibilité de certains minéraux (dont le zinc, le calcium et le magnésium). Le grand public est donc sommé d’activer (tremper) les oléagineux pour améliorer leurs bienfaits. La preuve de l’intérêt du trempage a été faite pour les céréales et les légumineuses, mais jamais pour les oléagineux. Le but de cette étude est donc d’évaluer les effets du trempage sur les concentrations de minéraux et phytates sur des amandes et des noisettes, entières et en morceaux. Résultats : Aucune différence notable concernant les taux de phytate n’a été notée entre les amandes-noisettes entières trempées ou non. Pour les amandes-noisettes coupées, le taux de phytate avait certes baissé, mais la teneur en minéraux aussi ! La conclusion est que le trempage ne sert strictement à rien pour réduire le taux de phytates et améliorer la biodisponibilité des micro nutriments. Mais de toute façon, les phytates sont-ils réellement dangereux ? Donc, tremper ne change rien sur le taux des phytates. Et de toute façon, comme je l’ai dit, on était tout de même en droit de trouver curieux qu’un aliment transformé par une intervention humaine (faire tremper) soit supérieur à cet aliment « brut », « natif », selon le terme consacré. Et en effet, ce n’est justement pas le cas : les phytates ne causent aucun problème, au contraire : Plus on en mange, plus notre organisme est apte à les dégrader. Cette étude est très claire à ce propos . De plus, les phytates sont loin d’être les gros méchants que certains présentent : au contraire, ils contribuent de manière notable à la lutte contre les cancers dans l’organisme. Vous pouvez consulter ces études par exemple : Effect of phytic acid and inositol on the proliferation and apoptosis of cells derived from colorectal carcinoma Suppression of colonic cancer by dietary phytic acid. Cancer Inhibition by Inositol Hexaphosphate (IP6) and Inositol. Eh oui, la nature est bien faite ! Et, malgré ce que l’homme s’imagine en permanence, il ne maîtrise pas tout, ne comprend pas tout, et son intervention est toujours inférieure par rapport à ce qui est prévu naturellement. On oublie donc le trempage des oléagineux ? En effet, la solution n’est pas de les faire tremper, mais d’en manger la bonne quantité pour nous au moment adéquat. Ressentir des troubles lors de la digestion des oléagineux est le signe que l’on a dépassé ses besoins. Cela peut même parfois être le signe que l’on n’en a pas du tout besoin au moment où l’on teste (mais cela peut changer), parce que, justement on n’est pas apte à les assimiler. La solution n’est donc pas de faire tremper, mais plutôt d’écouter son corps. Si on mange mélangé-transformé, il faut faire appel à notre expérience et notre intellect, même si dans ce cas il est très imparfait, pour savoir quelle quantité ne pas dépasser. Cela peut aussi indiquer que l’insalivation est insuffisante. Une mastication correcte est en effet nécessaire car la digestion commence dans la bouche et, dès la première mastication, le corps reçoit les signaux nécessaires pour qu’il puisse se préparer à assimiler ce que l’on mâche. Aucun trempage ne peut remplacer cette étape. Et l’idéal reste toujours de consommer l’aliment brut, au moment où l’on en a besoin, et en quantité appropriée pour nous à ce moment. Car tremper une amande, une noisette ou un tournesol lui fait absorber de l’eau extérieure, qui n’est pas son eau de végétation, et transforme donc l’aliment en lui apportant des éléments qui ne s’y trouvaient pas initialement. Donc perturbe l’assimilation. Trempage des oléagineux ET germination : Si l’on fait suivre le trempage par une germination, là les résultats sont tout autres, et la germination apporte véritablement un plus. Seules les graines oléagineuses peuvent germer sans terreau. Deux graines sont très faciles à faire prégermer (on attend qu’un tout petit germe sorte, on ne le laisse pas grandir) : Le sésame et le tournesol. Par exemple, laisser sortir un petit germe après trempage sur des tournesols est hautement bénéfique : ils seront encore plus digestes, avec une teneur accrue en protéines, vitamines, etc. Sinon, les autres graines oléagineuses peuvent se manger germées (sauf les graines de courge), mais ce sont alors des graines germées, plus des oléagineux. Je vous conseille de lire cet article à venir à ce propos (Tout savoir sur les graines germées : propriétés, modes de germination). Source : https://blog.green-yoga.fr/oleagineux-immenses-bienfaits-mais-trempage-ou-non/?fbclid=IwAR0w_rnmggiWLphmO3ol7Qsn0Zm-xl-z-7GM-MUmXk9MC7BvFDGNt-n3sbE
- Régler le débat sur les "virus"
Article "Un petit parasite constitué d'acide nucléique (ARN ou ADN) enfermé dans une enveloppe protéique qui peut se répliquer uniquement dans une cellule hôte sensible. »1 Plus de deux ans se sont écoulés depuis le début de la crise du "corona", qui a changé la trajectoire de notre monde. Le principe fondamental de cette crise est qu'un « virus » mortel et nouveau, le SRAS-CoV-2, s'est propagé dans le monde entier et a eu un impact négatif sur de larges segments de l'humanité. Au cœur de ce principe se trouve la sagesse acceptée selon laquelle les virus, définis comme des morceaux de matériel génétique enrobés de protéines, ADN ou ARN, existent en tant qu'entités indépendantes dans le monde réel et sont capables d'agir comme agents pathogènes. C'est-à-dire que l'on pense généralement que la soi-disant particule avec le revêtement protéique et l'intérieur génétique infecte les tissus et cellules vivants, se réplique à l'intérieur de ces tissus vivants, endommage les tissus lorsqu'elle sort et, ce faisant, on pense également qu’elle crée la maladie et parfois la mort de son hôte, c’est la soi-disant théorie virale de la causalité de la maladie. On dit alors que les particules virales présumées peuvent se transmettre à d'autres hôtes, provoquant également des maladies chez eux. Après un siècle d'expérimentation et d'études, ainsi que des milliards de dollars incalculables dépensés pour cette "guerre contre les virus", nous devons nous demander s'il ne serait pas temps de reconsidérer cette théorie. Depuis plusieurs décennies, de nombreux médecins et scientifiques soutiennent que cette compréhension communément acceptée des virus est basée sur de fausses idées fondamentales. Fondamentalement, plutôt que de voir les « virus » comme des entités indépendantes, exogènes et pathogènes, ces médecins et scientifiques ont suggéré qu'ils seraient simplement les particules de dégradation ordinaires et inévitables des tissus stressés et/ou morts ou mourants. Ils ne sont donc pas pathogènes, ils ne sont pas nocifs pour les autres êtres vivants et il n'existe aucune raison scientifique ou rationnelle de prendre des mesures pour se protéger ou protéger les autres contre eux. Les idées fausses sur les « virus » semblent provenir en grande partie de la nature des expériences qui sont utilisées comme preuve pour affirmer que de telles particules existent et agissent de manière pathologique comme décrit ci-dessus. Essentiellement, les publications en virologie sont en grande partie de nature descriptive, plutôt que des expériences contrôlées et falsifiables fondées sur des hypothèses qui sont au cœur de la méthode scientifique. Peut-être que la principale preuve que la théorie virale pathogène est un problème, c’est qu'aucun article scientifique publié n'a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels de tout humain ou animal malade. En utilisant la définition communément acceptée de « l'isolement », qui est la séparation d'une chose de toutes les autres choses, il est généralement admis que cela n'a jamais été fait dans l'histoire de la virologie. Il n'a pas été démontré que des particules qui ont été isolées avec succès par purification sont compétentes pour la réplication, infectieuses et pathogènes, elles ne peuvent donc pas être considérées comme des virus. De plus, les « preuves » de virus fournies par les « génomes » et les expériences sur les animaux proviennent de méthodologies avec des contrôles insuffisants. Les expériences suivantes devraient être menées à bien avant que la théorie virale puisse être considérée comme factuelle : 1. une particule unique ayant les caractéristiques d'un virus doit être purifiée à partir des tissus ou fluides d'un être vivant malade. La méthode de purification à utiliser est à la discrétion des virologues mais des micrographies électroniques doivent être fournies pour confirmer la purification réussie de particules virales présumées morphologiquement identiques ; 2. la particule purifiée est caractérisée biochimiquement pour ses composants protéiques et sa séquence génétique ; 3. il doit être prouvé que les protéines sont codées par ces mêmes séquences génétiques ; 4. il doit être démontré que les particules virales purifiées seules, par une voie d'exposition naturelle, provoquent une maladie identique chez les sujets testés, en utilisant des témoins valides ; 5. les particules doivent ensuite être réisolées avec succès (par purification) du sujet de test au point 4 ci-dessus, et il doit être démontré qu'elles ont exactement les mêmes caractéristiques que les particules trouvées à l'étape 1. Cependant, nous réalisons que les virologues ne peuvent pas suivre les étapes décrites ci-dessus, probablement parce que toutes les tentatives à date ont échoué. Ils évitent maintenant simplement cette expérience, insistant sur le fait que ce qu'ils appellent des "virus" ne peuvent pas être trouvé en quantités suffisantes dans les tissus de toute personne ou animal malade pour permettre une telle analyse. Par conséquent, nous avons décidé de rencontrer les virologues à mi-chemin. Dans un premier temps, nous proposons que les méthodes des usages actuels soient mis à l'épreuve. Les virologues affirment que ces virus pathogènes existent dans nos tissus, cellules et les fluides corporels parce qu'ils prétendent voir les effets de ces supposées particules uniques dans une variété de cellules de cultures. Ce processus est ce qu'ils appellent "l'isolement" du virus. Ils affirment également qu’en utilisant la microscopie électronique, ils peuvent voir ces particules uniques dans les résultats de leurs cultures cellulaires. Enfin, ils prétendent que chaque « espèce » de virus pathogène a son génome unique, qui peut être séquencé soit directement à partir des fluides corporels de la personne malade ou des résultats d'une culture cellulaire. Nous demandons maintenant à la communauté virologique de prouver que ces allégations sont valides, scientifiques et reproductibles. Plutôt que de s'engager dans des échanges verbaux inutiles, mettons fin à cet argument en faisant des expériences scientifiques claires, précises qui, sans aucun doute, montreront si ces affirmations sont valables. 1 Definition of ‘virus’ from Harvey Lodish, et al., Molecular Cell Biology, 4th ed, Freeman & Co., New York, NY, 2000 : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1470817501000236?via%3Dihub Nous proposons l'expérience suivante comme première étape pour déterminer si une entité telle qu'un virus humain pathogène existe… PREMIÈRE ÉTAPE 5 laboratoires de virologie dans le monde participeraient à cette expérience et aucun ne connaîtrait l'identité des autres laboratoires participants. Un moniteur sera désigné pour superviser toutes les étapes. Chacun des 5 laboratoires recevra cinq échantillons nasopharyngés de quatre catégories de personnes (soit 20 échantillons chacun), qui soit : 1) ne reçoivent pas ou ne sont pas actuellement traités pour un diagnostic médical ; 2) ont reçu un diagnostic de cancer du poumon ; 3) ont reçu un diagnostic de grippe A (selon les lignes directrices reconnues) ; ou qui 4) ont reçu un diagnostic de « COVID-19 » (par le biais d'un « test » PCR ou d'un test de flux latéral.). Le diagnostic (ou "non-diagnostic") de chaque personne sera vérifié de manière indépendante, et les rapports de pathologie seront mis à disposition dans le rapport d'étude. Les laboratoires seront aveuglés sur la nature des 20 échantillons qu'ils reçoivent. Chaque laboratoire tentera alors d'"isoler" les virus en question (Influenza A ou SARS-CoV-2) à partir des échantillons ou conclura qu'aucun virus pathogène n'est présent. Chaque laboratoire montrera des photographies documentant le CPE (effet cytopathique), s'il est présent, et expliquera clairement chaque étape du processus de culture et des matériaux utilisés, y compris tous les détails des contrôles ou des « fausses infections ». Ensuite, chaque laboratoire obtiendra des images au microscope électronique vérifiées de manière indépendante du virus "isolé", s'il est présent, ainsi que des images montrant l'absence du virus (vraisemblablement, chez les personnes en bonne santé et les personnes atteintes d'un cancer du poumon). Le microscopiste électronique ne connaitra pas la nature des échantillons qu'il analyse. Toutes les procédures seront soigneusement documentées et contrôlées. DEUXIÈME ÉTAPE TOUS les échantillons seront alors envoyés pour séquençage génomique et encore une fois les opérateurs resteront aveugles sur la nature de leurs échantillons. On devra s’attendre à ce que si les 5 laboratoires reçoivent du matériel provenant du même échantillon d'un patient diagnostiqué avec COVID-19, chaque laboratoire devrait signaler des séquences IDENTIQUES du génome présumé du SRAS-CoV-2. En revanche, ce génome ne devrait être retrouvé dans aucun autre échantillon. (Remarque : cette déclaration est un bref aperçu des expériences suggérées - un protocole entièrement détaillé devrait évidemment être développé et accepté par les laboratoires et les signataires.) Si les virologues ne parviennent pas à obtenir un résultat satisfaisant de l'étude ci-dessus, leurs affirmations concernant la détection de "virus" se révéleront sans fondement. Toutes les mesures mises en place à la suite de ces revendications doivent être arrêtées immédiatement. S'ils réussissent dans cette première tâche, nous les encourageons à procéder aux expériences de purification requises pour obtenir la preuve probante de l'existence des virus. Il est dans l'intérêt de tous d'aborder la question de l'isolement, et de l'existence même, de prétendus virus tels que le SRAS-CoV-2. Cela nécessite la preuve que l'entrée de particules virales morphologiquement et biochimiquement dans les cellules vivantes est à la fois nécessaire et suffisante pour provoquer l'apparition de particules identiques, qui sont contagieuses et pathogènes. Nous apprécions votre soutien et vos commentaires pour cette initiative. Signataires : Thomas Cowan, MD Mark Bailey, MD Samantha Bailey, MD Jitendra Banjara, MSc Kelly Brogan, MD Kevin Corbett, PhD Mufassil Dingankar, BHMS Michael Donio, MS Jordan Grant, MD Andrew Kaufman, MD Valentina Kiseleva, MD Christine Massey, MSc Paul McSheehy, PhD Prof. Timothy Noakes, MD Sachin Pethkar, BAMS Saeed Qureshi, PhD Stefano Scoglio, PhD Mike Stone, BEXSc Amandha Vollmer, NDoc Michael Yeadon, PhD Source du document : https://drsambailey.com/resources/settling-the-virus-debate Citation : « Les virus n’existent pas ! Ce que l’on prend pour de virus sont en réalité des fragments d’ADN ou d’ARN encapsulés (exosomes) qui sont excrétés, rejetés par nos cellules dans certaines conditions. Les virus n'existent pas selon la définition et les fonctions qui leur sont attribués. La médecine moderne n'est qu'un dogme, et la plupart des humains croient aux virus comme à une religion ! Les événements dramatiques que nous vivons sont la conséquence d'une présence inhabituelle d'ondes électromagnétiques dans notre environnement, dont une partie sont liés aux technologies de communication. » - Dr. Hugues Holleville Articles complémentaires : Nos amis les microbes Les microzymas Epidémies et contagion L'hypothèse VIH/SIDA en clair - Les faits
- Tout sur les purges
Article naturopathique Avant de faire une purge il faut impérativement changer son mode de vie et d'alimentation pendant 3 à 4 semaines, il faut préparer le terrain car les purges sont puissantes et la personne qui purge doit être apte à les supporter. En outre, ça ne sert à rien de purger si on ne change pas son hygiène de vie. Ce n'est pas une thérapie symptomatique. Les purges ouvrent la porte pour évacuer les déchets, la purge est une vidange lymphatique. Par l’action purgative de la purge, le chyle intestinal va passer dans la lumière intestinale, c’est en somme de la lymphe qui s’est enrichie au niveau de la paroi intestinale de lipides. => Sortie des colles & des cristaux, pas seulement des selles. Purge ricin = vidange lymphatique (humeurs). Purge laxative = vidange intestinale. Eviter les oléagineux avant une vidange ou une purge, il faut vitaliser et non construire. Il est important de vitaliser 2 jours avant et 2 jours après les purges (jus de légumes, fruits) et adopter une alimentation vivante originelle hypotoxique. 1. Purge hydrique : le Chlorumagène L'hydroxyde de magnésium nettoie drastiquement les intestins. Posologie : A prendre soit le matin à jeun ou à la place du repas du soir (au moins 6 h après le dernier repas, estomac vide). En moyenne 2 C à S bien pleines (30 gr) dans 1 verre d'eau, puis attendre 10 min. ensuite boire 1,5 litre de liquide obligatoire, de l’eau ou l'eau d'un bouillon de poireaux (pas les légumes) dans l'heure ou une infusion qui convient à la personne, laxative ou autres. Bouillon de poireaux avec thym, romarin, clou de girofle. Ne pas manger tant qu'on n'est pas allé à la selle c'est indispensable ! ensuite monodiète de fruits juteux, jus de légumes ou légumes lactofermentés, manger léger. Rare : si pas éliminé après 24 h => on reprend 1 C à S. Si on purge le soir, s'installer bien au chaud au lit avec bouillotte sur le foie de préférence. Si on purge le matin, on se repose, jour calme chez soi proche des toilettes. 2. Purge hydrique : la magnésie San Pellegrino à 90% Sel de magnésium forme simple. Même posologie que le Chlorumagène 2 C à S bien pleines, 30 gr et 1,5 L d'eau ou de bouillon de légumes. Elle est plus indiquée chez les arthrosiques et les douloureux, tendinite, sciatique, rétention d'eau, elle expulse l'acide urique, elle agit plus sur les reins. Ils leur faut des jus de légumes pour minéraliser avant et après la purge (sans fruits) pendant 2 jours, des jus verts de préférence 1 litre + 0,5 à 1 litre d'eau faible en résidus secs (Spa Reine, Montcalme) ou de tisane rénale. Notes Dr. Bertholet : Après chaque absorption de purge magnésienne il faut boire une grande tasse d’infusion diurétique sans sucre. Il faut boire 1 autre tisane diurétique 2 heures après avoir tout bu et 1 dernière quand tout est évacué pour éliminer les sels. Ce qui a l’avantage chez les grands intoxiqués, de neutraliser en partie l’acidité des liquides humoraux. La choucroute crue à l'extracteur refait en douceur les intestins et le microbiote, c'est indiqué après la purge au Chlorumagène, ou des légumes lactofermentés. Le microbiote se modifie en fonction des aliments ingérés (transition alimentaire). Pas de kéfir ou de kombucha, ce sont des fruits fermentés (alcool). Légumes lactofermentés : OK. Purger à la magnésie 2, 3 jours avant les règles, elles seront moins abondantes, moins longues et moins douloureuses avec une alimentation vivante. Les règles sont un moyen complémentaire d'élimination (utérus : émonctoire secondaire). La difficulté d’élimination témoigne d’un manque de vitalité de l’organisme et c’est une des raisons pour laquelle je rappelle toujours qu’il est conseillé de ne commencer les purges qu’après quelques semaines de transformation de l’alimentation (préparation). 3. Purge sèche : à l'huile de RICIN « HDR » (Cayce Edgar) Palma Christi, la main du Christ. Expulsion grâce à l'acide ricinique (acide gras oxydé). Les viscosités, les colles qui sont dans la lymphe sont expulsées. La purge au ricin c'est pour les congestions de mucus, affections pulmonaires et ORL, toux, constipation, etc. qui ne sortent pas ou qui traînent. Asthme, mucoviscidose, bronchite, pneumonie, timidité, peur, appendicite, dépression. Posologie : 3 à 4 C à S dans 1/2 verre de jus de pamplemousse ou de pomme/gingembre, ce avec quoi vous mélangez la purge n'a pas d'importance. Le matin à jeun ou le soir à la place du repas (estomac vide, MINIMUM 6h après le dernier repas). Pour les grosses difficultés jusqu'à 7 C à S (1 C à S = 15 ml ; 1 ml = 0,9 gr). Ne plus boire ni manger pendant 12 heures ! 40-50 kg : 3 cuillères à soupe (45 ml = 40 gr). 50-70 kg : 4 cuillères à soupe (60 ml = 54 gr). 70-90 kg : 5 cuillères à soupe (75 ml = 67 gr). 90-110 kg : 5-6 en fonction de votre corpulence (90 ml / 81 gr). => Environ 0,8 gr d’HDR / kg de poids corporel. Alterner pamplemousse et pomme si la purge est nécessaire plusieurs fois, pour ne pas associer le fruit à l'HDR. Technique : pincer le nez, boire d'une traite le mélange bien agité, rincer à l'eau et recracher, prendre 2 à 3 g d'HE de menthe pour tapisser toute la bouche, relâcher la pince du nez. L'huile de ricin est un bon nettoyeur de la lymphe, du foie et des reins. Très gros nettoyage avec cette purge. Continuer la purge 3, 4 jours ou plus si nécessaire si les reins sont bouchés et répéter au besoin, même quand les crasses commencent à sortir, il faut que ça sorte ! + diète. Ne pas boire après la purge à l'huile de ricin, rien de toute la journée, les colles doivent sortir ! Jeûne sec pendant 12 heures, on se repose. Un fruit uniquement pour dissoudre les colles après avoir évacué ou 4 pruneaux trempés, monodiète et peu de quantité. Il faut assécher l'organisme. Les colles étant non solubles ont tendance à s'accumuler dans la lymphe et en ne buvant pas ou peu pendant quelques heures ou jours, on va obliger l'organisme à puiser du liquide dans la lymphe pour maintenir le volume sanguin normal, de ce fait les colles transportées par la lymphe pénètrent plus abondamment dans le courant sanguin que normalement. 4. La purge du Dr. Bertholet Ingrédients : Citrate de magnésie (magnésium) 40 à 65 gr. Sulfate de soude ou de sodium (sel de Glauber) 15 gr. Bicarbonate de soude 3 gr. Sirop simple 30 gr ou sirop d’agave. Eau distillée 50 cl ou eau de source faiblement minéralisée (Spa). Action énergique mais non brutale ni douloureuse, elle ne provoque pas de colique inutile, elle ne fatigue pas l’appareil urinaire, très bien supportée même par les intestins les plus fragiles. Assure la dissolution et l’élimination des substances de déchets et des toxines qui encombrent les cellules de tous les organes. Pour le jeûne, prendre la purge le 1er et le 2è jour, puis tous les 3 jours jusqu’à la fin de la cure. Le sel de Glauber ou sulfate de sodium a des vertus laxatives utilisées en médecine dans les cas de constipation. Pour la médecine alternative, c’est un moyen préconisé dans la détoxification en cure de printemps. C’est Johann Rudolf Glauber (1604-1670) qui a découvert les vertus du sulfate de sodium. L'action est décapante sur les déchets séchés et collés sur les parois intestinales. Posologie : A prendre estomac vide (au moins 6 h après dernier repas) à boire en 2 x (25 cl) à 20 minutes d’intervalle. Après chaque absorption de purge il faut boire une grande tasse d’infusion diurétique sans sucre. La dose totale de liquide absorbée par le patient doit être d’un litre au moins en 30 minutes. L’effet se fait sentir au bout de 2 heures environ et s’arrête 6 à 8 heures plus tard. Ne manger qu’une heure après la dernière expulsion. Il faut boire 1 autre tisane diurétique 2 heures après avoir tout bu et 1 dernière quand tout est évacué pour éliminer les sels. Ce qui a l’avantage chez les grands intoxiqués de neutraliser en partie l’acidité des liquides humoraux. 5. La purgation magnésienne du Pr. Jauvais Du chlorure de magnésium (sel de Nigari), 10g Du sulfate de magnésium (sel d’Epsom), 15g Du sulfate de sodium (sel de Glauber), 15g Du Lactulose, 15 gr Du sorbitol, 15 gr 38 Cl d’eau. Un jour de jeûne minimum. Cette purgation vidange complètement le foie, la vésicule et l’intestin. Il faut purger sérieusement en présence de toutes pathologies. Il faut se purger avant de se tourner vers l’alimentation spécifique et naturelle. Dans les débuts, ne pas hésiter à se purger 1 ou 2 x / semaine, ensuite 1 x / semaine, puis 1 x/ mois durant toute la vie (règle d’hygiène interne). Consommer des fruits mûrs biologiques après la purge pour rétablir la flore intestinale. 6. Purge au sel anglais ou sel d’Epsom (sulfate de magnésium) Nettoyage viscéral efficace qui élimine la plupart des toxines accumulées pendant l’hiver et en favorisant l’entretien de la santé. Posologie : Le matin à jeun, diluer 30 gr à 50 cl d’eau de source faiblement minéralisée placée au frigo la veille. Répartir les 50 cl dans 4 verres à boire en 5 minutes. L’effet se manifeste dans les 25 à 60 minutes. Le sulfate de magnésium n’est pas absorbé par le sang et ne risque pas de fatiguer les reins. Comme pour les autres purges, ne pas manger pendant la journée, prendre un repas léger de fruits ou de légumes ou de légumes lactofermentés le soir et boire de l’eau de source la journée. 4 cas de contre-indications à la purge : L’appendicite. L’occlusion intestinale et les grands constipés. La péritonite. Faible énergie vitale, asthénie prononcée. Les purges en général : On peut pratiquer les purges per os à partir de 8 ans. Pour les femmes enceintes et allaitantes, les purges sont bénéfiques. En cataplasmes pour les bébés (enveloppement) à partir de 4 mois sur le ventre avec du coton hydrophile 3 x / J, bronchite, coqueluche, toujours à la diète, juste un peu d'infusion, le minimum. Ne pas purger les grands malades affaiblis, sans énergie vitale, ils ont trop à faire sortir et ils sont bloqués avec les médicaments, il faut vitaliser avant. Plus l’individu est encrassé, plus désagréable sera la purgation. Vitalisation : il est conseillé de changer son alimentation avant de commencer une purge et de consommer des jus de légumes et manger des fruits mûrs environ 3 semaines avant. Quand on a mal, qu'on ne se sent pas bien, on se purge, colles ou cristaux. Infection, dépression => purge. A chaque purge on décolle mentalement et physiquement, on se sent mieux ! Les purges et les jeûnes de quelques jours seulement, de même que l’alimentation vivante permettent de ne pas s’encrasser, d’éliminer plus rapidement et plus facilement, de conserver l’intégrité de ses batteries, bref sa vitalité auto-défensive et auto-guérison. N.B. En hygiénisme, les purges et autres techniques interventionnistes ne sont pas utilisées. Elles soutiraient l’énergie vitale. L’hygiénisme laisse faire le corps à son rythme sans tirage forcé. Les purges sont considérées comme des poisons, le corps les expulse d’ailleurs au plus vite par une forte diarrhée. Les purges magnésiennes sont à bannir totalement pour les personnes constipées et sous-vitale => trop d’énergie puisée, les batteries se videraient encore + ce qui provoquerait + de constipation (fatigue). Ce procédé répété peut fatiguer les intestins, les irriter et évacuer une partie du microbiote. Conseil : Consultez un spécialiste en santé naturelle en cas de troubles et avant de pratiquer la purgation. Citation : « Les laxatifs provoquent toujours une perte de minéraux et certains d’entre eux réduisent l’absorption de vitamines (A, D, E et K). » - Danièle Festy
- Fruits locaux & tropicaux
Par le Dr. Miguel Barthéléry Beaucoup de discussions récurrentes sur la saisonnalité et la localité des fruits et des légumes… La saisonnalité et la localité sont des vrais faux débats. Tant que votre corps n'a pas comblé ses carences et n'est pas assez nettoyé, manger local et de saison ne suffira pas : votre corps vous DEMANDERA les fruits et les légumes dont il aura le plus besoin pour se nettoyer et régénérer. Considérez les fruits et les légumes comme des "alicaments". De plus, nous sommes à la base des animaux tropicaux, et seuls les fruits tropicaux nous satisfont véritablement. On en mange moins et ils nous satisfont bien plus longtemps (Livre : La cure zen detox p. 141 à 143). Idéalement nous vivrions tous nus sous les tropiques à manger des mangues et des papayes… Nous avons l’extrême privilège de vivre à une époque et dans un pays où toutes ces choses nous sont disponibles toute l'année… Ou alors nous migrerions vers le sud en hiver, comme nous l'avons fait durant des millénaires pour ceux qui se sont aventurés plus au Nord. ÉVITONS donc de faire un BRAS D'HONNEUR à la Nature généreuse quand son abondance vient jusqu’à nous, et que nous n'avons plus à nous déplacer jusqu’à elle ! Notez bien : une mangue du Pérou qui nous vient par avion aura une empreinte carbone infiniment moins élevée que la viande venue du pré d'à côté, ou du blé du champs voisin, ou que la tomate de la ferme hydroponique (sic!) de la région (Même si, cette mangue aura du être cueillie avant maturité, les fruits tropicaux ont cette particularité avec certains fruits du "nord" de mûrir même une fois cueillis…) Pour vous en convaincre, regarder le film documentaire : “COWSPIRACY”. Pour les grands primates que nous sommes, les fruits arboricoles tropicaux (de véritables pièges à carbone) sont probablement les plus nourrissants pour nous parce qu’extrêmement riches en micro-nutriments dont nous avons besoin. RELATIVISONS, donc et ne faisons pas du mieux l'ennemi du bien. Dans un premier temps, mangeons les fruits et les légumes que nous PRÉFÉRONS et nettoyons nos humeurs. La saisonnalité viendra intuitivement toute seule, c'est promis ! L'alimentation n'est pas affaire du mental mais du corps !











