Blog dédié à l'hygiénisme et à la santé naturelle


"La connaissance est une force. La connaissance de
la santé donne de grands pouvoirs." - J.H.Tilden
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- Le magnésium
Article de nutrithérapie Au même titre que le zinc , le magnésium fait partie des compléments nutritionnels essentiels que j’utilise biquotidiennement. C’est l’un des minéraux les plus précieux pour soutenir notre organisme, notre énergie et notre équilibre émotionnel. Description : Le magnésium appartient à la grande famille des minéraux essentiels au fonctionnement normal du corps. Il intervient dans plus de 300 réactions enzymatiques , notamment dans les domaines : musculaire immunitaire nerveux mitochondrial (activation de l’ATP, notre énergie cellulaire) La carence est extrêmement fréquente : 75 à 80 % des Belges et des Français seraient en déficit. Il est éliminé par les urines, la transpiration… et surtout le stress , grand consommateur de magnésium. Ce minéral est aussi un cofacteur indispensable à la synthèse de neurotransmetteurs comme la sérotonine et la dopamine : il influe donc directement sur l’humeur, la gestion du stress et la cognition . Il participe également à la production de nombreuses hormones : testostérone , progestérone, œstrogènes, T3, T4, mélatonine… Besoins quotidiens : Sédentaire : environ 6 mg/kg/jour. → Homme 70 kg : ~420 mg / jour. → Femme 55 kg : ~330 mg / jour. En période de stress : → Jusqu’à 600 mg / jour chez un sédentaire. → Jusqu’à 900 mg / jour chez un sportif. Sportifs : 7 à 8 mg/kg/jour. → Homme 80 kg : 560 à 640 mg / jour. L’hypermagnésémie toxique n’apparaît qu’à des doses supérieures à 2.500 mg/jour . À noter : seulement 30 à 40 % du magnésium alimentaire est réellement absorbé. De nombreux facteurs augmentent nos besoins : sport, transpiration, alcool, café , diurétiques, grossesse, allaitement, alimentation appauvrie, infections, stress … Certaines études montrent également des bénéfices à long terme sur la santé cardiovasculaire, rénale, et même sur l’augmentation de la testostérone totale et libre. La fatigue de l’après-midi associée à des tensions dans le bas du dos est souvent liée à un déficit en magnésium. Biologie : Magnésium érythrocytaire Magnésium urinaire Taux optimaux : Magnésium plasmatique : 80–100 ng/mL. Magnésium érythrocytaire : 5.00–5.80 mg/dL. Antagonistes (facteurs qui diminuent le magnésium) : Diurétiques, laxatifs ; Café , thé, sodas ; Calcium, phosphore. Agonistes (facteurs qui améliorent son assimilation) : Vitamines du groupe B (notamment B6) ; Vitamine D3 ; Potassium ; L-taurine. La vitamine D aide le magnésium à rester plus longtemps dans la cellule. Précautions : Insuffisance rénale. Réduire le café et l’alcool. Indications principales : Le magnésium peut être pertinent en cas de : stress , anxiété, nervosité ; fatigue physique et nerveuse ; spasmophilie ; tensions et crampes musculaires ; paupières tremblantes (miokymie) ; hypertension , athérosclérose ; insomnie ; inflammation ; faiblesse immunitaire (stimulation des lymphocytes T) ; allergies , asthme ; diabète de type 2 ; troubles de l’humeur ; maladies neurodégénératives, Parkinson , Alzheimer ; extrémités froides ; élimination des métaux lourds ; lithiases rénales . Sources naturelles de magnésium : Fruits de mer : escargots, moules, bigorneaux, huîtres, bulots, palourdes, anchois ; Oléagineux : noix de cajou, amandes ; Graines : courge, chia ; Germes de blé ; Légumes feuilles vertes ; Noix de coco séchée ; Dattes, bananes ; Chocolat noir > 70 %. Compléments alimentaires : Privilégier les gélules plutôt que les comprimés. Éviter les excipients suivants : E551 : dioxyde de silicium E466 : carboxyméthylcellulose de sodium E341 : phosphate dicalcique E339 : phosphate disodique Les effets sur le stress et l’anxiété se ressentent généralement après 8 à 15 jours. Les formes les mieux assimilées au moins assimilées : 1. Le "haut du panier" (excellente assimilation et tolérance) Ces formes sont dites "organiques" ou "chélatées". Elles sont liées à des acides aminés, ce qui permet au magnésium de passer la barrière intestinale très facilement sans causer de troubles. Magnésium Bisglycinate : le champion toutes catégories. Forme chélatée liée à de la L-glycine (un acide aminé relaxant). Il est extrêmement bien absorbé, très bien toléré et sans effet laxatif. Idéal pour le stress et le sommeil . Magnésium Taurate : forme chélatée liée à l’acide aminé L-taurine. Il est particulièrement intéressant pour la sphère cardiovasculaire et la fixation du magnésium dans les cellules nerveuses. Excellente biodisponibilité. À prendre plutôt le soir avec l’effet apaisant et calmant de la taurine qui améliore la qualité du sommeil . 2. Les "très bons élèves" (spécifiques et efficaces) Magnésium Malate : Lié à l'acide malique. C'est la forme préférée pour l'énergie musculaire et la récupération. Il aide à "décrasser" les muscles (utile en cas de fatigue chronique ou de fibromyalgie ). Très bonne absorption, effet laxatif modéré. Glycérophosphate de Magnésium : Une forme liposoluble qui a l'avantage de ne pas être laxative du tout. C'est souvent celle que l'on retrouve dans les compléments pour le stress . 3. Le "bon élève mais à surveiller" (effet osmotique) Citrate de Magnésium : bonne biodisponibilité, mais il a un défaut : il est osmotique. Cela signifie qu'il attire l'eau dans les intestins. À dose modérée, c'est parfait, mais à dose élevée, il peut accélérer le transit (effet laxatif). Très bien pour ceux qui souffrent de constipation légère. C’est une forme organique, alcalinisante idéale pour les douleurs et les courbatures. 4. Les "moins bons élèves" (faible assimilation ou irritants) Magnésium Marin (oxyde/hydroxyde) : Très populaire car "naturel", c'est pourtant l'un des moins bien absorbés (environ 4%). L'essentiel reste dans l'intestin, ce qui provoque souvent des ballonnements ou des diarrhées. C'est un mélange de sels inorganiques peu coûteux. Chlorure de Magnésium (Nigari) : Bien qu'il soit très efficace pour stimuler le système immunitaire en urgence, sa biodisponibilité est moyenne et il est très irritant pour les intestins à long terme. Son goût est également très désagréable. Le chlorure de magnésium est acidifiant et favorise donc l’acidose, utile de ce fait dans les problèmes infectieux, les constipations opiniâtres ou les purges . Tableau récapitulatif Forme Assimilation Tolérance Digestive Meilleure utilisation Bisglycinate ⭐⭐⭐⭐⭐ Excellente Stress, Sommeil, Traitement de fond Taurate ⭐⭐⭐⭐⭐ Excellente Cœur, Système nerveux Malate ⭐⭐⭐⭐ Très bonne Énergie, Muscles Citrate ⭐⭐⭐⭐ Moyenne (Laxatif) Constipation, Sport Marin ⭐ Médiocre À éviter si intestin sensible Chlorure ⭐ Médiocre Constipation, Purge, Infections Le citrate et le bisglycinate peuvent être associés et gagnent à être pris avec : Vitamine B6 ; Complexe de vitamines B ; L-taurine. Posologie conseillée : Pour une meilleure assimilation : Fractionner la prise en 2 fois par jour (ex : 2 × 200 mg). Éviter : thé, café, alcool, antiacides autour de la prise. En général, 300 à 400 mg/jour suffisent en supplémentation. Dose toxique : > 3 000 mg/jour. Pour les difficultés à démarrer le matin : magnésium + L-tyrosine (précurseur des catécholamines). Contre le stress / l'anxiété : magnésium + rhodiole ou autre plante adaptogène. Citations : « Comment l’organisme se procurera-t-il les sels minéraux qui lui manquent en cas d’absence ou d’insuffisance de ces nutriments dans l’alimentation ? Il peut alors les extraire des muscles, des os, des dents, des cartilages, etc. donc aux dépens de ces structures et de leur intégrité. » - Dr. André Passabecq « Les études sur l’apport en macro et micronutriments dans la nutrition paléolithique des anciennes sociétés de chasseurs-cueilleurs ont montré une absorption de magnésium dans leur régime habituel de 600 mg de magnésium par jour. » - Dr. Joseph Mercola « Le stress entraine une fuite urinaire du magnésium ce qui est la première étape du burnout : impossibilité de synthétiser le cortisol (hormone de l’énergie), la DHEA, la dopamine (joie de vivre, libido, mémoire, motivation, concentration, la noradrénaline (énergie). » - Dr. Stéphane Résimont Articles complémentaires : Les carences nutritionnelles .
- L'insomnie
Article naturo-hygiéniste Un sommeil perturbé et incomplet fera le lit de toutes sortes de troubles physiques, psychiques, neurologiques, endocriniens et immunitaires par énervation (baisse d’ énergie vitale ). Il n’est pas possible d’avoir une bonne santé, une bonne vitalité et un niveau de conscience élevé sans un repos suffisant et réparateur. Le sommeil est vital pour l’organisme. C’est la phase anabolique du métabolisme (réparation, reconstruction, élimination, recharge énergétique, etc.). En hygiénisme , la régénération et l’autoguérison ne peut être réalisée que par deux éléments principaux : le repos et l’alimentation physiologique . Les somnifères induiront un sommeil artificiel sans sommeil paradoxal qui ne permettra pas la récupération physique et mentale. Ces drogues chimiques intoxiqueront l’organisme. 1 million de personnes souffrent d’insomnie sévère en Belgique, soit près de 9% de la population. Causes : La cause de l’insomnie est multifactorielle, c’est notamment la tension nerveuse et musculaire provoquée par la toxémie des centres nerveux. Le système nerveux autonome peut être déréglé. Un jeûne peut résoudre ce problème par la désintoxication de ces centres nerveux et la majorité les insomniaques dormiront normalement. Les soucis. La douleur. Un foie fatigué . Le fluor . L’aspartame (perturbation de la conversion sérotonine -> mélatonine). Les écrans (lumière bleue*) avant d’aller au lit (blocage de la production de mélatonine**). Une lumière trop forte le soir dans les espaces de vie. La consommations de stimulants , d’ overtoniens , de médicaments. Les rayonnements électromagnétiques dans la chambre (Smartphone, radio-réveil, babyphone, téléphone sans fils, Wi-Fi, etc.). La parasitose intestinale . La dysbiose intestinale . L’ hypothyroïdie : l’hormone thyroïdienne T3 (forme active) est absolument essentielle pour obtenir un sommeil de qualité, et plus particulièrement un sommeil profond. Le manque ou l’excès d’ exercice physique . Les carences et les excès alimentaires. Un lit mal adapté, mal orienté (de préférence tête au nord). Une chambre trop chaude, trop froide, trop lumineuse, mal insonorisée. Un bain chaud le soir. Pour bien dormir, la température corporelle doit baisser. Une dysfonction surrénalienne . * « La lumière bleue est la lumière la plus toxique pour la rétine centrale. Il ne faut donc jamais porter de lunettes avec des verres bleus, mais plutôt marrons ou gris. C’est dans le noir que le pigment rétinien se reconstitue, donc la nuit il ne faut surtout pas de lumière, il faut dormir dans le noir absolu. Les personnes qui regarde les écrans et la TV la nuit se font des DMLA plus tôt que les autres. » - Dr. Catherine Orsoni Dupont, ophtalmologue **La mélatonine est l'hormone du sommeil. Elle est libérée et augmente à mesure que la luminosité diminue. La synthèse de la mélatonine se réalise dans la glande pinéale à partir du tryptophane. Tryptophane + vitamine B6 => sérotonine => mélatonine. Le maïs et ses produits dérivés, réduisent notre capacité à produire de la sérotonine. La magnésium et la taurine renforcent l’action de la sérotonine. Le manque de sommeil altère la fonction de la barrière hémato-encéphalique prédisposant aux maladies neurodégénératives. Biologie : GABA Mélatonine Glutamate Vitamines B6, B9, B12 Magnésium érythrocytaire, zinc, calcium, fer Bilan thyroïdien (TSH, T3, T4) Solutions : La suppression des causes. La cohérence cardiaque . La méthode 4-7-8 . L'exercice physique quotidien. La fatigue musculaire est très importante pour bien dormir. L’activité physique compense la fatigue nerveuse et intellectuelle. Une balade en forêt et l' exposition au soleil . La connexion à la terre 10 minutes avant d’aller au lit (décharge d’électricité statique et reprise d’électron de la terre). Se règle petit à petit pour arriver au bout de 4 à 5 jours au plein potentiel. Un nettoyage du trio : foie , vésicule, intestins est tout indiqué. La gestion du stress et des émotions . Le massage californien . La pratique du sauna . La lecture au lit avec lumière tamisée. Chambre calme, sans source de luminosité, bien aérée avec une température ambiante d’environ 18° C. Observer quelques règles alimentaires basiques. Nourriture suffisamment pourvue en tryptophane (cabillaud, poulpe, volaille, œufs, riz complet, banane, fromage, noix , graines de courge). Repas équilibré et digeste au moins 3 h avant de dormir. Vérifier s’il n’y a pas de parasitose intestinale . Se lever progressivement plus tôt, pour augmenter la fatigue le soir en se couchant assez tard mais à heure fixe. La photobiomodulation . Méthode 4-7-8 Le sommeil a un effet réparateur sur le système immunitaire et le système endocrinien. Béquilles de soutient phytothérapeutiques : Tisanes de : camomille, tilleul, mélisse, lavande, houblon, valériane, etc. (avant le repas du soir). Ashwagandha (adaptogène). Extrait de valériane de 600 à 1.500 mg. Safran en fin d'après-midi. Cannabidiol (CBD). Gemmothérapie : Noctigem (Herbal Gem) ou Gem-Nocte (Alpha Gem). En phytothérapie, nous observerons toujours une fenêtre thérapeutique d'une semaine toutes les trois semaines de traitement. Un sommeil de mauvaise qualité augmente au fil du temps le risque de développer une maladie grave, notamment une maladie neurodégénérative. Compléments alimentaires : Magnésium organique ou chélaté + vitamine B6 ou complexe B. L-taurine de 500 à 2.000 mg. L-glycine 3.000 à 5.000 mg au coucher. L-théanine (stress physique et mental, relaxation, sommeil). Acides gras oméga-3 . Vitamine D. Oligothérapie : Granions de lithium. Citations : « C’est un crime de prescrire un narcotique, un hypnotique ou un soporifique – c’est-à-dire un somnifère – à celui qui ne dort pas. » - H. M. Shelton « Pour favoriser la relaxation et le sommeil, rien n’égale un vrai massage de la tête aux pieds.» - Robert Masson « Le manque de sommeil est ce que je considère comme la cause la plus courante de stress et une cause fréquente d’hyperinsulinisme et de résistance à l’insuline. » - Pr. Benjamin Bikman, biologie cellulaire et physiologie Articles complémentaires : Le café Les poisons overtoniens Les stimulants L'activité physique
- L’hypothyroïdie
Article naturo-hygiéniste Voilà un sujet à la ‘mode’ et relativement important. Beaucoup de personnes sont touchées et la plupart d’entre-elles ne la savent même pas. Il est très important de surveiller la glande thyroïde car les hormones d'un axe (hypothalamo-hypophyso-thyroïdien) peuvent avoir des répercussions sur un autre axe (gonadique et/ou surrénalien ) ; elles sont toutes liées et fonctionnent en association. Il est d'autant plus crucial de surveiller la thyroïde si l’on a agi directement sur elle en administrant des hormones thyroïdiennes. Description : L'hormone thyroïdienne T4 est transformée dans le foie en T3 (l’hormone active de la thyroïde), l’ iode est essentiel à cette conversion. Pour l’assimilation cellulaire de la T3, la vitamine D et le cortisol sont nécessaires, il est donc capital de vérifier également la fonction surrénalienne . L’hypothyroïdie est le ralentissement du fonctionnement de la glande thyroïde. Elle n’arrive plus à produire suffisamment d’hormones anaboliques thyroïdiennes T3 et T4. La glande thyroïde est le chef d’orchestre du métabolisme. Symptômes de l’hypothyroïdie : Fatigue Frilosité Température sublinguale inférieur à 36 °C le matin au réveil et inférieure à 36,8 °C à 18h00 Frigidité , impuissance Anxiété, dépression Tension trop basse Mauvaise circulation Pouls faible Œdèmes Poches sous les yeux le matin Digestion fastidieuse, hypochlorhydrie , reflux gastrique Hypercholestérolémie Péristaltisme ralenti : constipation , SIBO Difficulté de concentration, brouillard mental Insomnie : la T3 (forme thyroïdienne active) est absolument essentielle pour obtenir un sommeil de qualité, et plus particulièrement un sommeil profond. Migraine Ongles cassants ou dédoublés Syndrome du canal carpien Peau sèche, crevasses aux talons Chute de cheveux diffuse Dépilation du tiers externe des sourcils Prise de poids L’organisme tourne au ralenti Raideurs musculo-articulaires au lever Troubles auditifs : perte d’audition, vertiges, acouphènes dans 2/3 de cas N.B. A partir de 7 symptômes parmi cette liste, la probabilité d'un dysfonctionnement thyroïdien est élevée, même si les analyses de sang sont dans la partie basse de la "norme". D’abord prendre en considération les symptômes et ensuite les chiffres. Les fonctions thyroïdiennes et surrénaliennes sont étroitement liées. Les facteurs qui peuvent induire l’hypothyroïdie : L’âge Le stress L’obésité L’insuffisance rénale et hépatique Une fatigue surrénalienne Le diabète Le jeûne Le régime hyper-protéiné ou hypo-protéiné. Un apport adéquat en protéines soutient les fonctions hépatiques nécessaires à la conversion de l'hormone T4 (inactive) en T3 (active). Les excès d’ overtoniens Les médicaments (bétabloquants, l’amiodarone, le lithium, les antidépresseurs, etc.) qui bloquent la conversion de T4 en T3. La pilule et les hormones pour la ménopause . Les toxiques : métaux lourds (plomb, arsenic, cadmium, mercure), halogènes (brome, fluor ), pesticides et autres perturbateurs endocriniens. Les carences en vitamines et minéraux, notamment en iode . La moindre carence peut être responsable d’une hypothyroïdie. La carence en vitamine E peut entraîner une non absorption d’ iode . L’ inflammation des intestins . Le manque de sommeil . Un faible taux de testostérone . Le dysfonctionnement de l’hypophyse qui ne secrète pas assez de TSH* (hypothyroïdie secondaire). Un taux de cortisol trop bas ou trop élevé. Un faible taux de cortisol peut entraîner une faible activité thyroïdienne et inversement un cortisol trop haut bloque la conversion normale de la T4 en T3. *La TSH est l’hormone hypophysaire régulatrice de la sécrétion des hormones thyroïdiennes. La valeur de la TSH augmente lorsqu’elle essaie de réguler la baisse des hormones T3 et T4. La TSH peut aussi augmenter lorsque l’on supplémente en iode , mais c’est sans importance si la T3 et la T4 sont dans les bonnes valeurs. Axe hypothalamo-hypophyso-thyroïdien 80% des individus avec une fatigue surrénalienne ont des symptômes d’hypothyroïdie Biologie : Faire un bilan sanguin basique : TSH, T4, T3, rT3, anticorps anti-TPO, ferritine, vitamines A, D, B12, zinc, sélénium, magnésium érythrocytaire. Faire une analyse d'urine de 24 heures pour le cortisol et l' iode (concentration optimale: 150-200 µg/L). Vérifier la fonction surrénalienne chez la femme : prégnénolone, DHEA, testostérone , 17 OH stéroïdes sur urines de 24h. Remarques : Le seul dosage de la TSH et de la T4 n’est pas suffisant pour déterminer si nous sommes en hypothyroïdie. La valeur santé de la TSH doit se situer entre 0.5 – 2.0 mUI/L. La valeur santé de la T3 doit se situer entre de 5,0 - 5,5 pmol/L ou 3,5 ng/L. La valeur santé de la T4 doit se situer entre 15 – 18 pmol/L. 90% des individus transforment mal la T4 en T3 ! Les solutions : Gérer le stress : mise à la terre , cohérence cardiaque , plantes adaptogènes, etc. Augmenter l’ activité physique , fitness, musculation (augmentation du cortisol). Combler les carences en macronutriments ( protéines , glucides , lipides ) et micronutriments (vitamines, minéraux, oligo-éléments, etc.). Soigner les intestins et le microbiote en supprimant le gluten, le sucre, les pesticides et les produits laitiers pour moins d’ inflammation et pour une meilleur absorption. Adopter une alimentation complète , équilibrée, physiologique et biologique : fruits , légumes, protéines (œufs, fruits de mer, poissons, viandes), algues . Eviter les céréales (pain, pâtes, biscuits, viennoiseries, etc.) et les légumineuses, surtout le soja. Détoxifier le foie . Traiter la porosité intestinale le cas échéant. Consommer du plasma marin de Quinton . Consommer des jus de légumes riches en micronutriments organiques assimilables. Eviter le fluor et le brome qui sont toxiques et chélateurs de l’ iode . Pratiquer le jeûne intermittent . Les protéines (œufs, viande, poisson) contiennent de la tyrosine. Cet acide aminé est le composant de base que la thyroïde utilise pour fabriquer les hormones T4 et T3. Aides naturelles au fonctionnement normal de la thyroïde et à la synthèse des hormones thyroïdiennes : Nutrithérapie : Vitamines A, B, C , D, E, fer, zinc, sélénométhionine (conversion T4/T3), magnésium, iode , oméga-3, L-tyrosine (le matin à jeun). L’acide aminé L-tyrosine est un composant essentiel à la production des hormones thyroïdiennes T3 & T4. C'est également le précurseur des neurotransmetteurs : dopamine, adrénaline et noradrénaline. Oligothérapie : Molybdène, manganèse. Phytothérapie : Guggul : synthèse de T3, conversion de T4 en T3 et assimilation de l’ iode . Ashwagandha : adaptogène qui améliore la conversion de T4 en T3, améliore la TSH, à prendre le soir. Bacopa : synthèse de T4. Feuilles d’ ortie dioïque : minéralisante et nutritive, contribue au bon fonctionnement de la thyroïde et des surrénales . Aromathérapie : Myrte verte : stimule la sécrétion des hormones thyroïdiennes. Gemmothérapie : Bourgeons de cassis. Citations : « Quand vous améliorez la thyroïde vous aidez les surrénales parce qu’elles travaillent en synergie, quand vous améliorez la thyroïde vous améliorez la testostérone, quand vous améliorez les surrénales vous améliorez la testostérone. » - Dr. Georges Mouton « Lorsque je corrige une situation d’hypothyroïdie, je constate dans 95% des cas une carence en iode. » - Dr. Benoit Claeys « Vérifiez bien que l’on vous dose votre ferritine, parce que c’est la réserve de fer dans votre organisme, si vous êtes en carence, forcément, vous allez déclencher une hypothyroïdie, ce marqueur est très important. » - Danièle Festy « De nombreux xénobiotiques possèdent une action antithyroïdienne reconnue: les dioxines, les biphényles polychlorés (PCBs), les hydrocarbures aromatiques polycycliques (PAHs), les pesticides organochlorés (dont le tristement célèbre dichloro-diphényl-trichloroé-thane ou DDT), les dibenzofuranes chlorés (appelés plus simplement furanes), les retardateurs de flamme bromés (BFRs), l’acide perfluorooctanoïque (PFOA), le perfluorooctane sulfonate (PFOS) et les phtalates. » - Dr. Georges Mouton « Dans certaines hypothyroïdies très nettes, graves, anciennes, l’hormone thyroïdiennes s’avère indispensable dans la thérapeutique. » - Robert Masson « L’intestin et le microbiote jouent un rôle capital dans la régularisation des hormones thyroïdiennes : métabolisation, absorption et stockage. » - Dr. Stéphane Résimont et Alain Andreu « L’épidémie de thyroïdite est liée à la supplémentation d’iodure de potassium dans le sel. Le sel iodé est un pourvoyeur de thyroïdite. » - Dr. Paul Dupont « La correction hormonale commence toujours par la thyroïde. C’est l’hormone chef d’orchestre, sans laquelle aucune symphonie hormonale ne peut fonctionner. » - Dr. Dominique Privé « Les produits laitiers vont ralentir la conversion de T4 en T3 en surchargeant le foie. » - Dr. Thierry Hertoghe
- Les aliments acidifiants
Article de bromatologie Après la l'article sur les aliments mucogènes ou colloïdaux , voici les aliments acidifiants, provoquant les maladies cristalloïdales ou à cristaux. "Ce que l'homme ne veut pas apprendre par la sagesse, il l'apprendra par la souffrance." - Melkisédech Pour la médecine naturelle, la “ maladie ” est avant tout due à une accumulation de toxiques et de toxines dans le terrain organique , mais elle contribue à l’élimination des toxines excessives (surcharge toxinique). La maladie représente donc une action vitale pour l’organisme (crise de nettoyage). La thérapie consistera principalement à débarrasser le corps des déchets et poisons qui l’agressent et gênent son fonctionnement. Les connaissances sur les colles et les cristaux sont fondamentales en naturopathie et dans le combat efficace contre la toxémie . Un aliment est un produit qui maintient la santé, et donc qui maintient le bon fonctionnement et l'équilibre entre les organes et les systèmes du corps. Un aliment ne doit pas nuire, il doit être ortho-biologique, c'est-à-dire spécifique à l’espèce, naturel et vivant, propre à notre anatomo-physiologie digestive et émonctorielle d’anthropoïde. Une nourriture spécifique, renforce, régénère, vitalise et draine l’organisme, sans l’encrasser . En mangeant des aliments non-spécifiques, contraires à son anatomo-physiologie et, de surcroît, dénaturés , donc dévitalisés , par la cuisson, la chimie, le raffinage, etc., l’Etre humain se dévitalise, encrasse son organisme, et se rend malade. La gestion métabolique des acides est individuelle, cela dépendra de la force vitale et de la capacité à digérer, assimiler et éliminer. Est considéré comme acidifiant, un aliment qui laisse dans le corps plus de minéraux et d’oligoéléments acides que basiques. Les aliments alcalins, sont ceux qui sont chargés d’éléments alcalins comme le sodium, le potassium, le magnésium et le calcium (électrolytes) qui sont majoritaires dans l’aliment. (Voire fiche : L’équilibre acido-basique ) Mais à quoi sont dus ces cristaux ? A l'instar des colles, la principale étiologie est à rechercher dans l’alimentation. C'est la conséquence d'une mauvaise dégradation des certains types d’aliments peu ou non physiologique générateurs de déchets : les aliments riches en purines ( légumineuses , thé , café , chocolat , viandes , etc.), et générateurs de sous produits métaboliques tels que l’urée, l’acide urique, la créatinine ; les aliments riches en acides oxaliques (épinards cuits, oseille, rhubarbe, etc.), mais aussi certains acides dérivés du métabolisme glucidique (acide pyruvique et lactique). Une alimentation habituelle déséquilibrée au profit d’un excès de ces catégories d’aliments est donc susceptible de donner des cristaux, qui on le voit sont très lié aux " acides ", c’est la toxémie cristalloïdale. Les cristaux sont solubles dans l’eau, les colles ne le sont pas. Quels types d’aliments sont acidifiants ? Les aliments riches en protéines « azote » (animales et végétales), chair animale , produits laitiers , soja, etc. L’alcool , vin (blanc en particulier), le café , le thé . Les amidons : céréales et légumineuses non germées, non fermentées. Les aliments transformés, raffinés et industriels, le sucre , le chocolat (calories vides, aliments morts, additifs, agents chimiques => carences). Les fruits non-mûrs. Le vinaigre d'alcool pH 2,4 irrite les parois de l’appareil digestif, décalcifie l’organisme et altère le système circulatoire. C’est un produit acide à réaction finale acidifiante. Il doit être évité par les personnes acidifiées. Le vinaigre de cidre biologique non-pasteurisé n'est pas nocif (bactéries lactiques et acétiques, minéraux, pH : 5,0 ). Il est même recommandé en bioélectronique . N.B. Le stress , les médicaments et les produits chimiques sont acidifiants. *Les viandes de par leur pH, leur composition minérale et leur stimulation sur l’hormone de croissance annulent certains effets de leur charge acide sur les tissus. L’acidification lente et progressive du corps provoque un stress oxydatif élevé ! Quels sont les aliments alcalinisants ? Les fruits mûrs Certaines noix Les légumes Les graines germées Les algues Ce sont les principaux constituants de l’alimentation humaine. Quels sont les aliments neutres ? Les oléagineux Les huiles Les avocats Thérapeutique appropriée : Correction du régime alimentaire, adopter une alimentation originelle vivante hypotoxique, diminution des aliments et des facteurs acidifiants. Ouvrir les émonctoires spécifiques à l'élimination des cristaux, les reins et des glandes sudoripares ( purges magnésiennes, plantes rénales, sudorifiques, sauna , bain chaud, bouillotte sur les reins, jeûne hydrique, cataplasmes). Consommer des liquides qui vont dissoudre les cristaux, eau faible en résidus secs, plasma de Quinton , jus de légumes. Micronutrition : citrate de magnésium & citrate de potassium. Les affections cristalloïdales (acides, cristaux) : Lorsqu’un trouble est douloureux, chaud, enflammé, brûlant, sortent par les émonctoires : reins et glandes sudoripares. Liste de noms de symptômes que la médecine donne à l’acidose : Psoriasis ; Eczéma sec ; Fièvre ; Ulcère ; Gastrite ; Otite ; Pancréatite ; Parkinson ; Cystite ; Endométriose ; Prostatite ; Infections virales ; Douleurs ; Cancer ; Maladie de Crohn ; Intestin irritable ; Fistule anale ; Goutte ; Rhumatismes ; Arthrite ; Calculs, lithiases ; Érythème cutané ; Inflammation ; Chaleurs ; Bouffées de chaleur ; Colère, irritabilité ; Sciatique ; Tendinite ; Lumbago ; Zona ; Herpès ; Névrite ; Migraine ; Néphrite ; Ostéoporose ; Névralgie ; Rage de dent ; Fibromyalgie ; Insuffisance rénale ; Infection urinaire douloureuse ; Hypertension ; Epilepsie ; Artériosclérose ; Scoliose ; Douleurs dorsales chroniques ; Algie ; Hémorroïdes ; Bec de perroquet ; Caries ; Angine ; Conjonctivite ; Toux sèche ; Calcifications ; Lumbago ; Aphte ; Sclérose en plaque SEP ; Urticaire ; Peau sèche ; Syphilis ; Colite ; Conjonctivite ; Croûte au coin des yeux ; Poliomyélite ; Pleurite ; Encéphalite ; Méningites ; Hémophilie ; Anévrisme, hémorragie interne ; Anémie ; Névralgie ; Orgelet ; Dermatoses sèches ; Cheveux secs et cassants ; Ongles cassants, striés, tachés ; Cors aux pieds ; Vitiligo ; Kystes durs et douloureux ; Ulcères ; Spasmophilie ; Excitation ; Insomnie ; Couperose ; Lupus ; Lyme ; Atteintes neurologiques ; Œdèmes ; Règles douloureuses ; Etc. “La douleur est une expérience de l’acide !” Citations : « Dans notre mode de vie actuel, où nous sommes trop sédentarisés, mal oxygénés, nourris d’aliments très appauvris en catalyseurs divers, il est courant de voir des troubles de santé dus à une accumulation d’acides. » - Dr. Catherine Kousmine « Il y a environ 10.000 ans, l’alimentation, jusque là plutôt alcaline, est passée du côté acide avec l’introduction des grains, particulièrement du blé. Aujourd’hui, elle fait place à quantité de « bons grains complets » et à relativement peu de fruits et de légumes ; elle est donc fortement acidifiante et, par conséquent, déclenche l’acidose. A la longue, cet état nuit à la santé osseuse. » - Dr. William Davis « Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » - “ Que ton aliment soit ta seule médecine ! ” - Hippocrate
- La fibromyalgie
Article naturo-hygiéniste "Dans la vie rien n’arrive sans raison, toute chose existe et se transforme à partir d’une cause". La fibromyalgie a longtemps été niée par la majorité des médecins, ce n'est qu'en août 1992 que la déclaration de Copenhague a reconnu l'existence de cette maladie, tout en admettant l'ignorance des médecins sur ses origines. A l'heure actuelle aucun médicament n'est capable de guérir la fibromyalgie, avec son origine inconnue et sa résistance aux médicaments, elle apparaît décourageante pour le médecin allopathe . Nous allons voir pourtant que cette situation peut être radicalement transformée… Pourquoi la fibromyalgie débute t-elle à l'âge adulte ? Parce que la quantité de molécules nocives qui se dépose dans la matrice extracellulaire et dans les cellules ( toxémie ) augmente graduellement au fil des années, de façon lente. Ce n'est donc généralement à l'âge adulte que le seuil dangereux est franchi (le seuil de tolérance toxémique est dépassé). La médecine conventionnelle n'arrive pas à résoudre cette pathologie (tout comme les autres troubles chroniques en général) car elle ne combat que les symptômes avec des poisons. Elle ne combat pas la cause, elle ne comprend d’ailleurs rien à la cause. La médecine dit que l’alimentation n’a rien à voir avec la maladie, nous le contestons formellement. En médecine traditionnelle holistique, en hygiénisme et en naturopathie hygiéniste, nous disons qu’il faut supprimer la cause, ainsi les effets disparaissent. Les antalgiques s'adressent à la douleur, qui n'est qu'une conséquence, et non la cause qui est l'encrassement. Les anti-inflammatoires ont encore moins d'intérêt car l'inflammation est absente au niveau des muscles et des tendons. Ces médicaments ne diminuent pas l'encrassement, ils l'augmentent ! En naturopathie, qui est une médecine traditionnelle de santé et non une médecine de maladies, on recherche la cause de la cause pour la supprimer. Nous ne masquons pas le symptôme par des produits chimiques ou même naturels. Comme dans 99% des " maladies " c'est la toxémie qui est responsable. La fibromyalgie est un trouble douloureux, une maladie de l'acidité. Le corps est en grande ACIDOSE et enflammé. C'est une conséquence de l'épuisement nerveux, de la perte d’ énergie vitale et de l' alimentation acidifiante . Le système nerveux est atteint par l’acidose ! Les glandes surrénales sont fatiguées => épuisement nerveux => fatigue chronique . Fibromyalgie = fatigue chronique La fibromyalgie est un symptôme de l'intestin hyperperméable . Les déchets passent dans la circulation sanguine et intoxiquent l’individu. Il est impératif de réformer l’ hygiène de vie globale et alimentaire par une nourriture originelle hypotoxique. Le système lymphatique est très congestionné, déshydraté et figé de partout, plus rien n'est filtré. La chose la plus importante dans ce protocole est l' alimentation et la restauration de l’ énergie vitale . Symptômes principaux : Douleurs musculaires et articulaires chroniques Troubles du sommeil, insomnie Fatigue chronique Causes : Les acides qui durcissent l'organisme et le détruisent. La douleur est une expérience de l'acide. L’aluminium provenant le plus souvent des vaccins , mais aussi toutes autres sources : cosmétiques, ustensiles de cuisines, eau du robinet, tabac, etc. Le ralentissement digestif . Une dysbiose intestinale. Une mauvaise hygiène de vie générale. Une alimentation pro-inflammatoire. Un déficit hormonal ( thyroïde , surrénales , gonades). Un dysfonctionnement des mitochondries *. *Les résultats d'une étude de 2024 a montré un dysfonctionnement mitochondrial important dans le système nerveux central dans le syndrome de fibromyalgie et le rôle du Boswellia Serrata ( polyphénol ) dans la restauration de la dynamique mitochondriale . L'éminent professeur Yong Tsou de l'université d'Oxford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre le vaccin contre l'hépatite B et la fibromyalgie. https://www.iiiprs.org/2018-01-29 N.B. Le taux de ferritine sanguin est très bas chez les intoxiqués à l’aluminium. Provenances des acides et des toxiques : Stimulants et overtoniens : Café , alcool, thé, chocolat et boissons contenant de la caféine (épuisement des glandes surrénales et intoxication). Médicaments chimiques, toxiques , toxines, additifs alimentaires, nourriture industrielle, pesticides, stress , tabac, fluor , etc. Il est impératif de diminuer les aliments acidifiants : protéines , amidons et d’arrêter les produits laitiers , les viandes rouges, les céréales à gluten et les légumineuses. Proscrire les fruits acides et mi-acides, nous avons affaire à des personnes sous-vitales, uniquement un fruit doux en fin d’après-midi. L'adrénaline inonde la viande, due au stress extrême engendré par la mise à mort des animaux dans les abattoirs. Ce neurotransmetteur porte atteinte aux glandes surrénales et finalement on se retrouve en fatigue chronique du fait d'avoir ingéré autant d'hormones de stress. Des répercutions suivront sur les autres glandes endocrines comme la thyroïde, etc. Certaines personnes qui ont difficile de se passer de viande sont accros à l'adrénaline qui est un stimulant . Il ne s’agit pas ici d’arrêter complètement les produits animaux, mais de ne pas en consommer en excès et de choisir la plus haute qualité. L'acidose créée par la consommation excessive de viande porte atteinte au cervelet et au cerveau engendrant toutes sortes de maladies dégénératives et inflammatoires , au fil du temps menant à la sclérose en plaque, la fibromyalgie, etc. Le stress semble favoriser les poussées de fibromyalgie (Aaron et al. 1997). Le pic de cortisol est inversé de +/- 12 heures chez le fatigué chronique, le boost du matin apparaît vers 17h… Il est alors difficile d’aller se coucher tôt pour récupérer. Solutions : Diminuer le stress , l' acidose et la toxémie . Augmenter l' énergie vitale . Relancer l’activité mitochondriale . Nettoyer les émonctoires : les reins et le trio foie , vésicule , intestins. Nettoyer le système lymphatique . Combiner le repos à des exercices physiques adaptés : récupération de la fonction surrénalienne, drainage lymphatique, élimination, réduction du stress . Eliminer l’aluminium et les métaux lourds : vitamine C , chlorella, coriandre, ail des ours, chlorophylle, jus verts, cure d’alkylglycérols. Vérifier la concentration en iode urinaire : > 110 µg /L (optimal : 250 µg/L), la fonction thyroïdienne et surrénalienne . Supprimer l’alimentation pro-inflammatoire. Les glandes surrénales sont les batteries du système nerveux autonome . Elles travaillent de concert avec la thyroïde , la glande du métabolisme. Le cycle circadien et le sommeil sont très importants dans les pathologies neuro-dégénératives, la mélatonine produite par la glande pinéale est un neuroprotecteur. Réforme alimentaire physiologique : L’assiette sera composée de 15% de protéines , de 50% de lipides et de 35% de glucides , des fruits doux, des légumes (surtout feuilles vertes) murs, vivants et biologiques . Au début, seulement 1 fruit doux par jour en guise de dessert juste après un repas et augmenter très progressivement y aller au ressenti. Le potassium et les glucides en excès épuisent le fatigué chronique. Il faut plutôt du sel organique ( plasma marin de Quinton ). Surtout pas de banane le matin ! Les acides gras sont les bienvenus, œufs avec la jaune liquide, noix , huiles vierges pressées à froid, huile de coco, chair de coco, eau de coco, ghee, olives, avocats, sardines, harengs, maquereaux, saumons, huitres, oméga-3, etc. Faire le point toutes les 4 semaines et ajuster. Suppression IMPERATIVE des aliments pro-inflammatoires : sucre, céréales , gluten, pain, pâtes, pizzas, biscuits, viennoiseries, crème glacée, produits laitier s, charcuterie, viandes non pâturées, non biologiques, aliments industriels, raffinés et transformés, du café , de l’alcool et autres stimulants , des médicaments avec prudence et sous contrôle médical, etc. Mais aussi des amalgames dentaires mercuriels. Faire vérifier l’état de la denture et de la mâchoire. Une semaine de jeûne avec descente alimentaire ou une détoxification par paliers pour limiter les effets puissants des crises de détoxination sera une excellente initiative. Le jeûne est extrêmement efficace dans cette pathologie. Il va permettre d'accélérer le processus de décrassement et de régénération. Autre option : diète au potage de légumes et de pommes de terre une fois par semaine ou une semaine sur deux. Exercices respiratoires : Méthode ‘Wim Hof’ au quotidien (15 à 20 minutes), diminution de la douleur, de l’inflammation, de l’acidose et renforcement immunitaire. Cohérence cardiaque . Béquilles de soutient : Chlorumagène 1 c à c le matin à jeun. Jus de légumes à l'extracteur : persil, carottes, épinards, céleri. Exposition au soleil (régénération). Photobiomodulation . Sommeil, repos , sieste, tranquillité, marche, respiration profonde (biorespiration, cohérence cardiaque ), sauna (peau 3ème rein - élimination). Séances de kinésiologie . Eaux de sources : Spa Reine, Mont Roucous, Rosée de la Reine faibles en résidus secs (< 60 mg). Jeûne intermittent si possible, très progressivement gagner 15 minutes par jour. Bouillotte chaude 2 x 30 min. / J. Sur les reins et le foie . Vérification environnementale de l’intensité des ondes électromagnétiques par un géobiologue. Les purges HDR en 1er et magnésiennes ensuite, mais pas avant d’avoir recouvré suffisamment d’ énergie vitale . Aide phytothérapeutique : Plantes adaptogènes : ashwagandha (soir), éleuthérocoque (matin et midi), astragale, rhodiola, ginseng panax chinois, réglisse, basilic sacré (Tulsi). Gemmothérapie : bourgeons de cassis. À tester selon les personnes celles qui conviennent le mieux. Psyllium blond (nettoyage intestinal). Plantes pour le soutient rénal. Compléments alimentaires : Polyphénols : resvératrol + curcumine . Noix du Brésil (sélénium). Plasma marin de Quinton (sodium organique). SAM-e (S-adénosyl méthionine), production de dopamine et de sérotonine + affections musculosquelettiques. Micro-immunothérapie : LABO LIFE 2LINFLAM. Nutrithérapie : La vitamine C est consommée à 80% par les glandes surrénales . Complexe de vitamines B dont B9. Magnésium malate. Vitamine D. Zinc chélaté. L-glutamine pour la réparation intestinale. Oméga-3 pour l’équilibre en acides gras et l’inflammation. Iode . Acétyl-L-carnitine. L-taurine. Coenzyme Q10 . Cure d’acide R alpha lipoïque et de N-acétylcystéine contre les métaux lourds, le stress oxydatif et la fatigue . Il est important de s’exposer le moins possible aux ondes électromagnétiques et de se relier à la Terre le plus souvent possible, marcher pied nu dans l’herbe, le sable ou la terre. Cela dissipe les effets de la pollution électromagnétique. La mise à la terre rétablit entre autres la fluidité du sang, diminue l’inflammation et la douleur. La Terre nous recharge en électrons libres indispensables au métabolisme. Ces électrons neutralisent aussi les radicaux libres en excès. Ne surtout pas prendre de fébrifuges (paracétamol, aspirine). Si des fièvres surviennent, rester coucher au chaud sans manger, mais boire de l'eau tempérée selon la soif. La fièvre bienfaisante va permettre d'éliminer l'acide, c’est un processus régulateur homéostasique. Aucun remède, aucun médecin ne peut guérir le corps, seul le corps peut se guérir lui-même. 4 à 12 mois après avoir respecté le protocole - selon l’ancienneté et le niveau de toxémie - la fibromyalgie devrait faire partie des mauvais souvenirs. N.B. Si le régime physiologique originel est abandonné, la pathologie reprendra après quelques semaines ou quelques mois. Biologie : Bilan hormonal complet ; Cortisol ; Bilan vitamines et minéraux ; Vitamine D : 60-80 ng/mL ; Coenzyme Q10 ; Dysbiose et porosité intestinale (LBP + kit MOU) ; CRP-us ; Profil individuel en acides gras érythrocytaires. Citations : « 98% des fibromyalgiques pourraient être soulagés si les gens acceptaient de ressentir que c’est leurs dents ou leur articulation temporo-mandibulaire ou la baisse de puissance masticatoire qui est à l’origine de tous les problèmes. » - Dr. André Mergui « On peut guérir de la fibromyalgie, ce n’est pas une fatalité. » - Dr. Magali Weil « Il faut vraiment dire aux gens qui on de la fibromyalgie que tout peut se régler. Il faut voir la maladie comme faisant partie de la bonne santé, comme étant un moyen d’accomplissement. » - Dr. Olivier Soulier « Depuis une quinzaine d’années déjà, plusieurs auteurs associent la fibromyalgie à un taux insuffisant d’hormones thyroïdiennes actives T3. » - Dr. Georges Mouton « La carence en cortisol est souvent l’une des causes de la fibromyalgie prétendue inguérissable. […] C’est l’addition de 12 à 15 carences, déficiences, ingestion de toxiques qui a comme effet de produire de la douleur et de la fatigue. Une fois de plus, la pilule « miracle » n’existe pas, et il est illusoire d’espérer guérir la fibromyalgie sans traiter toutes le causes. » - Dr. Stéphane Résimont et Alain Andreu « 100% des fibromyalgies ont une hypothyroïdie. » - Dr. Stéphane Résimont « Quand quelqu'un désire la santé, il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Seulement alors, il sera possible de l'aider. » - Hippocrate Conseil : Prenez rendez-vous chez un praticien de santé naturelle pour établir un protocole précis et individualisé.
- Acidité gastrique, reflux acides, gastrite
Article naturo-hygiéniste “Quand quelqu'un désire la santé, il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Seulement alors, il sera possible de l'aider.” - Hippocrate Causes du reflux : L'hypochlorhydrie : Si des remontées acides se produisent (RGO), c'est que qu'il y a production de gaz dans l’estomac. S'il y a production de gaz c'est qu'il y a des microbes de l'intestin qui passent dans l'estomac au niveau du pylore. Ces gaz sont causés par la fermentation et le fonctionnement de ces bactéries. Les gaz remontent et provoque le reflux gastrique. Acidité gastrique = plus assez d'acide chlorhydrique dans l'estomac ! L’acide gastrique est produit par les cellules pariétales de la muqueuse stomacale. Le pH de cet acide chlorhydrique devrait normalement se situer entre 1,5 et 3. Chez les personnes en situation de faible acidité gastrique , le pH varie habituellement de 3 à 5. Cette hypochlorhydrie entraîne une pullulation microbienne dans l’estomac qui devrait être quasiment stérile. C’est la première barrière contre les microbes et autres parasites (infections). Une hypothyroïdie peut également induire une hypochlorhydrie et une gastroparésie. L'intolérance alimentaire : Une intolérance alimentaire peut provoquer un reflux gastrique dans les deux heures après l’ingestion d’un repas. La dysbiose : Une dysbiose du microbiote intestinal peut causer le reflux via l'excès de gaz ( SIBO / hypochlorhydrie ) augmentant la pression abdominale, tandis que les médicaments anti-reflux (IPP) peuvent induire la dysbiose, et l'inflammation intestinale liée à la dysbiose peut affecter le nerf vague, aggravant le reflux. La carence enzymatique : Une carence enzymatique entraîne une mauvaise digestion et une mauvaise absorption des nutriments pouvant créer une série de symptômes gastro-intestinaux, notamment : Brûlures d’estomac et reflux acide, Constipation , Ballonnements , gaz, Eructations, Crampes et douleurs abdominales. L'excès de glucides , d'alcool ou de café N.B. La formation excessive de gaz est accentuée par un ralentissement digestif ( fermentation/putréfaction ) notamment chez les personnes au faible pouvoir digestif. La gastroparésie par manque de T3 Le manque d'hormones thyroïdiennes ( hypothyroïdie ), surtout la T3 , ralentit tout le système digestif, y compris la motilité de l'estomac, pouvant causer une gastroparésie (vidange gastrique lente) et d'autres troubles comme la constipation , le SIBO , le reflux, ou des mal-digestion, car la T3 régule les contractions musculaires, la production d'acide et d'enzymes digestives. Une mauvaise conversion de la T4 en T3 peut aussi être en cause, même avec une TSH normale. Le reflux gastrique et la hernie hiatale sont étroitement liés Grave erreur, la solution chimique : On prend des médicaments (IPP : inhibiteurs de pompe à protons) qui vont diminuer encore l'acidité, il y aura dès lors un développement encore plus important des bactéries et finalement on ne sait plus vivre sans médicaments. Nous n'arriverons plus à digérer puisque la fonction de l'acide chlorhydrique de l'estomac sera neutralisée. La personne ira de plus en plus mal. C'est un modèle commercial au top ! C'est le système médical allopathique classique. On utilise des palliatifs, on ne cherche pas la cause et on ne corrige pas le terrain . De plus, ces poudres alcalines et autres médications neutralisant l’acidité des sécrétions gastriques, ralentissent les transformations. Il s’ensuit deux inconvénients principaux : ou bien les aliments stationnent dans l’estomac jusqu’au renouvellement du suc gastrique ; ou bien ils s’acheminent vers l’intestin grêle dans cet état de semi-digestion, éminemment favorable aux fermentations génératrices de gaz et autres produits nocifs, ainsi qu’à une faible absorption des micronutriments mal digérés. Le défaut d'acidité est dû à l'épuisement, au stress et la déminéralisation. Impact respiratoire : Lorsqu’on est déficient en acide gastrique, ‘ l’indigestion’ des aliments mucogènes est encore plus importante qu’en temps normal. Les résidus de colle qui proviennent de la consommation de ces aliments mal digérés peuvent sortir sous forme de mucus part les glandes muqueuses que nous avons dans la gorge et à différents endroits de la sphère ORL et des poumons. D’autres atteintes peuvent être responsables d’une hypochlorhydrie , comme une infestation de l’estomac par la bactérie Helicobacter Pylori, une gastrite atrophique ou un cancer de l’estomac… Le stress peut aussi être une des causes de l’ hypochlorhydrie , quand il y a stress , il y a inhibition des sécrétions digestives. Il sera donc judicieux d’équilibrer le système nerveux autonome avec des exercices respiratoires spécifiques et éventuellement des plantes adaptatives. Effets secondaires des IPP (liste non exhaustive) : Indigestion Dysbiose de la flore intestinale Infections digestives : entériques, respiratoires et urinaires Déficit nutritionnel Ballonnements , gaz Diarrhée Constipation Nausée Maux d’estomac Maux de tête Eruptions cutanées Reflux acides à l’arrêt du traitement Troubles du sommeil Manque d’énergie Perte de cheveux Muguet Problèmes rénaux Solutions : Jus de légumes à l'extracteur (régénération, apport d'enzymes et de minéraux organiques). Notamment 15 cl. de jus de pommes de terre avant les repas. Légumes lactofermentés qui stimulent la production d’acide chlorhydrique sans agresser la muqueuse digestive. Plasma de Quinton en isotonique, progressivement de 20 à 190 ml / jour (action contre l’ hypochlorhydrie , l’acidité et l’Helicobacter Pylori). Augmenter petit à petit l’apport de fruits doux, mûrs, vivants et biologiques juste après les repas. Repos digestif et des muqueuses irritées qui permettra la restauration : jeûne , jeûne intermittent , monodiète . Bien mastiquer les aliments et manger dans le calme. Rééducation progressive du système digestif à digérer les aliments crus, naturels, non transformés, non dénaturés, non raffinés. En commençant par les jus de légumes . Apporter suffisamment de protéines de bonne qualité deux fois par jour, elles participent aussi à l’élaboration de l’acide chlorhydrique. Réduction drastique des produits laitiers , de l'alcool et des sodas, du café qui sont inflammatoires, irritants, fermentaires et déminéralisants. Diminution des céréales et des sucres lents, les consommer en bonne association alimentaire et de bonne qualité. Ne JAMAIS associer de fruits, de tomates, de sauce tomate, de yaourts ou de vitamine C avec des féculents (tubercules, légumineuses, pain, pâtes, riz et autres céréales ). La combinaison acide/amidon est incompatible pour les estomacs fragiles. Gestion du stress par la cohérence cardiaque et l’utilisation de plantes adaptatives. La cannelle, l'extrait de pépins de pamplemousse, la bétaïne HCL, l’huile essentielle d’origan compact, l’huile de coco (acide laurique) et l'extrait de brocoli (sulforaphane) sont indiqués en cas de prolifération d’Helicobacter Pylori. Suppression des overtoniens perturbateurs du système nerveux qui nuisent à l’efficacité de l’hiatus. Le café et l'alcool sont des irritants des muqueuses gastriques et intestinales, évitons les aux repas, à l'instar des sodas, des pousse-cafés et des aliments frits. En cas de crise, évitons le lait pour soulager l’acidité (temporairement) car la caséine (protéine) augmente l’acidité gastrique et il est pro-inflammatoire. Correction de la dysbiose intestinale : assainissement, désinfection. Nutrithérapie : Iode , Zinc *, Lithothamne, Bétaïne HCL + pepsine, Quercétine . *Le zinc participe à la sécrétion d'enzymes digestives et à la sécrétion acide par les cellules pariétales de l'estomac. Biologie : Test d'intolérances alimentaires IGG. Kit urinaire MOU (dysbiose). Bilan thyroïdien (TSH, T3, T4, rT3, anticorps anti-TPO). Gastrite : Symptômes : Douleurs dans l'abdomen. Sensations de brûlures Nausées. On ne saurait mi eux résumer ce symptôme et ses causes alimentaires que le Dr. Norman Walker : "Inflammation de la muqueuse de l’estomac due à une formation excessive de gaz par combinaisons alimentaires inappropriées. Tous les produits à base de farine , de sucre et de céréales auront tendance à provoquer des gastrites, et l’ alcool (dissous le mucus protecteur de la muqueuse gastrique) sera plus rapide encore que les autres. Les condiments épicés, piments forts, moutarde, vinaigre, tabac, etc. en sont aussi responsables. Les aliments crus, râpés ou réduits aussi fins que possible, sont sans conteste plus salutaires que les aliments cuits." Si la gastrite n'est pas résolue, l'évolution aboutira à l'ulcère. Des causes non-alimentaires peuvent également être à l’origine d’une gastrite : médicaments, tabac, infection par Helicobacter Pylori, stress et insomnie chroniques. Solutions : Repos digestif. Diète au potage et au jus de légumes. Plasma marin de Quinton en isotonique. Argile blanche ultra-ventilée 20 minutes avant les 3 repas, bien mélanger ½ c à c dans un verre d’eau tiède ou dans une tisane (camomille, réglisse). Charbon actif. Réglage alimentaire. Fenugrec. Gemmothérapie : bourgeons de figuier. Oligothérapie : Bismuth (3 jours max.) + manganèse cobalt ou manganèse/cuivre + nickel/cobalt. Jus de légumes indiqués contre la gastrite : Carottes 30 cl./épinards 20 cl. Epinards 50 cl. Carottes 30 cl./betteraves 10 cl./concombre 10 cl. Pomme de terre : 15 cl. Chou blanc : 15 cl. Hernie hiatale : La hernie hiatale correspond au passage permanent ou intermittent d'une partie de l'estomac dans l'orifice œsophagien (hiatus) du diaphragme. Résultat d’un manque de tonicité des membranes environnantes. Hernie hiatale Causes : Affaiblissement des tissus par DÉMINÉRALISATION et principalement par manque de calcium, la fatigue et le stress aggravent le problème. L’obésité, le surpoids, la sédentarité ou l'excès alimentaire de végétaux (végétalisme) sont des facteurs de risque qui peuvent y être associés. Le reflux gastrique et la hernie sont étroitement liés du fait de la déminéralisation. Les hernies correspondent à un affaiblissement des tissus conjonctifs qui ne font plus la séparation entre les organes du corps. Solutions : les mêmes que pour le reflux gastrique. Citations : « Les aliments protéiques animaux activent la sécrétion d’acide chlorhydrique de l’estomac. Dès l’instant où il y a manque de ces aliments, l’ hypochlorhydrie s’installe. » - Robert Masson « Les mêmes causes produisent les mêmes effets ; les mêmes troubles de santé reviendront inéluctablement si les mêmes habitudes incorrectes sont reprises. La nature ne fait d’exception pour personne et nous subissons inexorablement les conséquences de nos actes. » - André Passebecq « L’ignorance est la mère de tous les maux. » - Rabelais « Un estomac insuffisamment acide n’est pas seulement source de gêne digestive. C’est aussi un facteur de mauvaise absorption du calcium, magnésium , fer, zinc, sélénium, ainsi que des vitamines B3, B6, B9, B12 et D. » - Danièle Festy « La prise d’antiacides, les IPP, ont des conséquences catastrophiques pour notre microbiote qui va être perturbé. » - Pr. Vincenzo Castronovo « En prenant des IPP, on détruit le microbiote, on favorise la candidose . Pour moi, la pire des choses c’est de traiter les reflux acides avec des IPP sans réfléchir à la cause. » - Dr. Christian Ledoux « Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » - Hippocrate
- Règles douloureuses, menstruations
Approche naturopathique, fonctionnelle et nutritionnelle Description : Les règles douloureuses, abondantes ou irrégulières ne sont pas une fatalité. En naturopathie fonctionnelle, elles sont souvent considérées comme un signal du terrain , révélant des déséquilibres hormonaux, inflammatoires, métaboliques ou nutritionnels. Une femme en bonne santé hormonale présente généralement des menstruations courtes, peu douloureuses et modérées, sans perturber sa qualité de vie. À l’inverse, douleurs, caillots, flux excessifs, syndrome prémenstruel marqué ou aménorrhée méritent une attention particulière. La santé menstruelle est envisagée comme un reflet global du terrain, à accompagner avec douceur, précision et individualisation. Menstruations abondantes et douloureuses : que dit le terrain ? Selon l’approche naturopathique classique, les règles peuvent être vues comme une voie d’élimination secondaire, activée lorsque les émonctoires principaux ( foie , intestins, reins, peau, poumons) sont surchargés. Causes : Un terrain inflammatoire, une alimentation inadaptée , un excès de toxines métaboliques ou environnementales ( toxémie ) peuvent alors majorer le flux menstruel et les douleurs. Les facteurs fréquemment retrouvés en pratique : excès d’aliments ultra-transformés, sucres rapides, céréales raffinées, excès de glucides surcharge digestive et hépatique ; inflammation chronique de bas grade ; déséquilibres œstrogène / progestérone ; carences en micronutriments clés ; stress chronique et fatigue surrénalienne ; constipation : un transit lent empêche une bonne élimination hormonale par les intestins. En outre, la constipation est souvent associée à : une inflammation digestive chronique ; une perméabilité intestinale accrue. Ces phénomènes entretiennent une inflammation systémique, qui augmente la production de prostaglandines inflammatoires, responsables des contractions utérines douloureuses. Soutenir le trio émonctoriel foie, vésicule, intestins suffit parfois à diminuer nettement douleurs et abondance des règles. Solutions : Alimentation et santé menstruelle La médecine fonctionnelle confirme que l’alimentation influence directement le cycle menstruel, via son impact sur l’ inflammation , l’ insuline , le microbiote et le métabolisme hormonal. Une alimentation physiologique , vivante et individualisée peut : réduire l’intensité et la durée des règles diminuer les douleurs et le syndrome prémenstruel améliorer la fertilité soutenir l’ovulation et l’équilibre hormonal Points clés nutritionnels : privilégier une alimentation naturelle , équilibrée et anti-inflammatoire, riches en micronutriments. soutenir le foie (crucifères, plantes amères, fibres). limiter les excès de glucides et de sucre notamment, produits raffinés, alcool. assurer des apports suffisants en protéines de qualité, végétales ou animales selon le profil. Phytothérapie : Sauge officinale : régulatrice hormonale, utile en cas de règles douloureuses ou abondantes. Achillée millefeuille : antispasmodique, régulatrice du flux. Gattilier (selon profil) : soutien de la phase lutéale (période du cycle menstruel qui commence après l'ovulation et se termine avec les règles suivantes). Nutrithérapie/micronutrition : Magnésium (forme organique) + vitamines B : gestion du stress , douleurs, fatigue . L-taurine : soutien nerveux et hépatique. Iode (si déficit). Huile d’onagre et de bourrache : riches en GLA, soutien hormonal et anti-inflammatoire. Cure de 3 mois, hors période menstruelle Le syndrome prémenstruel n’est pas considéré comme « normal » en santé fonctionnelle : il indique que le terrain demande à être rééquilibré. Aménorrhée : L’absence de règles peut être fonctionnelle ou pathologique. Causes fréquentes : stress chronique ; déficit énergétique ou calorique ; troubles alimentaires ; carences en zinc , fer, B9, B12, protéines ; déséquilibres thyroïdiens ou hormonaux ; prise de certains médicaments ; activité physique excessive. Chez certaines femmes suivant une alimentation très physiologique , peu inflammatoire et adaptée à leur métabolisme, le flux menstruel peut devenir très discret , sans impact négatif sur la fertilité . En revanche, une aménorrhée prolongée doit toujours faire l’objet d’une consultation médicale. Biologie : En cas de règles douloureuses, abondantes, irrégulières ou d’aménorrhée, une biologie fonctionnelle ciblée permet d’objectiver le terrain et d’orienter l’accompagnement nutritionnel et naturopathique. Bilan hormonal Œstradiol (E2) : excès ou déficit, dominance œstrogénique Progestérone (idéalement en phase lutéale) : souvent basse en cas de syndrome prémenstruel et de douleurs FSH / LH : évaluation de l’ovulation et de l’axe hypothalamo-hypophysaire Testostérone totale et libre (si troubles associés : acné , cycles irréguliers) Thyroïde TSH T4 libre, T3 libre Anticorps anti-TPO et anti-TG (si suspicion auto-immune) Une hypothyroïdie , même fruste, peut perturber le cycle menstruel. Inflammation et terrain métabolique CRP ultrasensible Glycémie à jeun, insuline à jeun, HbA1c, indice HOMA. L’ inflammation chronique et l’ insulinorésistance favorisent les troubles hormonaux. Micronutrition Magnésium érythrocytaire Zinc Vitamine B9 (folates) Vitamine B12 Vitamine D (25-OH-D) Des carences sont très fréquemment associées aux douleurs menstruelles et au syndrome prémenstruel. Fer et équilibre sanguin Fer et ferritine Coefficient de saturation de la transferrine Hémoglobine, hématocrite Une ferritine basse peut majorer la fatigue , mais une ferritine élevée peut aussi refléter une inflammation . Surrénales et stress (selon contexte) Cortisol libre 08h00 Cortisol salivaire Le stress chronique perturbe directement l’ovulation et la production de progestérone. Remarques : Si les douleurs persistent, si les règles disparaissent, deviennent très abondantes ou s’accompagnent de symptômes marqués, il est essentiel de consulter un praticien de santé holistique afin de : réaliser des bilans fonctionnels identifier les carences adapter l’ alimentation et la supplémentation restaurer un équilibre hormonal durable Citations : « Pour la femme, la santé parfaite se mesure aux règles rapides et peu abondantes. Les douleurs, les hémorragies, les longueurs menstruelles sont des signes qui s'accusent en raison directe de la toxsanglymphe ( toxémie ). » - Pierre-Valentin Marchesseau « L’aménorrhée, les varicosités et, parfois, les varices naissantes, chez la femme, sont la conséquence d’une fragilité des vaisseaux sanguins, due à un encrassement humoral, à un épaississement du sang par les faux aliments et les fausses boissons, à des carences vitaminiques (P, notamment) et à une baisse importante de vitalité, donc de son taux de progestérone libre. » - Pr. Grégoire Jauvais « L'huile d'onagre peut soulager les douleurs prémenstruelles et régulariser les règles. » - Dr. Catherine Kousmine
- L'activité physique
Article santé Tout le monde sait que la sédentarité cause des troubles de santé (glycémie et tension artérielle élevées , etc.), entraîne la débilité et la dégénérescence, tels que : De l’embonpoint. Une capacité cardio-vasculaire moins efficiente. Une métabolisme réduit. Une baisse de la densité osseuse . Une diminution de la quantité d’oxygène dans le sang et les tissus. Une diminution de la capacité respiratoire. Un ralentissement des fonctions émonctorielles. Une perte de vitalité. Une moindre capacité à gérer le stress . Un sommeil de moindre qualité, etc. L’activité physique est fondamentale dans le cadre d’une hygiène de vie saine. C’est un des neufs paramètres essentiels de la santé intégrale. Le sport permet de développer et de maintenir une charpente musculaire indispensable au bon fonctionnement de notre corps et d’obtenir des tissus sains et forts. Grâce à ça nous pouvons nous mouvoir, nous déplacer avec aisance et réaliser plein d’activités. Le mouvement permet à la lymphe de circuler, drainant ainsi nos déchets et toxines vers les émonctoires . La circulation générale est stimulée, secouée. L’exercice intensif engendre la transpiration et permet aux toxines de sortir par les glandes sudoripares. L’effort physique augmente la vitesse et la pression de la circulation sanguine ce qui accroit la filtration rénale. Tous les émonctoires sont stimulés en même temps. L’activité physique modérée et adaptée permet de conserver des articulations souples et fonctionnelles. Elle augmente notre force, notre souplesse, notre endurance, nos capacités d’adaptation ( hormèse ), notre résistance physique, mentale et immunitaire avec accroissement de l’énergie vitale . L’activité physique équilibre aussi notre système hormonal. La sécrétion de sérotonine et la régulation naturelle de la glycémie sont améliorées. Toutes les fonctions du corps peuvent se « dé-fragiliser » grâce aux efforts sportifs n’outrepassant pas certaines limites biologiques. Les muscles constituent une réserve du système immunitaire lorsque celui-ci est en alerte. Plus on a de muscles, plus on a de capacité de réponse immunitaire. Les muscles constituent une réserve nutritionnelle fondamentale pour les globules blancs. Augmenter sa masse musculaire et diminuer sa masse grasse, c’est tendre vers l’équilibre : le tempérament naturopathique musculaire . “L’activité physique quotidienne non traumatisante est essentielle pour stimuler la production de liquide synovial.” Le surentraînement quant à lui est néfaste. Il induit perte d’ énergie vitale , affaiblissement surrénalien , baisse de testostérone , d’estrogènes, de DHEA, d’hormones thyroïdiennes, production d’acide lactique, augmentation du cortisol et du stress , baisse immunitaire , fatigue , blessures, porosité intestinale avec surproduction de toxines, etc. Selon une équipe de chercheurs de l’université de Monash en Australie, courir sur une longue période cause une porosité de la paroi intestinale . La réaction inflammatoire constatée est similaire à une sévère infection sanguine. Chez les dizaines de participants étudiés, les marqueurs sanguins atteignaient des valeurs similaires à celles de patients souffrant de septicémie. Pour être bénéfiques, les contractions musculaires ne doivent pas provoquer de surcharges résiduelles, mais au contraire activer les combustions et les éliminations. Dès que l’effort dépasse le seuil biologique du métabolisme, il devient nocif. Le sport permet d’évacuer le stress et d'augmenter notre sécrétion de dopamine, ainsi que d’augmenter notre capacité respiratoire et cardiaque, de s’oxygéner. Une oxygénation intense permet une meilleure oxydation cellulaire. Rappelons que les déchets sont dégradés par oxydation. Le sport équilibre le corps et l’esprit ( homéostasie ), il fait prendre conscience à notre intellect de notre enveloppe charnelle (connexions). En pratiquant un sport, nos nuits sont plus sereines et notre sommeil est meilleur. La coordination, l’agilité et la précision des mouvements est améliorée. Les systèmes nerveux et musculaires sont étroitement liés, le mauvais fonctionnement de l’un a une répercussion négative sur l’autre. Selon une étude suédoise sur 197.685 skieurs de fond, les chercheurs ont pu établir qu’un mode de vie physiquement actif est associé à un risque réduit de près de 30% de développer la maladie de Parkinson . ( source : Journal of Parkinson’s disease, 13.01.20) Les personnes qui pratiquent régulièrement et à long terme un exercice vigoureux, bénéficient d’une réduction de 30% le risque de développer de l’arthrose du genou. D’après une étude observationnelle effectué sur 1.194 personnes ( source : Jama Network, 04.05.20). La culture physique est recommandée en hygiénisme , chaque partie du corps est travaillée, c’est la base de tous les sports. Comme nous venons de le voir, c’est une excellente méthode d’élimination et de revitalisation par l’épuration des tissus musculaires et par l’oxygénation de l’organisme. L’exercice physique diminue donc la toxémie et accroît l’énergie vitale , ce sont les 2 piliers de la santé. Pour bénéficier de ses bienfaits, l’équilibre entre la pratique et le repos doit être parfaitement réglé. La sarcopénie est la diminution progressive de la masse et de la fonction musculaire accélérée à partir de la cinquantaine. C’est un déclin lié à l’âge et au métabolisme. Elle entraine une baisse : de l’ énergie vitale , de la mobilité, de la force, de la fonction cognitive et de l’ immunité . Elle touche 25 % des 60-70 ans et 30 % des + de 70 ans. La sarcopénie est associée à de multiples effets indésirables tels que : Des comorbidités ; Un handicap physique ; Une mauvaise performance physique ; Une dépression ; Des chutes fréquentes ; Une augmentation des hospitalisations ; Un déclin fonctionnel ; Une augmentation de la mortalité ; Une qualité de vie réduite. Nous pouvons ralentir ce processus grâce à une alimentation optimale, non carencée et à l’activité physique notamment. Malheureusement, e n deux siècles, notre activité physique a été divisée par 10 : Source : Jean-François Toussaint Un apport protéique de 1,2 g/kg de poids corporel/jour est considéré comme optimal chez la personne âgée. Supplémentation nutritionnelle indiquée en cas de sarcopénie : Protéines de lactosérum natives issues du lait, pas du fromage. Acides aminés branchés (BCAA : leucine, isoleucine et valine). L-glycine . L-citrulline. Créatine monohydrate. Collagène type I, II et III. Coenzyme Q10 (énergie). Vitamine D et E. Oméga-3. D’après une étude italienne de 2022, l'exercice physique peut avoir plusieurs effets positifs sur le microbiote intestinal . Les plus importants sont les suivants : enrichissement de la diversité du microbiote ; amélioration du rapport Bactéroïdes /Firmicutes, ce qui pourrait potentiellement contribuer à favoriser la perte de poids, la réduction des maladies associées à l'obésité et aux troubles gastro-intestinaux ; stimuler la prolifération d’espèces bactériennes capables de moduler l’immunité des muqueuses et d’améliorer les fonctions de barrière, avec pour conséquence une réduction de l’incidence de l’obésité et des maladies métaboliques ; stimuler les espèces bactériennes capables de produire des substances ayant une action protectrice contre les troubles gastro-intestinaux et le cancer du côlon (comme les AGCC). Biologie - le bilan du sportif : Ferritine : pour déceler une carence et éviter une baisse de performance, un état de fatigue . Magnésium érythrocytaire : pour déceler une carence et éviter une mauvaise récupération, le stress , les crampes. Vitamine D : pour déceler une carence et réduire le risque de blessures. HOMA : pour mettre en évidence une résistance à l’insuline (prédispose au risque de diabète). Protéine C Réactive ultrasensible (CRP-us) : marqueur de l’ inflammation pour prévenir le risque de surentraînement. Créatine PhosphoKinase (CPK) : témoin de la récupération, permet de dépister une intolérance à l’effort. Coenzyme Q10 : pour dépister une carence en coenzyme Q10, antioxydant puissant. Superoxyde Dismutase (SOD) : évalue le stress oxydatif (agression cellulaire). Glutathion Peroxydase (GPX) : évalue le stress oxydatif (agression cellulaire). Zinc : pour déceler une carence et améliorer la récupération. Sélénium : pour déceler une carence et éviter une fatigue à l’effort (notamment lors d’efforts intenses et répétés). Iode : test iodurie sur 24h. Anticorps anti-LDL oxydés : marqueur du stress oxydatif (agression cellulaire), permet de détecter le risque de surentraînement. Lipopolysaccharide Binding Protein (LPB) : marqueur d’ hyperperméabilité intestinale . Testostérone totale et libre : hormone mâle anabolisante. Estradiol : hormone œstrogénique. Thyroïde : TSH, T3, T4, T3 reverse. Surrénales : DHEA, prégnénolone, 17 OH stéroïdes sur urines de 24h. Conseil : Si vous vous sentez fatigué ou mal, reposez-vous ! Il est recommandé d’au moins faire 30 minutes d’exercices quotidiens. Des exercices de respiration sont indispensables pour nettoyer nos poumons et des techniques respiratoires sont à adapter en fonction des sports pratiqués. Citations : « Le sédentaire qui ne se dépense pas assez sur le plan physique s’encrasse rapidement, s’arthritise, se toxémise et se prépare à des échéances difficiles. » - Dr. André Passebecq. « Les muscles sont des pompes vascularisantes, des réservoirs d’oxygène et le contre-poids indispensable des nerfs. Leur culture journalière contribue à nous revitaliser. Il n’y a que les morts qui peuvent s’en passer. Une performance athlétique dépend et d’un entrainement régulier, bien conduit, et de la pureté humorale ainsi que du degré d’oxygénation des éléments humoro-cellulaires. » - Pr. Grégoire Jauvais « Les gens qui font de l’exercice régulièrement ont une plus grande variabilité du rythme cardiaque et plus de cohérence que ceux qui sont sédentaires. Cela veut dire que leur système parasympathique , le « frein » physiologique, qui induit des périodes de calme, est plus sain et plus fort. » - Dr. David Servan-Schreiber « En augmentant notre activité physique, en augmentant la quantité de fibres qu’on a dans notre alimentation, fruits, légumes, céréales complètes, on va aider nos hormones à mieux agir. » – Dr. Emmanuelle Lecornet-Sokol, endocrinologue. « Rien que par l’exercice physique, le terrain organique peut être modifié en profondeur. » - Christopher Vasey « Le muscle est le contrepoids du nerf. » - Pierre-Valentin Marchesseau « L’hyperthermie engendrée par les exercices physiques intenses suractive le système réticulo-endothélial capable de détruire dans ces conditions les cellules cancéreuses. » - Robert Masson « Il est crucial d’être progressif dans l’entraînement. Les problèmes d’infection sont liés à de gros efforts mais aussi à des différences élevées de volume de sport. » - Dr. Jean-Pierre Castiaux, médecine du sport « Aucun sport n'a été autant critiqué et attaqué que la Culture Physique, et nous qui sommes du côté de l'hygiène de vie et de la beauté plastique, nous restons toujours ébahis de l'acharnement de nos détracteurs, ou simplement de l'incrédulité du grand public, que les médias se gardent bien d'informer. Pourtant, si tous ces gens savaient combien il est difficile d'accéder à la beauté plastique, combien de sacrifices il faut faire pour y arriver, tant moralement, financièrement que matériellement, qu'ils nous respecteraient et nous admireraient un peu plus. » - Jean TEXIER. Jean Texier journaliste sportif français spécialisé dans la culture physique
- L'inflammation
Article naturo-hygiéniste L’inflammation aigue A l'instar de la diarrhée, du vomissement, de la fièvre , de l'inappétence, des éruptions cutanées, des émissions catarrhales, de la transpiration, de la cicatrisation, etc., l’inflammation aigue est un processus régulateur homéostasique induit par la force vitale pour diminuer le niveau de toxémie ou effectuer une réparation, afin de préserver la santé et l’intégrité de l’organisme. Si on bloque un de ces processus vitaux, la lésion, la toxine, le toxique ou le microbe pathogène ne pourra être circonscrit et éliminé. C’est une erreur de considérer ces manifestations comme des signes négatifs à supprimer. L’inflammation n’est pas un problème, c’est une solution ! L’inflammation est une réaction du système immunitaire face à un composé acide , une infection ou à une lésion tissulaire. L’acidose est l’une des plus grandes causes d’inflammation. L’inflammation (auto guérisseuse) est donc un signal, un mécanisme réparateur naturel normal et physiologique, qui vise à fournir aux tissus lésés ou altérés, un maximum de sang vitalisant et de lymphe épurative. C'est toujours une réaction de guérison, une réaction adaptative de l'organisme, qu'il ne faut pas entraver. Les anti-inflammatoires s'opposent systématiquement aux processus de guérison dans le corps. De plus ils vont créer des dégâts à d'autres endroits. L'inflammation est une fièvre locale. Réaction inflammatoire Les 4 signes cardinaux de l’inflammation : Rougeur. Chaleur. Gonflement. Douleur. Les grandes étapes de la réaction inflammatoire aiguë : Prenons l’exemple d’une blessure faite avec une épine de rosier… Étape 1 : Lésion cutanée permettant le passage de la barrière naturelle. Les agents pathogènes (bactéries) traversent l’épiderme puis atteignent le derme. Étape 2 : Contamination conduisant à la pénétration des micro-organismes qui vont débuter leur multiplication cellulaire. C’est le début de l’infection. Étape 3 : Dilatation locale des capillaires sanguins et diffusion du plasma sanguin dans les tissus avoisinants. Ce qui conduit au gonflement de la plaie et à sa rougeur (érythème et œdème). Les terminaisons nerveuses présentes sont stimulées et envoient un signal de douleur au cerveau. Étape 4 : Diapédèse. Les phagocytes circulant dans les vaisseaux sanguins vont traverser leur paroi et venir au contact des micro-organismes. On les appelle alors macrophages tissulaires. Étape 5 : Phagocytose. Les macrophages sont activés et fixent à leur surface les micro-organismes grâce à des récepteurs et les internalisent. Ils vont ensuite les digérer. L’auto-réparation, l’auto-guérison sont des caractéristiques inhérentes au vivant. Laissons opérer l' HOMÉOSTASIE par l’immobilisation de la zone atteinte et laissons faire le bon déroulement de la réparation. Le processus inflammatoire naturel vers la guérison s’appelle « fibroplasie inflammatoire ». L’inflammation est contrebalancée par le cortisol ( glandes surrénales fonctionnelles), le cholestérol et les bons acides gras , les micronutriments et les antioxydants. La suppression des aliments inflammatoires, acides et acidifiants , le jeûne et le repos sont de mises. Ensuite fruits doux, jus de légumes , plasma de Quinton (minéraux), bonnes graisses et légumes crus pour la reconstruction et l'alcalinisation globale, il faut diminuer la charge acide . L’inflammation chronique A l’instar des crises curatives aigues , l’inflammation aigue réparatrice a une durée limitée dans le temps. Par contre, l’inflammation chronique est caractérisée par sa longue durée dans le temps, de plusieurs mois à plusieurs années. C’est l’étape 4 des étapes de la maladie selon J. H. Tilden. Elle fera le lit des maladies dégénératives et de civilisation, basculant ensuite vers l’ulcération avec destruction des tissus et perte de fonction. Toutes ces étapes peuvent finalement aboutir au cancer qui est aussi une maladie inflammatoire. L’inflammation chronique accélère le vieillissement, elle est oxydante. Une température constante de 37-37,5 °C est un signe d’inflammation chronique, ainsi que des douleurs diffuses, musculaires, tendineuses ou/et articulaires. Quelques maladies chroniques inflammatoires : La maladie de Crohn La fibromyalgie Les rhumatismes et l’arthrose L’artériosclérose La sclérose en plaques L’asthme Le cancer Le système immunitaire et l’organisme tentent en vain de réparer les zones atteintes car les moyens lui manque, à cause : D’une baisse de l’ énergie vitale . D’une toxémie non résorbée. D’un manque de repos et de troubles du sommeil . De carences nutritionnelles . De mauvaises association alimentaires . D’une alimentation déséquilibrée et trop acidifiante (aliments transformés et raffinés, sucre , alcool, etc.) D’un manque et d'un déséquilibre dans les apports lipidiques (oméga-3-6-7-9). Des poisons overtoniens . Des produits laitiers . Des céréales (pain, pâtes…) Des toxiques . D’une baisse hormonale, notamment des glandes surrénales et de la testostérone . De la porosité intestinale . D’une dysbiose intestinale . De médicaments. D’un stress chronique. D’un surpoids ou de l’obésité. De sentiments négatifs. D’un excès de fer sanguin. D'un excès de sucre sanguin (hyperglycémie). D’un syndrome métabolique / résistance à l’insuline. Biologie : Biochimie des glucides. Statut antioxydant. Statut en fer : 1. Fer sérique. 2. Ferritine. 3. Saturation de la transferrine. La ferritine est un marqueur inflammatoire, En cas d’ inflammation , la ferritine flambe et le fer s’effondre. Profil individuel en acides gras. CRP et CRP-US (inflammation de bas grade). L’inflammation chronique de bas grade (CRP-US) signifie que le corps est entrain de lutter contre ce qu’il perçoit comme une attaque. La résistance à l’insuline est un des principaux facteurs de l’inflammation chronique. Solutions : Correction des causes. Analyse du statut en acides gras et du génotype apoE . Diètes, monodiètes, jeûne , alimentation physiologique de type paléo . Assainissement des intestins : lavement, psyllium blond, prébiotiques, berbérine . Jus de légumes , jus de grenade frais (tanins hydrolysables, flavonoïdes, polyphénols ). Chlorophylle . Plasma marin de Quinton . Lait d’Or . Cohérence cardiaque . Négativation . Eau de source faiblement minéralisée. Respect des 9 facteurs de la santé intégrale . S'exposer à la lumière rouge . Nutrithérapie : Antioxydants (vitamines : A, C , D, E. N-acétylcystéine, etc.). L-glycine : anti-inflammatoire et antioxydante. Acides gras oméga-3. Magnésium citrate. Coenzyme Q10 . Quercétine . Bore . Béquilles de soutien phytothérapeutiques pour accompagner la correction des causes : L’harpagophytum, la reine des prés, les feuilles d’ortie dioïques, le gingembre et le curcuma. Le thé vert matcha biologique et ses polyphénols . Gemmothérapie : bourgeons de cassis et d’aulne glutineux. Citations : « Tout ce qui interfère avec les processus naturels perturbe le bien être. » - Dr. Norman Walker. « En étouffant les spectaculaires flambées inflammatoires de la maladie aiguë, nous avons ouvert la boite de Pandore des maladies chroniques qui mettent en échec et mat la médecine moderne confrontée à l’effondrement de notre pulsion vitale et de notre immunité . Nous assistons à une véritable floraison de maladies dégénératives et auto-immunes, qu’ils s’agissent des cancers ou des affections détruisant peu à peu nos systèmes régulateurs , nerveux , endocrinien et immunitaire . » - Dr. Éric Ancelet « L’inflammation (chronique) fait le lit du cancer , de l’ Alzheimer , de Parkinson et de tout le reste. » - Dr. Laurent Schwartz « Il faut éviter les addictions au sucre et aux produits pro-inflammatoires comme par exemple la farine blanche ou le lait . » - Dr. Ilyes Baghli « L’inflammation chronique joue un rôle dans toutes les principales causes de mortalité et de morbidité dans le monde. » - Bruno Mairet « La mitochondrie joue un rôle fondamental dans l’inflammation. » - Pr. Vincenzo Castronovo « Toutes les maladies dégénératives ont une composante inflammatoire. » - Dr. Georges Mouton « Le déséquilibre des acides gras est l’une des causes principales des maladies inflammatoires, y compris les maladies cardiaques, le diabète et le cancer . » - Dr. Joseph Mercola « Aujourd’hui, l’existence d’un lien étiologique entre les maladies inflammatoires chroniques ou auto-immunes et la porosité intestinale est officiellement reconnu. » - Jérôme Manetta Articles complémentaires : Trois ennemis à contrôler Le syndrome métabolique
- Arthrite, arthrose et rhumatismes, les solutions naturelles
Article naturo-hygiéniste "Ce que l'homme ne veut pas apprendre par la sagesse, il l'apprendra par la souffrance" - Melkisédech Les rhumatismes ont un impact négatif sur la qualité de vie des personnes touchées, provoquant des douleurs et des handicaps importants. En outre, les médicaments utilisés pour traiter ces maladies ont des effets secondaires qui alourdissent ce fardeau. En naturopathie, les rhumatismes sont considérés comme des maladies de type cristalloïdale (acides & cristaux), c’est TOUJOURS un acidisme humoral, une acidose permanente. Toutes les manifestations diverses du rhumatisme et ses formes sont illustrées par la loi N° 21 dite Loi de Tilden sur la TOXÉMIE (L’affaiblissement fonctionnel – l’énervation). Étapes 4 (inflammation) et 5 (ulcération) des 7 étapes de la maladie selon J. H. Tilden . La toxémie est la présence de n'importe quelle substance incompatible avec la santé, dans le sang, la lymphe , les fluides du corps, les organes, les tissus et les cellules. En l'occurrence, le rhumatisme signe la présence dans les jointures du corps (ralentissement circulatoire) de cristaux (dépôts d'urates) qui proviennent des déchets métaboliques des aliments céréaliers (pain, pâtes, riz, etc.) et des aliments acidifiants consommés en excès (toxines endogènes). C'est ainsi que les symptômes aigus de l'arthrite et du rhumatisme finissent par devenir de l'arthrose (chronique), puis finalement les os se soudent se déforment et se détériorent, rongés par l’acidification et l'inflammation chronique du terrain . Arthrose = atteinte rhumatismale chronique, le cartilage est atteint, pas de rougeur, pas de gonflement, pas d’ inflammation . Arthrite = atteinte rhumatismale aiguë, le cartilage n’est pas atteint, mais la membrane synoviale est enflammée, gonflement, rougeur, douleur. L’hérédité … c’est la référence quand on veut se déculpabiliser et fuir ses responsabilités, mais ce n’est pas l’hérédité génétique qui est incriminée, c’est l’hérédité de l’hygiène de vie, de l’ alimentation et de la sédentarité. L’âge … les rhumatismes ne sont pas liés à l’âge, sinon tous les vieillards en seraient atteints, or il y a des centenaires sans rhumatisme et il y a des trentenaires avec des rhumatismes. La seule chose que les années engendrent, c’est l’accumulation de déchets et la détérioration des capacités organiques émonctorielles (seuil de tolérance toxémique dépassé) due à une hygiène de vie acidifiante et débilitante. La preuve en est que les malades atteints de rhumatismes se résignant à une vie hygiéniste (respect des lois naturelles), s’en débarrassent ou s’améliorent fortement dépendamment de leur stade lésionnel. Les neuro-arthritiques sont généralement des constipés qui souffrent de problèmes intestinaux avec éventuellement des fermentations à l’origine d’une acidose endogène. Ils transpirent peu et sont frileux, ce qui ne favorise pas l’évacuation des acides. Ils sont généralement considérés comme des sous-vitaux et n’ont donc pas la puissance vitale pour métaboliser convenablement les acides. Il est clair que la consommation excessive de protéines animales est source d’urée, d’ acide urique et d’acide cétonique, ces 3 éléments peuvent être responsables de diverses pathologies rhumatismales avec un éventuel épuisement des fonctions hépatiques et rénales, ainsi que leurs conséquences pathologiques. Le manque d’oxygène crée le terrain propice aux pathologies rhumatismales. Causes : Les facteurs acidifiants et producteurs de déchets : Céréales . Lait & produits laitiers . Café, thé, alcool, chocolat, overtoniens (purines, acidifiants & stimulants ). Sucres raffinés, soja. Apport en lipides déséquilibré. Chair animale en excès. Déminéralisation ( carences ). Stress . Sédentarité . Glycation . => ACIDOSE ! = DEMINERALISATION => Dégénérescence, destruction du squelette, inflammations et maladies … Le Professeur Jacques Ménétrier affirmait qu’en ultime réflexion, il n’y avait chez l’homme qu’une seule et unique maladie : l’arthritisme , qui est la lente dégradation d’un terrain face à une acidose multifactorielle. La caféine détruit les vitamines B1 & B5. Fonctions de la B1 : énergie nerveuse ( dépression , névralgies, fatigue ), tonus musculaire du cœur et des intestins (troubles cardiaques, constipation ), digestion des sucres . Fonction de la B5 : stimulant naturel des glandes surrénales (d'où sécrétion de cortisone naturelle qui améliore arthrites, rhumatismes, asthme , etc.), anti-stress ( fatigue , dépression , insomnies ). La caféine provoque des fuites de calcium et de fer. Voire articles : Les aliments mucogènes & acidifiants . Biologie : CRP ; CRP-US ; Statut en acides gras ; LBP (Lipopolysaccharide Binding Protein) : porosité intestinale ; HbA1c ( glycation ) ; Testostérone : un taux de testostérone équilibré contribue à la bonne santé et au bon fonctionnement des articulations. Cortisol salivaire. Magnésium érythrocytaire, zinc, calcium, bore . Vitamines : D et K. Coenzyme Q10 . Solution allopathique classique : Anti-inflammatoires, corticoïdes, infiltrations, etc. => disparition des symptômes (guérison apparente). Puis récidive habituelle, voire escalade thérapeutique. Atteintes lésionnelles d’autres organes comme l’estomac, le foie , les reins, augmentation de la toxémie , baisse de l’immunité . Solution naturelle, désacidifier le terrain : Adopter progressivement une alimentation physiologique, naturelle, biologique , vivante, variée, équilibrée, hypotoxique, anti-inflammatoire & alcalinisante de type paléo , riche en micronutriments assimilables : Pour tout le monde, ne négligeons pas les légumes qui sont minéralisants et anti-inflammatoires : racines, tiges tendres, fleurs, graines germées, noix , algues . Pour les personnes au tempérament dilaté , elles pourront consommer des fruits doux et mi-doux frais, mûrs et biologiques entiers, à la croque ou en smoothies, fruits secs et séchés juste après les repas, mais pas de fruits acides. Pour les tempéraments rétractés , les personnes sous-vitales ce sera un peu de fruits en fin d'après-midi. Limiter les produits animaux (surtout non biologiques ) et l'apport de protéines , pas plus de 1gr/kg de poids. Eliminer les charcuteries, les produits laitiers et les produits transformés. Adopter une alimentation plus vivante à 70 % crue à hautes fréquences . Consommer des jus de légumes frais à l’extracteur. Faire un Cure de raisin en monodiète . Diète de potage de légumes et de pommes de terre un jour tous les quinze jours. Consommer du bouillon d'os aux légumes riche en collagène . Boire une eau de source faiblement minéralisée. Décongestionner les émonctoires : reins, intestins, foie et peau (sortie des acides par les glandes sudoripares). Rappelons-le clairement, le petit-déjeuner "classique" inducteur de fermento-putrescences , de porosité intestinale et d'i nflammation chronique sera à proscrire impérativement ! C'est-à-dire l'association indigeste et incompatible suivante : Café ou thé + pain ou céréales + confiture ou miel + fruits ou jus de fruits + produits laitiers . Phytothérapie : Plantes diurétiques : feuilles de cassis, verge d’or, pissenlit, aubier de tilleul, feuilles de frêne, ortie , etc. Contrôle de l’ inflammation : harpagophytum, curcumine , gingembre, ashwagandha . Gemmothérapie : bourgeon de cassis. Varech. Compléments alimentaires indiqués dans la régénération du cartilage et l'inflammation : Plasma marin de Quinton . Chondroïtine et glucosamine sulfate ou mieux du collagène et de l'acide hyaluronique. Oligothérapie : silicium organique sous forme d'acide orthosilicilique ou monomethylsilanetriol, cuivre/manganèse, soufre. Nutrithérapie : vitamine C , D et K2-MK7, magnésium organique, soufre organique MSM, L-glycine + N-acétylcystéine, bore , CoQ10. Régénération articulaire => 2 ans. Peut être accéléré par des jeûnes réguliers, une activité physique régulière, des purges et le suivi assidu du protocole régénérant. Soleil (vitamine D naturelle, régénération, désacidification, force vitale ). Respiration (élimination des acides, inspirations et expirations profondes, oxygénation). Élimination ( eau de qualité, faible en résidus secs < 50 mg/L, tisanes, jus de légumes frais bio, marche, psyllium blond, purges ). Sommeil (récupération, régénération). Mouvement, activité physique ( lymphe et cristaux articulaires, régénération du cartilage, MIN. 30 minutes/J.). Bains chauds, hammam, sauna (ouverture des pores, sudation, élimination). Diminution du stress qui est acidifiant. Les fruits en quantité raisonnable et les légumes ont une influence favorable sur la santé des os et des articulations car ils diminuent l'inflammation chronique de l'organisme. Cure d'eau distillée avec quelques gouttes de jus de citron bio ou de plasma de Quinton , tous les jours. Elle dissout les déchets cellulaires de sorte que les toxines puissent être évacuées. L’eau distillée excelle également dans la dissolution des substances minérales inorganiques qui sont logées dans les tissus afin qu’elles puissent être éliminées lors du processus de purification de l’organisme. La cure “ Breus ” est spectaculaire pour l’arthrite. La méthode a été testée par l’Institut de thérapies physiques de Amriwil en Suisse. Aide contre l’inflammation générale : Supprimer les causes, l’effet (symptôme) disparaîtra définitivement. Consommer des produits gras (fruits gras, avocats, noix, huiles vierges extraites à froid, respecter l’équilibre en acides gras oméga -3-6-7-9). Augmenter l’apport en minéraux (légumes, fruits mûrs et doux, jus verts, plasma de Quinton , fruits de mer). Il est important de s’exposer le moins possible aux ondes électromagnétiques et de se relier à la Terre (négativation) le plus souvent possible, marcher pied nu dans l’herbe, le sable ou la terre. Cela dissipe les effets de la pollution électromagnétique. La mise à la Terre rétablit entre autres la fluidité du sang, diminue l’inflammation et la douleur. La Terre nous recharge en électrons libres indispensables au métabolisme. Ces électrons neutralisent aussi les radicaux libres en excès. Thérapie à la lumière rouge et proche infrarouge. Les remèdes n’existent pas ! Seul le corps est capable de s’autoréparer et de se régénérer, si on lui en donne la possibilité (Loi de l’homéostasie ). Les remèdes sont des anti-symptômes, ils ne font que masquer un signal que quelque chose ne va pas, mais ne supprime pas la cause. Des béquilles de soutien naturelles peuvent être utilisées, comme des plantes, mais ne résoudront RIEN. Toute médication chimique entraînera une toxémie supplémentaire et un dérèglement des systèmes et glandes. L’ UNIQUE remède est la suppression de la cause , de la cause, de la cause. Calcifications : réaction entre de l'acide (acidose) et du calcium = dépôts de sels calciques qui s'accumulent sur les articulations. Les effets nocifs des céréales par le Dr. Jean SEIGNALET : Le blé et le maïs ont été mis en cause dans plusieurs maladies. 1) Dans la polyarthrite rhumatoïde, au cours d'une rémission obtenue par une période de jeûne, la réintroduction du blé réveille les arthrites dans 54% des cas. Le maïs a le même effet dans 56% des cas (Darlington 1986). 2) La sclérose en plaques est plus fréquentes chez les Anglo-Saxons et les Scandinaves qui sont de grands consommateurs de céréales (Besson 1994). 3) La maladie cœliaque et la dermatite herpétiforme sont la conséquence d'une réponse immunitaire contre un peptide commun à la gliadine du blé. Dans la polyarthrite rhumatoïde, l'arrêt des produits laitiers provoque une rémission des arthrites, leur réintroduction est suivie d'une reprise des arthrites, chez un pourcentage non négligeable de patients (Darlington 1986). Citations : « Les malades ne veulent pas souffrir, c'est légitime ! mais à condition de supprimer la cause de la souffrance. Mais c'est ce que ne veulent pas faire les malades en règle générale. Les malades veulent continuer de penser à l'envers, à manger et boire à l'envers, à vivre à l'envers et continuer à absorber tous les poisons que leur offre la société. Les malades ne veulent pas se responsabiliser et se prendre en charge, ils veulent le beurre et l'argent du beurre. Ils veulent des pilules et un demi verre d'eau, avaler et dire 'je suis guérit docteur !'. On supprime les symptômes et on laisse en place la cause profonde qui refera la pathologie. Les malades refusent d'admettre qu'il existe un code de la vie et de ses lois. Désobéir constamment aux codes de la vie, c'est s'exposer à des sanctions. L'arthrose est le résultat d'un mode existentiel anti-hygiénique et toxique . » - Pr. Grégoire Jauvais. « Tant que la cause persiste, les effets persisteront. Les aliments non spécifiques à notre espèce sont à la base de la toxémie produisant l'arthritisme. D'autres causes entrent en scène : le surmenage, le café , l'alcool, le chocolat ( poisons overtoniens et éléments acidifiants ), les épices fortes, etc. Le coupable principal est le pain et les céréales . » - Albert Mosséri « Si les maladies sont remédiables et réversibles, comme la plupart d’entre elles sont, elle est constructive. Lorsque la maladie ne peut plus être inversée grâce à des processus remédiables du corps, elle est dégénérative. Par exemple, les dépôts osseux d’un arthritique peuvent généralement être autolysés et restaurés à peu près à la normale. Mais quand l’ankylose s’est produite en raison de la destruction de l’os et du cartilage et en conséquence la fusion, les pratiques saines vont restaurer la santé à l’exception de l’ankylose – elle est rarement réversible. Cependant, de nombreuses maladies communément considérées comme dégénératives peuvent être corrigées par l’organisme, comme dans la plupart des cas d’arthrite. » – Christian Brun. « Le sédentaire qui ne se dépense pas assez sur le plan physique s’encrasse rapidement, s’arthritise, se toxémise et se prépare à des échéances difficiles. » - André Passebecq. « Personne ne peut résoudre un problème de santé, en restant dans l’état d’esprit qui a créé le problème. » – Thomas Edison. « Les maladies cardio-vasculaires, le diabète, les rhumatismes , les allergies , les scléroses et dégénérescences de toutes sortes sont directement corrélés aux habitudes alimentaires modernes, inspirées par une diététique quantitative matérialiste qui n’a pas encore intégré le concept des aliments vivants. » - Dr. Christian Tal Schaller « Les infractions au Code de la Vie se traduisent en nous par des maladies, par des souffrances, par des dégénérescences, par des difformités plus ou moins handicapantes, voire invalidante. » - Pr. Grégoire Jauvais « Par leur apport purique et la chélation en oligoéléments, les stimulants (thé, café, cacao, cola, maté) sont les facteurs n° 1 du rhumatisme dégénératif. » - Robert Masson « La pollution électrique, entraîne une surcharge de l’organisme en électricité positive (oxydation) et une perturbation dans la réparation des potentiels tissulaires, ce qui favorise le développement des phénomènes arthritiques. » - Dr. Jacques Janet « Quand l’équilibre alcalin net est atteint, les os et le cartilage sont préservés. » - Dr. William Davis « Le mouvement, c’est la vie. L’arthrose n’est pas une usure des articulations (mais une dégénérescence) et elle s’aggrave encore plus en ne bougeant pas. Enfin, contrairement à une opinion répandue, c’est un phénomène réversible. » - Dr. Stéphane Résimont, Alain Andreu « L’écosystème intestinal est une des principales source d’inflammation et notamment de douleurs articulaires. Ces douleurs articulaires s’améliorent quand l’intestin s’améliore. » - Dr. Georges Mouton « Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » - “ Que ton aliment soit ta seule médecine ! ” - Hippocrate Article complémentaire : L'ostéoporose
- La cellulite
Article naturo-hygiéniste La cellulite est une affection cutanée désagréable sur le plan esthétique qui se manifeste par des capitons produisant une surface inégale sur la peau. Apparaissant chez 80 à 90 % des femmes, principalement sur les cuisses, les fesses et les hanches, parfois même les bras. Elle est associée à de graves problèmes psychosociaux* et de qualité de vie. *Un inconfort psychologique a été signalé chez les patients atteints de cellulite. Le mot cellulite veut dire inflammation de la cellule. La cellulite n’est pas un trouble isolé, mais un signe de désordre général, d’ inflammation et de toxémie . Les cellules sont malades. Causes : C’est une accumulation de déchets, de toxines et de graisse emprisonnés en périphérie du corps dans les tissus au niveau des liquides organiques de l’hypoderme, c’est l’adipose (atrophie des adipocytes). Afin d’épargner les organes et systèmes, ces toxines sont capturées et diluées dans de l’eau et de la graisse ce qui donne l’aspect de peau d’orange avec des capitons. Le foie est particulièrement atteint, il faudra envisager une épuration générale de l’organisme ( émonctoires & humeurs ) et du foie en particulier. C’est un signal d’alarme (symptôme) qui indique que le terrain doit être corrigé. La cellulite est la traduction d’un système lymphatique engorgé et d'un excès de glucides. En résumé : La toxémie . Le manque d’ activité physique . L'excès de glucides . La fatigue hépatique . L'inflammation et la glycation . Le ralentissement digestif . Le grignotage . Un déséquilibre en acides gras alimentaires. Un déséquilibre hormonal. Solutions : Corriger l'hygiène de vie sur le plan de l'activité physique et de l'alimentation . Diminuer drastiquement les glucides , les aliments mucogènes (colles), les aliments acidifiants (inflammatoires), raffinés et industriels. Détoxifier , drainer les humeurs et les émonctoires . Soigner les intestins et leur porosité . Pratiquer quelques purges , jeûne et monodiètes . Apporter suffisamment de lipides bien équilibrés en acides gras oméga-3-6-7-9. Apporter du potassium avec les fruits et les légumes qui sont diurétiques. S'hydrater et boire suffisamment d’ eau de bonne qualité. Réaliser un bilan hormonal (progestérone, œstrogène, testostérone, thyroïde). Compléments alimentaires en appui de la correction des causes : Phytothérapie : Aubier de tilleul à action hépatique et rénale, psyllium blond à action intestinale, reine des prés, pissenlit. Oligothérapie : silicium , nickel. Gemmothérapie : complexe anticellulite. Nutrithérapie : oméga-3, iode , coenzyme Q10 , vitamine A (rétinol), vitamine C et collagène. Ce que nous sommes est la résultante de nos choix. Astuce : Consommer 100 gr de foie de morue chaque semaine, car il contient des nutriments qui aident à lutter contre la cellulite : des acides gras saturés, monoinsaturés et poly-insaturés (oméga-3), de la vitamine A, de la vitamine D3 et de l’ iode . Consommer du bouillon d’os riche en collagène . Citations : « Tous les obèses et toutes les femmes cellulitiques font des régimes hypocaloriques et continuent, malgré leurs efforts de restriction, à être fondamentalement obèses, cellulitiques. Pourquoi ? Parce que les aliments constituant ces types de régime sont anti-spécifique et dénaturés . Ils fournissent bien le nombre restreint de calories, qui est recherché, mais du fait qu'ils sont faux, dévitalisants, dépérissants, ils continuent à les intoxiquer, donc à les remplir de surcharges résiduelles (de résidus ou déchets toxiques) étio-morbido-pathogènes. » - Pr. Grégoire Jauvais « La cellulite est le résultat de l’infiltration de la peau par des toxines endogènes. Elle doit être considérée comme la traduction locale d’un phénomène général d’auto-intoxication. L’accumulation de toxines dans le tissus cellulaire sous-cutané correspond à l’augmentation de la viscosité du milieu et à l’engorgement des vaisseaux lymphatiques qui en assurent l’irrigation. » - Dr. Jacques Janet « Cette accumulation de graisses et de toxines dans les liquides organiques de l’hypoderme est appelée la cellulite. » - Christopher Vasey « Il faut que les femmes cellulitiques comprennent que leur cellulite n’est qu’une accumulation, notamment dans leurs tissus conjonctifs, de poisons constitués, pour résumer et imager, de morve et d’urine concentrées résultant de leurs distorsions mentales et de leur alimentation anti-biologique, généralement riche en farineux (amidons), en sucres industriels et en produits laitiers issus de la vache , ces trois causes essentielles induisant une dévitalisation générale, un ralentissement du transit intestinal, une stagnation des matières en fermentation et en putréfaction toxicogènes . » - Pr. Grégoire JAUVAIS, M. D., Sc. D., Ph. D. « Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » - Hippocrate
- En finir avec l’hypertension artérielle
Article naturo-hygiéniste Description : La tension est la pression que doit exercer le cœur pour faire circuler le sang dans les artères. L’hypertension est une pression excessive dans les artères qui peut être due à un ou plusieurs facteurs. C’est un processus régulateur adaptatif de l’organisme ( homéostasie ) en réponse à une anomalie. Prendre des médicaments chimiques et masquer ce symptôme, c’est comme bloquer une diarrhée lorsque le corps a besoin d’expulser, entraver une inflammation quand le corps a besoin de se réparer, arrêter une fièvre lorsque le corps a besoin de se défendre, prendre un excitant quand le corps a besoin de se reposer , etc. C’est aller à l’encontre des processus homéostatiques établis par la nature. Chaque jour en France, 400 personnes décèdent de troubles cardiovasculaires ; 90% de ces troubles sont dus à l’hygiène de vie… (étude sur 15.000 personnes dans 52 pays). Symptômes de l’hypertension : Maux de tête, étourdissements, pertes d’équilibre, vertiges, palpitations, oppressions, angoisses, saignements de nez, compressions des tempes, bourdonnements d’oreille, mains et pieds froids, crampes, mictions plus abondantes la nuit, troubles de la vue… Conséquences de l’hypertension : Ceci peut engendrer une fatigue générale et des accidents vasculaires comme la rupture de vaisseaux sanguins, l’infarctus, l’insuffisance rénale ou cardiaque. On estime que plus de la moitié des 17 millions de décès provoqués chaque année par les maladies cardiovasculaires à travers le monde est directement liée à une tension trop élevée… L’hypertension touche des populations de plus en plus jeunes. Selon l’organisme Hypertension Canada, plus de 9 Canadiens sur 10 souffriront d’hypertension s’ils ne modifient pas leur mode de vie . (Voire : Les 9 points de la santé intégrale ). Tension normale : 120/80 millimètres de mercure (mmHg). Chez les sportifs, les chiffres peuvent être un peu plus bas : 110/60 (optimale). Une pression artérielle au repos qui reste durablement supérieure à 140/90 mmHg représente une charge lourde et continue pour le cœur et les vaisseaux sanguins. La pression systolique (120) reflète l’état des glandes surrénales, la pression diastolique (70) reflète l’état des reins. Causes de l’hypertension : Injections intraveineuses et prise de drogues sous forme médicamenteuse ou autre. Alimentation inadaptée génératrice de déchets et d’impuretés passant dans le sang, provenant d’une nourriture trop cuite et transformée. Un excès de glucides : sucre raffiné, céréales et amidons . Un excès de protéines et de lipides de mauvaise qualité (obstructions). Rétention de déchets dans les organes et canaux excréteurs. Obstruction et durcissement des artères par acidose (artériosclérose, athérosclérose). Via l’impulsion des surrénales , le cœur doit envoyer plus de pression pour faire passer le sang. Vasoconstriction de l’artère rénale par accumulation de dépôts gras sur les parois. La tension s’élève quand le cœur a besoin de forcer (obstructions). > 80 mmHg = congestion rénale ( sel , encrassement…) Sang visqueux (hémogliase). Embonpoint. La résistance à l’insuline : la fréquence d’hypertension est 35 % plus importante chez les personnes résistantes à l’insuline. Acidose / intoxication : réponse adaptative de l’organisme qui crée de l’œdème (augmentation du volume plasmique) pour diluer les déchets = augmentation de la pression dans le système circulatoire. Le stress (qui génère trop de cortisol) . Attention à la carence ou au déficit en vitamine D , en oméga-3 , en magnésium et en potassium. Le diamètre des vaisseaux sanguins peut être diminué par l’accumulation de plaques d’athéromes dues aux aliments mucogènes en excès et à une inflammation globale. Leur élasticité peut être réduite par les aliments acidifiants ( acidose ). Épaississement du sang : les céréales raffinées doublent la viscosité du sang (hémogliase) de 4 à 7,8 sur l’échelle de viscosité et en ralentissent sérieusement la vitesse de circulation de 22 à 53 secondes. L’hypertension traduit souvent un effort de l’organisme pour assurer son irrigation et celle des organes. Ce qui signe donc une obstruction . Le cœur doit forcer pour atteindre certains vaisseaux. L’émonctoire ‘reins’ est très probablement congestionné et risque des lésions. L’hypertension artérielle dans certaines familles n’est pas génétique comme on le croit souvent, ce qu’il y a d’héréditaire c’est la mauvaise hygiène de vie, notamment alimentaire, transmise par les parents avec une alimentation comportant des proportions excessives d’ aliments cuits , transformés, raffinés, de glucides concentrés ( amidons ), de sel de cuisine et d’ excitants comme le café , le thé, les sodas au cola, le maté, le chocolat, l’alcool et le tabac ( overtoniens ). En bref : acidose et obstruction (acides, colles). Solutions : Supprimer les causes. Adopter l’alimentation spécifique à l’espèce humaine de type paléo , biologique et équilibrée. Bien s’hydrater avec une eau de bonne qualité. Eviter au maximum les aliments mucogènes et limiter les aliments acidifiants . Réduire l'apport en glucides . Pratiquer une activité physique adaptée. Pratiquer le sauna . Perdre du poids et principalement de la graisse abdominale. Se relaxer , se reposer . Supprimer les excitants et la caféine (hyper-tenseurs). Pratiquer le jeûne intermittent . Pratiquer la cohérence cardiaque. Prendre des bains Salmanov jaunes. Boire du jus de betterave rouge fraichement extrait. Ail frais. Consommer des fruits qui sont des fluidifiants sanguins. Compléments alimentaires : Vitamine C : 1-3 gr./J, Vitamine E : 200 UI/J. Vitamine K2 : 180 µg/J. Oméga-3 . Coenzyme Q10 . Vérifier les apports et le niveau sanguin de magnésium et de potassium. Extrait d'ail vieilli . Polyphénols . Oligothérapie : potassium. Nous sommes la résultante de nos choix ! Citations : “Les maladies cardio-vasculaires, le diabète , les rhumatismes , les allergies , les scléroses et dégénérescences de toutes sortes sont directement corrélés aux habitudes alimentaires modernes, inspirées par une diététique quantitative matérialiste qui n’a pas encore intégré le concept des aliments vivants.” - Dr. Christian Tal Schaller "La tension artérielle est directement corrélée à la graisse abdominale. Votre tour de taille augmente, la tension monte, votre tour de taille descend, la tension descend." - Dr. Georges Mouton “Quand quelqu'un désire la santé, il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Seulement alors, il sera possible de l'aider.” - Hippocrate "Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie." - Hippocrate Articles complémentaires : Le syndrome métabolique L’hypotension












