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  • Ballonnements, aérophagie et inflammation des organes digestifs

    Article naturo-hygiéniste Soyons attentifs à ce que votre système digestif (estomac, intestin, colon…) essaie de nous dire, les symptômes sont des systèmes d’alarme qu’il faut écouter et non masquer ! Si vous écoutez votre corps lorsqu’il chuchote, vous n’aurez pas à l’entendre crier… Ballonnements = dysbiose intestinale = déséquilibre du microbiote , mauvais choix et mauvaises associations alimentaires , excès de glucides : sucres complexes ( céréales , avec leurs acides oxalique et acétique dangereux), sucres raffinés, excès de fibres ou fruits après repas -> fermentations -> gaz. La flore intestinale est le reflet du mode de vie et de l’environnement, de la nourriture, du stress , du sommeil , des produits chimiques, etc. Fermentations , ballonnements, diarrhées, constipation , lourdeurs, sont les premiers signes du dysfonctionnement intestinal ( dysbiose ) et de l’ auto-intoxication de l’organisme, c’est surtout au niveau de l’ alimentation qu’il faut agir. Des fermentations intestinales peuvent être à l’origine d’une élévation des gamma GT et donc d’une surcharge hépatique même chez des personnes ne consommant pas d’alcool. En effet, l es intestins humains peuvent fermenter de l'éthanol à partir de certains sucres ingérés lors des repas ou de mauvaises compatibilités alimentaires . Par exemple, avec un petit-déjeuner occidental classique : céréales ou pain + jus d'orange ou fruit + produits laitiers + café ou thé . Les acides et les amidons ne sont pas compatibles. La nutrition doit être consciente car elle conditionne une bonne digestion et un bon équilibre intestinal, c’est la principale responsable du fonctionnement normal ou pathologique de notre côlon. Les ballonnements peuvent également être la conséquence de l’ hyperperméabilité intestinale , les toxiques passent dans le milieu intérieur (sang et lymphe ). Des ballonnements qui se produisent dès que quelque chose arrive dans l’estomac signe une hypochlorhydrie . Soyons responsables de nos actes & de notre santé Causes : Mauvaise alimentation ( lait , céréales , jus de fruits, muesli, nourriture industrielle), pesticides , surcharge de toxines, déséquilibre du microbiote , stress , faiblesse biliaire de la vésicule, mastication insuffisante, grignotage , mauvaises associations alimentaires , lectines, phytates. L' hypochlorhydrie . Mais aussi la transition alimentaire vers une alimentation plus saine et vivante, les fruits et légumes crus peuvent faire gonfler la plaque mucoïde pour la décoller des intestins. Il faut continuer en douceur, par exemple en ajoutant quelques légumes cuits afin de détacher ces crasses. L’irrigation colonique ou les purges seront bénéfiques dans certains cas, au Chlorumagène ou à l’huile de ricin ou la purge du Dr. Bertholet. La parasitose . L'alcool, le tabac et le café sont des irritants des muqueuses digestives, créant : gastrite , entérite, colite, fermentations et ballonnements. Les médicaments (pilule contraceptive, antibiotiques, IPP , etc.) Remarque : des sensations douloureuses et des ballonnements peuvent être provoqués par un manque de production de sérotonine (hormone du bien-être, du plaisir, de la mémoire , etc.) Tous troubles digestifs relèvent d’une mauvaise alimentation. Solutions : Le repos digestif en premier lieu, le solliciter le moins possible, diètes, monodiètes , jus de légumes surtout verts, respect des temps de digestion, le jeûne est idéal. Adapter la diète à son génotype . Eviter le ralentissement digestif et le grignotage . Eviter les végétaux riches en lectines et en phytates . Rétablir progressivement le microbiote grâce aux prébiotiques naturels : fruits et légumes murs et biologiques , jus de légumes, choucroute crue et autres légumes lactofermentés, bananes, panais, topinambours, oignons, ail, asperges, fenouil, curcuma, carottes, miso bio de riz brun et de soja, etc. N.B. 60 gr. de choucroute crue équivaut à 1 boite de gélules de probiotiques. Les purges . Les lavements et l’hydrothérapie du colon. En cas de fragilité intestinale trop importante au début, faites l’impasse sur les crudités et rééduquer les intestins fragilisés avec des jus de légumes uniquement pour un soulagement pendant la reforme alimentaire, Le charbon actif. L'eau argileuse blanche en interne. Bétaïne HCL + pepsine en cas d' hypochlorhydrie . Béquilles de soutien phytothérapeutiques : Plantes et tisanes cholagogues (bile) & carminatives (gaz) : anis vert, menthe poivrée, mélisse, thym, fenouil, angélique. Berbérine pour corriger la dysbiose et assainir les intestins. Chlorophylle magnésienne. Une ampoule de fenouil-menthe poivrée Superdiet avant le repas. Aromathérapie : huiles essentielles d'estragon, de cumin des prés et de menthe poivrée (antispasmodique, anti-fermentaire et carminatif). Gaz & intestins enflammés : Jus de carottes, pommes, épinards, pomme de terre, + 2 bananes mûres à la croque tous les jours pendant 3 semaines. Jus verts et chlorophylle . Fruits doux et mûrs, kakis, mangues, etc. Aloé Vera fraîche. Curcumine . Pas de légumes crus pendant la cure, mais en JUS à l'extracteur (auto-réparation, revitalisation). Jeûne , laisser le système digestif au repos, 1 jour, 2 jours, 3 jours… si possible le temps nécessaire. L'utilisation des associations alimentaires compatibles rend la digestion plus aisée. Elle réduit les risques de fermentation et de putréfaction digestive, économise l'énergie vitale et diminue la toxémie , l'alimentation associée constitue un facteur rénovateur de santé. Biologie : Pour déterminer s’il y a une éventuelle dysbiose bactérienne et/ou fongique, il faut réaliser un kit urinaire MOU (Métabolites Organiques Urinaires). Une analyse de sang avec le LBP (Lipopolysaccharide-Binding-Protein) : troubles digestifs (mise en évidence d’une dysbiose et d’une hyperperméabilité intestinales). Citations : “L’hygiène intestinale est de premier ordre, c’est la clé de la santé, de la vitalité et de la vraie naturopathie hygiéniste. Les matières fécales stagnantes intoxiquent l’organisme. Le processus d’auto-guérison, ne peut être effectué qui si on vide la tripe. La purge libère l’homéostasie .” - Pr. Grégoire Jauvais "95 % de maladies dépressives viennent d’inflammations d’origine digestive. L’intestin est responsable d’au moins 90 % des maladies mentales." - Dr. François Plantey, psychiatre "Les ballonnements, les gaz, les gargouillements dans l’estomac, les malaises, les selles malodorantes, l’haleine fétide et la langue chargée de même que des symptômes plus graves aussi, attestent de la putrescence qui existe dans l’appareil digestif de la grande majorité des gens." - Albert Mosséri "Les 4/5 des maladies sont dues directement ou indirectement aux produits toxiques provenant des fermentations ou putréfactions gastro-intestinales causées par des excès alimentaires, ou plus fréquemment encore par une alimentation irrationnelle." - Dr. Guillaume Guelpa "Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie." - Hippocrate Articles complémentaires : Les compatibilités alimentaires La prise des repas Quelques règles alimentaires de base Manque d'appétit et difficultés digestives liés à l'âge

  • Les émonctoires

    Article naturopathique, physiologie Chapitre très important en médecine naturelle. Les émonctoires sont les organes d’élimination de l’organisme, ce sont les portes de sortie des déchets, des toxines métaboliques et des toxiques . Ils sont au nombre de cinq : la peau, le foie, les reins, les intestins et les poumons , mais il y a aussi des émonctoires secondaires : l’utérus, les glandes lacrymales, les glandes salivaires. Des organes excréteurs en parfait état de fonctionnement permettent à l’organisme de s’épurer, de se détoxifier, conservant ainsi des humeurs propres : sang, lymphe … (Voire : Le système lymphatique & La toxémie ). L’aspect psychologique a également une influence prépondérante sur la qualité des humeurs (nutrition et activation des émonctoires). Tant que l'apport de déchets reste dans les limites des capacités excrétrices de ces organes émonctoires, nous faisons l'expérience d'un bon état de santé. Si le seuil de tolérance toxémique est dépassé, c'est-à-dire plus de déchets que le corps ne peut en rejeter, la « maladie » (crise de guérison) survient. Pour éviter la saturation des émonctoires, nous devrions entre-autres nous alimenter conformément à notre anatomie digestive et émonctorielle d’anthropoïde, ainsi que limiter l’entrée des toxiques dans notre organisme. Remarque : Si la soif apparaît au lever, c’est que les émonctoires ont mal purifié le sang pendant la nuit et qu’il contient encore trop de toxines émanant du dernier repas. Le foie , l’usine chimique du corps neutralise les substances toxiques contenues dans le sang, les filtre et les élimine avec la bile dans la vésicule biliaire , la poubelle du foie. 2.400 litres de sang et 960 litres de lymphe passent par le foie en 24 heures, soit 1,6 litres de sang par minute. Une grande partie de ce sang est amenée au foie par la veine porte qui provient des intestins. Tout ce qu’on met dans l’intestin prend la voie de la veine porte pour aller jusqu’au foie. Si on mange des aliments biologiques , le foie ne reçoit pas de pesticides. Pour aider le foie, les monodiètes, les jeûnes ou les demi-jeûnes sont intéressants, mais aussi une bouillote chaude pendant 30 minutes une à deux fois par jour, de la vitamine C , de l'exercice physique et certaines plantes amères, cholagogues et cholérétiques. Le foie fonctionne à environ 40°C et se régénère en un mois environ si on le laisse en paix. Plus les éléments qu’il traite sont naturels, moins il a de travail. Les fonctions hépatiques sont indénombrables. Les sucres lents ( amylacés ) sont difficilement métabolisés par le foie humain et leur digestion est incomplète, ce qui génère beaucoup de déchets colloïdaux (colles). Les « maladies » hivernales peuvent être évitées en surveillant le foie. Le foie des nouveaux nés est actuellement 50% plus gros qu’il y a 30 ans… Les reins filtrent environ 1.800 litres de sang par jour afin d’évacuer les déchets par la vessie sous forme d’ urine contenant notamment des déchets cristalloïdaux . Ceux-ci proviennent principalement des protéines et des aliments riches en purines. Ces cristaux d’ acides uriques en excès sont parfois difficiles à éliminer pour les anthropoïdes, contrairement aux carnivores qui savent les métaboliser et les expulser plus facilement grâce à leurs enzymes spécifiques, leurs reins puissants et leur système digestif court. La goutte , les tendinites , les douleurs arthritiques , les céphalées et les douleurs non accidentelles en général, signent la présence de cristaux d’acides uriques et un terrain acidifié. Le stress et les peurs épuisent les reins jusqu’à les léser gravement. L'exercice physique , les massages , les bains chauds, une bouillote sur les reins, la prêle, le pissenlit, la verge d'or, l'aubier de tilleul, etc. stimulent la fonction d'épuration rénale. Les intestins : l’intestin grêle d’une longueur moyenne de 6 mètres, transforme et absorbe au niveau des villosités intestinales les substances ingérées à 90%, le reste dans l’estomac et le colon . Le colon qui mesure environ 1,5 mètre est chargé d’éliminer les déchets. Des toxines transportées par le sang peuvent traverser les parois fines et perméables de l’intestin afin d’être éliminées par les selles. Les intestins ont donc un rôle d’absorption et d’élimination. Ce sont principalement des émonctoires à déchets colloïdaux . Une diarrhée bien glaireuse indique que les viscosités ont retrouvé leur voie d’élimination principale. Le foie déverse ses déchets dans la vésicule biliaire qui à son tour se déverse dans l’intestin grêle, nous prouvons donc parler du trio émonctoriel foie/vésicule/intestins. La marche et l'activité physique en général aident au bon fonctionnement intestinal, mais aussi une alimentation équilibrée suffisamment riche en fibres. En cas de difficultés, une bouillote chaude sur le ventre, de l'eau argileuse, de la zéolite , des douches rectales ou des lavements soulageront. Les éléments naturels assainissants pour les intestins : Phytothérapie : La berbérine . La chlorophylle . La curcumine . Le psyllium. Les graines de chia. Le charbon actif. L'extrait d'ail et l'allicine. La zéolite . Aromathérapie : origan compact, menthe poivrée, cannelle de Chine, citron zeste. Les plantes ayant une action sur le trio émonctoriel foie-vésicule-intestins : chardon-Marie, radis noir, romarin, artichaut, pissenlit, boldo, marjolaine. Les poumons éliminent principalement les déchets gazeux qui résultent des combustions organiques sous forme de CO2, mais ils peuvent prendre le relais du foie et des intestins si ceux-ci sont congestionnés et ainsi rejeter des déchets d’origine colloïdale , sous forme de glaires et de mucosités (bronchite, pneumonie, asthme , …) ou de déchets d'origine cristalloïdale (toux sèche). Des exercices physiques et respiratoires sont excellents pour l’appareil respiratoire. En cas de mucosités, du jeûne sec, la diffusion d’huiles essentielles, de la vitamine C , du soufre, de la N-acétylcystéine et/ou des plantes mucolytiques peuvent être utilisées. La peau , le plus grand organe du corps humain, rejette les déchets cristalloïdaux sous forme de sueur (urine diluée) par ses 2 millions de glandes sudoripares ou du sébum (déchets colloïdaux ) via les glandes sébacées tout aussi nombreuses. En cas de congestion des intestins et du foie , la peau peut rejeter les déchets colloïdaux via les glandes sébacées ( acné , furoncles, boutons séreux, eczéma suintant, etc.) ou via les muqueuses de la face ( rhume , sinusite , etc.). En cas de congestion au niveau des reins, la peau peu rejeter les déchets cristalloïdaux via les glandes sudoripares ( psoriasis , eczéma sec, etc.). Pour activer l'élimination cutanée, nous aurons recours à l'activité physique , au sauna , au bain chaud, au massage , aux plantes sudorifiques. Les déchets colloïdaux provenant des aliments mucogènes , des sucres lents et des graisses en excès s’éliminent par : Le foie, les intestins, les glandes sébacées et les poumons. Les déchets cristalloïdaux provenant des protéines et des aliments acidifiants s’éliminent par : Les reins et les glandes sudoripares. N.B. Les produits laitiers et les produits céréaliers sont à la fois mucogènes et acidifiants. Citations : « Des croyances limitées et les émotions négatives qu’elles entraînent (jugement, peur, colère, frustration, jalousie, rancune, honte, culpabilité, etc.) bloquent nos organes d’élimination et paralysent notre système immunitaire . » – Dr. Christian Tal Schaller “Lorsque l’énergie vitale dont peut disposer l’organisme devient insuffisante pour entretenir les diverses fonctions du corps - et notamment la fonction d’élimination - le corps se trouve être dans un état d’ ENERVATION . Suite à ce manque d’énergie vitale et d’élimination, les toxines s’accumulent dangereusement à l’intérieur de l’organisme. C’est la toxémie endogène qui s’installe dans le corps, précédant les crises rénovatrices appelées : ‘ maladies ’.” - Pr. Désiré Mérien « Le sang étant le liquide le plus précieux, la force vitale recherchera toujours à en retirer le plus de toxines possible. Mais ce qu’elle ne peut éliminer par les émonctoires, elle ne peut que le rejeter dans les profondeurs du corps : dans la lymphe et les sérums cellulaires. Les toxines sont donc repoussées dans les tissus et envahissent ainsi tout le corps en pénétrant jusqu’à l’intérieur des cellules. » - Christopher Vasey « Penser négativement, dissymétriquement, c’est se dévitaliser ; c’est affaiblir le rendement des organes d’assimilation et d’élimination ; c’est donc, s‘encrasser, produire de la maladie en nous ; c’est se suicider insidieusement. » - Pr. Grégoire Jauvais « L'énervation empêche le rétablissement complet de l'élimination par les organes excréteurs. Les médicaments, l’alimentation, la peur et le maintien au travail empêchent l’élimination en cas de crise de toxémie . » - Dr. John H. Tilden « Surchargé de graisse, envahi par les cicatrices fibreuses, le foie ne peut plus accomplir les tâches qui sont les siennes. A commencer par le filtrage et l’épuration. » - Pr. Gabriel Perlemuter Articles complémentaires : Comment est votre pipi ? Symptômes d'un foie fatigué

  • Le système nerveux autonome

    Article physiologie Le système nerveux autonome (ou végétatif) est composé de nerfs et de neurones en communication. Il permet de réguler nos procesus corporels, nos fonctions vitales. Il gère les fonctions automatiques dont nous n’avons pas à nous occuper. Il permet le maintien de l'homéostasie interne de l'organisme et se compose de 3 parties : Le système nerveux sympathique (SNS). Le système nerveux parasympathique (SNP). Le système nerveux entérique (SNE) (intestins). 1. Le système nerveux sympathique fait partie du système nerveux autonome, il tend à agir en tant qu’ accélérateur des organes devant une situation stressante (pédale d’accélération). Il fonctionne avec l'hormone adrénaline et noradrénaline qui sont des 'neurotransmetteurs' produits par les glandes surrénales . Son action prépare l'organisme à l'activité physique ou intellectuelle. Le SNS fait partie de l'énergie Yang (contraction). Les glandes surrénales sont les batteries du système nerveux autonome. Devant un stress important, le SNS orchestre la fuite ou la lutte (situations d'urgence). Il dilate les bronches, dilate les pupilles, accélère l'activité cardiaque et respiratoire, augmente la sécrétion de sueur et la tension artérielle. Mais il diminue l'activité digestive. 2. Le système nerveux parasympathique fait partie du système nerveux autonome. Il équilibre normalement le système nerveux sympathique une fois la crise passée, ou en situation non stressante (pédale de frein). Il fonctionne avec l'hormone acétylcholine , ralentissement général des fonctions de l'organisme, afin de conserver l'énergie. Il correspond à une réponse de relaxation (retour au calme et à la récupération). Le SNP fait partie de l'énergie Yin (décontraction). Ce qui a été augmenter, dilaté ou accéléré par le système sympathique est ici diminué, contracté et ralenti. L'équilibre du Yin et du Yang. Il n'y a que l'appétit sexuel, la fonction digestive, la formation et l’excrétion d’ urine et de salive, qui sont favorisés par le système parasympathique , mais aussi le nerf vague. On fait un malaise ‘vagal’ lorsque le SNP est trop actif et que la tension artérielle est insuffisante pour que le cerveau fonctionne correctement. Le nerf vague permet une communication permanente entre le cerveau et le système nerveux entérique (intestins). 3. Le système nerveux entérique régule le système digestif, les activités motrices et sécrétrices. 500 millions de neurones sont répartis le long du système digestif et communiquent avec le système nerveux central. Le système nerveux entérique (SNE), souvent qualifié de « deuxième cerveau », joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions digestives. Des dysfonctionnements du SNE sont associés à diverses maladies telles que la maladie de Parkinson . Des études récentes suggèrent que les troubles digestifs précoces, notamment la constipation chronique, pourraient être des signes avant-coureurs de cette maladie neurodégénérative. Ensemble, ces 3 systèmes gèrent donc l’activité de nombreux organes et de nombreuses glandes. Le système nerveux autonome L'homéostasie est réglée de façon très complexe par le système nerveux autonome (système végétatif) et les glandes endocrines (hormones), ainsi que par de nombreux paramètres. Conséquences d’un déséquilibre du système nerveux autonome (neurotonie) : Malaise vagal Déséquilibre des activités organiques Nervosité Anxiété Dépression Fatigue Maux d’estomac Émotivité Douleur thoracique Agitation Céphalées Sensation de vertige Fourmillements dans les extrémités des membres Tremblements Palpitations Sueurs anormales Bouche sèche Troubles sexuels Tachycardie / bradycardie Syndrome de Raynaud Les maladies qui affectent le système nerveux concernent la suroxydation et la surcharge du sang, favorisant les dégénérescences et le vieillissement prématuré. La suroxydation est apportée principalement par les pollutions et la nourriture industrielle, tandis que les surcharges sont apportées par les minéraux mal assimilables et les pollutions contenues dans l’air respiré, dans l’eau consommée et dans la nourriture absorbée. En bioélectronique , les maladies neurodégénératives se situent dans le quadrant 3 sur le bioélectronigramme (terrain oxydé et alcalin). Actions du système nerveux autonome : Les actions du système nerveux sympathique et parasympathique Techniques et exercices permettant de rééquilibrer le système nerveux autonome : La cohérence cardiaque . L’activité physique régulière. Le repos et un sommeil suffisant. L’hormèse et les exercices respiratoires type ‘Wim Hof’. Une eau pure . La recherche et la suppression des toxiques : fluor , aluminium, overtoniens , vaccins , médicaments, cosmétiques, pollution atmosphérique et électromagnétique , etc. Le plasma marin de Quinton . Une alimentation physiologique riche en micronutriments et en électrolytes. Le jeûne . La gestion du stress et la relaxation. La pratique du sauna . La correction des déséquilibre acido-basiques . Oligothérapie : manganèse/cobalt + phosphore en ampoule de solution colloïdale. Nutrithérapie : magnésium, taurine, vitamines du groupe B, acides gras oméga-3. Phytothérapie :  marjolaine, équilibrante du système nerveux autonome et parasympathicotonique. Citations : « Un bon équilibre des deux branches du système nerveux autonome est un des meilleurs antidotes qui soient contre l’anxiété et les attaques de panique. » - Dr. David Servan-Schreiber « Lorsque le système nerveux est normal, c'est-à-dire lorsque l’énergie nerveuse est optimale, l’homme est normal et immunisé contre la maladie. » - Dr. J. H. Tilden « La peau est reliée au système neuro-végétatif. Cela explique pourquoi une variation psycho-émotionnelle modifie son état. » - Christian Brun « Réduire vos glucides peut aider à soutenir le système nerveux parasympathique. » - Dr. Éric Berg Articles complémentaires : Le microbiote L'homéostasie L'énergie vitale

  • L’erreur de l’immunité collective

    Article de biologie Auteur : Jeff Green, 26 février 2025 Le chercheur américain Jeff Green, Jeff Green – Health & Nutrition L’immunité collective est un concept fondamentalement erroné qui ne tient pas la route dans la prévention pratique des maladies . L’idée suggère qu’une fois qu’un certain pourcentage de la population est immunisée, la maladie ne peut plus se propager, mais cela ne tient pas compte de la réalité de l’affaiblissement de l’ immunité , des mutations virales et des réinfections. Même si 100 % de la population était immunisée à un moment donné, l’ immunité peut s’estomper avec le temps et de nouvelles variantes peuvent apparaître, rendant la protection antérieure inefficace, ce qui réfute l’idée que l’ immunité collective est un phénomène réel et observable. Des virus comme la grippe et le coronavirus démontrent que des réinfections peuvent se produire indépendamment de l’immunité antérieure, sapant ainsi le fondement même de l’immunité collective. En outre, le seuil de l’immunité collective repose souvent sur des hypothèses trop simples concernant la transmission et l’immunité, et ne tient pas compte de la nature complexe et changeante des infections virales. En vérité, l’immunité collective n’est pas un état statique ou réalisable, mais un terme trompeur qui détourne l’attention de la nécessité de mettre en place des stratégies de santé publique permanentes et adaptatives pour gérer la véritable cause des épidémies virales. Lorsque nous reconsidérons la nature des virus , la vision traditionnelle de la contagion s’effondre. Les virus ne sont pas contagieux au sens classique du terme, mais constituent plutôt une réponse à la toxicité systémique et au stress cellulaire causés par les polluants industriels, une mauvaise alimentation et la dégradation de l’environnement. Les virus ne sont pas des envahisseurs externes, mais des structures endogènes créées par les cellules comme mécanisme de survie . Lorsque les cellules sont affaiblies par des toxines ou d’autres facteurs de stress, elles produisent des particules semblables à des virus pour se nettoyer ou éliminer les composants endommagés. Cette perspective déplace l’attention de la contagion vers les causes profondes du dysfonctionnement cellulaire, démontrant que les soi-disant « épidémies virales » ne sont pas principalement liées à la transmission, mais à la réponse de l’organisme à un fardeau toxique . En s’attaquant aux causes sous-jacentes du stress cellulaire – comme la réduction de l’exposition aux produits chimiques industriels, l’amélioration du régime alimentaire et l’amélioration de l’état de santé général – nous réduisons les conditions qui conduisent à la production de ces structures solvantes (virus) en premier lieu. Production endogène de virus Lorsque nous examinons la production endogène de virus , il devient clair qu’ils ne sont pas les envahisseurs malveillants que l’on dépeint souvent. Au contraire, les virus sont une réponse biologique naturelle au stress et à la toxicité cellulaires. Les cellules produisent des virus comme mécanisme de gestion des dommages et de maintien de l’équilibre systémique. Lorsque les cellules sont exposées à des toxines industrielles, à des polluants environnementaux ou à des carences nutritionnelles , elles s’affaiblissent et deviennent dysfonctionnelles. En réaction, ces cellules génèrent des particules de type viral afin de nettoyer indirectement le système. Ces virus endogènes ne sont pas aléatoires ou destructeurs ; ils constituent une réponse ciblée au dysfonctionnement cellulaire, servant de forme d’entretien biologique. Les virus infectent les cellules qui possèdent des récepteurs spécifiques, lesquels sont souvent exprimés de manière plus importante sur les cellules toxiques ou compromises. Ce processus n’est pas arbitraire mais hautement sélectif. Les cellules toxiques, chargées de stress oxydatif ou de déchets accumulés, sont plus susceptibles de présenter les récepteurs auxquels les virus se lient. En infectant ces cellules, les virus facilitent leur élimination, agissant ainsi comme un mécanisme de nettoyage de l’environnement cellulaire. Cet avantage indirect de la purification du système est un aspect essentiel de l’activité virale qui est largement incompris ou ignoré par la science dominante. Plutôt que d’être la cause de la maladie , les virus sont le symptôme d’un déséquilibre plus profond – une réponse à la toxicité sous-jacente qui compromet la santé cellulaire. Cette perspective recadre notre compréhension des infections virales. Au lieu de considérer les virus comme des agents pathogènes externes qui se propagent de manière contagieuse, nous devons les reconnaître comme des outils endogènes utilisés par l’organisme pour traiter les dysfonctionnements cellulaires. L’idée que les virus « infectent » les cellules toxiques avec les bons récepteurs suggère un niveau d’intelligence biologique et une finalité qui remettent en cause le discours conventionnel. Ce processus n’a pas pour but de nuire, mais de rétablir l’équilibre, même s’il implique la destruction de cellules gravement compromises pour le plus grand bien de l’organisme. L’incompréhension de ce processus provient d’une vision réductionniste de la biologie qui donne la priorité à la théorie des germes plutôt qu’à la santé systémique. En nous concentrant uniquement sur le virus en tant qu’ennemi, nous négligeons les causes profondes du stress et de la toxicité cellulaires qui déclenchent leur production. Cette erreur d’orientation conduit à des stratégies de santé publique erronées qui tentent d’éliminer les virus au moyen de vaccins ou de médicaments antiviraux, au lieu de s’attaquer aux facteurs environnementaux et au mode de vie qui créent les conditions propices à l’activité virale. En réalité, l’utilisation de virus par l’organisme pour éliminer les cellules toxiques est un mécanisme de survie sophistiqué. Il met en évidence l’interconnexion de la santé cellulaire et de l’ équilibre systémique , en soulignant que la véritable prévention des maladies exige de s’attaquer aux causes profondes de la toxicité et du stress . En passant de la lutte contre les virus au soutien de la santé cellulaire et à la réduction des charges toxiques , nous pouvons adopter une approche plus holistique et plus efficace de la santé et de la prévention des maladies. Ce paradigme ne redéfinit pas seulement notre compréhension des virus, mais appelle également à repenser fondamentalement notre approche de la santé . Preuve à l’appui : L’émergence des premiers virus de la nature L’émergence des tout premiers virus à partir de cellules humaines révèle un profond malentendu dans la théorie conventionnelle de la contagiosité virale. Les virus ne sont pas apparus comme des agents pathogènes externes passant d’un hôte à l’autre ; au contraire, ils ont évolué directement à partir de cellules vivantes en réponse à quelque chose, semblant faire naturellement et intrinsèquement partie de la cellule vivante. Cette origine endogène remet en question l’hypothèse fondamentale selon laquelle les virus se transmettent principalement entre individus. En réalité, les premiers virus ont probablement été produits par les cellules comme mécanisme de gestion des dommages, d’élimination des déchets ou d’adaptation aux pressions environnementales. Ces structures n’étaient pas des envahisseurs mais plutôt des extensions de processus cellulaires, émergeant comme une conséquence naturelle de l’évolution cellulaire et de la survie – là où il y a une volonté, il y a un chemin. Lorsque les cellules sont soumises à des facteurs de stress tels que les toxines, les radiations ou les carences nutritionnelles , elles subissent d’importants changements métaboliques et génétiques. Dans certains cas, ces changements conduisent à la production de particules de type viral, qui sont essentiellement des fragments de matériel cellulaire encapsulés dans des enveloppes protéiques. Ces structures protéiques auraient théoriquement fait partie intégrante de toutes les cellules vivantes au cours de leur évolution, apparues pour faire face aux premières périodes de la Terre. Ces particules ne sont pas aléatoires ou chaotiques, mais structurées d’une manière qui leur permet d’interagir avec d’autres cellules, en particulier celles qui sont déjà compromises ou toxiques. Ce processus suggère que les virus ne sont pas des entités indépendantes, mais qu’ils sont profondément intégrés dans la biologie de la cellule, servant d’outils pour la maintenance et l’adaptation cellulaires. L’idée que les virus ont évolué directement à partir des cellules remet en cause la théorie de la contagiosité virale, du moins en partie, voire en totalité. Si les premiers virus étaient endogènes, c’est-à-dire s’’ils provenaient de l’intérieur de la cellule, leur rôle principal n’était pas de se propager entre les hôtes, mais de remédier aux déséquilibres cellulaires internes. La notion de contagiosité repose sur l’hypothèse que les virus sont des agents externes capables de se répliquer et de se transmettre de manière indépendante. Cependant, si les virus sont intrinsèquement liés à l’environnement cellulaire dont ils émergent, leur capacité à se propager devient secondaire par rapport à leur fonction d’origine. Cela signifie que ce que nous interprétons comme une « contagion » peut être un effet secondaire d’un stress et d’une toxicité cellulaires généralisés au sein d’une population, plutôt que la preuve d’un agent pathogène se propageant de manière indépendante. En outre, les récepteurs que les virus utilisent pour pénétrer dans les cellules sont souvent spécifiques aux cellules endommagées ou toxiques, qui sont plus susceptibles de présenter ces marqueurs en raison de leur état compromis. Cette spécificité suggère que les virus ne sont pas des envahisseurs aveugles, mais qu’ils font partie d’un processus de nettoyage ciblé des cellules. L’apparition d’une activité virale dans une population pourrait donc être le signe de facteurs de stress environnementaux ou systémiques partagés, plutôt que la preuve d’une transmission contagieuse. Cette perspective affaiblit fondamentalement la théorie de la contagiosité virale et déplace l’attention sur les conditions qui conduisent à la production endogène de virus. Quelles sont les preuves ? Il existe en effet des preuves qui soutiennent l’idée que les virus peuvent émerger de manière endogène des cellules, en particulier dans le contexte du stress cellulaire, de l’instabilité génétique et des facteurs environnementaux. Alors que la communauté scientifique dominante adhère largement à la théorie des germes de la maladie, des études et des observations s’alignent désormais sur le concept des origines virales endogènes et de leur rôle en tant que réponses cellulaires au stress ou à la toxicité. On trouvera ci-dessous quelques éléments de preuve et études clés qui peuvent être cités à l’appui de ce point de vue : Rétrovirus endogènes (ERV) dans le génome humain Preuve  : Une partie importante du génome humain (environ 8 %) est constituée de rétrovirus endogènes (ERV), qui sont des séquences virales qui se sont intégrées à notre ADN au cours de l’évolution. Ces séquences sont des vestiges d’anciennes infections virales qui se sont intégrées au génome de l’hôte. Dans certains cas, ces ERV peuvent être réactivés dans des conditions de stress cellulaire, conduisant à la production de particules de type viral. Référence de l’étude  : Bannert, N. et Kurth, R. (2004). « The evolutionary dynamics of human endogenous retroviral families ». Annual Review of Genomics and Human Genetics, 5, 149-173. Cette étude explique comment les rétrovirus endogènes sont intégrés dans le génome humain et comment ils peuvent être réactivés dans certaines conditions, telles que le stress ou la maladie . Particules ressemblant à des virus dans les cellules stressées ou endommagées Faits avérés  : On a observé que les cellules stressées (par exemple par des toxines, des radiations ou un stress oxydatif) produisaient des particules semblables à des virus (VLP). Ces particules ne sont pas infectieuses au sens traditionnel du terme, mais leur structure est similaire à celle des virus et elles peuvent servir de mécanisme aux cellules pour expulser les composants endommagés ou communiquer des signaux de stress. Référence de l’étude : Liu, S. L. et Zhang, Z. L. (2010). « Virus-like particles : Un nouvel outil pour le développement de vaccins ». Biotechnology Advances, 28(6), 715-726 . Bien que cette étude se concentre sur les VLP pour le développement de vaccins , elle met également en évidence leur production endogène dans les cellules soumises à un stress. Exosomes et mimétisme viral Les faits :  Les exosomes sont de petites vésicules libérées par les cellules qui peuvent transporter des protéines, de l’ARN et d’autres molécules. Dans des conditions de stress ou de toxicité, les cellules peuvent produire des exosomes, qui sont de petites vésicules extracellulaires dont la structure et la fonction ressemblent à celles des virus. Cependant, leur similitude structurelle avec les virus, comme leur membrane lipidique et leur capacité à transporter des protéines, de l’ARN et d’autres molécules, a conduit au phénomène connu sous le nom de mimétisme viral. Ce processus suggère que les cellules ont la capacité inhérente de générer des structures semblables à celles des virus dans le cadre de leur réponse au stress, non pas pour provoquer une infection, mais pour faciliter la communication cellulaire, l’élimination des déchets ou l’adaptation à des conditions défavorables. Cela met en évidence la capacité des cellules à produire de manière endogène des particules complexes ressemblant à des virus, ce qui remet en question la vision traditionnelle des virus en tant qu’agents pathogènes purement externes. Référence de l’étude : Gould, S. J. et Booth, A. M. (2001). « Exosomes : A new way to study cellular communication ». Journal of Cell Biology, 155(6), 869-874. Cette étude explore la façon dont les exosomes, dont la structure est similaire à celle des virus, sont produits par les cellules et peuvent jouer un rôle dans la communication cellulaire et les réponses au stress. Réactivation des virus latents en cas de stress Preuves à l’appui :  Certains virus, comme les herpèsvirus, restent latents dans l’organisme et peuvent être réactivés dans des conditions de stress, d’immunosuppression ou de toxicité. Cette réactivation n’est pas due à une infection externe, mais plutôt au résultat de conditions cellulaires internes. Certains virus sont présents dans les cellules depuis de nombreuses générations, transmis par la lignée germinale (spermatozoïdes ou ovules) et intégrés dans le génome de l’hôte. Ces virus, connus sous le nom d’éléments viraux endogènes (EVE), sont des vestiges d’anciennes infections virales qui sont devenus une partie permanente de l’ADN d’un organisme. Au cours de l’évolution, ces séquences virales peuvent être transmises d’une génération à l’autre, devenant ainsi un composant naturel du matériel génétique de l’hôte. Référence de l’étude : Glaser, R. et Kiecolt-Glaser, J. K. (2005). « Stress-induced immune dysfunction : Implications for health ». Nature Reviews Immunology, 5(3), 243-251 . Cette étude examine comment le stress peut réactiver des virus latents, en soulignant le lien entre le stress cellulaire et l’activité virale. Stress toxique et production virale Preuves à l’appui :  Il a été démontré que l’exposition à des toxines environnementales, telles que les métaux lourds ou les produits chimiques industriels, induit la production de particules virales dans les cellules. Cela suggère que la toxicité peut déclencher une production virale endogène dans le cadre d’un nettoyage cellulaire ou d’une réponse au stress. Référence de l’étude : Ariumi, Y. (2016).« Host cellular stress responses and hepatitis B virus replication » (Réponses au stress cellulaire de l’hôte et réplication du virus de l’hépatite B). World Journal of Gastroenterology, 22(42), 9293-9301. Cette étude explore la manière dont les réponses cellulaires au stress, y compris celles induites par les toxines, peuvent influencer la réplication et la production virales. Le rôle des éléments transposables dans l’émergence virale Preuves à l’appui  : Les éléments transposables, ou « gènes sauteurs », sont des séquences d’ADN qui peuvent se déplacer dans le génome. Dans des conditions de stress, ces éléments peuvent devenir actifs et contribuer à la formation de structures de type viral. Ce processus suggère un lien entre le stress cellulaire, l’instabilité génétique et l’émergence endogène de virus. Référence de l’étude : Kazazian, H. H. (2004).« Mobile elements : Drivers of genome evolution ». Science, 303(5664), 1626-1632. Cette étude explique comment les éléments transposables peuvent contribuer à l’instabilité génétique et à la production de structures de type viral. Observations historiques de particules de type viral dans les tissus malades Preuves à l’appui :  Les premières observations de particules de type viral dans les tissus malades, comme ceux du cancer ou des maladies dégénératives, suggèrent que ces structures peuvent résulter d’un dysfonctionnement cellulaire plutôt que d’une infection externe. Les premières observations de particules semblables à des virus (VLP) dans des tissus malades, comme ceux du cancer ou de maladies dégénératives, suggèrent que ces structures résultent d’un dysfonctionnement cellulaire plutôt que d’une infection externe. Les VLP, qui ressemblent à des virus par leur taille et leur structure, mais qui sont dépourvues de matériel génétique infectieux, sont souvent produites par des cellules soumises à un stress, par exemple à la suite de lésions oxydatives, d’une exposition à des toxines ou d’un déséquilibre métabolique. Dans le cas du cancer , par exemple, les cellules libèrent des exosomes – un type de VLP – qui jouent un rôle dans la progression de la tumeur et l’évasion immunitaire, tandis que dans les maladies dégénératives, les cellules stressées ou mourantes peuvent produire des particules similaires dans le cadre d’un nettoyage ou d’une réponse au stress. Ces résultats remettent en question la vision traditionnelle des virus en tant qu’envahisseurs externes et indiquent plutôt que les VLP sont des produits endogènes de dysfonctionnements cellulaires. Surtout, les similitudes structurelles et fonctionnelles entre les VLP et les virus infectieux suggèrent que ces deux types de particules pourraient avoir une origine commune dans le stress et la toxicité cellulaires. Les VLP peuvent être considérées comme les « empreintes digitales » de ce processus, révélant comment les cellules sous contrainte génèrent des structures semblables à des virus dans le cadre de leur réponse à un dysfonctionnement. Cependant, les virus infectieux jouent un rôle différent, plus étendu et systémique, que les exosomes non réplicatifs et les VLP ne peuvent pas remplir. Alors que les VLP sont des réponses localisées au stress cellulaire, les virus infectieux agissent comme un mécanisme plus large de nettoyage et de réorganisation des tissus à plus grande échelle, en particulier en cas de toxicité généralisée ou de déséquilibre systémique. Cette distinction met en évidence la complexité de l’activité virale et souligne la nécessité de s’attaquer aux causes profondes du stress cellulaire et de la toxicité, plutôt que d’attribuer la maladie uniquement aux agents infectieux. Référence de l’étude : Duesberg, P. H. (1987). « Retroviruses as carcinogens and pathogens : Expectations and reality ». Cancer Research, 47(5), 1199-1220. Cette étude explore la relation entre les rétrovirus et le dysfonctionnement cellulaire, suggérant que les particules virales peuvent apparaître de manière endogène dans les tissus malades. Conclusion : Le concept d’immunité collective est fondamentalement erroné lorsqu’il est considéré sous l’angle de la production virale endogène et de la véritable nature des virus en tant que réponses cellulaires à la toxicité et au stress. La conception traditionnelle de l’immunité collective repose sur l’hypothèse que les virus sont des agents pathogènes externes contagieux qui se propagent indépendamment d’un individu à l’autre. Cependant, si les virus ont une origine endogène, c’est-à-dire s’ils émergent de l’intérieur des cellules en tant que mécanisme de réponse à un dysfonctionnement cellulaire, le fondement même de l’immunité collective s’effondre. Les virus ne sont pas des envahisseurs que l’immunité de masse doit arrêter ; ce sont des symptômes de déséquilibres systémiques plus profonds, qui apparaissent lorsque les cellules sont accablées par des toxines, une mauvaise alimentation ou des facteurs de stress environnementaux. L’idée qu’un certain pourcentage de personnes immunisées peut arrêter la propagation virale ignore la réalité : les virus ne sont pas uniquement transmis entre les hôtes, mais sont produits par les cellules en réponse à des conditions internes. Même si 100 % d’une population était immunisée contre un virus spécifique, les causes sous-jacentes du stress et de la toxicité cellulaires subsisteraient, ce qui pourrait conduire à l’émergence de nouvelles structures ou variantes virales. Cette dynamique remet en cause la notion statique et simplifiée à l’extrême de l’immunité collective, en révélant qu’il s’agit d’un objectif trompeur et finalement irréalisable dans le contexte de défis cellulaires et environnementaux en constante évolution. Plutôt que de se concentrer sur l’immunité collective comme solution, nous devons porter notre attention sur les causes profondes du stress cellulaire et de la toxicité systémique. En réduisant l’exposition aux polluants industriels , en améliorant la nutrition et en favorisant la santé générale, nous pouvons minimiser les conditions qui conduisent à la production endogène de virus. Cette approche correspond non seulement à la véritable nature des virus en tant qu’outils cellulaires de maintenance et d’adaptation, mais elle offre également une voie plus durable et holistique pour la prévention des maladies. En fin de compte, la théorie de l’immunité collective est une relique d’une vision réductionniste de la santé qui donne la priorité à la lutte contre les symptômes plutôt qu’aux causes. En redéfinissant la compréhension des virus et de leurs origines, nous pouvons dépasser le concept erroné de l’immunité collective et nous orienter vers un modèle de santé qui met l’accent sur le bien-être systémique et l’harmonie environnementale. Ce changement de paradigme a le potentiel de transformer la façon dont nous abordons non seulement les maladies virales, mais aussi les défis plus larges de la maladie et de la santé dans un monde de plus en plus toxique . Source : Néosanté - Le terrain est tout et c'est prouvé . Articles complémentaires : Régler le débat sur les virus . Epidémies et contagion . Les 9 facteurs de la santé intégrale .

  • Le cancer

    Article santé “Quand quelqu'un désire la santé, il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Seulement alors, il sera possible de l'aider.” - Hippocrate Ultime et dernière étape dans l’évolution de la toxémie selon J. H. TILDEN, c'est la pollution des humeurs , l'intoxication cellulaire à son paroxysme. (Voire fiche : Les 7 étapes de la maladie ). C’est le dernier avertissement du corps qui manifeste que quelque chose ne va pas, ce qui veut dire que les précédents signaux (symptômes) n’ont pas été écoutés, ils ont été réprimés. Les déchets n’ont pas pu être expulsés. Les humeurs sont remplies de toxiques , de toxines, de déchets, le corps n’a pas su les épurer. Les émonctoires sont saturés et congestionnés. Les cellules baignent dans un environnement oxydé extrêmement pollué, elles dégénèrent… c’est la cancérisation. (Voire fiche : Les neufs points de la santé ou de la maladie ). Pour se déresponsabiliser, on se dit ben voilà c'est la malchance ou c'est génétique ou c’est l’âge... mais lorsque l'on voit les causes de cancer, à 95 % elles sont liées à l'environnement. L'alimentation est directement impliquée dans 35 % des cancers en moyenne, 75 % pour le cancer de la prostate, 70 % pour le cancer colorectal, 50 % pour le sein. Le tabac représente 1/3 de toutes les morts par cancer. L'obésité à une incidence aussi grave sur le cancer que le tabac ( overtonien ). Cet état n’est pas dû à un hasard malheureux, mais à un comportement existentiel incompatible avec la vie humorale et cellulaire, atteint consciemment ou inconsciemment. (Voire fiche : La maladie ou la santé, sont-elles le fruit du hasard ? ) Le cancer par Charlotte GERSON de l’institut Max GERSON : “Le cancer est la maladie ultime du corps humain, la pire détérioration des défenses du corps, du système enzymatique, du système hormonal, des principaux organes et de tout ce qui permet au corps de se défendre. Le cancer est l'ultime panne de ce système. Dans les maladies dégénératives, le foie est l'organe clé de la guérison, le foie est responsable de toutes les activités biochimiques du corps. Avec le cancer, le foie n'est pas seulement affaibli et endommagé, il est empoisonné. Les aliments raffinés, n'ont pas de vitamines, d'enzymes, de minéraux et d'éléments nutritifs. Le corps a besoin de nourriture fraîche et vivante, sans pesticides et produits chimiques, c'est le végétarien biologique . En priorité, il faut éliminer de son alimentation la nourriture promue par la télévision.” Dr. Ghislaine Lanctôt : “Le cancer est un extraordinaire tremplin pour atteindre une dimension plus haute de notre vie : notre corps nous accule au pied du mur pour nous inciter à reprendre contact avec nous-même et réorienter notre existence. C’est une chance qu’il nous offre. Remercions-le et bénissons la maladie qui nous met face à la mort pour nous inciter à retrouver le chemin de la vie.” Dr. Ryke Geerd Hamer, oncologue : “On ne meurt pas du cancer. On meurt de peur et d’épuisement.” “Vendre la chimiothérapie comme thérapie est probablement la plus grande tromperie de l'histoire de la médecine. Celui qui a orchestré cette chimio-torture mérite un monument en enfer.” - "Dans 98% des cas, si un malade du cancer ne fait rien, il guérit… !" Dr. Robert Morse : “80 % des patients qui ont suivi notre protocole ont pu éradiquer leur cancer. Je ne connais pas de meilleur moyen de soigner, nettoyer et reconstruire le corps que la détoxination et la régénération de ses cellules par l’alimentation et les plantes. Ne mettez jamais votre système immunitaire en péril, ne faites jamais enlever de ganglions lymphatiques . Les conséquences peuvent être dévastatrices. Ne traitez pas, régénérez ! "La chimiothérapie et la radiothérapie sont les traitements numéros 1 causant le cancer. Pourquoi traiteriez-vous le cancer avec un traitement causant le cancer ? Vous ne trouverez aucun cancer dans des tissus sains.” Dr. David Servan Schreiber : “On est tous porteurs d’un cancer en puissance, c’est-à-dire que nous portons tous en nous des cellules cancéreuses qui pourraient se développer en un cancer. Et c’est notre mode de vie qui va déclencher ou non ce développement : va-t-il nourrir ce cancer ou nourrir les mécanismes du corps qui empêchent le développement des cellules cancéreuses ? Je pense que l’alimentation est l’élément clé des raisons de son expansion. A partir du moment où une telle augmentation du nombre des cancers ne s’explique pas par une détérioration des conditions psychologiques des gens, il faut chercher ailleurs, dans d’autres changements de leur mode de vie. Scientifiquement, on commence à peine à comprendre comment les facteurs psychologiques jouent sur les mécanismes qui alimentent le cancer. Et nous avons de gros espoirs dans ce domaine. Il en existe principalement deux qui peuvent contribuer à la progression du cancer : d’abord les traumatismes, surtout quand ils viennent raviver une douleur déjà éprouvée, notamment dans l’enfance ; ensuite, le sentiment que l’on peut avoir de passer à côté de sa vie.” Sylvette Lumière (cancer vaincu) "Éliminez tout ce qui nous fait du mal. Ensuite le corps se repose et peut se régénérer, libérer le corps de tout ce qu'il lui fait du mal. Manger cru, frais et mûr, des fruits , des légumes bio, des jus de légumes à l'extracteur (digestion simplifiée direct avec apports nutritifs) 1/2 à 1 L / jour, de l'eau pure. Graines germées. Une alimentation vivante." Frédéric Evrard (cancer stade 3 vaincu) « L’inflammation chronique est le terrain de prédilection, c’est le terreau du cancer. Il n’y a cancer que s’il y a inflammation chronique. » Guy Tenenbaum (cancer vaincu au stade 4 terminal) « On peut s’en sortir lorsqu’on a compris ce que c’est le cancer. Le cancer c’est une maladie métabolique qu’on s’est créé soit même. » Dr. Otto Warburg : Le docteur en médecine et en chimie Otto H. Warburg lauréat du prix Nobel pour avoir découvert que les cellules cancéreuses se développaient en absence d’oxygène (hypoxie) et dans un terrain acidifié. Il a déclaré : « les tissus cancéreux sont acides, alors que les tissus sains sont alcalins. L’eau se divise en ions H+ et OH-, s’il y a un excès d’H+, c’est acide ; s’il y a un excès d’OH-, alors c’est alcalin. » En l’absence d’oxygène, le glucose fermente et devient acide lactique. D’après les recherches du Dr. Enderlein, une guérison totale de maladies chroniques, ne peut arriver que lorsque le sang est ramené à un pH normal, légèrement alcalin (Voire fiche : L’équilibre acido-basique ). Le docteur T. Colin Campbell avec son célèbre Rapport Campbell indique qu’une portion de protéine supérieure à 10% de la ration calorique alimentaire, induisait une croissance des cellules cancéreuses. Dr. Christan Tal Schaller : “Ce n'est pas le cancer qui tue c'est l'ignorance de son rôle utile ! Le cancer est un signe, un signal d’alarme que le corps nous envoie pour nous dire qu’il y a quelque chose à changer. Notre corps n’est pas idiot et ne fais pas des choses juste pour nous casser les pieds. La vision classique est que le cancer est une calamité qui nous tombe dessus par le plus grand des hasards, que les cellules cancéreuses sont à détruire, à abattre, par la chimio, les rayons et la chirurgie pour faire la guerre au cancer. C’est une vision militaire du passé. Le taux de succès avec la chimiothérapie après 5 ans est de 2,2 % de survie. C’est catastrophique, ça ne marche pas ! C’est le système immunitaire qui vous aide à guérir, quand on fait de la chimio on détruit les cellules et le système immunitaire en même temps. Des études prouvent que la chimiothérapie va provoquer des nouveaux cancers. Le cancer est un mécanisme très intelligent, le corps et ses cellules en savent plus sur lui-même que tous les médecins réunis. Toutes nos maladies sont la conséquence de nos habitudes de vie. C’est parce que nous vivons de travers que le corps est intoxiqué et aboutit finalement au cancer. Si on change les mauvaises habitudes qui nous ont mené au cancer, on va pouvoir se guérir. La guérison c’est toujours le corps qui la fait lui-même, AUCUN traitement médical n’a jamais guéri personne, c’est le corps qui se guéri. Pour qu’il puisse se guérir, il y a un certain nombre de lois fondamentales à respecter. Le jeûne c’est la base, c’est une chirurgie sans bistouri et permet la détoxification du corps et la récupération des émonctoires . Mangez vivant et libérer les émotions, stress , angoisses, peurs, etc. Il faut stimuler l’immunité par des moyens naturels et non la faire baisser. La santé ça s’apprend !” Dr. Miguel Barthéléry : “Pour arrêter net la progression d’un cancer il est impératif de cesser la consommation de toutes protéines animales ( viandes , volailles, poissons, produits laitiers ). La régression du cancer, quant à elle s’amorce grâce à l’alcalinisation du corps avec des jus frais de légumes, l’arrêt des sucres raffinés et surtout grâce au nettoyage des émonctoires et de la lymphe , etc.” Pr. Henry Joyeux (cancérologue) : “Ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles. Le surpoids est cancérigène.” Dr. Ulrich Abel, Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim : “Le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde est lamentable, seulement 3 %. Au moins 80 % de la chimiothérapie administrée est inutile.” Pr. Hardin B. Jones (Berkeley) : “Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne 12 ans 1/2. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne 3 ans seulement.” (Etude menée sur 23 ans). Dr. Roger Dalet : « De nombreux malades traités par chimio développent, dans les mois ou les années qui suivent, un nouveau cancer, souvent plus redoutable que le premier. […] Un malade a besoin d’un maximum d’immunité pour endiguer la maladie, et on la lui réduit par radio ou chimiothérapie. » Dr. Alain Scohy : “La chimiothérapie non seulement favoriserait les métastases, mais en plus elle tue 95 % des malades qui subissent ce type de traitement. La radiothérapie est un peu moins offensive parce que c’est plus ciblé, mais la chimiothérapie c’est une horreur, on devrait l’abandonner. Les cancers ou “quand est-ce que je sers ?” ont également une fonction de survie fondamentale que le paradigme psychosomatique nous permet de comprendre ou d’accompagner pour retrouver la santé. Il faut sortir de la peur du cancer ! Comprendre ce qu’est le microzyma qui est la base même de la vie !”. Pr. Grégoire Jauvais : « Lutter vraiment contre le cancer, c’est lutter, d’abord, contre la folie de nos Gouvernants, ensuite contre la chimie dans le sol, dans nos végétaux alimentaires, dans les animaux de bouche et dans les corps (les divers polluants de la terre, de l’eau , de l’air, des aliments, des médicaments, des vaccins , des drogues, du tabac, des overtoniens , etc.). Le cancer n’est que le dernier maillon d’une longue chaîne pathologique, l’apogée d’une déviation de la physiologie de longue date, le résultat d’erreurs accumulées durant des années, dont le remède réside dans la suppression pure et simple de la cause radicale (cause connue de tous les médecins naturopathes), ce qui nécessite évidemment un retour aux origines premières, un effort pénible sans doute puisque nos pseudo-chercheurs et pontifes médicaux semblent l’éviter tout particulièrement. » Dr. Paul Carton : “Plus la consommation de la viande , du poisson, des produits alimentaires concentrés et dévitalisés (conserves, aliments industriels, sucreries, alcool, cuisine riche, l’abus de café et de thé, etc.) s'accroît dans les milieux civilisés, plus grandit le nombre des maladies d’usure et de dégénérescence : les cas d’insuffisances et de scléroses organiques, de folie, de suicide et de cancer. La vérité, c’est que l’alimentation végétale, en partie crue, reste vraiment une des conditions capitales de la bonne résistance organique et qu’une nourriture, sans salade ni légumes crus et sans fruits crus, constitue un régime non synthétique, de carence, qui expose aux vices de nutrition, à la dévitalisation, à la déminéralisation et par là même à toutes les infections aiguës ou chroniques, au cancer entre autres.” Pr. Désiré Mérien : “Le cancer ne se produit pas de manière fortuite, c’est le résultat d’une toxémie non résorbée du fait de l’énervation permanente dans laquelle le malade s’est contraint de vivre en désobéissant constamment aux lois de la vie. Suivant le schéma : énervation - inflammation - ulcération - induration - tuméfaction - cancérisation .” Pr. R. Simpson de l’American Cancer Society : « Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, la maladie de Parkinson et le cancer. » Dr. Albert Schweitzer, Prix Nobel : “Les cancers en Afrique sont apparus cinq ans après les premières vaccinations.” Dr. Lorraine Day : "La chimiothérapie et la radiothérapie ne rétablissent pas le corps. Ces traitements détruisent ; ils ne guérissent pas. Le médecin espère pouvoir anéantir le cancer sans détruire le patient. Il est clair que les thérapies classiques détruisent les cellules cancéreuses, mais également beaucoup de bonnes cellules, y compris les cellules faisant partie du système immunitaire, et le système immunitaire est absolument indispensable à la guérison." Dr. François Plantey : « La chimiothérapie est un cataclysme pas possible ! Quand on arrache les chaînes ganglionnaires, on arrache toutes les défenses, ce qui fait que la personne opérée n’a plus aucune défense immunitaire. L’organisme, lui, il sait comment faire, il faut lui foutre la paix, mais non, on arrache tout, alors la survie c’est 6 mois… Une tumeur en elle-même ce n’est pas un problème, c’est l’organisme qui circonscrit l’ennemi, dès que vous faites une ponction, que vous touchez, immédiatement c’est diffusé. » Dr. Éric Ancelet : « Le cancer est traité par le fer (chirurgie), le feu (radiothérapie) et le poison (chimiothérapie). Et le cancer ne guérit toujours pas, tout simplement parce qu’il s’agit de la manifestation physiologique d’une souffrance émotionnelle intense. Nous ne prétendons pas connaître tous ceux qui ont suivi cette voie en dehors des chemins battus, à contre-courant d’un système médical muré dans son orthodoxie morbide, se contentant de lâcher les chiens à chaque fois que son pouvoir est remis en question. » Robert Masson : « La surcharge énorme en sucre, farines, corps gras le plus souvent raffinés et traités chimiquement, propres aux pays industrialisés, est fondamentale dans la genèse du cancer. » Linus Pauling, double prix Nobel : “Tout le monde devrait savoir que la plupart des recherches sur le cancer sont frauduleuses et que les grands organismes de recherche sur le cancer ont délaissé leurs devoirs envers les gens qui les soutiennent.” Dr. Thomas E. Lévy : « La vitamine C est l’agent chimiothérapeutique par excellence : Elle améliore et protège la santé des cellules normales tout en produisant la plus toxique des substances à l’intérieur des cellules cancéreuses ! La vitamine C n’est pas une entrave, mais accompagne la chimiothérapie traditionnelle. […] La radiothérapie et presque tous les médicaments de chimiothérapie sont eux-mêmes cancérigènes, car ils augmentent le stress oxydatif dans toutes les cellules traitées, non seulement les cellules cancéreuses. » Dr. Catherine Kousmine : "Tant qu'on s'acharnera à soigner le cancer et non le malade, on continuera à avoir un pourcentage élevé d'échecs. La plupart des maladies graves dont j'ai pu m'occuper avant qu'ils ne subissent la médecine agressive, dirigée contre le cancer seul, se sont très bien tirés d'affaire. Prisonniers de la rigidité de leurs dogmes, les professeurs, dont dépend l'évolution des méthodes de traitement, sont peu enclins, ou s'opposent carrément, à changer de méthodes et les malades continuent à souffrir et à mourir, alors que, pour beaucoup, il pourrait en être autrement. […] Notre première ligne de défense anticancéreuse est la muqueuse intestinale ; la deuxième ligne est le foie ; la troisième ligne est la membrane cellulaire, qui protège la cellule contre la pénétration d’agents toxi-infectieux cancérigènes." La première question à se poser lorsqu’on vous annonce un cancer, c’est : pourquoi j’ai un cancer ou une tumeur ? Quelle est la ou les cause(s) ? Lorsqu’on supprime la cause, l’effet s’arrête… La santé ne peut être rétablie que si les causes disparaissent. Le cancer est situé (comme les vaccins) en zone 3 sur le bioélectronigramme : terrain alcalin/oxydé. SP = Santé Parfaite. Il faut donc corriger le terrain vers la zone 1 qui est acide et réductrice pour rétablir la santé. Evolution des mesures bioélectroniques de la santé parfaite vers le cancer : Les mesures du tableau sont des moyennes. Le sang devient progressivement de plus en plus alcalin, oxydé, électrisé et surchargé en toxines, tandis que l’urine devient de plus en plus acide, réductrice, peu chargée en toxines. La salive perd son potentiel enzymatique. On peut noter qu’il est possible de rétablir la santé en corrigeant le terrain par une réforme drastique et complète de l’hygiène de vie. “Chaque année en France, le CANCER rapporte 2,4 milliards d’euros aux laboratoires pharmaceutiques.” - Médecin du Monde. « Aux USA, trois associations contre le cancer se partagent plus d’un million de dollars par an, il est bien évident qu’en aucun cas, elles ne voient d’un bon œil l’arrivée d’un traitement efficace. » - Dr. Gilbert H. Crussol « Le cancer n’est pas pour nous une affection locale ; c’est la manifestation localisée d’un dérèglement de tout l’organisme et d’un empoisonnement généralisé qui s’est poursuivi pendant une longue période. La peur et les théories erronées détournent les hommes de la nature et de la physiologie, et leur font faire beaucoup de choses absurdes et nocives. Les indications de la nature sont le guide véritable dans la recherche de la santé. Des théories éphémères, nommées à tort science, causent souvent beaucoup de tort. » – Dr. Herbert M. Shelton “La santé ne peut être que le résultat d’une vie saine. Aucun substitut de vie saine n’a pu encore être conçu. En dehors des voies tracées par la nature, il n’y a que palliation, artifice, fraude et charlatanisme.” - Dr. André Passebecq « Personne ne peut résoudre un problème de santé, en restant dans l’état d’esprit qui a créé le problème. » – Thomas Edison « Un cancer est une accumulation d’abus alimentaires et d’années de toxémie due à une mauvaise élimination. » - Dr. John H. Tilden « Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d'indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. » - Dr. Carl Gustave Jung « Je suis profondément convaincu que l’augmentation des cancers est due à la vaccination. » - Dr. Forbes Laurie, Metropolitan Cancer Hospital London « Le facteur de risque du cancer, c’est l’inflammation. Si vous avez une inflammation, vous allez progressivement développer un cancer. Les facteurs de risques inflammatoires des pathologies lourdes sont le tabac, l’alcool, etc. » – Dr. Laurent Schwartz, cancérologue Pour terminer, écoutons notre petite voix intérieure qui nous met en garde et qui, comme le rappelle Jean-Jacques Rousseau, est notre meilleur guide pour penser et agir. Documentaire : Dr. Hamer, seul contre tous : https://www.youtube.com/watch?v=THP6ciOYbIA Articles associés : La Bioélectronique Vincent Notion de terrain Les 7 étapes de la maladie CANCER un traitement simple et non toxique Les polyphénols

  • Les compatibilités alimentaires

    Article d'alimentation hygiéniste Avertissement Cet article hygiéniste reste sur le blog à titre purement informatif par respect pour les Pères fondateurs de l’hygiénisme. Depuis, la recherche et les découvertes en nutrition humaine ont évolués et bon nombre de recommandations et de croyances hygiénistes sont devenues obsolètes. Les hygiénistes comme Herbert M. Shelton ont étudié la digestibilité des aliments en fonction des enzymes, des sucs digestifs et des réactions métaboliques du système digestif humain. L'utilisation des associations alimentaires compatibles rend la digestion plus aisée et normale. Elle réduit les risques de fermentation et de putréfaction digestives, économise l'énergie vitale et diminue la toxémie . L'alimentation associée constitue un facteur rénovateur de santé, c'est aussi un facteur de simplification alimentaire. Selon eux, une sorte d'aliment par repas serait l'idéal. Les bonnes associations alimentaires sont particulièrement indiquées chez les personnes ayant des troubles digestifs, des pathologies chroniques et une faible vitalité . ( Voire aussi les articles : Acidité gastrique, reflux acides & ballonnements, aérophagie ). En ce qui concerne l'allègement alimentaire se limitant à un ou deux types d'aliments par repas, il est déconseillé de poursuivre ce régime restrictif sur une longue période car il peut engendrer une perte de poids importante et des carences par manque d’assimilation cellulaire. Par exemple, les protéines nécessitent une digestion acide, alors que les féculents une digestion alcaline, ce qui est vrai. Pour Shelton, ce mélange serait donc en théorie contraire aux processus digestifs, mais en pratique, nous avons découvert que le cerveau est capable de programmer la digestion en fonction des aliments reçus et de moduler une sécrétion gastrique plus ou moins acide au cours du processus digestif. Le ralentissement de la digestion est la cause fondamentale des infections Catégories d'aliments : Les protéines : légumineuses, œufs, noix, chairs animales (viandes, volaille, poissons, fruits de mer). Les lipides : huiles, avocats, olives, beurre. Les amidons et féculents : céréales (à éviter si non germées), racines, tubercules. Les fruits . Les légumes. Compatibilités : Protéines et légumes verts : OK. Féculents / amidons et légumes verts : OK. Lipides et légumes verts : OK. Féculents / amidons et lipides : OK. Protéines et féculents / amidons : non pour les hygiénistes de l’époque de Shelton, mais validé depuis*. Féculents / amidons et fruits : non (la pire association). Féculents / amidons et acides : non (ex. pain et miel ou jus d’orange ; pâtes et sauce tomate ; yaourts). Fruits et légumes : non (fruits +/- 40 min. avant, légumes après). Fruits et protéines : non. Fruits doux et mi-acides : passable. Fruits mi-acides et acides : passable. Fruits doux et acides : non. Fruits acides et mi-acides et lipides : non. Fruits doux et séchés et lipides : passable. Fruits séchés et protéines (noix) : non. Miel et lipides : passable. Féculents et fruits : non (sauf noix avec fruits acides) Melons, pastèques et papayes : toujours seuls. *Il a été découvert ultérieurement que le cerveau est capable de programmer la digestion en fonction des aliments reçus et de moduler une sécrétion gastrique plus ou moins acide au cours du processus digestif. L’association protéines/féculents est donc possible et d'ailleurs recommandée. Les céréales et légumineuses non germées sont peu digestes et fermentent facilement dans l’intestin humain ( aliments mucogènes ). L’association d’ amidon (céréales et dérivés, etc.) et d' acide (fruits aqueux, de jus de fruits, yaourt ou miel) provoque une fermentation alcoolique digestive qui fatigue le foie et qui peut mener à la cirrhose avec le temps, même chez des personnes n’ayant jamais bu d’alcool ! On ne peut pas digérer un farineux avec un fruit aqueux ou du miel, la digestion s’arrête. C’est le pire mélange ! De cette association suivront un ralentissement digestif, des fermento-putrescences intestinales néfastes (poisons), de l'inflammation et de l’ hyperperméabilité avec toutes les conséquences sur la santé qui en découleront. Les catégories de fruits : A. Fruits doux : Banane, Datte, Figue, Pomme douce, Kaki, Raisin doux, Papaye, Pastèque, Melon , Fruits secs, Avocat. B. Fruits mi-acides : Pomme, Poire, Mûre, Fraise, Groseille, Myrtille, Cerise, Raisin, Lychee, Mangue, Goyave, Pêche, Nectarine, Abricot, Brugnon, Prune, Tomate cerise. C. Fruits acides : Agrumes, Ananas, Grenade, Kiwi, Framboise, Groseille, Airelles, Tomate (si pas mûre), Poivron, Cassis. Les tomates peuvent être consommées avec des légumes non féculents et des protéines. Les avocats se combinent bien avec tous les aliments sauf les protéines et les melons. Mangez du melon seul, ou n’en mangez pas, sinon votre estomac s’en plaindra. En bref, les melons, pastèques et papayes (fruits neutres) sont difficiles à digérer avec d'autres aliments et causent fréquemment des problèmes à moins d’être consommés à part . Ils sont très putrescibles et se digèrent vite (+/- 20 min.). Les souffrances trouvent leur explication dans l’influence désastreuse de l’environnement et l’ignorance ou la négligence des lois de la physiologie humaine. DEUX TABLEAUX D’AIDE AUX COMBINAISONS : Temps de digestion si mangés seuls Toutes les misères humaines débutent par un ralentissement des fonctions digestives et par l’intoxication humorale qui en résulte. Des malades qui reçoivent les mêmes aliments dans les mêmes quantités mais en associations compatibles, verront leurs symptômes disparaître parce qu’on aura facilité la digestion et diminué les fermento-putrescences intestinales, causes de l’intoxination responsable des maladies. Tableau du Centre Nature et Vie de Désiré Mérien Ce régime dissocié n’est pas vraiment conseillé sur le long terme. Il sera efficace à court et moyen terme pour rétablir la santé en cas de troubles ou de systèmes digestifs altérés. N.B. Tout régime restrictif conduit, momentanément, à une amélioration transitoire de l’état de santé. A condition que le régime restrictif ne soit pas extrême et ne dure pas trop longtemps. Un régime restrictif (suppression d’un ou plusieurs types d’aliments) est un allègement digestif et un gain d’énergie vitale pendant un certain temps, jusqu’à ce que des carences surviennent. Autres causes d’une digestion difficile : La dysbiose du microbiote intestinal. Le manque d’enzymes . L’ hypochlorhydrie stomacale. La faible production de bile. Citations : « Lorsque les apports alimentaires correspondent aux capacités de transformation du tube digestif, donc que les digestions se font bien, on ne se sent pas digérer : point de lourdeur , de pesanteur ou de douleur, ni de production de gaz ou de renvois. La bouche n’est pas pâteuse au réveil, ni la langue blanche. L’haleine est fraîche. » - Christopher Vasey “ Que ton aliment soit ta seule médecine ! ” - Hippocrate Articles associés : Quelques règles alimentaire de base Les protéines Les aliments à hautes et basses fréquences La prise des repas

  • La berbérine

    Article de phytothérapie Populaire depuis quelques années, la berbérine est une molécule naturelle très intéressante. Elle est d’ailleurs mentionnée à quelques reprises dans les articles de ce blog. Il fallait dès lors lui consacrer une petite rubrique. Description : La berbérine est un alcaloïde dérivé de plantes telles que l'épine-vinette, l'hydraste du canada ou encore l'argémone mexicaine. Elle est considérée comme un antibiotique naturel et n’est pas irritante pour les intestins. La berbérine est un composant naturel de nombreuses plantes médicinales populaires qui atténue l'inflammation intestinale chez l'homme grâce à sa modification du microbiote intestinal. L'effet potentiel de la berbérine sur l'intestin peut constituer une cible thérapeutique pour le SIBO . En 2014, des chercheurs ont confirmé que la phytothérapie contenant de la berbérine est équivalente à la rifaximine (antibiotique) pour la résolution du SIBO . La berbérine a amélioré la composition de bactéries bénéfiques telles que Bactéroïdes, Bifidobacterium, Lactobacillus et Akkermansia. En outre, elle pourrait atténuer l'inflammation du côlon en régulant les cellules T CD4 (+) de la lamina propria productrices d'interféron gamma et d'interleukine-17A. Il a été prouvé qu'elle réduisait considérablement les fréquences de diarrhée et de douleurs abdominales chez les patients atteints du syndrome du côlon irritable à prédominance diarrhéique. La berbérine lutte contre tout type d’infection microbienne, des bactéries aux parasites , en passant par les virus et les champignons. Utile en soutien contre des  infections résistantes  aux traitements conventionnels, notamment bactériennes : staphylocoque doré, Escherichia coli, et même les Borrelia causant la maladie de Lyme. Elle est également capable de sensibiliser certains biofilms microbiens. Résumé des indications et des propriétés : Diarrhée Dysbiose intestinale Porosité intestinale (production de butyrate) SIBO (+ efficace et moins d’effets secondaires que les antibiotiques) Anti-inflammatoire Antioxydante Antimicrobienne (champignons, bactéries, parasites, virus) Dengue et chikungunya Diabète , prédiabète (hypoglycémiante) Baisse de l'hémoglobine glyquée Cholestérol  : hypocholestérolémiante puissante Triglycérides Soutien du foie Prurit anal Nycturie (pipi la nuit) Aide à la perte de poids Soutien de la réponse immunitaire Alzheimer   Jaunisse Ulcères Pancréatite Antibiofilm A combiner à une alimentation équilibrée et mesurée qui est la base de la santé. Posologie : Pour les intestins : La dose efficace chez l’adulte est de 3 grammes par jour, 5 jours par mois, 3 à 6 mois ou selon les besoins. 2 gélules de 500 mg 3 fois par jour ou 3 gélules 2 fois par jour aux repas. Commencer en douceur pour les dysbioses importantes afin d'éviter les symptômes de détoxification (réaction d'Herxheimer) : nausée, gout métallique, diarrhée, gaz, renvois, maux de tête, etc. Chez les personnes très intoxiquées qui auraient des effets secondaires avec la berbérine, on prendra : NAC 4 x 600 mg/J. Acide R alpha lipoïque : 3 x 100 mg/J. Curcumine : 70 mg 3 fois/J. Pour le diabète et le cholestérol : 1 gélules de 500 mg 3 fois par jour aux repas pendant 3 semaines avec une semaine d’arrêt. Durée totale : 3 à 4 mois. Contre le vieillissement : 1 gr par jour pour un microbiote optimal, avec réduction de l’ inflammation et de l’hyperinsulinisme. Remarque : Dans certains cas, avec des glandes surrénales très affaiblies, la berbérine comme d'autres compléments alimentaires peut être difficilement tolérée. Citations : « La berbérine est une menace mortelle pour l’industrie du médicament antidiabétique. » - Dr. Georges Mouron « La berbérine a des effets bénéfiques sur la pression artérielle, le cholestérol et la glycémie, et elle est un puissant neuroprotecteur, en partie en améliorant la santé et la fonction des mitochondries . »  - Dr. Joseph Mercola Sources : https://www.frontiersin.org/   https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/   https://www.alternativesante.fr/

  • Épidémies et contagion

    Les épidémies et la contagion du point de vue de l’hygiénisme, de la naturopathie orthodoxe et de la bioélectronique. Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c'est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 8 milliards d’êtres humains sur Terre, il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1.000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1.000. Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agro-alimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chers marionnettes politiques et médiatiques. Non, le Créateur n’a pas inventé les microbes pour nous faire du mal ou nous tuer. Contrairement à ce que pensait Louis Pasteur , les méchants virus et autres germes ne sont que des contes de fée pour effrayer des enfants de 6 ans. La Nature est bien plus subtile que ça… La présence de micro-organismes fabriqués par nos propres microzymas , signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe par exemple signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année, c’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, chaleur, diète, jeûne , fièvre , diarrhée, toux, inflammation , voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs. Les états sanitaires de l'enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique. Les causes des “épidémies” sont souvent multifactorielles : Environnement pollué : air, eau , aliments, électromagnétisme , radioactivité, etc. Information microzymienne et cellulaire perturbées. Hygiène de vie déplorable : misère, famine, peur, détresse affective, stress de promiscuité, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique). Modification du terrain et de ses paramètres bioélectroniques . Influences cosmo-telluriques , électromagnétiques , saisonnières, cycliques, températures*. Causes iatrogènes : vaccins , antibiotiques, cortisone, etc. => dégradation du terrain => toxémie => “maladie” (symptôme). *Selon une étude publiée dans The Lancet portant sur 75 millions de décès entre 1985 et 2012, le froid cause 17 fois plus de morts que la chaleur, sans que les températures n'aient besoin d'être extrêmes. « 9% des décès dans le monde sont imputables à la température (soit : 5.157.000). » - Tiina Ikäheimo, spécialiste ne médecine environnementale, Université d’Oulu. En rouge les décès annuels dus à la chaleur, en bleu à cause du froid. Par exemple, lors de la " grippe espagnole " on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle : Iatrogène ( vaccins : oxydation, molécules toxiques . Aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives, nuit à l’action de vitamines et de minéraux). Carences , famine, peur, épuisement, stress oxydatif (guerre). Hygiène déficiente, insalubrité (encrassement). Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques ). « De tout temps, des armées entières furent décimées par des « épidémies » qui n’étaient rien d’autre que le scorbut, c'est-à-dire une carence aigüe en vitamine C . » - Dr. Gilbert H. Crussol « En réalité, l’aspirine tue 12.000 personnes par an, rien qu’aux Etats-Unis, à la suite d’hémorragies digestives. » - Dr. Georges Mouton WC utilisé par quatorze familles. (The Women's Municipal League of Boston Bulletin, vol. VII, n° 3, février 1916, p. 32). Source : https://dissolvingillusions.com/ Les épidémies de peste et le choléra se sont éteintes à partir du moment où il y a eu adduction d’ eau potable , systèmes d'égouttages enterrés (émanations toxiques) et que les conditions d’hygiène se sont améliorées. La fumée des feux de cuisine, des poêles à charbon et l'éclairage à l'huile à l’intérieur des habitations était également une source majeure de pollution atmosphérique et d’intoxication dans le monde en développement. Dans cette période, les cordonnées bioélectroniques du terrain biologique situées en zone 4 du bioélectronigramme Vincent se sont déportées. Malheureusement, elles se sont déportées en zones oxydées , qui sont entre autres les zones des maladies dégénératives, du développement viral et du cancer . La cause de cette modification vient du fait que l’eau d’adduction est oxydée par son traitement et les produits chimiques qu’elle contient (chlore, fluor , pesticides, médicaments, etc.). Mais aussi, du fait de la généralisation de la vaccination qui est suroxydante à cause des adjuvants toxiques qui y sont contenus. (Voir graphique ci-dessous) . La seule cortisone a pour effet d’effondrer l’immunité et de favoriser le développement viral. Arrêtons de masquer nos symptômes avec des médications chimiques qui entraveront les processus homéostasiques de détoxification , car cela entraînera une modification morbide de notre terrain et finira par aggraver les choses. Les médicaments aboutissent à la destruction de la capacité du corps de se défendre. Quand on détruit les capacités du corps de déclencher et de conduire des maladies spécifiques, on hâte les maladies de dégénérescence et la mort ! Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans , etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote ). Pourquoi prolifèrent-ils de manière pathologique chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain . Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale , un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques , l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer. La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang. Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier. Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C'est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite. Les vaccins , super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain . Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales. Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées. Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,35 - rH2 : 22 - rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies. Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l'hygiénisme et la vraie naturopathie. Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelle induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation. Que se passe-t-il lorsqu’une eau dégénère ? Les paramètres bioélectroniques se modifient : Le pH augmente, le rH2 augmente, rô diminue jusqu’à un certain stade. Au-delà, le pH continue à augmenter, rô continue à diminuer, le rH2 fléchi brusquement, à ce moment-là, apparaît dans l’eau des formes microbiennes (endogenèse microbienne), autrement dit, il y a une latence de vie qui est incluse dans la structure de l’eau ( microzymas ). Cette latence de vie se manifeste ou ne se manifeste pas, cela dépend tout simplement des circonstances extérieures. N’oublions pas que nous sommes composés à 70% d’eau… Les microzymas peuvent transmettre des informations qui permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance et d’éliminer la toxémie . Les humeurs dans lesquelles ils baignent sont le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniques , électromagnétiques et émotionnelles… Il n'existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n'est qu'un banal service d'éboueurs pour l'évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre. En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale . Réduisons notre toxémie , augmentons notre énergie vitale , assainissons nos intestins, comblons nos carences nutritionnelles et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions… L’ignorance est mère de tous les maux. - Rabelais “Pour rappel, les infections ne sont pas dues à des microbes comme on le croit naïvement, mais à la morbidité du terrain psycho-organique dans lequel ils évoluent. Un mental infectieux infecte le soma, le soma infectieux donne naissance à des microbes spécifiques, c'est-à-dire propre à la nature et à l’importance de ces états infectieux. C’est ce qu’on appelle le polymorphisme , la mutation du microbe en fonction du milieu dans lequel il se développe. C’est le marécage qui fait le moustique et non l’inverse. C’est le terrain malsain qui fait le microbe. Le microbe est un ami , un éboueur qui se nourrit de nos déchets. Il nous aide donc à nous épurer. Avec des antibiotiques on ne corrige pas la morbidité du terrain qui est la vraie cause des infections, au contraire on l’aggrave ! Ce n’est pas l’allopathie qui a permis d’éliminer les grandes épidémies dites infectieuses mais l’hygiène et les conditions améliorées de vie, de travail, de salaire, de transport, d’habitat, etc. Les épidémies ne frappent que des individus de groupes ayant les mêmes comportements mentaux, alimentaires et existentiels." – Pr. Grégoire Jauvais "De toutes les épidémies, la soi-disant maladie épidémique ne représente qu’un ensemble donné des symptômes affichés par le malade." - Herbert Shelton “La potentialité contagieuse ne se passe pas au niveau de la matière, mais au niveau de la vibration. L’élément qui a le plus d’impact sur notre organisme ce sont nos pensées, notre psychisme, notre conditionnement, nos croyances, notre état émotionnel, nos peurs, cela nous apporte les mauvaises ondes vibratoires ou niveau du génome et modifie un certain nombre d’informations. La peur contribue à effondrer notre immunité. Notre immunité est un facteur d’informations. Il faut augmenter positivement nos champs vibratoires.” (Voire : Les 9 paramètres de la santé intégrale .) - Dr. Hugues Holleville « Un être organisé est un être vivant végétal, animal ou humain, doué d’une organisation qui dépasse tout entendement humain… Il n’y a pas de contagion sur un être organisé. Le vaccin désorganise l’individu vacciné, en particulier par le fait de l’empoisonnement provoqué par le prétendu « adjuvant de l’immunité ». Mais il peut y avoir transmission d’ information ou mimétisme. Antoine Béchamp est le premier à parler de la possibilité d’une contagion par les germes et corpuscules (molécules) vibrants de l’air… mais seulement pour les matériaux non « organisés. » … Les microzymas qui constituent les microbes peuvent transmettre, dans certains cas, des informations. Elles permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance. Ensuite, ces microzymas repartiront... Il n’y a jamais de multiplication de germes, de bactéries ou de prétendus virus à l’intérieur de notre corps qui viendraient de l’extérieur, cela Béchamp a démontré que c’est strictement impossible ! » - Dr. Alain Scohy “Les pollutions (atmosphérique, électromagnétique, vaccinale et chimique) conduisent aux pandémies virales, aux cancers, puis à la mort. Le contraire, c’est la vie.” - Jean-Yves Rousseaux, bioélectronique « Les épidémies peuvent revenir avec les pollutions. » - Pr. Louis-Claude Vincent, 1976 “C’est Pasteur qui a lancé la théorie microbienne telle qu’elle est connue de nos jours. Mais c’est aussi Pasteur, le même Pasteur , qui avait dit sur son lit de mort : “C’est Claude (Bernard) qui a raison : le microbe n’est rien le terrain est tout.” C’est ainsi que Pasteur avait, à la dernière minute de sa vie et d’un seul coup, reconnu la nullité de tous ses travaux sur les microbes. “Ses expériences dans ce domaine avaient toutes échoué,” écrit le Dr. H. M. Shelton, mais les fabricants de vaccins, qui sont tous des hommes d’affaires avisés, ont présenté ces expériences comme des succès. Nous ne nions pas l’existence des microbes et des virus. Mais si un microbe particulier est censé être la cause spécifique de la maladie, il devrait toujours la causer. Or on rencontre le microbe dans la santé comme dans la maladie. On ne peut donc pas le considérer comme la cause.” - Albert Mosséri "La vie sobre met à l'abri des épidémies ou tout du moins atténue l'imminence du danger, les intempérants étant en cas d'épidémie atteints les premiers." - Dr. Paul Carton « Lorsqu’on parle de maladies épidémiques et contagieuses, il faut tenir compte de toutes les circonstances qui affectent, simultanément, l’ensemble des populations touchées par ces troubles de santé. Les épidémies sont dues à une altération généralisée du terrain, des résistances individuelles et collectives à cause de conditions biologiquement défavorables : habitat malsain, alimentation incorrecte ( carencée ou surabondante ou déséquilibrée), empoisonnement par des agents divers, soins inadéquats, conditions de travail inhumaines, dérèglements psychologiques, conditions météorologiques encore mal déterminées. Les effets de la peur sont souvent déterminants. Le seul vrai remède consiste à rechercher et corriger les causes. La plupart des maladies dont souffre l’humanité sont dues aux traitements médicaux qu’elle subit. Beaucoup de nos maux sont iatrogènes et les microbes et virus sont, bien à tort, mis en cause. » – Dr. André Passebecq, extrait du livre : Cours de Psychosomatique Naturelle. “En réalité, dans le cas des maladies, ni dans l’organisme malade ni dans les fluides corporels n’a jamais été vu ou isolé une quelconque structure que vous pourriez caractériser comme un virus. La proposition qu’il y a un quelconque virus fabriquant une maladie quelconque est clairement une escroquerie, un mensonge mortel avec des conséquences dramatiques.” - Dr. Stefan Lanka, virologue et docteur en biologie moléculaire "Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes ( exosomes ) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. Pour étayer ces affirmations, nous citons des dizaines de scientifiques de renom, parmi lesquels les lauréats du prix Nobel Kary Mullis, Barbara McClintock, Walter Gilbert, Sir Frank Macfarlane Burnet et le microbiologiste et lauréat du prix Pulitzer René Dubos. Nous présentons dans notre ouvrage environ 1.100 références scientifiques pertinentes, dont la plupart ont été publiés récemment." - Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania : Comment l'industrie médicale invente continuellement les épidémies. Deux cellules se transmettant de l'information à l'aide d'exosomes. Exosomes = débris cellulaires = virus = microzymas ? « Les exosomes sont le produit de dégradation de cellules endommagées et mourantes. » - Dr. Andrew Kaufman « Le virus est un exosome dans tous les sens du terme. Les exosomes sont totalement indissociables de ce que les virologues appellent les ‘virus’. » - Dr. James Hildreth, immunologiste, PDG du Maharry Medical College. « La fonction bactérienne et fermentative est exclusivement remplie par des granulations micrococciques libres et mobiles qui, chez les animaux, sont les coccis colibacillaires du sang (microzymas de Béchamp). Ces microzymas pénètrent évidemment dans les cellules et y exercent leur action, mais n’y restent pas ; elles en sortent avec les liquides secrétés par la cellule. » - Dr. Jules Tissot « Les exosomes sont probablement ce que Béchamp appelait les « microzymas » et Gaston Naessens les « somatides ». Les chercheurs disent que les exosomes sont indissociables des virus parce qu’ils ont la même dimension, la même structure, la même fonction. Il n’existe aucune méthodologie aujourd’hui pour différencier les deux. Comme nous savons que les virus n’existent pas, la seule chose qui existe sont les exosomes. » – Dr. Stefano Scoglio, microbiologiste « Quant à la contagion, que nous pouvons considérer comme un processus infantile d’’imitation’ (Rudolph Steiner), elle ne concerne que les êtres ayant une vulnérabilité comme, les mêmes carences, les mêmes conflits, les mêmes peurs, sinon personne n’aurait jamais survécu à une épidémie. » - Dr. Éric Ancelet « On sait aujourd’hui que la vaccination antivariolique a causé plus de cas de variole que les épidémies elles-mêmes et qu’elle a favorisé la tuberculose. Autrement dit, la pratique de cette vaccination a permis de créer des foyers d’épidémie, alors même que la maladie était en constante régression par un ordre naturel des choses. » - Dr. Louis De Brouwer « Personne dans l’histoire n’a jamais provoqué de maladie chez une personne ou un animal en y introduisant une bactérie pure et isolée ou un soi-disant virus . » - Dr. Thomas Cowan « Il est à remarquer que les effroyables épidémies ont sévi justement lorsque l’alimentation était la moins diversifiées, la plus déséquilibrée. En effet, la surcharge en farineux entraîne une augmentation des fermentescences intestinales, point de départ des infections. La carence en protéines essentielles produit une insuffisance quantitative et qualitative des anticorps et leucocytes. Une alimentation chargée en glucides et réduite en protéines essentielles était, avec le manque d’eau (potable), l’insuffisance d’aération et d’ensoleillement des maisons, les conditions essentielles des épidémies du passé. » - Robert Masson « Aucun virus n’a jamais été isolé selon le Gold Standard (test de référence). […] L’humanité n’a jamais été capable de trouver les micro-organismes pathogènes. Les micro-organismes sont produits dans nos corps à partir de nos propres particules, les microzymas. Nous ne pouvons pas les transmettre à un autre organisme, c’est impossible. La thèse microbienne est une imposture. » - Dr. Valentina Kiseleva « Lorsque notre genre humain fut créé, une puissance, que nous pouvons nommer Dieu ou Nature, a mis sur la Terre tout ce qu’il faut pour assurer notre existence, notre vie et notre santé. Si tel n’était point le cas, nous n’existerions pas. Or, nous sommes. » - Dr. Catherine Kousmine « Toute la psychose et tout ce qu’on raconte sur la contamination épidémique ne tient sur rien, il n’y a rien qui le justifie en terme de statistiques aujourd’hui. » – Pierre Chaillot, statisticien, Comité Scientifique Indépendant. « La grande variation des ondes cosmiques explique la difficulté de maintenir l’équilibre cellulaire des êtres vivants, soit la santé. » - Dr. Georges Lakhovsky « Depuis trois quarts de siècle quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur et qu’on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux, en même temps qu’ils mettaient un obstacle aux progrès de la biologie et de la physiologie générales en ce qui concerne de nombreux points de la plus haute importance pour ces deux branche de la science. Ces quatre dogmes faux sont : Le dogme de la panspermie atmosphérique. Le dogme de l’asepsie des organismes vivants. Le dogme du monomorphisme bactérien. Le dogme de la contagion. » - Dr. Jules Tissot Toutes les maladies épidémiques sont des intoxications chez des individus atteints d'énervation et de toxémie avancée. Anecdotes : De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19ème et au 20ème siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc. On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie ne s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque. Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains. Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n'a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop's Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d'une centaine d'hommes à l'hôpital public, et personne n'a contracté la grippe. Pettenkofer (épidémiologiste) n'hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d'infection. Ses étudiants, qui l'imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent). A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. ( Source : Le Goulag du SIDA - Albert Mosséri, Editions Aquarius). Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre, le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. C ontrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l'hypothèse de l'intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses . ( Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr). Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s'inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n'était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur "ignorant" n'avait pas peur car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal ! En 2001, l'astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d'activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses. Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes. Toutes les tentatives ont échoué. ( Source : The Invisible Rainbow - Arthur Firstenberg). Le rhume et ses séquelles dont la rhinite , la pharyngite, la laryngite, la bronchite, la grippe et la pneumonie ne sont pas contagieux, mais sont dus à une perturbation de la réserve ou de l'équilibre alcalin ( équilibre acido-basique ). J'ai pu réfuter cela par des expériences sur un certain nombre de personnes indemnes de rhume en essayant de leur inoculer les sécrétions d'un individu atteint d'un rhume aigu. J'ai choisi le moment où les sécrétions étaient les plus abondantes pour mes inoculations. Dans aucun cas, un rhume n'a été contracté. ( Source : Étiologie, prévention et traitement du « rhume » Volney S. Cheney, M. D., Fellow A. P. H. A.) Aucune expérience physique réelle au monde n’a jamais été capable de prouver que des virus provoquaient des maladies ou la contagion. Bilan Covid-19 : En 2020, nous avons eu une fois de plus la confirmation que le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout ! Puisqu’il n’y a pas eu de surmortalité pour les personnes de moins de 70 ans, seulement des personnes très âgées avec des comorbidités ou qu’on a achevé au Rivotril sont décédées. Les chiffres de décès sont tout à fait normaux lorsqu’on tient compte de la pyramide des âges et des années moissons. Aucun rebond « épidémique » ne s’est JAMAIS produit après des attroupements de masse (plusieurs millions de personnes en tout) dans divers pays à travers le monde. Merci aux scientifiques comme Denis Rancourt, Andrew Kaufman, Pierre Chaillot et Eusèbe Rioché, qui nous ont démontré avec les chiffres officiels à l'appui qu'il n'y avait pas eu de trace de pandémie en 2020. Quel bilan 5 ans après ? Articles complémentaires : Notion de terrain La Bioélectronique Vincent Nos amis les microbes Les microzymas et le polymorphisme microbien La toxémie Les 9 points de la santé ou de la maladie La loi de l’homéostasie Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins Pasteur l’imposteur Les ondes électromagnétiques L’équilibre acido-basique Régler le débat sur les virus En cas d’urgence ou lorsque le pronostic vital est engagé, consultez un médecin.

  • Nos amis les microbes

    Article naturo-hygiéniste Pourquoi les naturopathes et les hygiénistes n’utilisent pas d’antibiotiques ? Les microbes du point de vue hygiéniste et naturopathique L'hygiénisme ne considérera jamais un virus ou une bactérie comme étant un méchant agresseur. La notion de méchant agresseur n'a pas lieu d'être. Le corps permet la prolifération d'un virus , d'une bactérie, d'une levure, d'un champignon, etc. uniquement car cela va dans le sens du rétablissement de son équilibre ( homéostasie ) ! C'est ce que Antoine Béchamp et Claude Bernard souhaitaient démontrer, contrairement à Louis Pasteur qui considérait le microbe ou le virus responsable de la maladie , ce qui a permis aux industriels de fabriquer les vaccins et les antibiotiques (la belle affaire !). Malheureusement, il semblerait que la médecine allopathique actuelle soit basée sur ce constat fallacieux. Les virus , s'ils existent, sont souvent cités comme étant la causes de maladies , ce sont en fait des déblayeurs de terrain , des porteurs d'informations utiles à l'organisme. Ils sont accusés de tous les maux car ils rapportent des sommes considérables aux multinationales pharmaceutiques par la vente de médicaments chargés de les contrer. Enfin, il existe d'autres facteurs de “maladies” ou de santé qui sont cités dans l'article : Les 9 points de la santé ou de la maladie . Théorie de Pasteur : Chimiste L'homme est stérile. Les virus , les bactéries, les levures, les champignons (microbes) sont des nuisibles. Il a fait croire à la majorité des gens du Monde qu’il existait des microbes pathogènes, alors qu’il n’existe en fait que des microbes saprophytes dominés par leur processus de nutrition. Création des pesticides, des antibiotiques et des vaccins … C'est la guerre du vivant. Il a avoué un peu tard sur son lit de mort à Claude Bernard : Le germe n'est rien, le terrain est tout. Louis Pasteur n’a absolument RIEN découvert dans sa carrière, si ce n’est le pouvoir du marketing bien rodé et les bonnes relations. Deux hommes, deux théories Théorie d'Antoine Béchamp 1816-1908 : Véritable savant et grand scientifique, Agrégé en pharmacie Licencié en sciences physiques Docteur en sciences physiques Docteur en médecine Pr. de chimie médicale Pr. de physique et de toxicologie Pr. de chimie organique et de biologique Antoine Béchamp est le contemporain de Pasteur. Deux hommes que tout aurait pu rapprocher et qui ont développé des théories totalement inverses. Les formes microbiennes sont en nous, elles font parties de nous, elles sont nous, elles vont varier en fonction de l'état du terrain (état intérieur du corps) et des besoins de l’organisme. La fonction des microbes peut être modifiée par le déséquilibre du terrain . Les micro-organismes intracellulaires construisent et assistent les processus métaboliques du corps. Antoine Béchamp et Claude Bernard sont les précurseurs de la pensée hygiéniste . 50 ans plus tard, voilà la remise en question totale du dogme pasteurien. Avec son microbiote , on découvre que l'homme est essentiellement microbien. 130.000 milliards de bactéries évoluent symbiotiquement avec nous, plus de 1.000 souches différentes , cela représente pas loin de 2 kilogrammes de matière (pour seulement 37.000 milliards de cellules pour un homme moyen, selon une nouvelle compilation de données de 1.500 sources en 2023) qui sont en équilibre (symbiose) selon la loi de l'homéostasie . La bouche contient à elle seule 10 milliards de germes, la peau 1 million par cm². Le corps d'un homme adulte sain abriterait plus de 3.000 milliards de virus … plus de 8 % du génome humain dérivent de rétrovirus. Tout le monde héberge des levures et des champignons. Plus de 30 souches de champignons sont présentes chez la plupart des gens. Les microbes appartiennent aux 3 règnes : Le règne animal : les parasites . Le règne végétal : les bactéries (algues) et levures (champignons). Le règne minéral : les virus (pas de noyau, pas de cytoplasme, pas métabolisme propre). Des microbes essentiels au fonctionnement de l'humain, immunitaire , digestif, cognitif, psychologique… La vie n’est possible que grâce aux micro-organismes, reliés symbiotiquement aux autres êtres vivants et à l’homme en particulier. Véritable cause du microbisme Depuis PASTEUR , ceux qui vendent des vaccins et des antibiotiques, notamment, on fait croire et continuent de faire croire au grand public, ignorant de bonne foi, que le microbe d’origine externe est la cause des maladies infectieuses, des plus bénignes aux plus graves, et que pour s’en protéger il faut se faire vacciner et qu’en cas d’infections déclarées il faut recourir aux antibiotiques, voire aux « antiviraux » (?). La vérité est tout autre : le réservoir à microbe ( virus , bactéries, etc.) est l’intestin de l’homme lui-même. Les microbes que l’on trouve dans l’organisme humain ne sont pas la cause mais l’effet des maladies. Ils prennent naissance au sein des matières en fermentation et en putréfaction , qui stagnent dans l’intestin de ceux qui ne vidangent pas leur moteur intestinal tous les jours, avec 3 grosses selles. Ces microbes ne prolifèrent que sur des terrains organiques dévitalisés , qui vibrent à leur diapason. En fait, il n’existe pas de microbes « pathogènes » mais seulement des terrains organiques altérés par la mauvaise hygiène interne des malades. C’est ce terrain altéré qui est étio-morbido-pathogène (infectieux), c’est-à-dire cause du microbisme. Le microbe , lui, n’est dominé que par son trophisme. Il ne dévore que les terrains morbides (malsains, pollués, intoxiqués, dévitalisés). En fait, c’est un éboueur, un mangeur de crasses humorales et tissulaires. Il nettoie le terrain . Il est heureux que les antibiotiques ne soient que des bactériostatiques, des substances qui paralysent l’activité des microbes, car s’ils étaient vraiment antibiotiques ils provoqueraient une lyse microbienne qui aurait pour effet de libérer, dans les liquides humoraux , les toxines microbiennes aux effets secondaires redoutables à cause de leur extrême toxicité. Le microbe n’est pas la cause de l’infection. Le microbe n’est qu’un effet, un opportuniste. C’est la maladie , la morbidité du terrain organique qui fait le microbe, comme c’est la mort qui fait les vers de cadavres, comme c’est le marécage qui fait les moustiques. Les poubelles remplies attirent les mouches et les asticots, en vidant les ordures, les mouches et les asticots disparaissent. On peut dire que nos maladies infectieuses sont microbiennes (ou virales) mais qu’aucune n’est d’origine microbienne (ou virale). “Lutter contre un microbe ou un virus (effet), c’est vouloir arrêter un homme en marchant sur son ombre.” - P-V. MARCHESSEAU, Biologiste. Le microbe n’est pas la cause de la maladie infectieuse. Celle-ci doit être recherchée essentiellement dans la nutrition anti-spécifique et dénaturée qui a permis au microbe de s’installer et de proliférer. Toute vraie médecine doit viser à corriger le terrain (psycho-organique) en corrigeant, à la fois, les distorsions mentales (sentiments négatifs habituels) et les distorsions nutrimentaires et comportementales. « Si la théorie microbienne était exacte, écrit le Docteur SCHWING cité par le Biologiste P.V . MARCHESSEAU, que devrait-il arriver à la mort du malade ? Les globules blancs, les défenseurs de la place étant foudroyés, les microbes ne trouvant plus d’obstacle devant eux devraient pulluler et remplir tout l’organisme. Or, il n’en est rien. C’est même le contraire qui a lieu. Aussitôt le malade mort, les microbes diminuent et disparaissent totalement. Et celui qui examine le cadavre voit apparaître, à leur place, d’autres microbes, ceux de la putréfaction. Et, fait bien décisif, ces nouveaux microbes, substitués aux premiers, n’ont pas été introduit du dehors : ils s’y sont produits d’eux-mêmes, rien que parce que le milieu (intérieur ou humoral) a changé. Ce qui prouve que c’est uniquement le milieu qui fait le microbe, et non pas le microbe qui fait le milieu. À tout moment, dans l’intérieur de l’économie, dans les organes, spontanément, il peut se produire des microbes par autogène, aux dépens du plasma et de ses granulations. Les microbes, quelle qu’en soit la forme, ne sont pas autre chose que des éléments histologiques. Ce sont de vraies cellules, libres, indépendantes, souvent mobiles. Cette ridicule théorie d’après laquelle le microbe serait la pièce maîtresse, la cheville ouvrière, la cause initiale et indispensable, sine qua non, dans la genèse et le développement des maladies infectieuses, n’a que trop duré ! C’est une mauvaise plaisanterie. C’est le contre-pied des faits, un défi au bon sens. C’est le monde à l’envers. Autant dire que l’enfant crée le père ». Pourtant PASTEUR , l’inventeur de la théorie des microbes exogènes cause des maladies infectieuses, aurait bien dit au Professeur RENON qui le veillait durant sa dernière maladie : “RENON, c’est BERNARD (Claude BERNARD) qui avait raison” : “Le germe microbien n’est rien. C’est le terrain organique qui est tout !” Voire : théories d'Antoine Béchamp . Que n’a-t-on suivi PASTEUR dans cette idée aussi ? http://www.naturopathe-jauvais.com/category/systeme-immunitaire Microbes, bactéries, processus inflammatoire et antibiotiques : Lorsque notre seuil de tolérance toxémique est dépassé, nous créons une maladie aigue, c’est à dire une crise de guérison éliminatrice et salvatrice pénible à supporter, on dit comme nous sommes malades. Les bactéries nettoient alors notre terrain des déchets qui s’y trouvent, ces sont des déblayeurs de crassent humorales. Les toxines produites par ce nettoyage et le métabolisme des bactéries provoquent une inflammation plus ou moins importante selon les individus malades, leur terrain, leur force vitale , leur capacité émonctorielle et le nombre de bactéries en action. Cette inflammation ainsi que les tentatives d’autonettoyage du corps font que l’on se sent mal et fatigué, car notre énergie vitale est dirigée vers le système immunitaire. Ce ne sont pas les microbes qui provoquent ces malaises mais leurs excrétions toxiques. Nous sommes en permanence rempli de microbes et pourtant nous nous sentons bien la plupart du temps. Parce que le processus inflammatoire régulateur homéostasique n’est pas déclenché lorsque nous sommes en équilibre avec la génération et l’élimination de nos déchets métaboliques endogènes et exogènes. Lorsqu’on prend des antibiotiques , on tue les bactéries. Elles arrêtent alors d’excréter leurs déchets provenant de leur travail de nettoyage et donc notre inflammation disparait, on se sent mieux, mais le travail n’est pas terminé. Le processus de guérison déclenché par la force vitale homéostasique et la réaction somatique s’est arrêté… ! Prendre des antibiotiques interrompt la guérison. Une nouvelle crise d’élimination appelée ‘maladie aigue’ sera alors entreprise tôt ou tard ou elle débouchera sur une maladie chronique plus grave par accumulation humorale de déchets non-éliminés. Notre système immunitaire s’affaibli par la prise d’antibiotiques délétères pour notre microbiote qui représente jusqu’à 80% de notre immunité . Citations : « La doctrine du microbisme est dangereuse, elle fait perdre le point de vue étiologique des maladies, elle place le danger hors de nous, tandis qu’il est en nous. » - Pr. A. Béchamp « La crainte des responsabilités conduit trop souvent l’être humain à s’en remettre entièrement à d’autres pour l’entretien de sa santé. Comme, d’autre part, il n’admet que des agents extérieurs à l’origine de la maladie, jamais il n’envisage de modifier quoi que ce soit dans son comportement. C’est seulement d’un médicament, d’une opération qu’il attend le retour à un état apparemment normal. » - Raymond DEXTREIT « Virus et bactéries ne sont pas des ennemis mais des éboueurs et des femmes de ménage dont le rôle est extrêmement précieux pour notre équilibre. » - Dr. Christian Tal Schaller « Il faut comprendre que plus on défie la nature et les lois naturelles, plus il va y avoir des réactions imprévisibles et incontrôlables. Quand vous faites une vaccination de masse, vous allez avoir une augmentation d’ épidémie . Quand vous faites un traitement d’antibiotiques massif, vous sélectionnez des souches résistantes et vous favorisez l’émergence de microbes qui ont une plus grande virulence et qu’on comprend moins bien parce qu’ils sont nouveaux. Ils ont été sélectionnés à cause des produits chimiques que l’on met dans la nature. » – Cyrinne Ben Mamou, PhD. Biologiste et docteur en neurosciences « La vie de l’individu, de sa naissance à sa mort souvent accélérée, se place sous le symbole de la lutte à outrance contre les microbes, préventivement d’abord dans les premières années de sa vie par l’administration d’un nombre incroyable de vaccins , curativement ensuite par l’absorption de doses impensables de médicaments destinés à compenser les conséquences des dégâts occasionnés par ces vaccins et le mode de vie anormal qui s’en est suivi. Durant la maladie, de nombreuses excrétions sont amplifiées au niveau cellulaire. Il n’est pas étonnant alors que les microbes s’y multiplient pour accomplir la tâche qui est la leur, celle de nécrophages qui se nourrissent de ces excrétions, en les transformant et en les faisant disparaître. » - Pr. Désiré Mérien « Nous n'avons pas besoin de vivre dans la crainte des lois naturelles et des créatures qui la font respecter. Nous devons seulement apprendre comment œuvre la nature. Les parasites ne créent pas ou ne provoquent pas de maladies , ce ne sont que des charognards. Maintenez votre corps pur, libre de tout mucus et impureté. Souvenez-vous que les parasites ne représentent que l’effet et non la cause. Ils ne se développent qu’en présence de toxicité et de mucus , car cela constitue leur source de nourriture. » - Dr. Robert Morse « Les microbes sont en fait des agents utiles, indispensables même à la vie terrestre. Deux raisons peuvent être avancées : Les microbes décomposent les matières organiques mortes ou en voie de dégénérescence. Les microbes perpétuent le cycle des différents minéraux dans la nature. Sans microbes, la vie terrestre aurait disparu depuis longtemps, et même n’aurait probablement jamais existé… » - Dr. André Passebecq « Les bactéries, bacilles et autres microchampignons comme le candida albicans sont endogènes. Ce ne sont pas des ennemis venant de l'extérieur. Les épidémies s'expliquent par la psychosomatique. La théorie de la guerre bactériologique ou virale est totalement gratuite et sans aucun fondement scientifique. C'est comme si l'on affirmait que le fumier est fabriqué par les mouches qui tournent autour. Ce que nous prenons pour des virus, sont en fait nos propres microzymas qui bâtissent normalement nos organes, nos cellules et l’ensemble de notre corps et ce ne sont absolument pas des agresseurs, on peut donc sortir complètement de la guerre virale. Il n’y a strictement jamais de bactéries, s’il n’y a pas un processus de guérison en route à l‘intérieur de l’organisme. Il faut complètement sortir de la peur des virus et des bactéries et entrer dans l'amour. Il n'y a pas de guerre virale ou bactériologique, le Créateur est bienveillant ! Il faut retrouver la rigueur scientifique du Pr. Antoine Béchamp ! » – Dr. Alain Scohy « Les microbes ne sont pas la cause de la maladie mais son effet. » - Dr. Ryke Hamer « Les champignons, les mycobactéries, les bactéries et les virus sont des alliés qui doivent être aidés et non des ennemis à combattre. Ce n'est que dans les cas extrêmement graves qu'il faudra agir pour diminuer l'ampleur de leur action. » - Pierre Pellizzari, réflexologue, naturopathe, Médecine Nouvelle de Hamer. « Les microbes sont à la base de toutes les structures vivantes (il est aujourd’hui reconnu que nous renfermons plus de bactéries que de cellules), et ils ne demandent qu'à vivre en harmonie, pour le bénéfice de tous les écosystèmes, de toute la biosphère. Les charger de tous nos maux, prétendre qu'ils sont programmés pour nous détruire, et chercher à les exterminer sont d'une incommensurable absurdité , qui nous conduit à altérer et à dégrader de façon irréversible les structures intimes de la nature humaine, que nous léguons à notre descendance. Les microbes rencontrés dans les maladies ne sont pas leur cause, mais ils sont produits par le terrain déséquilibré du malade. » - Pr. André Fougerousse « Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes ( exosomes ) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. » - Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania « Les microbes sont nos amis qui nous aident dans nos fonctions physiologiques. Ils ne sont pas la cause de la maladie, ils sont l’agent de la maladie. » - Dr. Olivier Soulier « Les virus ne nuisent pas à l’organisme hôte, ils ont plutôt une fonction de support dans l’interaction des cellules, ils jouent un rôle de soutien. Les virus sont des composants essentiels des formes de vie simples. Ils n’existent pas dans un organisme complexe tels que les humains, les animaux ou les plantes. » - Dr. Stefan Lanka, virologue & biologiste moléculaire. « Les germes ne peuvent être la cause des maladies, car on trouve des germes de maladie dans des corps en bonne santé ». – Dr. Henry Lindlahr « On cherche fébrilement le microbe ou le gène responsable, mais il est clair que ce n’est pas d’une agression extérieure dont nous sommes victimes, pas plus que d’une fatalité génétique, mais d’un processus morbide généré en chacun de nous par altération profonde de notre personnalité biologique. La maladie infectieuse, la mutation du gène, ne sont pas la cause, mais la conséquence de cette altération. » - Dr. Éric Ancelet « Ceux qui prônent la peur des germes aujourd’hui sont les enfants spirituels de ceux qui prônaient la peur de Dieu, du diable, de l’enfer, du paradis dans le passé. Ils ne savent pas que la peur qu’ils inculquent est plus à redouter que ce contre quoi ils nous mettent en garde. La peur fait mille fois plus de ravages que toute autre cause de toxémie. » - Dr. John H. Tilden « Les microbes se développent uniquement sur un terrain organique déficient, ils sont détruis lorsque ce terrain est ramené à la norme. » - Christopher Vasey « Pasteur en orientant la médecine moderne vers la recherche d’antibiotiques de plus en plus actifs a rendu un très mauvais service à l’humanité ; ainsi l’attention des thérapeutes a été détournée de la voie normale qui était la recherche des meilleurs moyens de maintenir un terrain physiologiquement sain et de le reconstituer lorsqu’il avait été déséquilibré par une vie anormale, tant physique que psychique. » - Dr. Edouard Bertholet « C’est seulement aujourd’hui que les hommes commencent à comprendre que les bactéries sont normales et nécessaires au corps humain et que la santé ne consiste pas à détruire des micro-organismes mais à restaurer les communautés microbiennes appropriées. » - Lynn Margulis et Dorion Sagan, l’Univers Bactériel « Après que les cellules ont été endommagées par des déchets toxiques, il est facile pour les éboueurs que sont les bactéries d’attaquer et de dévorer les cellules affaiblies, endommagées et mortes. » - Dr. Henry Bieler « Lorsque par des antibiotiques on supprime la fièvre, on arrête, on bloque toute l’activité immunitaire ; on décapite l’infection mais en même temps on décapite le système immunitaire tout entier. Malheureusement la médecine en décapitant avec les antibiotiques, de la naissance à l’âge adulte, la quasi-totalité des infections a mis totalement hors-fonction le système immunitaire et a conduit à sa dégénérescence progressive.» - Robert Masson « La majorité de la vie sur terre est formée par les microbes à environ 95% (champignons, bactéries, protozoaires et virus). L’intestin est le site planétaire le plus densément peuplé en bactéries. » - Dr. Nadine Cerf-Bensussan, directrice de recherche Inserm, immunité intestinale Attention : En médecine d’urgence, dans le cas particulier d’une septicémie, ou lorsque le pronostic vital est engagé, l’usage d’antibiotiques est obligatoire. Il existe aussi des antibiotiques naturels issus de plantes, d'huiles essentielles, etc. Articles complémentaires : Le microbiote Un mot sur l’immunité Notion de terrain Les microzymas et le polymorphisme microbien La Bioélectronique Vincent Épidémies et contagions Régler le débat sur les virus La “Maladie” et la santé sont-elles le fruit du hasard ?

  • La pratique du sauna

    Article de santé naturelle Description : Fervent amateur de cette activité sanitaire détoxinante, relaxante et réconfortante, il fallait que j’y consacre un petit article. Originaire de Finlande et très populaire dans les pays nordiques, la pratique du sauna serait vieille de plus de 2 000 ans.  C’est une thermothérapie  souvent préconisée en naturopathie afin d’aider le corps à expulser les toxines via l’ émonctoire cutané et les glandes sudoripares. La Finlande compte 3,3 millions de saunas dans un pays de 5,5 millions d'habitants. Le sauna est souvent pratiqué dans le cadre des cours d'éducation physique ou d’activités sportives pour les enfants de plus de 7 ans, bien que les enfants finlandais y soient initiés par leur famille dès leur plus jeune âge. Selon les études, ce serait un moyen potentiel de prolonger la durée de vie en bonne santé.   Pour les Finlandais, le sauna nettoie le corps et l'âme.   Dans la pratique, comment se déroule une séance de sauna sec ? Elle se caractérisée par une exposition à une température ambiante élevée pendant une brève période.  La température et l'humidité peuvent être temporairement augmentées en jetant de l'eau sur les pierres volcaniques chaudes du poêle du sauna. Eviter de prendre un repas lourd et surtout alcoolisé avant la séance. Pour entrer en phase d’élimination et non en phase de digestion et d’assimilation, garder son énergie vitale pour éliminer. Etape 1 : Prendre une douche chaude à l’eau claire pour l’hygiène et ouvrir les pores, ensuite se sécher. Etape 2 : S’installer confortablement assis ou couché dans le sauna, nu sur une serviette éponge. Les maillots de bain sont proscrits pour raison d’hygiène et de confort. Etape 3 : Rester 5 à 20 minutes selon nos propres capacités vitales individuelles. Etape 4 : Sortir du sauna et prendre une douche fraîche à l’eau claire ou s’immerger dans un bassin d’eau froide prévu à cet effet. On peut également prendre l’air frais après la douche, en évitant de prendre froid. Etape 5 : S’essuyer, s’hydrater et se relaxer de préférence sur une chaise longue. Reprendre température pendant au moins 15 minutes avant le passage suivant.   Caractéristiques : Température ambiante : 80 à 100°C. Humidité : 10 à 20%. Durée dans le sauna : 5 à 20 minutes par cycle. Cycles : 2 à 3 passages par séance. Durée totale : 90 à 120 minutes. Fréquence : de une à sept fois par semaine. Elimination : jusqu’à 40 grammes de sueur par minute, soit entre 1 et 2 litres pour une séance complète.   Les bienfaits et indications ? Réduction du stress , relaxation, détente, bien-être physique et mental (production d’endorphines). Élimination de toxines, notamment des déchets acides et des métaux lourds. Hyperthermie, la température corporelle peut facilement monter à 38°C entrainant une petite fièvre temporaire purificatrice. Renforcement immunitaire . Prévention des maladies hivernales. Augmentation de nos capacités d’adaptation par l’ hormèse . Amélioration de la fonction endothéliale et microvasculaire. Amélioration de la santé cardiovasculaire et de l’ hypertension artérielle . Amélioration des douleurs musculaires et articulaires : arthrite, rhumatismes , spondylarthrite ankylosante, polyarthrite rhumatoïde, fibromyalgie . Amélioration de la qualité du sommeil. Amélioration des affections respiratoires. Protection potentielle contre les troubles neurocognitifs : démence, Alzheimer . Réduction de la mortalité toutes causes confondues. Diminution de l’ inflammation systémique. Stimulation des fonctions neuroendocriniennes. Stimulation de l’hormone de croissance IGF-1. Modulation favorable du système nerveux autonome . Rajeunissement mitochondrial .   Une étude de 2018 sur 1.628 participants a conclu qu'une utilisation régulière du sauna (4 à 7 fois par semaine) par rapport à une seule séance hebdomadaire entraînait une diminution de 62 % du risque d'accident vasculaire cérébral.   Combinée à une hygiène de vie saine, la pratique du sauna est un véritable atout santé.   Contre-indications : Maladie cardiovasculaire récente : AVC, infarctus, angine de poitrine. La lucite estivale . La consommation d’alcool avant et pendant la séance.   Conseil : Pour augmenter l’élimination, nous pouvons, avant et pendant la séance, boire un litre de tisane à base de plantes sudorifiques, telles que : Le sureau noir (fleurs) Le tilleul Le coquelicot (pétales) Le gingembre C’est une recette indiquée également en cas de rhume, de grippe ou de refroidissement.   Citations : « Donnez -moi le pouvoir de créer une fièvre et je guérirai toutes les maladies ! » - Parménid e, médecin et philosophe Grec, 500 avant JC. « Le moyen le plus efficace pour drainer les cristaux par la peau est de la faire suer. Une intensification du travail des glandes sudoripares peut être obtenue par : de l’exercice physique intensif, des bains chauds ou le sauna. » - Christopher Vasey

  • La lucite estivale (boutons de chaleur)

    Article naturo-hygiéniste Le soleil stimule la peau qui est un émonctoire , mais il n’est pas la cause de la lucite. La cause est le niveau de toxémie , le corps rejette des déchets colloïdaux grâce à l’action énergétique du soleil . Il faudra s'exposer très progressivement surtout après de longs mois d'hiver. Symptômes : La démangeaison de la peau, ou prurit, peut avoir différentes origines (libération d'histamine, maladies parasitaires …), dont l'accumulation des sels biliaires dans le sang par encrassement du foie , qui viennent exciter les terminaisons de la peau. La localisation se situe généralement sur des zones qui ne sont pas souvent exposées au soleil : aisselles, pli du genou, pli du coude, décolleté. Petits nodules qui chatouillent Rougeurs Suintements Solutions pour soulager : Poche de glace in situ, se mettre au frais. Aromathérapie : Lavande aspic 2g. Menthe poivrée 1g. Eucalyptus citronné 2g. Géranium rosat 1g (optionnel). HV d’amandes douces ou de rose musquée 10 ml. Dès l’apparition des premiers boutons, masser délicatement la zone concernée avec quelques gouttes du mélange 2 à 3 x par jour et éviter l’exposition solaire quelques jours. Gemmothérapie : 15 g d’orme par jour. 15 g de cassis le matin ou 5 g / J. -> 3 mois. Sous la langue et garder 1 minute avant d’avaler. Phytothérapie préventive : Extrait de Polypodium Leucotomos . Supplémentation : Quercétine (flavonoïde antiallergique). Vitamine C , A et E. Oméga-3. Oligothérapie : manganèse, zinc et sélénium (2 mois avant exposition). Solutions pour remédier : Récupération et nettoyage du foie . Supprimer l’alcool, le grignotage et la suralimentation. La lucite est une réaction de type allergique, nous appliqueront donc les solutions proposées dans l’article sur les allergies. Citations : "La maladie, la déformation et la dégénérescence sont les amandes que l’homme paye pour s’être éloigné des normes de la nature dans tout son mode de vie." - Albert Mosséri "Tout ce qui coule aux muqueuses et tout ce qui coule à la peau, desquame, boutonne, gratte c’est de la sortie de toxines." - Robert Masson "Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie." - Hippocrate Articles complémentaires : Le soleil et l'exposition solaire Les allergies

  • La lymphe, les humeurs et le système lymphatique

    Article de physiologie Les humeurs sont les liquides organiques qui composent notre corps et dans lesquels baignent les cellules. Environ 45 à 50 litres de ces liquides composent le corps d’un adulte de 70 kg, dont environ cinq litres de sang et quatre litres de lymphe circulante. La lymphe stagnante, elle, est d’environ onze litres, c’est la lymphe interstitielle (extra-cellulaire) qu'on vient de découvrir en médecine allopathique, mais connue depuis longtemps par les naturopathes. Et finalement, les liquides intra-cellulaires (cytoplasmes) qui sont d’environ 28 litres. En médecine conventionnelle, tout le monde s’occupe du sang, mais malheureusement personne ne s’occupe de la lymphe. La lymphe intéresse surtout les 3 autres médecines : la chinoise, l’ayurvédique et la naturopathie/ hygiénisme . La lymphe La lymphe est donc une humeur, un liquide organique d’un blanc jaunâtre d’aspect laiteux. Elle est composée d’eau, de lymphocytes, de protéines, d'ions et de déchets cellulaires. Elle circule dans les vaisseaux lymphatiques. Ces derniers débutent dans les profondeurs tissulaires en tant que vaisseaux très fins. En se rejoignant, ils forment des vaisseaux de plus grand diamètre. Ils traversent des ganglions lymphatiques et finissent par déverser la lymphe dans le courant sanguin au niveau des veines sous-clavières (à la base du cou). Le mouvement de la lymphe se fait donc dans une direction unique : des profondeurs jusqu’à la surface. Elle transporte les déchets rejetés par les cellules, mais aussi des cadavres microbiens, des débris de cellules usées, etc. jusque dans le sang. Une fois dans le sang, les déchets sont conduits aux organes éliminateurs (foie et reins) pour être évacués hors de l’organisme. La lymphe représente, au même titre que le sang, le milieu dans lequel baignent les cellules. La lymphe n'est pas propulsée comme le sang par un organe (cœur). La lymphe pour progresser demande des mouvements du corps, exercices physiques , massages , etc. La cellule reçoit les nutriments et l’oxygène par le sang et la lymphe. Elle rejettera ses déchets (toxines endogènes) dans la lymphe interstitielle. Ils seront ensuite dirigés vers les capillaires lymphatiques, puis vers les veines lymphatiques et seront finalement conduit au circuit sanguin. C'est le fonctionnement normal du corps. La lymphe stagnante passe dans la lymphe circulante et puis dans le sang, ce qui permet aux déchets de quitter les tissus organiques. La lymphe a pour rôle de faciliter les échanges de matières nutritives, de gaz et de déchets, entre le sang et les cellules. Elle favorise également les mouvements des globules blancs et leurs incursions hors des vaisseaux à la poursuite des intrus. Les ganglions lymphatiques sont un milieu d'échange dans lequel vont pouvoir proliférer des macrophages, microbes et levures, qui vont permettre de transformer et digérer les toxines, ce sont des 'stations d'épurations'. Le système lymphatique en compte environ 600. Un ganglion enflammé est un ganglion saturé dans lequel il y a un travail biologique d'épuration et de nettoyage qui est en train de se faire. Il ne faut jamais ôter de ganglions, ce sont des filtres à toxines et microbes, très importants dans le système immunitaire . Plus on supprime de ganglions, plus la charge de travail et de nettoyage en aval sur les autres ganglions va être importante. Exemples de migraines à répétition : les amygdales drainent toute la partie cervicale en toxines, plus d'amygdales = moins de filtres pour drainer les toxines de la partie cervicale. Pierre-Valentin Marchesseau disait que la lymphe était en même temps le fleuve nourricier et le tout à l'égout. L'humorisme C'est la science des humeurs , approche scientifique de la naturopathie, c'est-à-dire la compréhension et le traitement de la maladie . On étudie les "humeurs" circulantes et cellulaires de l'organisme (le sang, la lymphe et les liquides intra et extra-cellulaires). Ces liquides biologiques composent les deux tiers du corps humain. Ils ont pour fonction de nourrir nos cellules. Une bonne santé passe par le maintien de l'intégrité de ces humeurs en veillant à ce qu'elles aient le moins de surcharges possibles (toxines et toxiques ) et le moins de carences possibles en acides aminés, acides gras essentiels, vitamines, enzymes, minéraux et oligoéléments. Les humeurs, nos fluides corporels, influencent nos émotions, nos sentiments et notre tempérament. D’où les expression : « Être de bonne ou de mauvaise humeur. » ; « Se faire du mauvais sang. ». Notre état de santé est lié à la propreté et à la pureté de nos humeurs, conditionnée par notre manière de vivre ( alimentation , exercice physique ou sédentarité, …) et par des influences extérieures ( stress , environnement, conditions de vie, …). L'humorisme est donc une médecine de terrain . Le métabolisme humoral… Tous les liquides organiques de notre corps sont inter-communicants : ils sont en mouvement continuel dans les cellules et entre les cellules. C'est grâce à ces liquides humoraux et à travers les émonctoires que l'organisme s'épure et lutte contre l'encrassement, la toxémie . La moindre perturbation, telle que le ralentissement de ces courants et des échanges ou la modification des valeurs constantes propres à la vie ( pH , température, etc.) conduit au dysfonctionnement cellulaire et métabolique. Les aliments mucogènes , principalement les céréales , les produits laitiers et les graisses en excès congestionnent la lymphe (lymphogliase). C'est en général l'encrassement des humeurs (la toxémie ) qui est à l'origine de la maladie . Lorsqu'il y a surcharge, le sang accumule des toxines (exogènes et endogènes). Les organes se surchargent de déchets métaboliques et ne peuvent plus effectuer leurs fonctions de façon adéquate. Le système lymphatique peut aussi tamponner les acides présents dans le corps. La traversée humorale C'est le transport des nutriments (éléments dégradés de la digestion) de la lumière intestinale vers le sang ou la lymphe pour être distribués aux cellules de tout l'organisme. Le glucose, les acides aminés, les acides gras à courte chaîne et le glycérol passent dans les vaisseaux sanguins alors que les acides gras à longue chaîne passent dans les vaisseaux lymphatiques. Le transport est optimal lorsque les humeurs sont fluides. Il est de l'ordre d'une minute par voie sanguine, et de 20 à 26 heures par voie lymphatique. Il peut toutefois être perturbé par : Des rétrécissements de la paroi artérielle épaissie par des plaques d'athéromes. Des ralentissements ou stases sanguines qui apparaissent essentiellement en cas de sédentarité, de port de vêtements trop serrés, d'hydratation insuffisante, de paresse émonctorielle , de sous-oxygénation, de stress . Ensuite, ces nutriments doivent traverser la membrane cellulaire grâce à des transporteurs membranaires (complexes métallo-enzymatiques) qui les reconnaissent et permettent leur entrée dans la cellule. Là, ils procurent à la cellule l'énergie nécessaire à son métabolisme, puis celle-ci rejette ses déchets dans les circuits lymphatique et sanguin qui les conduiront aux émonctoires pour y être éliminés. La lymphe est aux cellules immunitaires ce que le sang est aux globules rouges, elle se nettoie grâce aux reins, au côlon et à la peau. Pour que la lymphe puisse se nettoyer, il faut avant tout que la fonction rénale soit bonne, sinon les déchets métaboliques ne peuvent être excrétés et stagneront dans l’organisme engendrant la toxémie ! L’astringence confère aux fruits la capacité de drainer la lymphe et d’extraire les résidus non éliminés des liquides interstitiels dans lesquels baignent nos cellules. Ainsi, le raisin, la grenade et le citron sont sans doute les fruits les plus efficaces en termes de détoxination. Drainage et nettoyage de la lymphe : Le mouvement, l’activité physique régulière. Le massage doux. L’alimentation spécifique. Suppression des aliments mucogènes . La respiration diaphragmatique profonde. Le jeûne (sec en particulier). Les plantes : teinture-mère de gaillet gratteron et de mélilot. Les monodiètes de fruits astringents (raisins, agrumes, grenades…) Citations : « La stagnation de la lymphe est la base de la dégénérescence et de la mort, tandis que la santé dépend d’une bonne circulation. » - Dr. Alexis Carrel, prix Nobel de médecine « Quand le terrain se dégrade, la maladie apparaît. Chaque trouble local n’est que la manifestation de surface du mal profond : l’encrassement humoral. » - Christopher Vasey, naturopathe « Les maladies cataloguées (symptômes) sont des masques dont s’affuble la maladie humorale générale et primitive. » - Dr. Paul Carton

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