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"La connaissance est une force. La connaissance de
la santé donne de grands pouvoirs." - J.H.Tilden
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- Le cholestérol
Physiologie La synthèse du cholestérol peut avoir lieu dans de nombreuses cellules, mais c'est le foie qui fabrique le plus de cholestérol à 75%, il régule la quantité de cholestérol. Dire que le cholestérol est un poison pour l’organisme est absurde. Le cholestérol est l'agent antiacide numéro 1 de l'organisme et un anti-inflammatoire important. C'est une molécule lipophile, un stérol, composant important des membranes cellulaires, précurseur de toutes les hormones stéroïdiennes et du donc du système surrénalien et du cortisol, de toutes les hormones sexuelles, de l'aldostérone, etc. qui sont des hormones essentielles au métabolisme du corps humain. Il participe à la synthèse de la testostérone et influence aussi directement la prise de force et de muscle. C'est un acide gras qui joue un rôle essentiel dans la croissance musculaire. Le cholestérol sert de base à l’élaboration de vitamines, notamment de la vitamine D . C’est un composant capital du cerveau qui en contient 25%, de nos cellules, du métabolisme et du fonctionnement normal du système immunitaire . Il est également un constituant des sels biliaires utilisés dans la digestion pour faciliter l'absorption des vitamines liposolubles A, D, E et K. Le cholestérol est un élément vital ! Les taux de cholestérol : Cholestérol total : < 190 mg/dL (< 230 mg/dL en 2000 ; < 250 mg/dL en 1997 ; 300 mg/dL en 1985). Cholestérol HDL (transporteur) : > 40 mg/dL. Cholestérol LDL (transporteur) : < 115 mg/dL. « Un taux normal de cholestérol pour un adulte en bonne santé varie entre 2 et 3 gr/L environ. » - Dr. Michel de Lorgeril, cardiologue, CNRS Il n’y a pas de bon ou de mauvais cholestérol, il n'existe qu'une sorte de cholestérol. HDL et LDL (lipoprotéines) sont des transporteurs qui vont transporter le cholestérol vers les cellules. Un taux LDL élevé signifie que le foie est saturé en graisses émanant d’un excès de glucides alimentaires. Un marqueur important qui mesure le stress oxydatif est la taux d’anticorps anti-LDL oxydés qui devrait se situer entre 0-400 U/L. N.B. Les normes de laboratoires sont de plus en plus restreintes au fil du temps, dans le but de créer des « malades » qui n’en sont pas. On traite des chiffres et pas des « malades », ce qui fait l’affaire des industriels de la pharmacie. "Nous estimons que jusqu'à 3 g/L au moins, le sujet ne mérite ni régime ni traitement. Donc refuser ceux-ci." - Dr. Roger Dalet, Les Mensonges de la Médecine C’est le corps lui-même qui produira selon l’état du terrain et de ses besoins le niveau de cholestérol adéquat pour ses fonctions et son autoprotection. La synthèse du cholestérol est produite à hauteur de 70-75% par un foie et un organisme fonctionnant normalement, le reste, 25-30%, est apporté par l’alimentation. La cholestérolémie n’est donc influencée qu’à 25-30% par l’alimentation. « Même avec une alimentation riche en abats et en produits laitiers, il n’est guère possible d’absorber plus de 1 g par 24 heures de cholestérol. Or l’organisme pour ses propres besoins (échange osmotique, élaborations hormonales et vitamine D3, etc.) a besoin de 3 g par 24 heures de cholestérol approximativement. On voit donc la quasi-impossibilité d’un excès de cholestérol exogène. » - Robert Masson Les taches/excroissances jaunes indolores sur les paupières sont appelées xanthelasma. C’est du cholestérol sous la peau et le témoignage d’un taux de cholestérol élevé. Les individus présentant ces taches ont deux fois plus de risque d’avoir une crise cardiaque (étude danoise pendant 30 ans sur 12.745 personnes). Chez les personnes âgées, plus le cholestérol est élevé, meilleure sera l’espérance de vie. Causes : L’augmentation des niveaux de cholestérol se produit en cas d ' acidose , de stress , d’excès de sucres ou de café, de manque de fruits , de tabagisme, d' hypothyroïdie non traitée.. Les cellules fabriquent le cholestérol de manière endogène selon les besoins du corps. En effet, si le corps est enflammé, les niveaux de cholestérol vont augmenter pour tenter de contrôler l’inflammation (processus régulateur homéostasique ). Si des brèches dans l’endothélium menacent les vaisseaux sanguins, le corps produira du cholestérol et déposera des plaques d’athéromes* pour colmater les microfissures (pansements). * Athéromes : agglutinement de plaquettes, de sédiments, de cholestérol, de minéraux et de métabolites. Des personnes carencées en vanadium peuvent avoir un taux de cholestérol élevé. Une alimentation équilibrée suffit à combler les carences de cet oligoélément que l’on trouve dans les noix, les pommes, le poivre noir et les huiles riches en oméga-6. Du cholestérol chez les végétaliens… "C’est en observant des végétaliens venus me consulter pour un taux de cholestérol de 3 à 5 g et de lipides totaux de 10 à 15 g que j’ai compris l’origine de leurs problèmes cardio-vasculaires. Ces adeptes des aliments « purs », sous-entendu « aliments végétaux » souffrent de « faim chronique » par carences protéiques. Résultat, ils « grignotent » toute la journée des biscuits, gâteaux, pâtes d’amandes bio… mais bourrés de calories. Et fabriquent à partir de cet excédent calorique du cholestérol et des lipides… qui se déposent sur les artères. CQFD…" - Robert Masson Solutions : Une alimentation physiologique de type paléo , biologique, riche en fibres, anti-inflammatoire, alcalinisante avec un bon apport de micronutriments et de lipides équilibrés. Supprimer le gluten et les céréales pour augmenter le cholestérol HDL. Une activité physique régulière. Une diminution du stress . La diminution des poisons overtoniens . Vérifier la fonction thyroïdienne et la régler le cas échéant, une hypothyroïdie pourrait causer des taux élevés de cholestérol. Il n’y a aucune relation entre le cholestérol et le risque de maladies cardiovasculaires. Biologie : Statut en acides gras . Statut antioxydant : glutathion total et réduit, superoxyde dismutase (SOD), myélopéroxydase (MPO), anticorps anti-LDL oxydées, vitamines A et E, de zinc, de fer, de sélénium et de coenzyme Q10 . Profil lipidique. Nutrithérapie : Un bon apport de vitamine C et d'antioxydants qui contribuent au retour du cholestérol HDL. Acides gras oméga-3. Iode . Coenzyme Q10 . Phytothérapie : Berbérine . Lécithine de soja : solubilisant et éliminateur du cholestérol par les voies biliaires. Curcumine . Pissenlit. Oligothérapie : Silicium . Cobalt. Soufre. "Les statines sont des médicaments extraordinairement toxiques car elles perturbent profondément la vie cellulaire et la physiologie de la personne dans sa globalité." - Dr. Michel de Lorgeril Les statines : En prenant conscience du fonctionnement de l’organisme, donc de sa physiologie, on comprend rapidement le danger de ces médicaments controversés qui réduisent les taux de cholestérol alors que le corps met tout en œuvre pour sa sauvegarde en produisant du cholestérol. Sans compter sur les nombreux effets secondaires (myalgie, fatigue , crampes, maladies rénales & hépatiques, diabète , cataracte, troubles cognitifs , destruction du cholestérol du cerveau, troubles sexuels , perte de libido *, etc.) de ces molécules chimiques et leur impact sur le niveau de toxémie . C’est aussi la molécule qui génère le plus de bénéfices pour l’industrie pharmaceutique. Les médicaments à base de statines contiennent du fluor . *Les médicaments hypolipémiants tels que les statines inhibent la production de testostérone par les cellules de Leydig. « Les statines sont surtout toxiques pour les muscles (très riches en mitochondries ) en empoisonnant les mitochondries. Mais des mitochondries (le poumon de la cellule), il y en a dans toutes les cellules… En donnant des statines, on va augmenter le risque de diabète et amplifier les syndromes dépressifs , tout ça en favorisant aussi les cancers et en ayant aucun effet protecteur sur les maladies cardiovasculaires. Le cholestérol est innocent et ça ne sert à rien de le diminuer avec des médicaments. L’infarctus est dû au mode de vie. Ce sont les mêmes modes de vie qui provoquent les mêmes altérations de l’état de santé. D’un point de vue scientifique et rationnel, donner des statines c’est absurde ! » - Dr. Michel de Lorgeril Les statines inhibent la synthèse de la coenzyme Q10 (antioxydant). « Le cholestérol est une molécule essentielle, une molécule noble, indispensable, vitale pour le fonctionnement de tous nos organes et en particulier du cerveau, des muscles, du cœur, du foie, des os, etc. Le cholestérol ne joue aucun rôle direct dans les maladies artérielles, aucun ! Je vous le dis encore : Arrêtez les statines ! Une sage décision qui sauvera votre santé et probablement votre vie, vous épargnera un diabète , un cancer (généralement du foie), une dégénérescence cérébrale, une panne sexuelle… pour uniquement engraisser les gros labos au détriment de votre vie. » - Pr. Philippe Even « On manipule les statistiques pour vendre des médicaments contre le cholestérol. Quand à un moment donné le taux de cholestérol normal était à 250 mg/dL on ne vendait pas de médicaments. Les cardiologues se sont réunis et on a ramené à 200 mg/dL, on a alors multiplié par 1000 la vente de médicaments anticholestérol ! » - Robert Masson « L’utilisation des statines est associée à une incidence accrue de maladies rénales aigües et chroniques. » - Acharya, Tushar & al. American journal of cardiology Le mythe de l’œuf : Le jaune d’œuf, très recommandé en hygiénisme , contient la plupart des graisses bonnes pour la santé et un tas d’autres nutriments absents du blanc. Oubliez vos inquiétudes à propos du cholestérol. La recherche a montré que le cholestérol du jaune d’œuf n’élève pas le taux sanguin de « mauvais » cholestérol et qu’il peut, en fait, augmenter celui du « bon » cholestérol. Une méta-analyse de 2013 avec 3 millions de participants indique que les personnes en bonne santé consommant des œufs, n’ont pas de risque plus élevé d’infarctus ou d’AVC. « L’œuf contient de nombreux éléments nutritifs bénéfiques et indispensables : protides, lécithines, acides gras polyinsaturés, vitamines et sels minéraux (fer, soufre, iode, etc.). C’est un très mauvais service à rendre au consommateur que de le priver sans raison sérieuse de ces éléments d’une haute valeur nutritive. » - Dr. C. Carlson « Consommer des aliments contenant du cholestérol ou des graisses ne modifie vraiment pas le cholestérol sanguin, ou alors temporairement et à une échelle négligeable. De plus, avoir du « cholestérol sanguin », n’est pas un problème en soi. » - Sylvain Duval, biologiste, nutritionniste La santé est une responsabilité individuelle, soyons responsables de nos actes & de notre santé ! Hypocholestérolémie : Avec un cholestérol trop bas : < 155 mg/dL ou < 1,55 g/L, l’organisme entier dysfonctionne et ceci peut engendrer des problèmes de santé tels que : Des déséquilibres hormonaux dont l' insuffisance surrénalienne et une déficience en DHEA, en testostérone et en hormone de croissance. Des troubles du système nerveux dont la dépression et de suicide. Des problèmes immunitaires et notamment de l’ inflammation chronique . Un déficit de synthèse en sels biliaires. Une mauvaise constitution des membranes cellulaires. Des troubles cognitifs , mauvaise mémoire , démence. Un risque de cancer et d'AVC plus élevé. De l’ anémie . De la porosité intestinale . Causes : Carence ou déficit en lipides alimentaires. Une malabsorption digestive. Excès de fibres. Génétique . Iatrogène. Un cholestérol total très bas (< 120 mg/dL ou < 3,1 mmol/L) peut être un signe de malabsorption, d’hyperthyroïdie, de maladie du foie, d’ inflammation chronique ou d’un facteur génétique. Que faire en cas de cholestérol trop bas ? Il y a généralement un excès de fibres et un manque de lipides dans l’alimentation, notamment chez les individus possédant un génotype apoE3 ou apoE2. Il faudra dès lors consommer des aliments plus riches en graisses et en cholestérol avec un bon équilibre entre les acides gras saturés et les oméga-3-6-7-9. Connaître son statut en acides gras est important et se réalise à partir d’une prise de sang. Les acides gras saturés myristique, palmitique et laurique permettent d'augmenter le cholestérol . Nous penserons à consommer en bonnes quantités : Des jaunes d'œufs de poules élevées aux graines de lin riches en oméga-3, jusqu'à 6 par jour. Des fruits de mer et des poissons gras. De la viande plus grasse, pâturée de préférence. Du beurre, du ghee, de la graisse de canard et des huiles variées : olive, onagre, bourrache, lin, noix, coco… De la purée de cacahuète non sucrée, non salée. Des noix, des oléagineux en quantité raisonnable ( anti-nutriments ), de l'avocat. Des compléments d'oméga-3 EPA/DHA. Ces graisses peuvent augmenter le HDL sans augmenter le LDL. Citations : « L’intoxication alcoolique, tabagique, caféique, théophylinique, théobrominique crée des microlésions des endothéliums vasculaires. Sur ces microlésions s’agglutinent plaquettes, sédiments, minéraux, cholestérol , métabolites ou catabolites divers « bâtisseurs » d’athérome. » - Robert Masson « A partir de 60 ans, le taux optimal de cholestérol tourne autour de 2,80 g/L. » - Dr. Jean-Paul Curtay « Les gens qui vivent dans le respect de leur physiologie ne sont pas malades. » - Dr. John H. Tilden « Une hypercholestérolémie, dans 90-95% des cas, se résout en 2 à 3 semaines en traitant la thyroïde, puisqu’on a un hypométabolisme. » - Dr. Stéphane Résimont « Propagande et marketing, les deux mamelles de la théorie du cholestérol. » - Dr. Jean-Marc Rehby « Le danger du cholestérol pour notre santé est l’un des plus gros mensonges en circulation, mais aussi un des plus tenaces. » - Grabriel Combris, journaliste « Toute perturbation de la ressource en cholestérol induira fatalement une raréfaction des stéroïdes fondamentaux pour déclencher au final des impuissances chez les hommes, des troubles du désir sexuel et des vieillissements accélérés dans les deux sexes. » - Dr. Vincent Reliquet « Le discours sur le cholestérol est l’exemple même du discours dogmatique, réducteur et scientifiquement faux, qui entraîne des recommandations médicales ineptes et des prises de médicaments ou d’alicaments inutiles. » - Pascale Sarni-Manchado et Véronique Cheynier. « Sans cholestérol en tant que précurseur incontournable de toutes les hormones stéroïdes, pas d’hormones sexuelles (œstradiol, progestérone, testostérone) et pas d’hormones surrénaliennes (glucocorticoïdes ou 17-hydroxystéroïdes, 17-cétostéroïdes, minéralocorticoïdes). Sans lui, pas d’acides biliaires et donc pas de sels biliaires pour émulsifier et, par conséquent, pour digérer les graisses. […] Les sujets souffrant d’un déficit en cholestérol, congénital ou non, développent des troubles cognitifs (mémoire et/ou intelligence diminuées). » - Dr. Georges Mouton « La vérité est que le cholestérol est important et le fait d’avoir un faible taux de cholestérol, est beaucoup plus dangereux que d’avoir un taux de cholestérol élevé. » - Dr. Eric Berg « On a beau baisser le cholestérol, on ne règle pas le problème d’athérome. L’insuline est la principale cause aujourd’hui d’athérome, c’est à dire d’inflammation des artères et donc de la création de d’œdème de plaque d’athérome, donc les excès de glucides. » - Dr. Boris Dufournet « Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » - Hippocrate
- La migraine
Article de naturopathie / hygiénisme La migraine est une maladie neurovasculaire chronique qui touche 10 à 15% de la population avec 3 à 4 fois plus de femmes que d’hommes. Ces crises de douleur intense sont très déprimantes et débilitantes pour l’individu touché. Les personnes atteintes se soignent peu ou mal. Causes : La migraine est une affection cristalloïdale, il y a donc présence de cristaux, ce qui induit la douleur aigüe. La migraine se déclenche lorsque des cristaux d’acide sont en train de fondre. Le corps tente d’expulser l’acide au niveau de la tête. Rappelons que la douleur est une expérience de l’acide. Comme il y a une mauvaise évacuation de ce type de déchets, nous pouvons en conclure qu’il y a une faiblesse au niveau rénal, mais souvent il peut y avoir également une congestion au niveau du foie . Nous ferons attention à obtenir un apport équilibré en acides gras , en électrolytes et en micro-nutriments afin de diminuer l' inflammation chronique . L’ablation des amygdales est délétère, car ils drainent toute la partie cervicale en toxines. En supprimant ces précieux filtres, nous n’aurons plus rien pour drainer les toxines de la partie cervicale. Le système sanguin se chargera plus facilement d’impuretés avec cette congestion de la circulation cérébrale. Les produits laitiers sont à la base de la majorité des migraines (congestion de la sphère ORL par les déchets). 80% des personnes migraineuses qui arrêtent de consommer des produits laitiers voient leurs symptômes disparaître en quelques semaines. Le lactose ET la caséine sont incriminés. Rappelons que les produits laitiers sont à la fois des aliments mucogènes et acidifiants , ils sont pro-inflammatoires. La porosité intestinale peut également être la cause de céphalées et le stress un facteur déclenchant. La dysbiose du microbiote intestinal. Les migraines peuvent aussi être dues à une carence en sérotonine , chouchoutons donc nos intestins. Les migraineux présentent des niveaux plus faibles en magnésium dans le sang et le cerveau. L'American Academy of Neurology a révélé l'efficacité de l'utilisation orale de magnésium dans la prévention de la migraine. L'efficacité du magnésium dans le traitement de la migraine aigüe a été confirmée par différentes études. Méfions-nous des céréales , des personnes intolérantes au gluten peuvent entretenir un état inflammatoire chronique qui pourrait favoriser la migraine. Il sera intéressant de s’imposer quelques semaines d’alimentation sans gluten pour voir le résultat. C’est une piste à ne pas écarter. Le syndrome métabolique . L' hypothyroïdie est souvent liée à des maux de tête et migraines. Une hypothyroïdie bien traitée (T3/T4) peut améliorer, voire arrêter les symptômes. Cause traumatique. Les mitochondries responsables de la production d’énergie cellulaire, sont souvent moins performantes chez les migraineux. Solutions : Suppression totale des produits laitiers pendant au moins 3 mois (lait, beurre, crème, fromage, crème glacée, desserts, etc.) Suppression des aliments inflammatoires : viandes rouge s en excès, charcuteries, overtoniens , fritures, acides gras trans, huiles de maïs, d’arachide et de tournesol, sucre , farines de céréales , etc. Suppression des toxiques , notamment du glutamate monosodique (exhausteur de goût), aspartame, etc. Limitation de la consommation d’ aliments mucogènes qui ralentissent et congestionnent les systèmes organiques. Traitement ostéopathique (myothérapie) qui peut soulager les tensions intracrâniennes, nuque, cheville, coccyx. Consommation suffisante d’ eau de source faiblement minéralisée (résidus secs < 60 mg/L.). Consommation de j us de légumes frais. Purgation magnésienne. Equilibrage des électrolytes (sodium/potassium, calcium/magnésium). Equilibrage des acides gras oméga-3-6-7-9. Réglage de la thyroïde. Respiration profonde, cohérence cardiaque . Activité physique adaptée pour le drainage général. Amélioration du sommeil . Recherche et correction éventuelle d'une dysbiose intestinale. Jeûne intermittent pour permettre la récupération des émonctoires : foie , reins et intestins. L'alimentation paléo peut potentiellement aider les migraineux. Ce mode d’alimentation physiologique ancestral exclut les aliments potentiellement déclencheurs comme les produits laitiers , les céréales , et les aliments transformés, tout en favorisant ceux qui sont riches en nutriments importants pour prévenir les migraines, tels que les fruits , légumes, viandes maigres, poissons, noix et graines. Le chocolat contient un acide aminé, appelé la tyramine, qui est capable de déclencher des maux de tête chez certains individus. Aides et compléments : Phytothérapie : Tisanes rénales d'abord et hépatiques ensuite. Voici quelques plantes qui peuvent être utilisées dans le cas qui nous intéresse : aubier de tilleul, lavande, ginko biloba, mélisse, reine des prés, saule blanc, desmodium ascendens, pissenlit, etc. Curcumine . Nutrithérapie : Vitamine C retard : 1 gr. par jour. Vitamine D3. Vitamine B2 : 200-400 mg/J. Magnésium + vitamine B6 + taurine, si la migraine est liée au stress . Iode . Oméga-3 à hautes doses . Coenzyme Q10 . Mélatonine (réduit la fréquence des crises). Oligothérapie : Cobalt. Biologie : LBP (Lipopolysaccharide Binding Protein) CRP-US Magnésium érythrocytaire Tests d’intolérance alimentaires aux IgG Coenzyme Q10 Glutathion total et réduit Vitamine D et B2 (riboflavine) Fonction thyroïdienne : TSH, T3, rT3, T4 Profil des acides gras En cas de crise : 1. Une goutte d’huile essentielle d’encens "Boswellia Carterii" (ou sacra), placée sur la partie charnue de votre pouce, puis pressée sur le palais, c’est un remède naturel qui peut soulager des migraines instantanément. 2. En massage sur les tempes et le front : 1 goutte d’HE d’estragon, de menthe poivrée et de copal d’Afrique diluées dans 2 ml d’HV, max. 4x/J. 4. Oligothérapie : 1 ampoule de cobalt en suspension colloïdale dès le début de la migraine. 3. La méthode Gardelle : Vessie de glace sur la tête avec linge interposé. Serviette chaude humide avec bouillotte sur le foie. Séance de 60 minutes à renouveler si nécessaire. Le FROID sur la zone de souffrance / le CHAUD sur le foie. Citations : « Dans la vie rien n’arrive sans raison, toute chose existe et se transforme à partir d’une cause. » « Personne ne peut résoudre un problème de santé, en restant dans l’état d’esprit qui a créé le problème. » – Thomas Edison « Les mêmes causes produisent les mêmes effets ; les mêmes troubles de santé reviendront inéluctablement si les mêmes habitudes incorrectes sont reprises. La nature ne fait d’exception pour personne et nous subissons inexorablement les conséquences de nos actes. » - Dr. André Passebecq
- La maladie de Parkinson
Article naturo-hygiéniste Description : La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative multifactorielle détruisant les neurones du cerveau avec un déficit en dopamine. La dopamine est un neurotransmetteur appelé aussi « hormone du plaisir et de l'action ». Le précurseur de la dopamine est l’acide aminé L-Tyrosine. 6 millions de personnes dans le monde sont atteintes. Comme pour les autres maladies neurodégénératives, il est assez clair que l’environnement et les habitudes de vie ont un impact sur les risques de la développer. La maladie de Parkinson se situe dans le quadrant 3 du bioélectronigramme Vincent , c’est le milieu alcalin et oxydé, celui de la dégénérescence. L’ énergie vitale est basse, la toxémie est haute, en conséquence la santé périclite. Les signaux d’alarme précurseurs et les crises aigues de détoxification ont été refoulés par les techniques chimiques allopathiques. Les déchets n’ont pas pu être évacués et ont été refoulés dans les profondeurs humorales entraînant une intoxination élevée. Ce milieu pauvre en protons et en électrons est favorable au développement de toutes les maladies de civilisations et dégénératives. Nous veilleront donc à corriger le terrain en l’orientant vers le quadrant 1. Symptômes : Troubles du système nerveux affectant les mouvements et entrainant de la rigidité musculaire, ainsi que des tremblements. Causes : L'inflammation chronique, l'oxydation et la glycation . L’alcool, le tabac, les overtoniens (neurotoxiques). Les éléments suroxydants : médicaments, vaccins , pesticides, conservateurs, produits chimiques, eau du robinet, etc. Les rayonnements électromagnétiques et la sur-électrisation : Téléphone sans fil, smartphone, ordinateur, tablette, Wi-Fi, radio-réveil sur secteur. Le manque d’ activité physique . Les carences alimentaires (vitamines, minéraux, oligo-éléments, etc. mais attention à l'excès de fer). Une carence en vitamine B12 peut provoquer un syndrome parkinsonien aigu. Les mauvaises associations alimentaires provoquant la surcharge du trio : foie, vésicule, intestins . Le stress . La porosité intestinale . La ralentissement de la respiration et de l’activité mitochondriales . Les troubles digestifs dont la constipation chronique. Les compléments alimentaires non-organiques, non-adaptés, la surcharge minérale inorganique qui augmente la conductibilité électrique pro-oxydante. Des liens ont été établis entre la présence invasive d’Helicobacter pylori et la maladie de Parkinson. Une perturbation du microbiote à un impact sur nos émotions et peut être liée à des pathologies neurologiques ou psychiatriques : anxiété, dépression , mal-être, autisme, Parkinson, etc. De plus en plus de recherches ont mis en lumière la connexion entre la maladie et les activités du tractus digestif, dont le microbiote intestinal. Des études récentes suggèrent que les troubles digestifs précoces, notamment la constipation chronique, pourraient être des signes avant-coureurs de cette maladie neurodégénérative. "L’intestin des patients parkinsoniens serait plus poreux que celui des personnes indemnes de la maladie et cette porosité permettrait le passage des substances potentiellement toxiques, participant ainsi à la diffusion et à l’aggravation de la maladie." - Fédération pour la recherche sur le cerveau Pour régénérer et détoxifier l’organisme, nous devons épurer le foie et les intestins. De nombreuses preuves scientifiques et suggèrent que les mitochondries sont une cible prometteuse pour la neuroprotection. Remarque : Les médecines traditionnelles de santé naturelle ne sont pas des médecines douces. L’individu malade n’est plus un patient, mais un acteur, un acteur de sa santé. Il n’est plus question ici de laisser faire les choses et de laisser agir les autres. Il faut prendre sa santé en main ou subir les affres de la déchéance. Il n'y a pas de maladies qui soient incurables ! Solutions : Réglage alimentaire rigoureux de type paléo ou Seignalet en respectant les règles basiques et le génotype apoE . Suppression impérative des overtoniens . Contrôler l’inflammation, l’oxydation et la glycation . Etablir le statut en acides gras . Consommer des aliments riches en L-Tyrosine : bananes, avocats, graines de citrouille, protéines animales (fruits de mer, poissons, volailles), œufs, légumineuses (sans excès), champignons shiitaké, algues , noix . Consommer des bons lipides en bonne quantité. Consommer des fruits , des légumes et du vinaigre de cidre biologiques qui sont acides et réducteurs (quadrant 1). Consommer de l’ eau de source faiblement minéralisée. Détoxifier : jeûnes réguliers, monodiètes , drainages émonctoriels. Faire la chasse aux toxiques et aux métaux lourds ( fluor , aluminium, mercure, plomb, etc.) Pratiquer une activité physique adaptée. Pratiquer la cohérence cardiaque . Nettoyer la lymphe et régénérer les glandes surrénales (système nerveux), alcaliniser au maximum, passer progressivement à une alimentation plus vivante, antioxydante, fruits et légumes biologiques dans un premier temps, puis 100% fruits quelques jours. Vérifier les carences notamment en vitamines du complexe B, dont la thiamine (B1), son manque peut provoquer tremblements et perte de mémoire . Respecter les 9 facteurs de la santé intégrale , ce sont les conditions de la guérison. Négativer : connexion à la terre le plus souvent possible (décharge électrostatique - ions positifs - et recharge en électrons). S'exposer à la lumière rouge . D’après des recherches suédoises comparant 2 groupes de 197.685 personnes, un mode de vie physiquement actif est associé à un risque réduit de près de 30% de développer la maladie de Parkinson. Source : Journal of Parkinson’s Disease, 13/01/2020. Compléments alimentaires : Huile de coco biologique : 3 à 6 c à s /J. Sauf génotype apoE4 . Complexe de vitamines B + B1. Vitamine C : 3 à 4 gr/J. Vitamine D si pas d’ exposition au soleil : 3.000 UI/J (taux sanguin 50-60 µg/L). Vitamine E : 200 UI/J. Iode . N-acétylcystéine : 600 mg/J. L-théanine (neuroprotecteur, anti-inflammatoire, antioxydant, anxiolytique). Coenzyme Q10 . Pyrroloquinoline quinone (PQQ). Sélénium (2 noix du Brésil par jour). Silicium organique (antidote de l'aluminium). Synergie chlorophyllienne : ail des ours, coriandre, chlorella (élimination des métaux lourds). Algue Klamath (stimule la production de cellules souches). Alkylglycérols (huile de foie de requin). Astaxanthine et polyphénols (antioxydant). Plasma marin de Quinton . Zéolite par cure. Un taux de mélatonine bas est un signal d’alarme pour les maladies neurodégénératives. Phytothérapie : Pois mascate - Mucuna pruriens riche en L-Dopa précurseur de la dopamine qui a la capacité de passer la barrière hémato-encéphalique. Lapacho. Curcumine (antioxydante et anti-inflammatoire). Ashwagandha . Gemmothérapie : bourgeons de cassis. Citations : « Le cerveau intestinal n’est que le prolongement du cerveau crânien. L’altération du cerveau intestinal entraine conséquemment une altération du cerveau crânien, d’où les maladies neurodégénérative comme Parkinson et l’Alzheimer par exemple… » - Pr. Grégoire Jauvais « Avec toutes les paralysies, on se trouve devant une des forme les plus graves d’intoxication, puisque celle-ci a atteint les centres nerveux. » - Raymond Dextreit « L’ignorance n’a plus d’excuse à notre époque, mais elle est pratique pour une majorité, parce qu’elle dispense de la responsabilité. » – Michel Dogna « La prévalence croissante des maladies dégénératives neuronales (SEP, SLA, Parkinson, Alzheimer) ne peut s’expliquer sans une responsabilité importante des facteurs environnementaux. Ce sont des facteurs toxiques comme certains métaux lourds, aluminium et mercure, ingérés et absorbés par voie digestive et/ou d’origine topique transdermique (cosmétique et vaccinale !) qui fragilisent (ou agressent !) les fonctions cellulaires à très fort métabolisme oxydant. » - Dr. Michel Massol « La santé c’est une responsabilité individuelle. » - Dr. Christian Tal Schaller « Ce n’est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade lui-même. » - Dr. Georg Groddeck « La maladie, la déformation et la dégénérescence sont les amandes que l’homme paye pour s’être éloigné des normes de la nature dans tout son mode de vie. » - Albert Mosséri « La santé n’est pas un dû… Elle s’entretient tous les jours et est du domaine de la responsabilité de chacun par les choix qu’il opère dans sa vie de tous les jours. » - Laurence Gallais, psychologue, naturopathe, bioélectronicienne. « Les mêmes causes produisent les mêmes effets ; les mêmes troubles de santé reviendront inéluctablement si les mêmes habitudes incorrectes sont reprises. La nature ne fait d’exception pour personne et nous subissons inexorablement les conséquences de nos actes. » - Dr. André Passebecq « Personne ne peut résoudre un problème de santé, en restant dans l’état d’esprit qui a créé le problème. » – Thomas Edison. « L’inflammation (chronique) fait le lit du cancer, de l’Alzheimer, de Parkinson et de tout le reste. » - Dr. Laurent Schwartz « Le magnésium et l’aluminium ont été étudié dans la maladie de Parkinson et un lien de hautes concentrations d’aluminium et de bas niveaux de magnésium dans le cortex et la substance noire semble apparaître dans la pathogénie de la maladie. » - Philippe Chappuis et Alain Favier « Tous les facteurs comme les sucres rapides, le gluten, les produits laitiers, qui altèrent la flore, favorisent également la neurodégénérescence. » - Dr. Stéphane Résimont et Alain Andreu « La maladie de Parkinson démarre au niveau de l’intestin jusqu’à 30 ans avant les premiers symptômes neurologiques sous forme de constipation chronique. » - Dr. Georges Mouton « Alzheimer, Parkinson, Lou Gehrig, toutes ces maladies sont caractérisées par un fort taux de peroxydation lipidique* qui commence à détruire la structure du cerveau, ses connexions, ses cellules, ses mitochondries , son ADN. » - Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien. *La peroxydation lipidique est la conséquence du stress oxydatif. Pour le Dr. Russell Blaylock, la genèse des maladies neurologiques est due à un stress oxydatif très important. Lorsque les radicaux libres sont en surnombre, on parle de stress oxydatif. Les antioxydants luttent contre le stress oxydatif en neutralisant les radicaux libres. Le glutathion empêche la peroxydation des lipides.
- Augmenter la testostérone
Article de santé Appelée « l’hormone de vie » par l’andrologue Georges Debled, la testostérone est l’hormone mâle anabolisante du désir et de la libido . Chez l’homme, elle est synthétisée à 95% par les cellules de Leydig dans les testicules à partir du cholestérol (stéroïde) et en plus petite quantité par les glandes surrénales (1%). 2% de la testostérone totale est libre, c’est-à-dire active. Elle participe au développement des caractères masculins et à la croissance musculaire et osseuse. La testostérone augmente la masse maigre (muscles) au détriment de la masse grasse. C’est une hormone anti-âge qui joue un rôle essentiel dans la santé, la vitalité et le bien-être. De faibles concentrations de testostérone sont associées à de multiples morbidités, à un risque accru de mortalité précoce et à une qualité de vie réduite. Le déclin de la testostérone dans le circuit sanguin chez l’homme est corrélé à des troubles : Physiques : L’obésité Le syndrome métabolique Les troubles de la circulation et des vaisseaux sanguins dont l’artériosclérose, l’athérosclérose, le dysfonctionnement endothélial et l' insuffisance veineuse La dégénérescence du corps (peau, articulations, squelette, muscles, cheveux ) L'affaissement du muscle fessier La baisse d’ énergie vitale La baisse de force et de l'endurance à l'effort La fatigue générale et permanente La dégradation du système cardiovasculaire et l’ hypertension Une mauvaise oxygénation des tissus Le déchaussement des dents L’acuité sensorielle affaiblie (ouïe, vue) L’hypertrophie prostatique , l’obstruction de la voie urinaire L’insuffisance rénale et hépatique L' anémie La baisse de libido L’ impuissance , érections moins bonnes, moins fréquentes L'apnée du sommeil La fibrose des corps caverneux de la verge Physiologiques : L’augmentation des triglycérides Le diabète et la résistance à l'insuline L’ inflammation chronique L’hypogonadisme tardif (andropause) Des sueurs nocturnes Un taux de cholestérol trop bas < 1,6 g/L Des dérèglements hormonaux Une dysbiose intestinale Psychiques : La régression du cerveau, troubles de la mémoire et de la concentration Le manque de volonté et d'audace Un sommeil perturbé La diminution de la joie de vivre La dépression , la tristesse, le stress , l'anxiété Des faibles taux de testostérone sont associés à une mauvaise régulation du glucose et à un risque accru de diabète de type 2 . À partir de l'âge de 30 ans, le taux dans le sang diminue naturellement de 1,2 % par an. Notre mode de vie influence également notre taux de testostérone. Déficience en testostérone ou niveaux optimaux L’andropause : Chez l’adulte de plus de 45 ans, l’hypogonadisme est lié au fait que l’hypothalamus, l’hypophyse et les testicules fonctionnent moins bien. On parle d’« andropause » ou d'hypogonadisme tardif ou de déficit en testostérone lié à l’âge. 20% des hommes de 50 ans sont concernés. Si l'hypogonadisme tardif n'est pas traité, il peut entraîner des conséquences à long terme telles qu'une perte de densité osseuse , un risque accru de fractures, une diminution de la qualité de vie, de la libido , une mauvaise réparation des tissus et une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires. Des facteurs de risque tels que l'obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires et l'abus d'alcool peuvent augmenter le risque de développer un hypogonadisme tardif. Il est important de consulter un médecin si vous suspectez avoir un hypogonadisme tardif. Un diagnostic et un traitement précoces peuvent aider à améliorer la qualité de vie, à prévenir la dégénérescence et les complications à long terme. On peut observer chez l’homme, comme chez la femme, un hypogonadisme hypogonadotrope d’origine hypothalamique, généralement lié aux stress , à la dépression , à l’anorexie, à l’andropause ou à l’excès d’ exercice physique . On en retrouve huit fois plus en circulation chez l’homme que chez la femme, chez qui elle est produite à 25% par les ovaires et à 25% par les glandes corticosurrénales . Les 50% restant viennent de la DHEA. L’homme produit en moyenne 20 % de testostérone en moins qu’il y a 20 ans (perturbateurs endocriniens, pesticides, eaux du robinet et des bouteilles en plastique, sédentarité, surpoids, stress , manque de sommeil, overtoniens , médicaments, etc.). L’excès d’hormones femelles (estrogènes) neutralise les hormones mâles. On estime une baisse de 30 à 50 % des niveaux moyens de testostérone chez les hommes européens depuis les années 1970, ce qui est considéré comme préoccupant pour la santé publique, la fertilité masculine et le bien-être global. Le pic du taux de testostérone se produit le matin vers 07h00. Les antagonistes à la production de testostérone : Les carences et déséquilibres alimentaires (végétalisme, véganisme, fruitarisme, macrobiotique, junk-food, nourriture industrielle, anorexie, régime, etc.). La sédentarité. L’excès d’ exercice physique : les séances d'entraînement ne dépasseront pas 60 minutes afin d‘éviter une baisse de testostérone, ainsi qu'une augmentation du cortisol. Une activité physique intense et prolongée peut perturber l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique, entraînant une diminution de la production d'hormones sexuelles. L' hypocholestérolémie . Le manque de repos et de sommeil . Le travail à pauses *. L’abstinence sexuelle. Le stress chronique et le cortisol élevé inhibent la production de testostérone. Le stress oxydatif pourrait être un facteur de risque de diminution de la production de testostérone en sensibilisant les cellules de Leydig. Les toxiques et les médicaments (pilule contraceptive, Viagra , statines, bêtabloquants, cortisone, benzodiazépines, pioglitazone, oxycodone, paracétamol, AINS, stéroïdes anabolisants, etc.). L’abus d’alcool** en particulier de bière, de café et de tabac. L’excès d’estrogène (hormone femelle). L’obésité (aromatisation***) : jusqu’à 50% de testostérone en moins. Le diabète et le sucre (insuline+, cortisol+, testostérone-). Les maladies cardiovasculaires. Les maladies infectieuses. La dysbiose intestinale . Le syndrome métabolique . * Les taux d'hormones stéroïdes sont étroitement liés au rythme circadien endogène induit par les cycles veille-sommeil et obscurité-lumière. Le travail à pauses qui perturbe le rythme circadien peut influencer les taux d'hormones stéroïdes. ** Etude : Dans les testicules, l'alcool peut affecter négativement les cellules de Leydig, qui produisent et sécrètent l'hormone testostérone. Des études ont montré qu'une forte consommation d'alcool entraîne une réduction du taux de testostérone dans le sang. ***L’aromatisation est la conversion de testostérone en estrogène sous l’action de l’enzyme aromatase produite par le tissus adipeux. Ces estrogènes sont le principal frein de l’axe endocrinien hypothalamo-hypophyso-gonadique producteur de testostérone. La bière possède une double action pour favoriser l’aromatase avec l’association d’alcool et de houblon . Les autres facteurs d’augmentation de l’aromatase sont : le déficit en zinc, l’excès de cortisol et de stress, les pics d’insuline, l’âge, les plastiques et perturbateurs endocriniens. Taux sériques optimaux chez l'homme : Testostérone totale : 700 à 900 ng/dL ou 7.000 à 9.000 ng/L ou 24 à 31 nmol/L ou 7,00 à 9,00 µg/L ou 7.000 à 9.000 pg/mL. Testostérone libre (non liée) : 15 à 25 pg/mL = 15 à 25 ng/dL = 150 à 250 ng/L. Le taux de testostérone optimal devrait être de : 6500 ng/L pour un homme de 165 cm. 7500 ng/L pour un homme de 175 cm. 8000 ng/L pour un homme de 180 cm. 9000 ng/L pour un homme de 190 cm. La testostérone biodisponible = testostérone libre + testostérone liée à l’albumine. Taux sériques optimaux chez la femme : Testostérone totale : 500-600 pg/mL. Source : https://www.amub-ulb.be/system/files/rmb/old/d11d9993caeb0f67e7514ce88749a61a.pdf « Le taux moyen de testostérone chez l'homme doit être supérieur ou égal 670 ng/dL pour avoir une fonction sexuelle normale. » - Dr. Thierry Hertoghe Stimuler notre production naturelle de testostérone : Stimulation visuelle et mentale. Interagir avec un partenaire sexuel attractif potentiel. Activités sexuelles régulières, mais sans excès. Pratiquer des sports explosifs ou de résistance régulièrement avec une intensité modérée : musculation, haltérophilie, gainage (max. 1h). Entraînement à jeun, le matin (énergie+, testostérone+). Pas d'endurance et pas de surentrainement qui peut augmenter le cortisol. Pratiquer le jeûne intermittent . Repos et sommeil de qualité (phase anabolique, influx nerveux+, énergie vitale +, hormones+). Réduire et gérer le stress chronique qui épuise le système glandulaire (cortisol+, testostérone-). Adopter une alimentation équilibrée , non carencée ( protéines dont viande, glucides , lipides dont saturés, micronutriments) de type paléo . Une alimentation trop allégée en lipides fait chuter anormalement les niveaux de testostérone. Limiter les acides gras polyinsaturés (oméga-6). Augmenter l’apport d’oméga-3 avec leurs effets anti-inflammatoires, anti-cataboliques et anaboliques. Prendre soin de son foie qui participe à l’évacuation des toxiques , à l’élaboration de nombreuses hormones et à l’élimination de l’estrogène. Prendre soin de la glande thyroïde et des glandes surrénales . Prendre soin des intestins et corriger une éventuelle dysbiose . Limiter ou arrêter l’alcool. Eliminer les toxiques et les perturbateurs endocriniens. Eviter l’hémogliase (épaississement du sang par l’abus de céréales , d’ amidons et d’ aliments mucogènes ). Apporter suffisamment de vitamines et de minéraux : A, B, C , D, E, zinc, fer, sélénium, magnésium , iode , etc. Perdre nos kilos superflus, car plus la masse grasse augmente, plus la testostérone diminue et plus l’estrogène augmente. Sans descendre en-dessous de 8% de masse grasse. Affusions d’eau froide sur les organes génitaux et le périnée ou bain de siège froid. S’exposer au soleil : l’androsténédione peut être convertie en testostérone grâce aux rayonnements solaires sur la peau. Eviter de porter un pantalon et des sous-vêtements trop chauds et trop serrés. Vivre et dormir nu le plus possible à la maison (température des testicules plus basse : 33-34°C). Boire du lait d'Or . Ce que l'on mange a des conséquences positives ou négatives sur les étapes de la synthèse de nos hormones. Une alimentation dépourvue de protéines animales de haute qualité et faible en lipides aura un impact négatif sur notre production de testostérone. 27% plus de testostérone chez les personnes qui mangent de la viande (source : Dr. Thierry Hertoghe) Selon une étude autrichienne de l’université médicale de Graz en 2011 sur 54 hommes âgés de 20 à 49 ans, l’administration de vitamine D à 3.300 UI par jour a augmenté la testostérone totale de 25% et la testostérone libre de 20%. Notre taux de testostérone est dépendant du zinc. Les aliments réputés augmenter la testostérone : Les huîtres, riches en zinc et en minéraux assimilables. Les œufs entiers biologiques , riches en protéines complètes dont la valeur biologique est la plus haute et en bons gras dont le cholestérol . Les protéines animales. Les huiles et acides gras saturés et monoinsaturés (oméga-9) : d’olives, d’avocats, de coco et les graisses animales. Le pois mascate - mucuna pruriens. Le gingembre, les crucifères, l’ail, le curcuma. Les noix du Brésil sont riches en sélénium, qui joue un rôle dans le maintien de niveaux élevés de testostérone. Elles aident également à la production de sérotonine dans notre corps. Une étude de 2023 a conclu que la carence en zinc réduit les taux de testostérone et que la supplémentation en zinc améliore les taux de testostérone. Biologie : Analyser les taux de testostérone totale et libre, ainsi que les taux de prégnénolone*, de DHEA sulfate, de SHBG et d’estradiol. Vérifier la fonction thyroïdienne : TSH, T3, T4. Vérifier la fonction hypophysaire : LH, FSH. Faire un bilan lipidique ( cholestérol ). Etablir le statut en acides gras . Vérifier les taux de vitamines et de minéraux : A, B, C, D, E, zinc, fer, sélénium, magnésium érythrocytaire, iode . *Chez les hommes, les hormones stéroïdes sont principalement produites dans les cellules de Leydig surrénales et testiculaires. Pour les deux types de cellules, le cholestérol est absorbé par la circulation sanguine et pénètre dans les mitochondries , où il est converti en prégnénolone et transféré vers le réticulum endoplasmique lisse (S.E.R.). Dans la cellule surrénale, la prégnénolone est transformée en cortisol et, dans une faible mesure, en testostérone. Dans la cellule de Leydig, la prégnénolone est transformée en testostérone. Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36833889/ Le maintien ou l'amélioration de la fusion mitochondriale peut fournir des stratégies thérapeutiques pour maintenir ou restaurer les niveaux de testostérone avec le vieillissement. Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36349989/ Les mitochondries sont cruciales pour la biosynthèse des hormones stéroïdes. Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23769709/ Phytothérapie : Grande berce. Racine d’ ortie dioïque : 2 x 250 mg/J. Extrait de fenugrec : 600 mg/J Tongkat ali (Eurycoma longifolia) : 200 mg/J. Shilajit . Acorus gramineus . Adaptogènes : ginseng rouge, ashwagandha (10-20%), schisandrae chinensis . Varech/kelp ( iode et minéraux). Gemmothérapie : bourgeons de chêne (homme). Aromathérapie : sarriette des montagnes, gingembre, bois de Siam. Nutrithérapie : β-hydroxy β-méthylbutyrate (HMB) . Bétaïne . Vitamine K2-MK7 . Coenzyme Q10 . Zinc. Magnésium chélaté. Bore (28% d'augmentation de la testostérone). Acétyl-L-carnitine : augmente la sensibilité des récepteurs à la testostérone et la fonction mitochondriale . L-taurine : restauration de l'activité sécrétoire de l'axe HPT (hypothalamus-hypophyse-testicule). DHEA avec résultats biologiques et avis médical. Citations : « L’huître n’apporte pas à l’organisme que des sels minéraux, des vitamines et des protides, mais aussi des hormones mâles lorsqu’elles sont bien grasses (laiteuses), hormones mâles qui nous font de plus en plus défaut à mesure que nous avançons en âge et qui sont anabolisantes, dynamisantes (antifatigue), notamment. Les farineux sont riches en phyto-estrogènes (hormones femelles) leur consommation régulière ou abusive, fait monter le taux des estrogènes et concomitamment cela fait baisser le taux de testostérone (hormone mâle anabolisante). On ne peut pas réparer des tissus sans anabolisme, donc sans hormones mâles. Toute régénération dépend de l’hormone mâle. L’excès d’estrogène favorise les cancers . » - Pr. Grégoire Jauvais « Les hommes qui ont un excédent de poids perturbent continuellement leurs profils chimiques. Plus vous êtes obèse, plus vous réduisez votre taux de testostérone et sa réactivité. L’embonpoint transforme la testostérone en estrogène. » - Dr. Shafiq Qaadri « Les aliments tels que la viande, le poisson et la volaille augmentent le niveau de testostérone libre. La consommation d’aliments riches en graisse comme le beurre, le jaune d’œuf, le lard et le foie est également conseillée, car ces aliments fournissent les molécules de base pour produire des hormones sexuelles et augmentent ainsi leur production. Évitez aussi la consommation quotidienne de pain complet et autres céréales riches en fibres car elles peuvent faire baisser de 15 à 35% les taux d’hormone mâle, la testostérone. » - Dr. Thierry Hertoghe « Les personnes qui gardent un taux d’hormones sexuelles élevé vivent plus longtemps et en bonne santé, c’est un fait. » - Dr. Makoto Suzuki, expert en longévité à Okinawa « Veiller à un niveau suffisant de testostérone en faisant des cures de zinc à partir de la cinquantaine vous protégera aussi du diabète. En effet, la testostérone stimule la production d’insuline. Cette découverte expliquerait pourquoi, alors que le taux de testostérone diminue avec l’âge, le risque de diabète augmente quant à lui progressivement. » - Dr. Robert Viala « Il faut voir toutes les hormones comme étant impliquées dans la libido. Elles doivent aussi être prisent en compte pour rétablir un taux physiologique satisfaisant de testostérone et en particulier les hormones de la thyroïde. » - Dr. Georges Mouton, médecine fonctionnelle « On sait aujourd’hui que les hommes sont carencés en testostérone et que les femmes sont carencées en estrogènes, depuis un siècle, les taux de testostérone diminuent énormément. Hors, la testostérone est indispensable pour le cerveau chez l’homme. » - Dr. Boris Dufournet, neurologue « Une testostérone à moins de 5.000 ng/L augmente jusqu’à 11 fois le risque d’attaques cérébrales et jusqu’à 5 fois le risque d’infarctus. » - Dr. Stéphane Résimont « Un taux de testostérone élevé entraîne-t-il un plus grand risque de cancer de la prostate ? Non ! Au contraire, un taux de testostérone bas est plus potentiellement dangereux pour favoriser un cancer de prostate agressif. » - Pr. Claude Shulman, urologue « Ne pas prendre en charge l'andropause et attraper un ventre de femme enceinte est potentiellement mortel. Faites contrôler vos taux hormonaux si vous ne voulez pas vieillir ni mourir avant l’âge ! » - Dr. Dominique Privé « Le déficit en testostérone est une condition fréquente, souvent sous-diagnostiquée, avec des répercutions métaboliques, cardiovasculaires, neurocognitives, immunitaires et sexuelles majeures. » - Dr. Julien Puchois
- L'alopécie
Article capillaire L’alopécie est la perte anormale de cheveux ou de poils. En France, 10 millions de personnes sont concernées. Quatre causes possibles 1. Génétique : L’hérédité, chez un homme : si le grand-père maternel est chauve nous avons 50% de chance ou plutôt de malchance d’être chauve. Si c’est le grand-père paternel, c’est 25%. Si ce sont les 2 grands-pères nous atteignons 75% de probabilité. Si ce sont les grands-pères et le père enfin, 99% de risque. 2. Hormonale : Déséquilibre androgénique : les niveaux de dihydrotestostérone (DHT), un dérivé de la testostérone sont trop élevés. En effet, la testostérone réduit la perte de cheveux alors que la DHT en excès ou en insuffisance l’augmente. Un dysfonctionnement thyroïdien avec manque d'hormone active T3. 3. Carentielle : Les carences nutritionnelles , notamment en acides aminés dont la L-cystéine, en minéraux et oligo-éléments dont le zinc, le magnésium, l’ iode , le fer, le potassium, la silice , le soufre, en vitamines dont B2, B5, B6, B8, C, D, E et en acides gras polyinsaturés dont les oméga-3. Attention, une éventuelle dysbiose du microbiote ou une inflammation intestinale passant inaperçue pourrait être la cause d’une mauvaise absorption des nutriments. 4. Toxique : La toxémie ( toxiques , alcool, caféine , tabac, médicaments, IPP, etc.). Le stress . Les céréales à gluten. Biologie : Fonction thyroïdienne : TSH, T3, T4, T3 reverse, anticorps anti TPO. Iodurie sur 24 heures. Fonction surrénalienne : cortisol urinaire libre sur 24 heures. Fonction rénale : créatinine. Sulfate de prégnénolone et de DHEA. Testostérone totale et libre. SHBG. Androstanediol glucuronide (métabolite stable de la DHT). Estrogène, progestérone. PSA. Bilan vitamines et minéraux. Coenzyme Q10 . CRP-US. Albuminémie : consommation et réserves en protéines. Glycémie et insuline à jeun. Solutions : Stimuler la microcirculation du cuir chevelu en le massant vigoureusement tous les jours. Exposer les cheveux au vent, au froid, à la pluie, au soleil (sans excès) pour qu’ils retrouvent leur fonction protectrice. Shampoing ou friction à l’eau froide. Maintenir le cuir chevelu propre. Eviter les couvre-chefs, les toxiques et le stress . Cure de Capillar (Taxifoline) bénéfique pour la microcirculation. Améliorer le terrain en adoptant une alimentation variée, équilibrée, saine, naturelle, biologique et non carencée . Minéraliser l’organisme avec des jus de légumes , du plasma marin de Quinton , du pollen frais, des fruits de mer, de la poudre de chair d’huitres. Obtenir le bon équilibre en acides gras oméga-3-6-7-9 et garder le rapport de un oméga-3 pour trois oméga-6. Appliquer un masque capillaire à l’huile de ricin avec 3 gouttes d’huile essentielle de romarin à cinéole 2 à 3 fois par semaine. Masser et laisser poser au moins 2 heures. Phytothérapie : Tisane d’ ortie et de prêle. Berbérine (assainissant intestinal). Ashwagandha . Palmier nain. Racine d' ortie : 500-800 mg/J. Aromathérapie : huile essentielle de romarin à verbénone per os (homme & femme). Gemmothérapie : bourgeons d’airelle (femme). Le palmier nain et la racine d’ ortie bloquent l’enzyme 5-alpha-réductase, ce qui inhibe la transformation de la testostérone en dihydrotestostérone. Cette action a également un effet bénéfique sur la prostate en diminuant son volume. La racine d' ortie est recommandée pour soulager l' hypertrophie bénigne de la prostate et d'autres problèmes de prostate. Elle est également utilisée pour ses effets cardiovasculaires et comme remède naturel pour traiter ou prévenir la calvitie. À n’utiliser qu’en cas de taux de DHT excessif. Nutrithérapie : Zinc, iode , magnésium, potassium, vitamines : B2, B5, B6, B8, C, D, E. Acides gras polyinsaturés dont oméga-3. N-acétylcystéine. Oligothérapie : Manganèse/cuivre, soufre, silicium . Photobiomodulation : Exposer le crâne régulièrement à la lumière rouge . Conseils alimentaires : On trouve de la cystéine dans les œufs, le poisson, la viande, les oléagineux . On trouve du zinc dans les fruits de mer et particulièrement dans les huitres, dans la dinde, les œufs, les champignons shitakés, les graines de courge, les germes de blé. On trouve de la vitamine B5 dans les champignons shitakés, les œufs, le foie, l’avocat, les céréales complètes. On trouve de la vitamine B6 dans la dinde, le poulet, le thon, le poulpe, la banane. On trouve de la vitamine B8 dans le foie, la levure de bière, les œufs, les haricots, les lentilles, les champignons, les noix . On trouve de la silice dans les amandes, les légumes racines, l’ ortie et la prêle notamment. On trouve des oméga-3 qui équilibrent nos apports en acides gras et qui sont anti-inflammatoires, dans les fruits de mer, les poissons de mer gras (hareng, sardine, maquereau, flétan), les noix de Grenoble et dans certains œufs de poules nourries au graines de lin. On trouve du potassium dans les fruits et les légumes. On trouve du magnésium dans les noix, les légumes verts, les fruits de mer, les sardines, les anchois, les germes de blé, les flocons d’avoine, les bananes. On trouve de l’ iode , dans les algues marines, les fruits de mer et les poissons de mer. On trouve du soufre dans les viandes, les poissons, les fruits de mer, les œufs, l’ail, les oignons, les graines de courges, le brocoli, le radis noir, le cresson. Citations : « Le tabac est, dans ce domaine aussi, une bête noire : en perturbant la circulation sanguine au niveau du cuir chevelu, il empêche le bon approvisionnement des nutriments jusque dans la fibre capillaire. Dommage. » - Danièle Festy « Quand elle est causée par le blé, l’alopécie peut persister aussi longtemps qu’on continue à en consommer. » - Dr. William Davis « Les hommes qui perdent leurs cheveux ont généralement une carence en testostérone. » – Dr. Thierry Hertoghe Article complémentaire : Les carences nutritionnelles
- Les causes de la fatigue
Article naturo-hygiéniste Description : La fatigue c’est l’énervation, la baisse d’ énergie vitale , la première des 7 étapes de la maladie selon John H. Tilden. C’est un symptôme émanant d’une ou de plusieurs erreurs d’hygiène de vie. Les causes possibles : La baisse de l’ énergie vitale . La dysbiose intestinale . La porosité intestinale . La parasitose . Les mauvaises associations alimentaires et/ou des repas trop complexes à digérer. Les mauvaises éliminations ( émonctoires ). Le déséquilibre alimentaire . Les carences ou les déficits nutritionnels . Le stress . Le bruit, l’agitation. L’ insomnie . L’ anémie . L’ hyponatrémie . L’hypotension. L' hypothyroïdie . Le manque ou l’excès d’ activité physique . Le manque de repos et de calme. La mauvaise hygiène de vie générale. L’abus de stimulants et d’ overtoniens . L’exposition aux toxiques . Le déséquilibre du système nerveux autonome . Le déséquilibre ou la faiblesse du système hormonal ( thyroïde , surrénales , testostérone , etc.) La toxémie . La faiblesse hépatique . Le diabète . Le travail en excès ou à pauses ou de nuit. La maladie cœliaque . Le dysfonctionnement mitochondrial . Le syndrome métabolique . Un déficit en neurotransmetteurs . Si la fatigue devient chronique, elle peut déboucher sur un burn-out ou une fibromyalgie . Lorsqu’à l’inverse d’un rythme normal, on se sent fatigué dès le réveil et qu’on a un pic d’énergie vers 17h00 ou au moment d’aller se coucher, ceci signe un dérèglement hormonal, les glandes surrénales sont atteintes. Une fatigue permanente signe une carence en estrogène chez la femme et en testostérone chez l’homme. Solutions : La correction des causes. La cohérence cardiaque . Les jus de légumes biologiques. La détoxification . Prendre l’air frais et le soleil . La négativation . Aide phytothérapeutique : Plantes adaptogènes : éleuthérocoque, ashwagandha (soir), astragale, rhodiola, ginseng panax rouge, réglisse, tulsi, romarin. Gemmothérapie : bourgeons de cassis. Les plantes adaptogènes aident le corps dans ses capacités d’adaptation à résister au stress et à la fatigue avec leur action sur les glandes surrénales et le système nerveux . A prendre en cure de trois semaines avec une semaine d’arrêt. Compléments alimentaires : Magnésium organique + complexe B + L-taurine. Zinc chélaté ou poudre de chair d’huîtres (P.O.P.), iode , sélénium (noix du Brésil). Vitamines C et D. Coenzyme Q10 . Créatine. Plasma marin de Quinton . Oligothérapie : cuivre/or/argent ou manganèse/cuivre/cobalt en ampoule de solution colloïdale. Manganèse/cobalt pour la fatigue des quinquagénaires et de la ménopause . Biologie : Magnésium érythrocytaire, zinc, sélénium, vitamines : A, D, E, K. Vitamines B9 et B12. Fer, ferritine, saturation de la transferrine, manganèse, cuivre. Coenzyme Q10 . Glutathion total et réduit. Bilan de la fonction surrénalienne dont cortisol salivaire, prégnénolone et DHEA. Bilan de la fonction thyroïdienne : TSH, T3, T4. Bilan hormonal. Biochimie des glucides : glycémie et insuline à jeun, indice HOMA, HbA1c. Iode et 17 OH stéroïdes urinaires sur 24H. N’hésitez pas à parler de votre état de fatigue à votre médecin traitant pour faire un bilan sanguin. Citations : « Remédier, c’est agir en s’opposant à la cause de la maladie. » – Christopher Vasey « Le repos permet la restauration de l’intégrité de l’organisme, la récupération de l’énergie, l’élimination des toxines. » - Dr. André Passebecq Articles complémentaires : La fatigue surrénalienne . L'hypothyroïdie . Quelques règles alimentaires basiques . Les aliments à hautes et basses fréquences . La prise des repas . L'alimentation paléo .
- La dépression nerveuse
Article naturopathique Une pénible affection psychique à ne pas négliger et à prendre en charge. En Belgique, environ 18% de la population adulte présente des symptômes dépressifs. Causes : Les déficits et les carences nutritionnelles : protéiques , lipidiques , oligo-minérales, minérales ( magnésium , zinc, etc.) ou vitaminiques (vit B, D, etc.). Un déséquilibre entre oligo-éléments : zinc/cuivre par exemple. L’épuisement de la force vitale ( stress , surmenage chronique, manque de sommeil, insomnie …) Le choc émotionnel : deuil, séparation, licenciement. Les pensées négatives. Le manque de contacts sociaux. Le harcèlement moral chronique et les personnes négatives. Le ralentissement digestif . La dysbiose intestinale . La faiblesse hépatique , les intoxications . L’utilisation de stimulants et d’ overtoniens qui sont des dépresseurs, l'alcool notamment. Le déséquilibre du système nerveux autonome . Un déficit en neurotransmetteurs . Un déséquilibre hormonal. L’apport insuffisant de sang et d’oxygène au cerveau. L’aspartame. Une production réduite d'ATP mitochondriale *. *Des rapports médicaux ont démontré que la production d'ATP mitochondrial et l'expression d'enzymes mitochondriales sont diminuées chez les patients souffrant de dépression par rapport aux sujets sains. Solutions naturelles : Corriger les déficits, les carences et les déséquilibres entre micronutriments. Le sang doit contenir la même quantité de cuivre et de zinc notamment. Etablir le statut en acides gras . Pratiquer une activité physique régulièrement, c’est le contrepoids des nerfs. Oxygénation et circulation du sang. Gérer le stress et se faire masser . Pratiquer la cohérence cardiaque . Pratiquer la planche inclinée pour oxygéner le cerveau et activer ses centres nerveux vitaux.* Assainir les intestins et le foie . Eviter les relations empoisonnantes et négatives. S' exposer au soleil régulièrement. Récupérer un bon sommeil . Pratiquer le sauna . Eliminer les poisons overtoniens (surtout l'alcool) et les toxiques . Vérifier les fonctions thyroïdienne , surrénalienne et gonadique. Augmenter la testostérone . Adopter une alimentation naturelle et équilibrée, consommer suffisamment de protéines avec des aliments riches en L-tryptophane et en L-tyrosine. La L-Tyrosine est précurseur de la dopamine . On la trouve principalement dans les produits animaux : volailles, viandes, œufs, poissons, crustacés et aussi dans les algues , les fruits secs, les légumineuses. Le L-tryptophane est précurseur de la sérotonine et de la mélatonine. On le trouve principalement dans les produits animaux : volailles, viandes, œufs, poissons et aussi dans les algues, les fruits secs, les graines, les légumineuses, la banane. *La planche inclinée à pratiquer régulièrement et progressivement de 5 à 15 minutes/jour. Soutien phytothérapeutique : Le safran, indiqué dans : l’équilibre mental et nerveux, la dépression légère à modérée, l’anxiété, le stress , le sommeil perturbé , la mauvaise humeur, l’irritabilité, la nervosité. Il stimule la production de sérotonine. A prendre de préférence entre 16h00 et 17h00. La rhodiola, une plante adaptogène qui peut être associée au safran. A prendre de préférence le matin. Le millepertuis pour la dépression saisonnière, le stress et le moral bas à l’automne. Pour un effet synergique, il peut être associé à la rhodiola. Attention aux contre-indications et aux interactions médicamenteuses avec cette plante. Le griffonia simplicifolia qui contient du 5-http, le précurseur de la sérotonine. L' ashwagandha . Gemmothérapie : bourgeons de figuier. En période de stress chronique, d’anxiété ou de dépression, nos besoin en micronutriments sont accrus car l’organisme en consomme davantage. Compléments alimentaires : SAM-e (S-adénosyl méthionine) : production de dopamine et de sérotonine . Pois mascate - mucuna pruriens (L-Dopa => dopamine : hormone de l’action et du plaisir). Inositol (vitamine B7). Nutrithérapie : iode , magnésium organique (orotate), taurine, zinc, complexe de vitamines B, vitamine C (neurotransmission), vitamine D, oméga-3 (5g/J pendant 1 mois, puis 2g/J), coenzyme Q10, tryptophane. Probiotiques : Lactobacillus acidophilus, Bifidobacterium bifidum, Streptococcus thermophilus. Oligothérapie : granions de lithium + cuivre/or/argent colloïdal. Le lithium est utilisé en posologie de départ à 1 prise par jour, puis 2. En cas d’anxiété importante, d’attaque de panique, d’angoisse ou encore de dépression, la posologie peut-être augmentée. Plusieurs études ont rapporté une amélioration significative de l’état dépressif majeur avec l’association de magnésium , de probiotiques et de coenzyme Q10 . Biologie : Magnésium érythrocytaire ; Fer, ferritine, transferrine, cuivre, zinc ; Vitamines : B6, B9, B12, D ; Coenzyme Q10 ; Bilan thyroïdien ; Bilan surrénalien dont cortisol salivaire, DHEA sulfate et 17-OH-stéroïdes sur urines de 24h ; Bilan neurotransmetteurs sur urines acides de 12 heures. Testostérone totale et libre, estrogène, progestérone. Citations : « Toute forme de surmenage prolongé, surtout s’il est accompagné d’un sommeil insuffisant en qualité et en quantité, aboutit fréquemment à la dépression nerveuse. » - Robert Masson « Les médicaments calmants ont le grave défaut de paralyser le diencéphale (immunité nerveuse) et de désorganiser plus à fond la vie végétative. » - Pr. Pierre-Valentin Marchesseau, Pr. Grégoire Jauvais « Les désordre mentaux peuvent provenir d’un dérèglement du système neuropsychique dû à la présence excessive de toxines dans l’organisme et à une nutrition organique déficiente. » - Dr. Norman Walker « 95 % de maladies dépressives viennent d’inflammations d’origine digestive. L’intestin est responsable d’au moins 90 % des maladies mentales. » - Dr. François Plantey, psychiatre « Dans la dépression par exemple, on sait que de bons taux de ferritine, de magnésium, de zinc, de vitamines B9 et B12 et de vitamine D sont essentiels. » - Bruno Mairet « Les médicaments antidépresseurs sont associés à des effets secondaires significatifs et dangereux, y compris la violence, l’agressivité et le suicide. » - Dr. Joseph Mercola « Grâce aux milliers de patients de ma clinique, j’ai compris que ce sont les troubles digestifs de ces personnes qui causaient leurs affections neurologiques. Et pour traiter ces troubles neurologiques, nous devons commencer par traiter le système digestif de ces personnes. » - Dr. Natacha Campbell, neurologue, nutritionniste « Les oméga-3 sont efficaces dans le traitement de la dépression. […] Tous les facteurs de risques du surpoids et de l’obésité sont les mêmes que ceux de la dépression. Quand on est en surpoids ou en obésité on a plus de risque de faire une dépression et réciproquement. […] Il est démontré que la pollution augmente le risque de dépression. [...] Il n’est plus possible de ne pas envisager les liens entre l’intestin et le cerveau, le rôle de l’alimentation dans la survenue d’un certain nombre de maladies psychiques, la psycho-nutrition va changer le visage de la psychiatrie. » - Dr. Guillaume Fond « La cause la plus fréquente de dépression chez l’homme, c’est la manque de testostérone. Chez la femme, c’est la manque d’hormones féminines. » - Dr. Stéphane Résimont
- La maladie d'Alzheimer
Article de santé naturelle L’Alzheimer est une maladie neurodégénérative multifactorielle* caractérisée par une perte progressive de la mémoire et de certaines fonctions intellectuelles. Le cerveau rétrécit. C’est le type de démence le plus répandu, elle touche environ 4,5% de la population au-delà de 65 ans. Il est assez clair que l’environnement et les habitudes de vie ont un impact sur les risques de la développer. *36 causes ont été identifiées par le docteur américain Dale Bredesen, neurologue, chercheur et expert internationalement reconnu des maladies neurodégénératives. La maladie d’Alzheimer se situe dans le quadrant 3 du bioélectronigramme Vincent (ci dessous), c’est le milieu alcalin et oxydé, celui de la dégénérescence. Ce terrain est favorable au développement de toutes les maladies de civilisations et dégénératives. Il n’existe aucun traitement conventionnel pour traiter la maladie d’Alzheimer. Pour régénérer, stabiliser et améliorer l’état du malade, nous devrons donc effectuer une correction du terrain biologique en acidifiant le sang et en réduisant l’ oxydation . Il faudra se diriger vers la quadrant 1 en zone acide et réduite qui est le milieu de la Vie. Les aliments se situant dans cette zone sont bons d’un point de vue vital : fruits , légumes, racines, graines germées, enzymes, fermentations, vitamines, algues vertes, eau de qualité. C’est le milieu régénérateur. La maladie d’Alzheimer est reconnue réversible même par la médecine conventionnelle . Elle est détectable 10 à 15 ans avant d’être déclarée, ce qui permet d’éviter une dégénérescence avancée plus difficilement récupérable. Il est d’ailleurs intéressant de rechercher le génotype apoE dès que possible dans une simple prise de sang pour évaluer les risques de développer la maladie afin d'intervenir le plus tôt possible. En 2005, une importante étude des équipes du Dr. Suzanne M. de la Monte et d’Éric Steen (Université Brown, Hôpital de Rhode Island) assimile l'Alzheimer à une nouvelle forme de diabète . Ces résultats ont été publiés dans le "Journal of Alzheimer's Disease" cette même année. Ces chercheurs ont découvert que le cerveau produisait sa propre insuline. En surveillant le cerveau de ces patients sur plusieurs années, ils ont pu confirmer que l'insuffisance d' insuline augmentait proportionnellement avec l'évolution de la maladie. Cela a été publié en 2008… Une situation dans laquelle les cellules cérébrales ne peuvent pas utiliser le glucose. Chez les personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer, le métabolisme du glucose et des lipides est perturbé ( maladie métabolique/résistance à l'insuline ). L' aluminium a un effet délétère sur les neurones et peut nuire à la mémoire , c’est un neurotoxique notoire. Certaines études ont observé que le cerveau des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer contenait des concentrations plus élevées d'aluminium que celles ne souffrant pas de cette maladie. En effet, à l'autopsie, on constate que le cerveau des personnes atteintes contient une concentration élevée d'aluminium 10 à 30 fois plus que la normale. Étant donné que la barrière hémato encéphalique est incomplètement formée aux stades prénatal et post-natal et qu’elle perd son étanchéité chez les personnes âgées, les enfants et les personnes âgées ont-ils un risque plus important de développer des effets toxiques neurologiques dus aux nanoparticules d’aluminium ? Nous pouvons nous poser la question. Je pense que nous pouvons incriminer les adjuvants des vaccins qui ont pu contenir des doses importantes de produits toxiques , et notamment d’aluminium dépassant largement de plusieurs fois les quantités autorisées par les autorités sanitaires. Rappelons que les vaccins sont des produits chimiques suroxydants et qu’ils se trouvent à l’instar des maladies dégénératives dans la zone 3 du bioélectronigramme Vincent , déplaçant ainsi le terrain vers la dégénérescence. Le risque de neurotoxicité est lié au passage d’une partie de l’aluminium dans la circulation sanguine et à sa distribution aux différents organes, en particulier le cerveau et le squelette. Attention aux médicaments contenant des hautes doses d’aluminium, comme les IPP et le Maalox : Chaque cuillère à soupe de suspension buvable de MAALOX contient : 525 mg x 27/78 = 181,7 mg d’aluminium métal, ce qui pour un homme de 60 kg représente 181,73 mg/60 kg = 3,03 mg d’aluminium par kg de poids corporel, ce qui correspond à 3 fois la dose minimale toxique par jour définie par la FDA et l’OMS. Pour la posologie maximale autorisée, de 6 cuillères à soupe par jour, un homme de 60 kg absorbera 3 x 6 = 18 fois la dose minimale toxique par jour. https://professeur-joyeux.com/2018/06/19/3eme-edition-speciale-aluminium/ Au cours de leurs six premiers mois de vie, les nourrissons ingèrent environ 7 mg d’aluminium à travers le lait maternel (environ 38 mg s’ils consomment du lait en poudre , et environ 117 mg s’ils sont nourris avec du lait de soja ). « L’aluminium vaccinal diminue la réponse immunitaire et augmente la toxicité locale. […] L’aluminium est donc une substance qui nous est étrangère et donc immanquablement toxique… […] On discute très sérieusement du rôle de l’aluminium dans la fragilité osseuse, dans l’Alzheimer et, de façon générale comme neurotoxique. » - Dr. Michel de Lorgeril, Analyse Scientifique de la Toxicité des Vaccins, p. 105, 110 & 112. Le Dr. Olivier Soulier soulève toutefois un fameux lièvre : la maladie d’Alzheimer est un fléau en pleine expansion dans les générations massivement vaccinées avec le BCG. Rendu obligatoire en 1950, déconseillé par l’OMS dès 1997 et finalement supprimé du calendrier en 2007, ce vaccin a été administré aux millions d’enfants qui sont aujourd’hui des personnes âgées. Ce serait la vaccination contre la tuberculose qui aurait « préparé le terrain » à l’épidémie contemporaine d’Alzheimer… ( Source : Néosanté, infolettre du 15/01/2020). Le silicium s’oppose aux effets négatifs de l’aluminium qui inhibe l’activité des ostéoblastes, la formation de la trame osseuse et sa minéralisation, en prenant la place du calcium. ( Source : La Nutrithérapie. Bases scientifiques et pratique médicale). L’eau peut également contenir une quantité variable d’aluminium selon les municipalités, mais même lorsqu’elle en contient une quantité élevée, elle n’est responsable que de 5% de l’apport quotidien en aluminium. Quelques études épidémiologiques ont tout de même observé que les populations dont l’ eau potable contenait des concentrations élevées d’aluminium avaient plus de risques de souffrir de la maladie d’Alzheimer. Concernant les maladies neurodégénératives en général, il est important de faire enlever les amalgames dentaires au mercure . Les individus dont l'organisme ne se détoxifie pas assez vite ont plus de risque de développer des maladies neurodégénératives dont la maladie d’Alzheimer notamment, en particulier en cas d'exposition au mercure organique perdu par les plombages dentaires. Les pesticides sont des substances toxiques , cancérigènes qui occasionnent des problèmes cognitifs et neuro-dégénératifs. Une perturbation du microbiote intestinal a un impact sur nos émotions et peut être liée à des pathologies neurologies ou psychiatriques tels que : l'anxiété, la dépression , le mal-être, l'autisme, Parkinson , etc. Les additifs alimentaires , notamment le glutamate monosodique et l’aspartame sont des neurotoxiques. En conclusion d’une étude américaine publiée le 20.04.2017, ceux qui consommaient au moins une canette de boisson light par jour avaient 3 fois plus de risque de faire un AVC et de développer la maladie d’Alzheimer. Les glandes et la plupart des organes, y compris le cerveau, souffrent énormément de la déficience en enzymes . Ce dernier peut en effet s’atrophier à cause d’une alimentation essentiellement composée de produits transformés dépourvus d’enzymes dont l’organisme a désespérément besoin. Les psychotropes , plusieurs études ont démontré une relation de cause à effet entre une prise au long cours de ces drogues et le développement de la maladie d’Alzheimer. Une consommation de benzodiazépines supérieure à 3 mois est associée à une augmentation de près de 50% du risque. Le Viagra , par augmentation du taux sanguin d'oxyde nitrique, est associé à une longue liste d'effets secondaires dont la maladie d'Alzheimer et la démence. Les statines, le cholestérol est un élément essentiel pour le fonctionnement du cerveau. La neuro-inflammation , l’ inflammation , l’ oxydation et la glycation sont des éléments fortement impliqués dans les maladies dégénératives et neuro-dégénératives. D’où l’importance d’adopter une alimentation anti-inflammatoire et antioxydante adaptée à notre génotype . Vérifier le taux d’HbA1c dans le bilan sanguin car plus l’hémoglobine glycosylée est haute, plus la mémoire se détériore. Les traumatismes , la commotion cérébrale pour augmenter le risque de développer la maladie. D’après des travaux récents de 2024, une équipe de chercheurs de la Washington University School of Medicine de Saint-Louis aux USA a mis en évidence que la graisse viscérale (graisse profonde attachées aux organes) est étroitement liée à la survenue des premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer près de 20 ans plus tard. Cette graisse viscérale ou abdominale est associée à une moins bonne circulation du flux sanguin cérébral. Des modifications potentielles de l’hygiène de vie comme la perte de poids et la réduction de la graisse viscérale sont efficaces pour prévenir ou retarder l'apparition de la maladie. Aides et solutions : Consommer quotidiennement du plasma marin de Quinton et des enzymes digestives. Stopper les vaccins au plus tôt, les adjuvants qu’ils contiennent sont hautement toxiques et dangereux. Arrêter la consommation d’ overtoniens puisqu’ils sont toxiques et qu’ils portent atteinte au système nerveux, l'alcool en particulier. Arrêter les sucres raffinés et le grignotage . Drainer les déchets de la partie cérébrale : détoxification par paliers , monodiètes , jeûne . Alimentation plus vivante, biologique , drainante, hypotoxique. Comprenant des petits poissons gras, des œufs et des noix riches en oméga-3. Réduire les glucides et les aliments mucogènes (hémogliase, lymphogliase). Rien que la suppression des céréales , pain, pâtes, etc. et des produits laitiers permet de rétablir 90% de troubles chroniques dégénératifs. Consommer dès que possible et progressivement environ 5 c à s d’huile de coco biologique à répartir sur la journée au repas (triglycérides à chaînes moyennes), soit 1 gr. d’huile de coco par kilo de masse corporelle. Sauf pour le génotype Apoe4 . Consommer du vinaigre de cidre biologique en condiment et en boisson. 2 cl de vinaigre dans un verre d’eau faiblement minéralisée (Spa Reine, Montcalm) tous les jours. Ce qui amènera des protons. Supprimer la consommation d’ eau du robinet ( oxydante ) et l’absorption d’aluminium que l’on retrouve également dans la farine et le sel raffinés, l’Aspirine, les déodorants, les vaccins , les cosmétiques, etc. Supprimer toutes sources de fluor (eau, dentifrice), les pesticides, les médicaments comme les statines, les inhibiteurs de pompe à proton, les somnifères, les anti-dépresseurs, les produits chimiques et toxiques . Drainer le foie , la vésicule et les intestins, corriger la dysbiose et la porosité (intestins 2ème cerveau). Cohérence cardiaque pour oxygéner le cerveau, diminuer le stress et équilibrer le système nerveux . Gymnastique intellectuelle pour stimuler les neurones : lecture, sport cérébral, Scrabble, jeux de société, etc. Exercices physiques adaptés pour faire circuler la lymphe , diminuer le stress et s’oxygéner. Les exercices doivent être associés à de bonnes périodes de repos et de récupération. Pratiquer la planche inclinée. Pratiquer la photobiomodulation . S'exposer suffisamment au soleil et à l’air libre. Négativation : marcher pieds nus sur l’herbe, le sable, la terre, tous les jours. Vérifier le taux sérique de prégnénolone. L’autophagie induite par le jeûne et le jeûne intermittent a un rôle important dans la recherche sur le cancer et la démence. Biologie : Vérifier les carences éventuelles, vitamines, sels minéraux, oligo-éléments, thiamine (B1), protéines , lipides , glucides. Statut en acides gras . Bilan lipidique. Biochimie des glucides. Antioxydants et compléments : Vitamine C : 2-3 gr. /J. Vitamine D : 2.000-3.500 UI/J. Vitamine E : 400 UI/J. Vitamine K2-MK7. Coenzyme-Q10 : 100-200 mg/J. N-acétylcystéine : 600 mg/J. (précurseur du glutathion). Pycnogénol de pin. Jus de grenade. Synergie chlorophyllienne : ail des ours, coriandre, chlorella (élimination des métaux lourds). L'ail et l'extrait d'ail.* Bleu de méthylène **. Acide alpha lipoïque de 600 mg à 2 fois 800 mg/J. pour stimuler l'activité mitochondriale . Acétyl-L-carnitine. Quercétine et polyphénols . Zéolite . * L'allicine réduit les niveaux élevés de stress oxydatif, qui sont étroitement liés à la pathologie de la maladie d'Alzheimer, réduisant ainsi le dysfonctionnement mitochondrial . ** Le bleu de méthylène à faible dose est décrit comme une intervention pharmacologique qui peut augmenter avec succès la respiration mitochondriale et entraîner une amélioration de la mémoire et une neuroprotection. Oligothérapie : Phosphore et cuivre/or/argent 1J/2 en cure de 3 mois. Silicium organique (élimination de l’aluminium). Nutrithérapie : Iode . Zinc. Magnésium. Bore . Oméga-3 et alkylglycérols. Mélatonine : un taux de mélatonine bas est un signal d’alarme pour les maladies neurodégénératives. Shilajit. Chez l’homme, le glutathion (puissant antioxydant endogène) est diminué dans de nombreuses pathologies telles que la cirrhose (Bianchi et al., 2000), le diabète (Ghosh et al., 2004) ou encore la maladie d’Alzheimer (Liu et al., 2005) et le SIDA (Jahoor et al., 1999). Les 9 paramètres de la santé intégrale devront être respectés si nous voulons réellement inverser le processus oxydatif et dégénératif. Nous pourrons nous attendre à des améliorations remarquables. C’est en reconstituant la santé que la maladie disparaît. Phytothérapie : Gingko Biloba, bacopa, éleuthérocoque, ashwagandha , tulsi gotu kola. Citations : « Le seul édulcorant clairement lié à des risques de troubles cognitifs, est l'aspartame (E 951). » - Anne-Laure Denans, Dr. en pharmacie, auteure du Nouveau Guide des additifs . « Les pesticides sont une des causes fondamentales de l’Alzheimer en détruisant les neuromédiateurs. Il y a d’autres causes, notamment les psychotropes, le grignotage et le portable. On sait parfaitement pourquoi l’Alzheimer a été multiplié. D’où l’importance du BIO pour éviter l’Alzheimer et la fatigue chronique ! […] De Nombreuses dysfonctions, baisse de l’intellect, de la mémoire, etc. auront une origine hépatique. » – Robert Masson « Les environnements dépressifs, pessimistes, ou l’élan vital est faible, limitant la curiosité intellectuelle et les interactions humaines ont possiblement des effets délétères. » - Dr. Michel Logak, neurologue à l'hôpital Saint-Joseph à Paris « Le cerveau intestinal n’est que le prolongement du cerveau crânien. L’altération du cerveau intestinal entraine conséquemment une altération du cerveau crânien, d’où les maladies neurodégénérative comme Parkinson et l’Alzheimer par exemple… » - Pr. Grégoire Jauvais « Les intestins représentent aussi le cerveau et quand les intestins sont malades, on a du mal à communiquer avec le cerveau. […] Quand vous prenez 6 mois de benzodiazépines, vous êtes sûr de faire la maladie d’Alzheimer. » - Dr. Jean-Pierre Willem « L’aluminium étant un médicament toxique mortifère, son administration à l’homme est formellement interdite. » - Pr. Jean-Bernard Fourtillan, toxicologue « Les personnes qui consomment beaucoup de calories, en particulier du sucre, ont une probabilité 6 fois plus importante de contracter la maladie d’Alzheimer. » - Dr. Russell Blaylock « Il faut entretenir le cerveau d’un point de vue psychique et d’un point de vue cognitif en faisant différents exercices. Surtout des relations sociales, c’est ce qui est important à retenir. Le fait d’avoir des interactions avec des gens stimule le cerveau, c’est sans doute le point clé pour garder une bonne mémoire. » - Yannick Béjot, Pr. De neurologie « L’inflammation (chronique) fait le lit du cancer, de l’Alzheimer, de Parkinson et de tout le reste. » - Dr. Laurent Schwartz « La prévalence croissante des maladies dégénératives neuronales (SEP, SLA, Parkinson, Alzheimer) ne peut s’expliquer sans une responsabilité importante des facteurs environnementaux. Ce sont des facteurs toxiques comme certains métaux lourds, aluminium et mercure, ingérés et absorbés par voie digestive et/ou d’origine topique transdermique (cosmétique et vaccinale !) qui fragilisent (ou agressent !) les fonctions cellulaires à très fort métabolisme oxydant. » - Dr. Michel Massol « Il faut bien se rendre compte que la prise en charge de la maladie d’Alzheimer, c’est à la fois l’alimentation, la micro alimentation, la complémentation et l’hormonologie. » - Dr. Stéphane Résimont « On sait aujourd’hui que les hommes sont carencés en testostérone et que les femmes sont carencées en estrogènes, depuis un siècle, les taux de testostérone diminuent énormément. Hors, la testostérone est indispensable pour le cerveau chez l’homme. » - Dr. Boris Dufournet, neurologue « Le sucre est mauvais pour le cerveau, pour le métabolisme, pour la mémoire et il augmente considérablement les risques de déclin cognitif sur le long terme. » - Dr. Dale Bredesen, neurologue « Les curcuminoïdes et la vitamine D agissent en synergie pour stimuler l’élimination des plaques amyloïdes chez des patients atteints de la maladie d’Alzheimer. » - Dr. Jean-Paul Curtay « Alzheimer est une maladie mitochondriale d’origine multifactorielle. […] On sait que le microbiote joue un rôle important dans l’origine de l’Alzheimer, la première chose à faire est de sanifier son microbiote. » - Pr. Vincenzo Castronovo « L’aluminium est un énorme problème, beaucoup de gens sont intoxiqués à l’aluminium avec des conséquences très dommageables au niveau du système nerveux central. » - Dr. Georges Mouton « Plusieurs études présentent l’implication du fer dans les maladies neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer. » - Castellani Article complémentaire : Troubles de la mémoire et déclin cognitif
- L'insuffisance veineuse
Article naturo-hygiéniste Description et causes : L'insuffisance veineuse est un problème circulatoire courant. La paroi des veines est altérée, les clapets antiretour veineux (valvules) sont dysfonctionnels. Les symptômes se manifestent par des jambes lourdes, des fourmillements, des varicosités, des varices, ou des œdèmes, laissant des veines apparentes inesthétiques. Les femmes sont plus touchées que les hommes et la fréquence augmente avec l’âge. On estime que la prévalence est plus élevée en Europe occidentale, aux États-Unis et dans d'autres pays industrialisés. En France, six personnes sur dix seraient touchées probablement en raison du mode de vie et du niveau d'inactivité. Solutions : Hygiène de vie : Activité physique régulière. Éviter la position statique assise ou debout prolongée. Eviter l’embonpoint et le surpoids. Eviter la constipation chronique. Boire suffisamment d’ eau de source faiblement minéralisée. Adopter une alimentation équilibrée, anti-inflammatoire et antioxydante avec un apport suffisant en protéines , en fruits , en légumes et en aromates (ail, persil, coriandre, thym, romarin, échalote, ciboulette, basilic, cerfeuil, origan, etc.). Limiter la consommation de glucides et de céréales pour diminuer la viscosité sanguine (hémogliase). Limiter la consommation d’ alcool . Eviter le tabac. Terminer la douche avec de l’eau froide sur les jambes ou les mollets. Pratiquer la planche inclinée. La planche inclinée à pratiquer régulièrement et progressivement de 5 à 15 minutes/jour. Phytothérapie : Plantes veinotoniques : vigne rouge, marron d'Inde, petit-houx, feuilles de noisetier et hamamélis. Gemmothérapie, complexe synergique circulation : sorbier, marronnier, châtaignier et noyer pour l’assainissement des intestins, l’équilibre du microbiote et le nettoyage du sang. Aromathérapie : cyprès toujours vert, patchouli et menthe poivrée en massage , tonifient, rafraîchissent et décongestionnent les vaisseaux sanguins. Nutrithérapie : Polyphénols : quercétine (flavonoïde*), curcumine. Collagène hydrolysé. Oméga-3-6-9 . Coenzyme Q10 . Antioxydants : Vitamine A, C , E, sélénium, zinc, magnésium. Propolis : riche en flavonoïdes, anti-inflammatoire, vasoprotectrice. *Dans l’insuffisance veineuse, les flavonoïdes améliorent l’homéostasie endothéliale, la circulation sanguine et renforcent les parois des vaisseaux sanguins. Oligothérapie : Manganèse/cobalt. Citation : « Dans le cas de varices, il faut veiller à aller à la selle chaque jour pour libérer le bas-ventre et laisser le sang circuler dans les veines des membres inférieurs remonter jusqu’au cœur. Il faudra apporter un soin particulier à la flore intestinale. » - Christian Brun Article complémentaire : Les hémorroïdes
- Le syndrome de Raynaud
Article naturopathique Symptômes : Les extrémités des membres se refroidissent, doigts et orteils deviennent pâles ou bleutés et engourdis. Dans le monde, 8 à 10 % des femmes et 3 à 5 % des hommes sont concernés. Les personnes atteintes sont généralement de type rétracté . Causes : Défaut circulatoire, le sang n’arrivent pas aux extrémités. Il y a fatigue de tout le système cardio-vasculaire, la pression artérielle est trop basse . C’est un signal de fatigue ou de stress . Il faut renforcer l’organisme. Trouble du système nerveux autonome (régulation vasomotrice défectueuse). Une hypothyroïdie et/ou une faiblesse surrénalienne . La suralimentation en fruits. Le froid est un facteur déclenchant, mais pas la cause. Un dysfonctionnement mitochondrial . Solutions : 1. Gestion du stress Respiration Wim Hof, cohérence cardiaque , kinésiologie . Le stress soustrait l’ énergie vitale du système circulatoire pour la diriger vers le système nerveux . Plantes adaptatives dont la réglisse. 2. Phytothérapie Plantes pour la circulation sanguine : gingko biloba + vigne rouge à hautes doses, ortie en quantité. Le gingembre améliore la circulation capillaire. Le bois piquant (frêne épineux). Gemmothérapie : le sorbier et le cassis ( surrénales ). Aromathérapie : 2 gouttes d'HE de thym à thujanol 2 fois par jour per os aux repas pendant 20 jours à renouveler tous les 3 mois. 3. Hygiène de vie Repos / exercice . Exposition au soleil . Augmenter l' énergie vitale . Bains Salmanov + Capillar (taxifoline). Cataplasmes à l'huile de ricin avec bouillote chaude sur les reins. Négativation . 4. Alimentation Nourriture physiologique plus dense, plus riche, plus chaude, plus digeste, plus antioxydante, protéines complètes et lipides en suffisance, par exemple : 50% de lipides, 20% de protéines et 30% de glucides. Potages chauds en dehors des repas. Porridge d’avoine complète biologique à l’eau ou au « lait » végétal (la céréale la plus réchauffante, son gluten ne pose pas de problème). Proscrire les fruits acides et mi-acides, se limiter à un fruit doux entre 17h et 18h. Compenser l’apport en vitamines et minéraux avec plus de légumes chauds. Jus d’ ortie , betteraves, carottes, grenade, curcuma, gingembre. Lait d'or . Cure de raisin (en septembre). Suppression des overtoniens et du grignotage (perte d’ énergie vitale ). Compléments alimentaires : Vitamine C : 3 g/J. Vitamine E : 200 UI/J. Vitamine D : 2.000-3.000 UI/J. Acides gras oméga-3 (fluidifiant sanguin, meilleure résistance au froid). Iode . Plasma marin de Quinton . Magnésium organique + vitamine B6 + L-taurine. Coenzyme Q10 . D-ribose. Oligothérapie : manganèse/cobalt en solution colloïdale. Contrôle biologique : Vérifier la carence en cobalt (vit. B12) et en fer. Vérifier les électrolytes pour l'équilibre du système nerveux (sodium, potassium, calcium, magnésium). Vérifier la fonction thyroïdienne et surrénalienne . Vérifier la concentration en iode urinaire : > 110 µg /L. Citation : « Si nous ne créons pas l’énervation et la toxémie en taxant l’organisme au maximum, nulle pathologie ne se développera. Si l’on allège la surcharge toxique, si l’on suit un mode de vie raisonnable, si l’on dirige son esprit vers de nouvelles voies, et si l’on calme et l’on contrôle ses émotions, ce ne sera plus un jeu de hasard de se rétablir et de se maintenir en bonne santé. » - Herbert M. Shelton
- Trois ennemis à contrôler pour bien vieillir : l’inflammation, l’oxydation et la glycation
Article de santé Si ces trois facteurs ne sont pas contenus dans certaines limites, ils entraînent un vieillissement accéléré, une dégénérescence prématurée et des problèmes de santé chroniques importants. Autant y prêter attention et vieillir dans de bonnes conditions. L’inflammation : C’est l’inflammation chronique qui nous intéresse ici, un article y a déjà été consacré. Pour rappel, l’inflammation chronique est caractérisée par sa longue durée dans le temps, de plusieurs mois à plusieurs années. C’est l’étape 4 des étapes de la maladie selon John H. Tilden. Elle fera le lit des maladies dégénératives et de civilisation, basculant ensuite vers l’ulcération avec destruction des tissus et perte de fonction. Toutes ces étapes peuvent finalement aboutir au cancer qui est aussi une maladie inflammatoire. L’inflammation chronique accélère le vieillissement, elle est oxydante. Les causes et les solutions pour contrer l’inflammation chronique se trouvent dans l’article complet : ici . Biologie : On peut évaluer l’inflammation dans une prise de sang par le dosage de la protéine C réactive (CRP) et la CRP ultra-sensible (inflammation de bas grade). Pensons également à demander notre statut en acides gras, qui, lorsqu’il est déséquilibré, notamment avec un mauvais rapport oméga-3 / oméga-6 , engendre de l’inflammation chronique. L’oxydation : L’oxydation est une réaction normale nécessaire au fonctionnement de l’organisme humain, mais elle peut-être délétère en excès, à l’instar de la contrer en excès. Nous avons déjà abordé le sujet dans l’article sur la bioélectronique Vincent avec l’oxydo-réduction (rH2). L’oxydation signifie qu’il y a présence de radicaux libres*. La suroxydation signifie qu’il y a un manque ou une perte d’électrons. *Un radical libre est une molécule chimique oxydante, un déchet toxique entraînant la dégénérescence et des dommages dans l'organisme. Les radicaux libres sont des dévoreurs d’électrons. La perte importante d’électrons entraîne une baisse de la vitalité immunitaire. Les causes de l’oxydation : La nourriture transformée . Les vaccins et leurs adjuvants. Les ondes électromagnétiques . Les toxiques (pollution, alcool, tabac, drogues, etc.). Le stress . L’excès de sport . L’excès de fer et de métaux lourds dans l’organisme. La dysbiose , la porosité et l’ inflammation intestinale. Le fait d’être coupé de la terre (décharge d'électricité statique et captage d’électrons difficiles). Pour contrer les effets de l’oxydation, nous aurons recours aux antioxydants qui jouent un rôle important dans la protection des membranes cellulaires. La rouille est un bon exemple d’oxydation, le fer se corrode Les conséquences de l’oxydation : Vieillissement accéléré Cancer Maladies neurodégénératives Maladies métaboliques Maladies inflammatoires Maladies auto-immunes Troubles immunitaires SIDA DMLA, cataracte Biologie : On peut évaluer le statut (anti)oxydant par une prise de sang en analysant le taux de glutathion, de superoxyde dismutase (SOD), de myélopéroxydase (MPO), des anticorps anti-LDL oxydées, de vitamines A et E, de zinc, de fer, de sélénium et de coenzyme Q10. Les solutions pour contrôler l’oxydation : Les vitamines antioxydantes : A, C et E. Les minéraux antioxydants : zinc, sélénium, bore . L’acide aminé : N-acétylcystéine précurseur du glutathion. La L-glycine : soutien des tissus conjonctifs, favorise et régule le sommeil, antioxydante, anti-inflammatoire, anti-âge, sarcopénie, amélioration de la mémoire , de la cognition , de l’équilibre physique et psychique, etc. Les flavonoïdes et les polyphénols comme la quercétine et le resvératrol qu’on trouve dans les fruits (grenades, myrtilles) et légumes, mais aussi en complément alimentaire. La curcumine . La chlorophylle . La coenzyme Q10 . L'acide R alpha-lipoïque. La mélatonine (hormone du sommeil). La mise à la terre ( négativation ). La gestion du stress . Une activité physique adaptée. L’assainissement du microbiote intestinal. Une mauvaise qualité alimentaire contribue de manière significative à l'état oxydatif et inflammatoire d'un individu. La glycation : La glycation est une réaction chimique entre un sucre et une protéine générant une protéine glyquée ou AGE (produit de glycation avancé). Ces AGE interfèrent avec le fonctionnement normal de l’organisme. C’est un des facteurs de vieillissement accéléré des tissus. Nous pouvons observer la glycation lorsqu’il y a réaction de Maillard lors de la cuisson de certains aliments. S’il y a brunissement et modification d’odeur, il y a réaction de Maillard. Le chimiste Maillard a mis en évidence des réactions dues à la cuisson dès 1916, comme les acrylamides, les isomères, les benzopyrènes, etc. qui sont des molécules cancérigènes et toxiques . Ce sont également des anti-nutriments , des inducteurs d’indigestions, d’oxydations bioélectroniques et de glycation (« caramélisation » cellulaire), facteurs essentiels du vieillissement, de l’atonie des tissus, des rides, de la cataracte, de l’artériosclérose, de l' arthrose , de l’insuffisance rénale, de la dévitalisation et des surcharges humorales ( toxémie ). À l’instar de l’oxydation, la glycation tend à augmenter la production de radicaux libres. Réaction de Maillard, il y a caramélisation des brochettes par la cuisson Lors de la glycation, il se passe la même chose dans notre corps provoquant des lésions tissulaires et cellulaires, on dit qu’il se « caramélise » par excès de glucose (glucotoxicité) et donc principalement lorsqu’on mange beaucoup de glucides ( céréales , amidons , viennoiseries, friandises, miel, etc.) et des aliments trop cuits. Attention donc aux fritures, aux barbecues et aux cuissons hautes températures ! Facteur aggravant : Le diabète (hyperglycémie). Oui, ce sont encore une fois les sucres qui sont en cause, ils accélèrent le vieillissement ! Biologie : On peut évaluer la glycation dans une prise de sang par le dosage de l’hémoglobine glyquée ou glycosylée ou HbA1c. L’hémoglobine glyquée intègre toutes les valeurs de glycémie sur 3 mois et représente la couche de substances glucidiques qui se dépose sur l’hémoglobine des globules rouges. C’est le reflet de la glycation dans l’organisme. Plus l’hémoglobine glycosylée est haute, plus la mémoire se détériore et plus nous nous rapprochons du diabète . Solutions pour limiter la glycation : Alimentation : Eliminer les cuissons à haute température et les aliments frits. Diminuer la consommation de sucres ( céréales : pain, pâtes, viennoiseries, riz. Pommes de terre, friandises, limonades, jus de fruits, sirops, confitures, desserts, excès de fruits , alcool, etc.). Manger selon son génotype . Consommer des lipides bien équilibrés en acides gras oméga-3-6-7-9. Consommer des fruits en quantité raisonnable et des légumes à volonté. Consommer une à deux noix du Brésil chaque jour pour l’apport en sélénium. Pratiquer le jeûne intermittent . Phytothérapie : Berbérine . Nutrithérapie : Carnosine. N-acétylcystéine. Coenzyme Q10. Quercétine . Citations : « Les organismes vivants ont besoin de stress oxydatif pour stimuler leurs défenses. Ils ont besoin de challenges ou défis oxydatifs. Il ne faut ni trop ni trop peu de stress oxydant ; c’est un équilibre, une voie du juste milieu. » - Bruno Mairet « Le processus inflammatoire induit un stress oxydant et réduit la capacité antioxydante des cellules. Une surproduction de radicaux libres réagit avec les acides gras des membranes cellulaires et avec les protéines, altérant leurs fonctions de manière permanente. En outre, les radicaux libres peuvent entraîner des mutations et des dommages à l’ADN qui peuvent être un facteur prédisposant au cancer et aux pathologies liées à l’âge. » - Dr. Georges Mouton « La glycation a pour effet de modifier les protéines dans le corps en les rendant inutilisables, créant ainsi beaucoup de dommages dans les tissus. » - Dr. Éric Berg « L’inflammation influence la qualité du sommeil, le métabolisme, la réaction au stress et la libération de cytokines. » - Dr. Joseph Mercola « La suppression du sucre et des graisses trans permet de résoudre le stress oxydant. » - Dr. Stéphane Résimont et Alain Andreu « Le sucre est un poison glycant. » - Dr. Pierre Maldiney « S’occuper des mitochondries devient aujourd’hui une des priorités dans la lutte contre les effets du vieillissement, au même titre que la lutte contre l’oxydation, la glycation, l’accumulation des cellules sénescentes, ainsi que la régénération cellulaire par l’autophagie. » - Dr. Jean-Luc Morel Article complémentaire : Le syndrome métabolique . L'alimentation paléo .
- Les mitochondries
Article de physiologie Description : Les mitochondries sont des organites de la cellule qui produisent de l’énergie et la respiration cellulaire via l’ATP*. Elles travaillent à près de 50°C. En s’altérant avec le vieillissement et divers polluants, elles produisent de moins en moins d’énergie et de plus en plus de radicaux libres, et donc, elles ne remplissent plus correctement leur fonction au détriment de notre santé générale, mais on peut les optimaliser et renouveler notre potentiel mitochondrial. Le corps humain contient dix millions de milliards de mitochondries, ce qui représente 20% de sa masse. En fonction de leur activité, chaque cellule en contient 300 à 2.000. Elles jouent un rôle fondamental dans la vie et la mort des cellules, divers processus anaboliques et cataboliques, ainsi que dans le contrôle de la glycémie . *L’ATP (adénosine triphosphate) est une molécule énergétique qui fournit l’énergie nécessaire aux réactions chimiques du métabolisme à partir de l’oxygène (comburant) et du glucose (carburant) ayant subi diverses transformations enzymatiques. La cellule et les mitochondries Toutes les hormones stéroïdiennes sont synthétisées dans les mitochondries. La testostérone est fabriquée dans les mitochondries des testicules. Photo d'une mitochondrie au microscope électronique 1 µM de long. Selon une étude parue en octobre 2023 dans Nature Communications, la principale raison du déclin du système immunitaire est le dysfonctionnement des mitochondries, notamment dans les cellules lymphocytaires T. Ce déclin peut être inversé grâce à des traitements ciblant la fonction mitochondriale. Causes du dysfonctionnement mitochondrial : L’ eau , l’air et les aliments pollués. Un terrain intoxiqué ( toxémie ). Les médicaments : antibiotiques, statines , paracétamol, barbituriques, neuroleptiques, antidépresseurs, anxiolytiques, etc. Les métaux lourds et les nanoparticules. L’ alcool , le tabac et les pesticides . Le vieillissement. Une mauvaise oxygénation (sédentarité, apnées du sommeil). Une hypothyroïdie peut ralentir le fonctionnement mitochondrial. Des carences et des déficits nutritionnels. Un excès d’acide gras oméga-6 linoléique. Un excès de glucides (hyperglycémie). Les sucres raffinés et de nombreux amidons sont plus susceptibles de provoquer une dysbiose intestinale conduisant à la production d'endotoxine. Cette endotoxine est l'un des facteurs qui détruisent la fonction mitochondriale , entraînant l'effet Warburg (métabolisme du cancer ). Une activité mitochondriale optimale permet de vieillir en bonne santé avec une bonne énergie. Photo de mitochondries (filaments blancs) autour d'un noyau cellulaire (cercle noir). La dysfonction mitochondriale est impliquée dans : Le vieillissement et la longévité Le fonctionnement neuropsychique et musculaire La sarcopénie L’énergie, la fatigue La douleur L’humeur Le métabolisme, la prise de poids La libido , une des fonctions de la mitochondrie est de participer à la synthèse de toutes les hormones stéroïdiennes en commençant par l’oxydation du cholestérol au niveau de la mitochondrie pour obtenir la prégnénolone qui est le précurseur de la DHEA, de la testostérone et des œstrogènes. Les maladies neurodégénératives ( Alzheimer , Parkinson , etc.)* La maladie de Charcot Le diabète de type 2 . La résistance à l'insuline peut également contribuer au déclin de la fonction mitochondriale. La fibromyalgie Les troubles cardiaques Le cancer L’autisme La myopathie La cécité La surdité L'encéphalopathie La dépression nerveuse Le système immunitaire * Le dysfonctionnement mitochondrial joue un rôle central dans la formation de neuroinflammation et de stress oxydatif, qui sont des facteurs importants contribuant au développement de maladies cérébrales ( Etude américaine de juin 2020 ). Les mitochondries, le système nerveux et les hormones sont des éléments essentiels pour notre énergie vitale . Hygiène de vie : Manger moins et mieux. Eviter le grignotage . Pratiquer le jeûne intermittent . Boire une eau de qualité. Pratiquer une activité physique régulièrement renouvelle et oxygène les mitochondries. Faire la chasse aux toxiques . S’exposer au soleil et à la lumière rouge . Une fonction mitochondriale affaiblie peut conduire à l’épuisement des lymphocytes T. Nutrithérapie et éléments indispensables à la fonction mitochondriale : Le coenzyme Q10 ubiquinone est antioxydant essentiel pour qui soutient la respiration et les structures mitochondriales. Il protège les systèmes : cardiovasculaire, immunitaire , nerveux et musculaire. Les polyphénols : resvératrol , quercétine et astaxanthine sont des antioxydants puissants. Le magnésium, plus d’un tiers du magnésium cellulaire se situe dans les mitochondries, ce qui a un impact direct sur la synthèse d’ATP. Le zinc. Le fer. Le sélénium (noix du Brésil), 30% des Français sont déficitaires. Les vitamines A, B, C , D, E et K2-MK7. Les oméga-3 -6 et -9 en bon équilibre, notamment l'acide gras monoinsaturé "oléique" que l'on trouve dans l'huile d'olive, de noisette, d'arachide et de colza. C'est une source d'énergie mitochondriale. L’acétyl L-carnitine joue un rôle important dans la mémoire et les fonctions cérébrales. Il transporte les acides gras à longue chaîne vers les mitochondries, stimule les métabolismes mitochondriaux et la production d’ATP. L’acide R alpha-lipoïque est un antioxydant et un activateur des sirtuines impliquées dans la longévité . Il a des effets positifs sur l’ Alzheimer , la mémoire , le vieillissement cérébral et la production d’énergie. La carnosine est un antioxydant et un antiglycant . Le D-ribose contribue à l’augmentation de la production énergétique cellulaire (ATP), ainsi qu’aux performances musculaires et à la récupération après un effort physique. Le glutathion* ou son précurseur la N-acétylcystéine contribuent à protéger les mitochondries de l'état oxydatif et aident l’organisme à produire de l'énergie. Le PQQ (pyrroloquinoline quinone) est un antioxydant puissant qui améliore la fonction mitochondriale, active le système immunitaire et réduit l’ inflammation chronique . Il agit en synergie avec le coenzyme Q10. La mélatonine, l’hormone du sommeil. La L-taurine. La L-glycine améliore l’activité mitochondriale et augmente la production d’ATP. La créatine forme un complexe avec l'acide phosphorique, permettant la reconstitution de l'ATP. Le shilajit. La photobiomodulation stimule l’enzyme mitochondriale cytochrome C oxydase. *Le glutathion est un antioxydant endogène puissant qui joue un rôle fondamental dans l’immunité, la détoxification, le fonctionnement du foie et la protection cellulaire. Le glutathion est en concentration plus faible chez les alcooliques. Phytothérapie : Le safran . L'extrait d'ail noir . La curcumine. Le lapacho. N.B. Certains de ces éléments peuvent être associés à une hygiène de vie saine en fonction d’un bilan sanguin. Biologie : Faire doser : l’hormone T3, le cortisol, la prégnénolone*, le magnésium érythrocytaire, le zinc, les vitamines A, B, D & E, le sélénium, la ferritine, le coenzyme Q10. Etablir un statut en acides gras afin d’optimiser l’apport nutritionnel en lipides . *Un taux sérique bas de prégnénolone peut être un signe de faible activité mitochondriale. Suite à une exposition au soleil, les mitochondries sont baignées de mélatonine qui réduit le stress oxydatif. Citations : « On ne peut pas être en bonne santé si on n’a pas des mitochondries en bonne santé. La mitochondrie est notre source principale d’énergie. » - Pr. Vincenzo Castronovo « Nous avons l’âge de nos mitochondries. » - Dr. Pierre Maldiney « Ce n’est pas inexorable de finalement avec l’âge se sentir fatigué et trop gros. Il y a moyen de combattre cela en optimalisant le fonctionnement de la mitochondrie. » - Dr. Stéphane Résimont « Les mitochondries sont d’autant plus nombreuses dans une cellule que son métabolisme est actif. » - Drs. Adolf Faller, Pierre Sprumont et Michael Schünke « Les mitochondries, parce qu'elles jouent des rôles importants dans le métabolisme énergétique, la production de radicaux libres, l'homéostasie calcique et la régulation de l'apoptose, sont essentielles au fonctionnement et à la survie des cellules musculaires. » - Julie Faitg, Olivier Reynaud, Jean-Philippe Leduc-Gaudet et Gilles Gouspillou « Un siècle après les travaux menés par Warburg et ses équipes, démonstration est à nouveau apportée que le cancer est une maladie de la mitochondrie et non du génome. […] Pour empêcher le cancer de croître, il suffit de relancer l’activité de la mitochondrie quand c’est encore possible. » - Dr. Laurent Schwartz, oncologue. « Le cancer peut avoir de multiples causes. Elles convergent toutes vers la mitochondrie. La mitochondrie est lésée. Le cancer ne peut brûler le sucre et sécrète de l’acide lactique même en présence d’oxygène. » - Dr. Otto Warburg, prix Nobel de médecine « Les pesticides organochlorés altèrent la fonction mitochondriale dans les hépatocytes et aggravent les troubles du métabolisme des acides gras. » - Liu Q. et al. (2017) « L’épuisement mitochondrial entraîne une baisse des défenses immunitaires, des troubles de production hormonale, une mauvaise digestion/assimilation, une détoxication hépatique insuffisante, la faiblesse musculaire, etc. » - Dr. Jean-Luc Morel « Les déficits en CoQ10 apparaissent au cours du vieillissement, et s’accompagnent de risques cardiovasculaires et neurodégénératifs accrus. Chez des patients déficitaires, l’ultrastructure des mitochondries de fibroblastes est altérée, et restaurée après supplémentation. » - Rodriguez-Hernandez et al., 2009 « Les maladies mitochondriales affectent tous les tissus qui ont besoin d’énergie pour fonctionner. » - Laurent Chatre, CNRS « La mitochondrie est la clé de voûte du fonctionnement cellulaire. Elle produit l’énergie dont la cellule a besoin, elle contrôle la mort cellulaire, et l’équilibre rédox. Elle est vulnérable au stress oxydant qu’elle génère, et aux déficits nutritionnels qui altèrent ses structures et diminuent son rendement énergétique. » - Pr. Anne-Marie Roussel « Les mitochondries ont beaucoup de processus bénéfiques au niveau de la réparation à l’intérieur des cellules et au niveau de la protection de développement de cancers, etc. » - Dr. Éric Simard, biologiste « Pour vivre longtemps en bonne santé, il faut protéger nos mitochondries. » - Pr. Vincenzo Castronovo « L’augmentation significative de toutes sortes de maladies chroniques au cours des dernières décennies suggère que la population des pays industrialisés souffre d’un déficit croissant en glutathion ou d’une hypo-fonction mitochondriale, causée d’une part par l’exposition croissante à de plus en plus de toxines et de radiations nocives, et d’autre part par la consommation d’aliments de mauvaise qualité qui contiennent de moins en moins de nutriments vitaux parce qu’ils sont produits selon des méthodes agricoles industrielles et sur des sols épuisés. » - Trosten Engelbrecht, Dr. Claus Köhlein, Dr. Samantha Bailey, Dr. Stefano Scoglio, extrait de Virus Mania « Les états d’esprits positifs sont liés à la capacité de transformation d’énergie des mitochondries du cerveau. » – Caroline Trumpff et Al. « Le problème avec le cancer, ce n’est pas que les cellules ne reçoivent pas suffisamment d’oxygène, mais plutôt que les mitochondries – les usines d’énergie des cellules – ne sont pas en mesure d’utiliser efficacement l’oxygène disponible ». – Dr. Frank Shallengerger « Une cause fondamentale de la plupart des maladies dégénératives est le fait que vos mitochondries ne reçoivent pas de carburant approprié en quantité suffisante. En conséquence, vos mitochondries commencent à se détériorer et à dysfonctionner. » - Dr. Joseph Mercola « La L-carnitine est le transporteur incontournable du carburant (acides gras) dans les mitochondries. Pas de carnitine, pas d'ATP, pas d'énergie. » – Dr. Georges Mouton « A l’heure actuelle, l’amélioration de la fonction mitochondriale et le ralentissement de sa dégradation semblent constituer le plus prometteur et le plus réaliste moyen de s’attaquer aux maladies dégénératives et au vieillissement. » - Lee Know « L’épuisement mitochondrial entraîne une baisse des défenses immunitaires et des troubles de production hormonale, une mauvaise digestion et assimilation, une détoxication hépatique insuffisante, une faiblesse musculaire, etc. » - Dr. Didier Potdevin « Une maladie est un manque d'énergie. Lorsque le corps manque d'énergie pour son bon fonctionnement, il se déséquilibre et tombe malade. C'est donc le manque d'énergie qui nous rend malades. » - Andreas Kalcker Articles complémentaires : La longévité humaine . Les trois ennemis à contrôler pour bien vieillir . Les causes de la fatigue . L’énergie vitale . Cancer : un traitement simple et non toxique . La coenzyme Q10 .












