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  • La zéolite clinoptilolite

    Article de santé On entend de plus en plus parler de la zéolite dans le milieu de la santé naturelle, mais que dit la science ? Les zéolites sont des minéraux poreux à haute capacité d'absorption et d'échange d'ions. Il existe environ 140 types de zéolites naturelles. La zéolite clinoptilolite naturelle activée  est la plus utilisée et étudiée en médecine , c’est un excellent agent détoxifiant, antioxydant, anti-inflammatoire, immunomodulant et immunostimulant. C’est une sorte de super argile ou de super charbon activé aux propriétés thérapeutiques efficaces sans effets secondaires. La zéolite peut purifier l’intérieur de notre corps, maintenir l’ homéostasie du microbiote intestinal pour une activité cérébrale saine, améliorer les activités antioxydantes et anti-inflammatoires endogènes, améliorant ainsi le bien-être général. La zéolite clinoptilolite est une source importante d'acide orthosilicique ( silicium ) aux propriétés biodisponibles pour l’homme. Elle capte l’ammoniac et les métaux lourds dans le système digestif. Elle améliore l'écosystème de la flore microbienne intestinale. Un nombre croissant de recherches montrent que la maladie d’Alzheimer et surtout la maladie de Parkinson sont étroitement liées à la santé intestinale et au microbiote intestinal et que les deux maladies peuvent se propager de manière rétrograde de l'intestin au cerveau. La zéolite clinoptilolite activée a des effets positifs et pertinents pour le traitement de ces maladies neurodégénératives par assainissement des intestins et du microbiote .   Indications : Maladies neurodégénératives Maladies inflammatoires chroniques des intestins Porosité intestinale Dysbiose du microbiote intestinal Hépato protection Diarrhée Inflammations chroniques Stress oxydatif Faiblesse immunitaire Intoxication  : métaux lourds, ammoniac*, nitrates, pesticides, colorants, etc. Cancer Ostéoporose Régénération tissulaire Cicatrisation des plaies en local Équilibre acido-basique Radiations Traitement des eaux usées *   Des niveaux élevés d'ammoniac indiquent une mauvaise fonction hépatique et rénale.    Posologie : 1 cuillère à café (2 gr.) non métallique dans 15 cl d’eau, 2 fois par jour, à distance des repas et des médicaments (1h avant ou 3h après). Cure standard : 3 mois.   Citation : « À une époque où nous sommes constamment exposés à diverses toxines liposolubles, à des colorants alimentaires et à des métaux lourds - entraînant une fatigue constante, un brouillard cérébral et des problèmes intestinaux - un minéral chélateur comme la zéolite peut être exactement ce dont nous avons besoin pour les surmonter. » - Dr. Andrew Kaufman « Les bienfaits de la zéolite pour la santé sont innombrables et j'ai pu les observer au fil des années dans ma pratique. » - Dr. Howard Peiper, expert en zéolite   Références : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30999685/   https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38780851/   https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38893490/   https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC11509060/   https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26268084/   https://www.mdpi.com/1420-3049/24/8/1517#

  • L'équilibre acido-basique

    Article de physiologie Le chapitre de l’équilibre acido-basique est parcouru en long et en large dans les ouvrages de médecine naturelle. Cette fiche synthétique va nous permettre d’avoir une idée du sujet. L' équilibre acido-basique , ou homéostasie du pH est une fonction du corps humain qui vise à réguler le pH (potentiel hydrogène) des différents tissus et fluides du corps. Ce bon équilibre est générateur d’une excellente santé. Le corps est en équilibre lorsque les différents niveaux de pH acides et bases sont dans les bonnes valeurs : Sang : 7,5-7,42 Lymphe : 7,9 Salive : 6,5 - 7,0 Urine : 6 à 7,5 (6,8) Peau : 5 à 5,2 Colon : 4,8 Sucs pancréatiques : 7,5 à 8,8 Sucs intestinaux : 8,0 Sucs gastriques : 1,5 à 3,2 (moyenne : 2) Bile : 7,6 Le pH est une unité de mesure du degré d’acidité ou d’alcalinité d'une solution, on l’établit sur une échelle de 0 à 14. Le pH du sang est toujours stable et le reste tant que l’organisme arrive à puiser dans ses réserves pour rester en équilibre, c’est vital. Les variations maximales compatibles avec la vie sont théoriquement comprises entre 6,9 et 7,7. On considère qu’en-dessous de 7,36 le pH du sang est acide et qu’au-dessus de 7,42 il est alcalin. On parle d'acidose en cas de diminution du pH et d'alcalose en cas d'augmentation de celui-ci. La régulation du pH fait appel à de nombreux systèmes. Chaque modification de la composition idéale du terrain éloigne le corps de l’état de santé. Pour s’équilibrer, le corps rejette des acides par des émonctoires spécialisés : les poumons (CO2), les reins et la peau (glandes sudoripares). Le corps utilise aussi des minéraux et des oligo-éléments basiques comme le calcium, le magnésium, le sodium, le potassium, pour tamponner les acides. Il peut aussi les obtenir dans les tissus comme le sang et les os par exemple et par une alimentation suffisamment riche en minéraux alcalins. Une alimentation qui apporte trop d'éléments acidifiants et un mode de vie stressant (physique et mental), sont à la source d'un déséquilibre, d'une oxydation et d’un excès d'acide. Les acides endogènes : métabolisme, stress . Les acides exogènes : air pollué, alimentation acidifiante . L’acidose est une présence exagérée d’acides dans le terrain qui n’ont pas été éliminés ( toxémie acide). Ces acides ont une action agressive, abrasive et corrosive sur les tissus. Ceci va engendrer bon nombre de troubles de santé comme : de l’eczéma, du psoriasis , des rhumatismes , des tendinites, du stress , des inflammations, de l’œdème, des caries, des douleurs diverses, de la fatigue , le cancer , de l'ostéoporose , etc. (Voire fiche : Les aliments acidifiants ). L'organisme épuise ses minéraux pour lutter contre l’état d'acidose. Exemple des sodas : pH +/- 3 (très acides) -> brûlures -> douleurs -> inflammations -> destructions des cellules et des tissus. Toutes les pathologies se construisent sur un terrain acido-basique déséquilibré ! Les microzymas changent de formes en fonction de l’acidité du liquide extracellulaire... Ils répondent aux signaux biochimiques, le plus important étant le pH. Les causes de l’acidification : Une alimentation acidifiante (acide en excès) Des carences en éléments alcalinisants La sous-oxygénation La congestion des émonctoires (peau, poumons, reins) Le stress physique et mental Les pensées négatives Les overtoniens Les médicaments chimiques C'est tout un mode de vie qui devra être modifié pour obtenir une réponse au déséquilibre acido-basique. Les facteurs alcalinisants : Une alimentation vivante riche en micronutriments, adaptée à notre capacité digestive et émonctorielle Une activité physique suffisante Des exercices respiratoires Le yoga, la méditation Le sommeil, la détente, le repos , le calme Le sauna Le plasma marin de Quinton La zéolite Remarque importante : Éclaircissement sur l’état du terrain alcalin/oxydé de la bioélectronique Vincent qui a des similitudes avec l’acidose… Pour rappel, les maladies dégénératives sont liées à l’ acidose , mais on les retrouve dans le quadrant 3 du bioélectronigramme Vincent qui est alcalin et oxydé . Le terme acidose employé en naturopathie et en hygiénisme fait référence à l’eau liée , c'est-à-dire intracellulaire . Alors qu’en bioélectronique on fait référence à l’eau libre, c'est-à-dire l’eau circulante : sang, salive et urine. Il est en fait reconnu que le sang qui tend vers l’alcalin donne des tissus acides… Par exemple, dans le cas du cancer , les tumeurs formées par les cellules malades sont très acides, alors que le sang correspondant est très alcalin, dans ce cas l’urine , elle, devient de plus en plus acide au fur et à mesure que le cancer progresse. On remarque une différence de potentiel qui s’écarte entre sang/salive (alcalin) et urine (acide). L’urine est le reflet du mésenchyme (milieu cellulaire). Autrement dit, pour alcaliniser le milieu cellulaire et les tissus, nous devons acidifier le sang. (Voire : Bioélectronique Vincent , bioélectronigrammes et tableaux comparatifs). En résumé, lorsque notre terrain s’acidifie, en bioélectronique notre sang tend vers des valeurs alcalines. Tout est équilibre, les traitements et les remèdes ne guérissent jamais, il faut supprimer les causes des troubles et régénérer !

  • L'hypothèse VIH/SIDA en clair - Les faits

    Cet article représente 2 années de recherches, plusieurs centaines d’heures d’études, d’audition et la lecture de plusieurs milliers de pages de littérature médicale. On ne détecte pas le virus ou que très rarement même chez des malades au stade final du SIDA, seule une chance rare et une extrême persévérance peuvent faire apparaître le VIH (in vitro) chez une personne séropositive, donc un problème énorme se pose pour les virologues qui ne trouvent pas de virus actif chez les malades… En effet, à ce jour, aucun virus n’a été photographié dans la salive, le sang ou d’autres parties du corps humain/animal/végétal ou dans des liquides, bien que l’imagerie au microscope électronique soit désormais une technique standard facile et courante. Ce seul fait non équivoque et facilement vérifiable, à savoir qu’il n’existe pas d’images de virus dans le corps humain/animal/végétal ou dans des liquides provenant de celui-ci, réfute toutes les allégations concernant les virus . ( Source : Dr. Stefan Lanka, virologue) On ne remarque que des anticorps qui seraient une réponse de défense au VIH. En fait ces anticorps sont NON SPÉCIFIQUES puisqu'on les retrouve dans 70 autres causes ou facteurs pouvant faire cette même réaction de " séropositivité " (liste de Christine Johnson, en bas d'article). Les anticorps sont traditionnellement un signe de ce que le système immunitaire a rejeté le virus (vaccination naturelle efficace et protection absolue contre une maladie infectieuse). Certaines personnes ont d'ailleurs naturellement des taux d'anticorps élevés et sont bien entendu en parfaite santé. Ce sont des anticorps (protéines) que reconnaissent les " tests de dépistage " de l'infection et non le virus lui-même. Il n’existe pas de test directement capable de détecter la présence d’un virus . Ces tests de dépistage sont aléatoires, car les critères de diagnostic ne sont pas les mêmes dans tous les pays, vous pouvez donc vous retrouver positif au Canada et négatif en France, la définition de séropositivité varie donc d'un pays à l'autre, aux USA cela dépend d'un laboratoire à l'autre... Encore mieux au Royaume Uni le test Western Blot n'est pas reconnu valide pour confirmer une infection au VIH. Les notices accompagnant ces tests, avertissent qu'aucun d'entre eux n'a été validé ni approuvé par la FDA pour diagnostiquer l’infection VIH. « La fiabilité des tests du SIDA est complètement hallucinante, c’est du délire total ! » - Dr. Alain Scohy Cela signifie que la première chose à faire en cas de test VIH +, c’est d’en chercher la cause ! Pour qu'un test soit fiable, un virus doit être isolé de manière purifiée, ses protéines spécifiques pourront alors être reconnues par le test. La plupart des gens croient que le test de " charge virale " met en évidence le vrai virus , or ce n’est pas le cas. Ce test recherche de minuscules brins d’ARN qu’on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une formule mathématique complexe qui génère un nombre qu’on étiquette « charge virale » ce terme est trompeur car il suggère que le virus est présent à un titre élevé, bien qu'un virus infectieux soit généralement indétectable. Au lieu de cela, ce terme désigne la quantité de fragments d'ADN viral ( "copies" ) qui peuvent être générés exponentiellement in vitro par la réaction en chaîne polymérase 'PCR' (amplification de l'ordre du milliard de fois) au départ de l'ARN de rares virus neutralisés par les anticorps, ou de l'ADN des rares cellules infectées de manière latente isolées à partir du patient (artificiellement et à l'extérieur du corps, culture cellulaires in vitro ). La méthode PCR a été inventée par le prix Nobel Kary Mullis opposant de l'hypothèse VIH/SIDA… Ainsi, pour prendre un exemple : une personne qui a fait une infection par Cyto Mégalo Virus qui est en train de disparaître, verra une diminution régulière de la charge virale de ce virus bien précis. Il en est de même pour d’autres infections virales comme l’hépatite B ou la mononucléose infectieuse. Par contre dans le cas du VIH, on ne sait pas ce qu’on mesure puisque ce très hypothétique virus n’a jamais été vu, isolé ou cultivé ! Kary Mullis a toujours refusé de donner son aval pour l’utilisation de sa technique dans le cas du VIH. Le nombre d’unités infectieuses constitue le seul critère clinique correct pour déterminer si l’on est en présence d’une pathogénie virale. Aucun scientifique n'a JAMAIS réussi à démontrer, au microscope électronique, la moindre particule de rétrovirus directement dans le sang d'un patient étiqueté comme ayant une "charge virale" élevée. Ce virus fantôme n’a JAMAIS été isolé et multiplié en culture de manière purifiée à ce jour -> 'purification par centrifugation de gradient de densité de saccharose'. En effet, toute la recherche virale se passe in vitro et in silico. Les chercheurs fabriquent in vitro une soupe microbiologique à partir de fragments génétiques rénaux de singe Vero ou de sérum bovin avec d’autres tissus ou de fluides humains (morve) ou animaux qu’ils laissent pourrir une bonne semaine, puis ils y ajoutent des enzymes (trypsine), des antibiotiques, plusieurs produits chimiques (amphotéricine, gentamicine), ensuite ils appliquent un colorant de contraste et un fixateur (vernis) et étudient le résultats (un artefact). Ils entrent les données des résidus de ce bouillon de morceaux de matériel génétique (fragments protéiques, ARN, ADN) dans des programmes informatiques (in silico) qui tente de recréer et de déterminer le résultat. Ils appellent cela l’isolement !!! Ils n'ont JAMAIS réussi à isoler un virus de manière purifiée par ultracentrifugation au gradient de densité de saccharose en prélevant du sang ou d’autres tissus d’une personne malade. Ils n'ont jamais pu prouver en respectant les postulats de Koch ou de Rivers qu'un virus était la cause d'une maladie, parce qu’ils ne trouvent pas de virus directement dans les tissus d’un organisme. Ils n’ont donc jamais su prouver la contagion . Ils travaillent sur du matériel mort, ils sont incapables de travailler sur le vivant. Selon le Pr. Peter Duesberg, le virus latent et biochimiquement inactif ' VIH ' n'est présent que dans moins d'un lymphocyte T-CD4 sur 500, il n'existe en biologie aucun précédent de gène dormant ayant jamais eu un effet quelconque ni, moins encore, causé une maladie mortelle. Le professeur émérite d'immunologie de l'université de Genève Alfred Hassïg explique pourquoi les personnes diagnostiquées séropositives risquent entre autres choses de présenter une baisse de leur taux de cellules T. En effet, sous l'état de stress (cortisol) ou d'administration de corticoïdes, les cellules T circulantes dans le sang (2%) se réfugient principalement dans la mœlle osseuse, elles reviennent dans la circulation sanguine lorsque le stress s'estompe. Les taux de lymphocytes T4 sont extrêmement variables même chez des individus en parfaite santé et ce même à différents moments de la journée. Qui plus est, des taux inhabituellement élevés de lymphocytes T4 n'indiquent généralement pas la santé mais plutôt un processus inflammatoire dans le corps, telles que les allergies ou une affection auto-immunitaire qui oblige la population de lymphocytes T-CD4 à rester en état d'extrême alerte. Le fait que les thérapies rétrovirales produisent un accroissement presque immédiat du nombre de lymphocytes T-CD4+, n'est pas dû à l'efficacité de leur intervention contre le virus , mais plutôt à la stimulation chimique artificielle occasionnée par un effet nommé ‘hystérésis’, ce qui signifie que la réponse immunitaire produite pour contrer l'envahisseur chimique se traduit au début par une augmentation des T4, qui n'est pas nécessairement bénéfique ni significative au point de vue santé. Le virus VIH ne respecte aucun des postulats de Koch qui servent à prouver qu'un microbe est la cause d'une maladie. Hypothèse : 'Le VIH pénètre dans la cellule et la désintègre immédiatement !' - Ceci n'a jamais été observé et est absolument contraire à la caractéristique spéciale enseignée à propos des rétrovirus , à savoir que les rétrovirus ne tuent pas la cellule hôte. Le ' SIDA ' a toujours existé, c'est un nouveau nom qui sert à étiqueter d'anciennes maladies (tuberculose, paludisme, immunodépression… environ 35 à ce jour), la liste dans laquelle on inclut ces maladies est de plus en plus allongée, ce qui permet d'essayer de justifier la pandémie annoncée depuis les années 80'. Si une personne est atteinte de la tuberculose et qu’elle est séropositive, on dira qu’elle a le SIDA. Mais si elle est séronégative on dira qu’elle a la tuberculose. Même chose pour les autres maladies. Plus de 30 ans et plus de 500.000.000.000 $ (500 milliards de dollars, selon l'université de Harvard) ont été investi dans la recherche sans aboutir. Devant autant d'échecs, abstraction faite des bénéfices mirobolants réalisés par les laboratoires pharmaceutiques, il serait temps d'investiguer vers d'autres pistes plus prometteuses, car l'hypothèse VIH-$IDA est restée improductive et non démontrée jusqu'à ce jour. Plus de 80.000 articles ont été publiés sur le $IDA, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes, ni essayé de prouver que le VIH causait bien le $IDA. Aucune preuve scientifique n’a jamais été établie à ce sujet. Ce n’est qu’une hypothèse qui a été érigée en certitude, puis en dogme, enfin en idéologie de dictature. Cette simple hypothèse de travail a été introduite en 1984 lors d’une conférence de presse internationale politico-pharmaceutique par le Dr. Robert GALLO qui avait passé 20 ans de sa carrière à essayer de prouver que le cancer était une maladie virale transmissible ! Depuis 2002, une prime de 100.000 $ de récompense est offerte par Alexander Russel à quiconque peut prouver que le VIH est la cause du SIDA, la prime n’a jamais été décrochée à ce jour… Par exemple, le "stress oxydatif" - TOXÉMIE - souligné par le Pr. Luc Montagnier (prix Nobel et découvreur du “VIH”) et bien d'autres scientifiques (+/- 2.000) dont plusieurs prix Nobel pourrait être une piste à exploiter sérieusement, ce stress peut induire une immunodépression toxique grave comprenant un ou plusieurs facteurs : Malnutrition. Carences . Médicaments (+/- 2.000) dont 'ARV' (Antirétroviraux), antibiotiques, stéroïdes, vaccins … Produits chimiques, toxiques . Drogues récréatives : principalement les "Poppers" et les drogues injectables. Transfusions sanguines. Infections à répétition. Peur, stress intense et prolongé, etc. Il sera dès lors judicieux d’adopter une alimentation antioxydante supplémentée d’antioxydants comme : la vitamine C et E, la N-acétylcystéine (précurseur du glutathion). "Le problème ce n'est pas le virus sur la seringue, mais la drogue qui est dedans. […] L’hypothèse du virus a éloigné les chercheurs du vrai problème, à savoir le mode de vie immuno-destructeur qui mène au SIDA." - Pr. Peter Duesberg "Le stress est le vrai VIH." - Dr. Marc Deru "Ce sont les vaccinations de masse à base de virus vivants, inutiles et dangereuses, qui sont à l’origine de l’extension du SIDA." - Pr. Richard Delong De ce fait, le SIDA ne se transmet pas sexuellement, contrairement aux autres IST (gonorrhée, syphilis, etc.). Plusieurs centaines de rapports médicaux ont été établis à propos de prostituées africaines, états-uniennes, européennes et asiatiques, ainsi que sur des couples sérodifférents, uniquement les personnes consommatrices de drogues ont les syndromes du SIDA. Une étude scientifique réalisée par l'épidémiologiste Nancy Padian, en 1997, met à mal l'affabulation liée à la prétendue contagion par voie sexuelle, du VIH. Après avoir suivi des couples sérodifférents pendant de nombreuses années, elle n'a pas pu montrer un seul cas de séroconversion de partenaires séronégatifs. Comble de l’ironie, le préservatif, la protection contre le VIH (prétendument vecteur du SIDA) est illusoire puisque selon un laboratoire, les pores des préservatifs (marque Durex) ont un diamètre de 170 nanomètres pendant que celui des rétrovirus est de 100 nanomètres. L'homo sapiens a naturellement des relations sexuelles depuis 300.000 ans et les virus étaient là avant lui, nous sommes des êtres microbiens , c’est grâce aux bactéries et aux virus que nous vivons, il n'y a pas de 'nouveaux virus' depuis 1980... Le Pr. Montagnier est très clair dans ce qu’il explique lors de l'interview avec le journaliste Brent Leung, le répétant à plusieurs reprises de différentes manières. Pour l’essentiel, il dit que : - On peut être exposé au VIH plusieurs fois sans être infecté de manière chronique, un bon système immunitaire peut s'en débarrasser en quelques semaines. - On peut combattre le SIDA grâce à une alimentation correcte et en se préservant d'autres infections affaiblissantes. - L’importance d'un vaccin et de médicaments contre le SIDA est exagérée. - La médication ARV est toxique et ne peut être prise à vie comme par exemple l'insuline chez les diabétiques. - Le SIDA peut être traité autrement qu’avec un vaccin, avec des choses peu coûteuses et hautement efficaces. - Pour se protéger du SIDA, ce dont les Africains ont réellement besoin, c’est d’une meilleure nutrition et d’eau potable. - Les faits concernant la nutrition et le SIDA sont négligés (par l’établissement médical et les administrations locales). A la conférence internationale sur le SIDA de San Francisco en 1990, le Dr. Luc Montagnier qui a originellement découvert le VIH, déclara : « Le VIH serait inoffensif ». 6 points scientifiques simples pour prouver que le VIH cause le SIDA : 1. Isoler le VIH de manière purifiée. 2. a) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4. b) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4 en présence d'anticorps et ce de manière plus rapide que la réplication de nouveaux lymphocytes. 3. Trouver du VIH en grand nombre chez tous les séropositifs. 4. Exclure toutes autres causes de positivité. 5. Montrer les sources qui constituent la preuve que le VIH est la cause du SIDA. 6. Se conformer aux postulats de Koch. « L’histoire du VIH/SIDA est entachée de mauvaise science, de politique, d’égotisme, de définitions changeantes, de carrières détruites, de cupidité et d’escroqueries. » - Qu’est-ce qui nous rend réellement malade ? Tome 1, p. 252. Réf. : Dr. Robert Wilner, Bryan Ellison, Pr. Peter H. Duesberg, Dr. Charles A. Thomas Jr., Dr. Kary Mullis, Dr. Robert Root-Bernstein, Dr. Gordon Stewart, Dr. Joseph Sonnabend, Dr. Jim Humble, T.C. Fry, Celia Farber, Claude Tracks, Dr. Etienne De Harven, Pr. Luc Montagnier, Pr. Henry H. Bauer, Dr. Eleni Papadopulos, Pr. Alfred Hassïg, Rebecca Culshaw, Dr. Marc Deru, Dr. Jacques Gwinner, Dr. Ghislaine Lanctot, Albert Mosséri, Dr. Alain Scohy, Dr. Stefan Lanka, Dr. Jacqueline Bousquet, Sylvie Simon, Michel Dogna, Renaud Russeil, etc. Documentaires : House of Numbers de Brent Leung (5 récompenses) Sida, le doute (Arte) Sida - analyse des preuves de l'existence du VIH Power to the people (Tine Van der Maas) I won't go quietly (Anne Sono, S-t français) Positive Hell Positively false, birth of a heresy . VIH/SIDA Fait ou fraude ? La fin de la théorie des germes Vidéos online : Me. Jean-Pierre Joseph : Énigmes judiciaires - Vaccins - Sida SIDA : La fraude du VIH . Invention de l'épidémie du SIDA - Dr. Alfredo Embid Témoignage : www.youtube.com/watch?v=-1iM6BIy8Yw&t=1s SIDA la vérité révélée Dossier SIDA, exposé principal Isolation du virus du SIDA, une faute grave L'arnaque du SIDA Voir le Sida autrement SIDA Science criminelle Livres : "L'invention du virus du sida" "Les 10 plus gros mensonges sur le sida" "Sida supercherie scientifique et arnaque humanitaire" "Sortez de l'hypnose collective" "Théorie VIH du sida, incohérence scientifique !" "Enquête sur le sida, les vérités muselées" "Le Goulag du Sida" "La Mafia Médicale" "L'escroquerie du Sida, l'ultime supercherie" “Prenez en main votre santé” "SIDA, Opium, Diamants et Empire" "Virus Mania" … et bien d'autres en anglais. Magazines : Nexus n° 79 Néosanté n° 2, 4, 15, 17, 28 & 53 Biocontact n° 204. Facebook : " V.I.H/SIDA" : virus virtuel ou provocation du siècle ? " VIH - SIDA Le plus gros scandale de la médecine " Blogs : www.sidasante.com Sites : http://rethinkingaids.com/ ; http://www.virusmyth.com/aids/ ; http://theaidstrap.com/ Articles : Sylvie Simon (journaliste scientifique) - Sida : Les faits toujours occultés. Michel Dogna - Sida : l'imposture . Régler le débat sur les virus . Facteurs connus susceptibles de produire des résultats faussement positifs lors de tests anticorps au « VIH »1 [1] • Anticorps anti hydrates de carbone. • Anticorps générés naturellement. • Immunisation passive : réception de globuline gamma ou globuline. Immune (en tant que prophylaxie contre une infection contenant des anticorps). • Lèpre. • Tuberculose. • Mycobacterium avium. • Lupus érythémateux disséminé. • Fonction rénale déficitaire. • Hémodialyse (en cas de fonction rénale déficitaire). • Thérapie par interféron alpha chez les patients en hémodialyse. • Grippe. • Vaccin antigrippal. • Herpès simplex I. • Herpès simplex II. • Infection des voies respiratoires supérieures. • Infection virale récente ou exposition à un vaccin antiviral. • Grossesse chez les femmes multipares. • Malaria. • Taux élevés de complexes immuns dans la circulation sanguine. • Hypergamma globulinémie (taux élevés d’anticorps). • Fausse positivité à d’autres tests, tels que le test RPR (réactif plasma rapide) pour la syphilis. • Arthrite rhumatoïde. • Vaccination contre l’hépatite B. • Vaccination contre le tétanos. • Transplantation d’organes. • Transplantation rénale. 1[1] Christine Johnson, “Whose Antibodies Are They Anyway?” Sept./Oct. 1996, Continuum • Anticorps anti-lymphocytaires. • Anticorps anti-collagènes (que l’on trouve chez les homosexuels, les hémophiles, les Africains des deux sexes ainsi que les personnes atteintes de la lèpre). • Sérologies positives au facteur rhumatoïde, anticorps antinucléiques (trouvés l’un et l’autre en cas d’arthrite rhumatoïde et d’autres problèmes auto-immunitaires). • Maladies auto-immunitaires : lupus érythémateux disséminé, sclérodermie, maladie du tissu conjonctif, dermatomyosites. • Infections virales aiguës, Infections par virus ADN. • Néoplasmes malins (cancers). • Hépatite alcoolique ou cirrhose du foie d’origine alcoolique. • Cholangite sclérosante primitive. • Hépatite. • « Sticky » blood, (chez les Africains). Ce syndrome est aussi appelé Hugues’syndrome ou syndrome antiphospholipide. • Anticorps présentant une grande affinité avec le polystyrène (utilisé dans le matériel des tests). • Transfusions sanguines, transfusions multiples. • Myélome multiple. • Anticorps HLA (correspondant aux antigènes leucocytaires humains de classes I et II). • Anticorps contre les muscles lisses. • Anticorps contre les cellules pariétales. • Anticorps IgM contre l’hépatite A. • Anticorps IgM contre les hépatites B et C. • Administration de préparations à base d’immunoglobuline humaine composée avant 1985. • Hémophilie. • Affections hématologiques malignes / lymphomes. • Cirrhose biliaire primaire. • Syndrome de Stevens Johnson. • Fièvre Q associée à une hépatite. • Echantillons traités à la chaleur. • Sérum lipémique (sang contenant un taux élevé de graisse ou de lipide). • Sérum hémolysé (sang dans lequel l’hémoglobine est séparée des globules rouges). • Hyper bilirubinémie. • Globulines produites lors des gammopathies polyclonales (que l’on trouve chez les groupes à risque de « SIDA »). • Réactions croisées mal expliquées chez des sujets sains. • Protéines ribonucléiques humaines normales. • Autres rétrovirus (que le « VIH »). • Anticorps anti-mitochondriaux. • Anticorps anti-nucléiques. • Anticorps anti-microsomaux. • Anticorps aux antigènes leucocytaires des lymphocytes T. • Présence de protéine sur le papier du filtre. • Virus Epstein-Barr. • Leishmaniose viscérale. • Sexualité anale réceptive. Décision judiciaire : Le 24 février 1997, le tribunal prononça l’acquittement du Dr. Gunther Ekkart de tous les chefs d’accusation au motif que l’existence du virus VIH n’est pas établie. Ce jugement marquait une étape historique dans le débat sur l’existence du VIH car, pour la première fois depuis une décennie que durait la controverse (occultée par les médias à ce jour), une autorité judiciaire reconnaissait enfin que le soi-disant virus VIH n’a jamais été isolé.

  • Comment est votre pipi ?

    Article naturo-hygiéniste L’émonctoire « reins » doit filtrer correctement les déchets, il est l’organe qui nettoie le sang de ses toxines et toxiques , ce drainage est effectué par le néphron, l’unité filtrante du rein, la capacité de filtration des reins s’observe dans les urines… Si les reins drainent bien, c’est que l’on urine facilement après avoir bu, ça veut dire qu’il n’y a pas de rétention, c’est déjà un bon point, mais ce n’est pas le plus important… c’est la filtration qui est importante, c’est à dire l’élimination des déchets métaboliques. On n’élimine pas plus en buvant plus, on élimine la même quantité de déchets métaboliques que l’on boive plus ou que l’on boive peu. Simplement les déchets seront plus ou moins concentrés ou dilués dans l’urine. Pour éliminer plus, il faut manger moins. Boire trop fatiguera le cœur et les reins, et pourrait mener à l'hyponatrémie . Si les urines sont transparentes et claires c’est qu’on boit trop (fatigue rénale surtout avec une eau riche en minéraux) ou que les reins ne filtrent pas correctement (congestion rénale), les urines ne sont pas censées être claires ! Cela signifierait que les surcharges cristalloïdes sont mal éliminées. Elles doivent être chargées, jaune paille ou or, troubles avec des sédiments et acides. Faire le test du verre après avoir uriné dedans le matin au levé, observez si l’urine est opaque et laissez reposer pendant 20 min. des sédiments doivent apparaître, il doit y avoir un dépôt au fond du verre 60 min. après. S’il n’y a pas de sédiments c’est que les déchets et toxines restent dans l’organisme, la fonction rénale est atteinte => encrassement cellulaire et organique => toxémie => maladies, dégénérescence… Le taux de créatinine idéale dans la prise de sang est de 0,5 mg/dL, attention si > 0,6 mg/dL les reins n’ont pas une filtration optimale, à 0,7 vous commencez à être dans le trouble, à 1,0 vous marchez directement vers la dialyse. Chez le sportif, le taux de créatinine peut être légèrement plus élevé que chez le sédentaire. Une alimentation physiologique vivante est suffisamment pourvue en eau (eau organique parfaite). La consommation d’ eau de source, qui doit être occasionnelle, doit être la moins chargée en résidus secs < 50 mg/L. L’eau distillée ou osmosée est de bonne qualité et fatigue peu la fonction rénale. pH normal de l’urine humaine : entre 6 et 7,5. L’urine peut être légèrement acide, c’est le témoignage que la fonction émonctorielle du corps est présente. Le pH idéal de l’urine est de 6,8 , c’est le pH d’élimination rénale optimale qui participe de façon efficace à la régulation du pH du sang. Les urines trop acides ou trop alcalines ont un faible pouvoir d’élimination et ne permettent pas l’élimination convenable des électrolytes sanguins. Avec un pH inférieur à 7, les urines sont acides. Or, des urines régulièrement acides témoignent immanquablement que le terrain est acide lui aussi. L’acidification du terrain est bien-sûr d’autant plus importante que le pH urinaire est bas. Il n’est que légèrement acidifié si le pH urinaire demeure à 6 ou 6,5, mais il est très acide si le pH urinaire atteint 5 ou 4,5. Lorsque le terrain est acide, les troubles typiques de l’acidification apparaissent et les mesures de désacidification doivent être mises en œuvre sans tarder. Mesure du pH : À l’aide d’un papier tournesol, on peut mesurer l’acidité du terrain en effectuant la mesure du pH sur la 2ème urine du matin, puis sur l’urine avant le repas de midi et avant le repas du soir. La moyenne de ces trois mesures donnera la pH urinaire. En dessous de pH 6, on considèrera le terrain comme acide. En bioélectronique Vincent , la résistivité de l’urine normale est très faible : de 29 à 70 Ω.cm . Sa concentration en électrolytes est donc très élevée, ce qui traduit une forte élimination des reins. Condition indispensable pour le maintien de l’équilibre du milieu intérieur. Plus il y a de sédiments, plus notre corps filtre et expulse de déchets lymphatiques ! Pour que la lymphe se nettoie et retire les acides métaboliques hors du corps, il faut avant tout que la filtration rénale soit bonne, sinon les déchets se trouvant dans la lymphe ne peuvent aller nulle part… Urine normale, les reins filtrent les déchets 3 mesures pour une filtration optimale : Taux de créatinine sanguin : 0,5 - 0,6 mg/dL. pH moyen : 6,8 Résistivité : 29 à 70 Ω.cm Urine normale et urine anormale Articles complémentaires : L'eau de boisson Les émonctoires La bioélectronique Vincent L'équilibre acido-basique

  • Les poisons overtoniens

    Article naturo-hygiéniste Ces poisons découverts au début du 20ème siècle par le Suédois Overton, physiologiste et Pr. de pharmacologie, sont souvent mentionnés dans les livres de santé naturelle. Ils ont la propriété d’être solubles dans l’eau (hydrophile) et dans la graisse (lipophile), cette double solubilité particulièrement dangereuse, leur permet de pénétrer dans tous les milieux de l’organisme, de ce fait ils peuvent s’infiltrer et attaquer les cellules du foie , des reins et particulièrement les cellules nerveuses (neurones) en provoquant l’altération de la membrane cellulaire et finalement sa destruction avec toutes les conséquences qui en découlent… Insomnie Burn-out Parkinson , Alzheimer Sclérose en plaques Epilepsie Tumeurs, etc. Un neurone et ses composantes Les overtoniens sont aussi une des causes favorisant la domination d’une flore intestinale pathologique. Voici quelques-uns de ces poisons destructeurs : Le cacao (théobromine), le café , le thé, la maté, le cola (caféine), l’alcool, la nicotine, la cocaïne, le glutamate monosodique, le chloroforme, l’éther, la morphine… Ces substances présentent toujours, après ingestion, une réaction acidifiante et favorisent donc l’acidose . La caféine, le chocolat, l’alcool, le coca ( stimulants ) sont des inhibiteurs du sommeil. Le café , la cigarette et l'alcool sont des causes importantes de l'hypoglycémie car ils font monter rapidement le taux de sucre dans le sang ; le pancréas ainsi sollicité devient très sensible, produit trop d'insuline et abaisse trop bas le taux de sucre. Ces substances dépourvues de minéraux acidifient l'organisme et épuisent les réserves minérales alcalines des os, comme le calcium, en favorisant son excrétion. Ce milieu acide est néfaste à certaines vitamines, particulièrement celles du complexe B, qui sont essentielles à la santé du système nerveux . Cette perte de vitamines ainsi que cette déminéralisation entraînent un déséquilibre glandulaire qui empêche une réaction normale face aux stress . La plupart des personnes hospitalisées en médecine interne sont des alcooliques. L'alcool est non seulement un neurotoxique et un dépresseur, mais aussi un poison notoire pour le foie qu'il atteint très rapidement lorsqu'il est pris en dehors des repas. Cet apport à grande concentration fait souffrir les cellules hépatiques qui périssent. Selon une méta-analyse  de mai 2024, la recherche a montré que la consommation globale d'alcool est liée à une réduction significative des concentrations circulantes de testostérone totale, de testostérone libre, de globuline liant les hormones sexuelles (SHBG) et une augmentation de l'estradiol. La consommation chronique d'alcool chez l'homme provoque par ce biais de la gynécomastie par déficit en testostérone et augmentation d'œstrogènes (hormones femelles). Les boissons alcoolisées déshydratent, déminéralisent, dévitaminisent et fatiguent l’organisme, les risques de maladies chroniques augmentent. La nuit, des sueurs nocturnes et des cauchemars accompagneront le sommeil perturbé . Hommes et femmes ne devraient pas consommer plus de deux verres par jour et maximum dix verres par semaine, le mieux étant de na pas en consommer du tout, en particulier en cas de santé altérée. L’alcool nuit aux enzymes digestives. Il altère le métabolisme : Des vitamines A, B, C, D, E, K. Des minéraux : calcium, chlore, fer, magnésium, manganèse, phosphore, zinc. Des oméga-3 et 6. L’alcool ne détruit pas que le foie et le système nerveux , mais aussi le pancréas pouvant aboutir à une pancréatite aigüe dont il en est la cause 7 fois sur 10 ! Il est impliqué dans 200 pathologies dont le cancer et responsable de plus de 3 millions de morts par an dans le monde, dont 800.000 en Europe. En tant que stimulant , il fatigue les glandes surrénales . La consommation d'alcool favorise l'ouverture des jonctions serrés intestinales provoquant de la porosité . Consommer de l'alcool de manière excessive a surtout un impact négatif sur la mémoire à court terme, mais aussi parfois sur la mémoire à long terme. Si cette consommation excessive n'est pas stoppée, elle conduira à une démence alcoolique. Des troubles de la mémoire à long terme apparaissent et les compétences intellectuelles se dégradent davantage. Citations : « Au-delà d’une certaine dose, l’alcool entraîne des destructions multiples liées à la fois à la toxicité de l’éthanol et de ses dérivés comme l’acétaldéhyde et aux altérations qu’il provoque sur les vitamines B1, B2, B6, B9, la vitamine C, la vitamine E, la vitamine A, le magnésium, le zinc, le sélénium, les acides gras polyinsaturés et le glutathion. » - Dr. Jean-Paul Curtay « On ne peut pas parler de niveau de consommation d’alcool « sans danger ». Quelle que soit la quantité d'alcool ingérée, le risque pour la santé du buveur est présent dès la première goutte de n’importe quelle boisson alcoolisée. La seule chose que nous puissions affirmer avec certitude est que plus l’on boit, plus c’est nocif. En d’autres termes, que moins on boit, moins on court de risques. »  - Dr. Carina Ferreira-Borges « Toutes nos maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » - Hippocrate

  • Les anti-nutriments

    Article de nutrition Description : Les anti-nutriments sont des substances produites par les plantes telles que : le gluten, les lectines, les phytates, les oxalates. Ils réduisent l’absorption des micronutriments dans l’organisme. Pour se protéger des prédateurs, notamment des insectes, mais aussi des bactéries et des champignons, les plantes et leurs graines produisent des toxines qui sont des composés phyto-chimiques agressifs comme l’acide phytique, les oxalates et les lectines. En faible quantité, ces molécules sont tolérées par notre système digestif, mais en quantité plus importante, elles peuvent causer de l’irritation, de l’ inflammation et des dégâts aux intestins, ainsi que réduire l’absorption des micronutriments, provoquant déficits et carences nutritionnels . Prudence donc pour les végétariens et les végétaliens qui, croyant bien faire, se gavent d’anti-nutriments et se retrouvent finalement déminéralisés et carencés avec en prime des troubles digestifs. Profitons-en pour rappeler que l’excès de glucides ( céréales , légumineuses) peut provoquer des fermentations excessives, modifier la flore intestinale , créer une dysbiose et finalement de l’inflammation. Cette prolifération de bactéries et de levures de fermentation risque de se propager à l’intestin grêle pouvant induire un SIBO par exemple. Soyons attentif à l’inconfort digestif et à la production anormale de gaz ou de ballonnements . La lectine la plus dangereuse est la ricine qui est contenue dans les graines de ricin. C’est un poison 6.000 fois plus toxique que le cyanure. Que sont ces lectines ? Les lectines sont des protéines non digestibles qui se lient aux glucides . On les trouve en grande quantité dans les légumineuses : fèves, haricots, pois, lentilles, cacahuètes, soja, etc., dans les céréales complètes : riz, blé, seigle, épeautre, avoine, etc., ainsi que dans les noix, les baies de goji et les solanacées : aubergines, tomates, poivrons, piments, pommes de terre. Cultivés et produits par l’homme depuis seulement 10.000 ans, ces aliments secs riches en glucides ( céréales et légumineuses) ont, pour rappel, amenés les premiers signes d’acidose et de déminéralisation (caries, rhumatismes ), ainsi que les maladies colloïdales . Ils sont inappropriés au système digestif humain. Les lectines sont également présentes dans certains fruits NON-MURS, d'où l'importance de toujours manger des fruits bien murs. Les lectines, dont le gluten fait partie, favorisent la porosité intestinale via une production anormale de zonuline*. Une preuve de plus que ces aliments ne sont pas faits pour nous (anthropoïdes), mais pour les granivores et certains rongeurs. *La zonuline est une protéine impliquée dans la régulation de la perméabilité épithéliale et endothéliale. Elle est notamment produite au niveau hépatique et à la surface des entérocytes de la muqueuse intestinale en agissant au niveau des  jonctions serrées . Les recherches démontrent que les aliments riches en lectines, s’ils ne sont pas préparés correctement ou consommés en excès peuvent entraîner une intoxication alimentaire. Pas de panique ! Toutes les lectines ne sont pas nuisibles à l’organisme, c’est souvent la quantité excessive qui fait la nocivité, car on sait que les lectines ont des activités antibactériennes, antifongiques et insecticides. Nous utilisons d’ailleurs les graines de courges en cure antiparasitaire . Certaines personnes sont plus sensibles que d’autres. Les troubles digestifs sont à corréler entre autres choses à notre sensibilité aux lectines et aux phytates. Notons que le corps humain peut produire des enzymes pendant la digestion qui dégradent certaines lectines.   Retenons la célèbre formule de Paracelse : « c’est la dose qui fait le poison ! »   Que sont les oxalates ? L’acide oxalique est une substance qui peut former des sels insolubles avec des minéraux, notamment le sodium, le potassium, le calcium, le fer et le magnésium, ce qui réduit leur absorption. Un taux trop élevé d’oxalates dans le corps peut aboutir à la formation d’ arthrite et de lithiases rénales ( maladies cristalloïdales ). Les végétaux qui contiennent de grandes quantités d’oxalates sont les épinards, l’oseille, les haricots blancs, la rhubarbe, les grains de blé, l’aubergine, la patate douce, les blettes et le soja. La Nature étant parfaite, les aliments contenant de l’oxalate possèdent un ensemble de composés protecteurs et bénéfiques qui pourraient contrebalancer les éventuels effets négatifs de l’oxalate. Que sont les phytates ? L’acide phytique est une molécule végétale phosphorée qui se trouve dans l’enveloppe des graines ( céréales , légumineuses, noix, cacao cru). Il est capable de se lier aux minéraux tels que le zinc, le calcium, le magnésium, le fer et le cuivre que nous absorbons, empêchant ainsi leur assimilation. Les pays en développement et les végétariens qui consomment principalement des céréales et des légumineuses sont particulièrement touchés par la carence et/ou l'insuffisance en zinc notamment. Mais l’acide phytique a aussi des avantages car c’est un antioxydant végétal naturel et récemment, des rôles bénéfiques de l'acide phytique en tant qu'agent antidiabétique et antibactérien ont été signalés. L’homme ne possède pas l’enzyme phytase qui permet de le dégrader et, contrairement aux granivores et aux herbivores, il possède un petit caecum qui lui permet de ne digérer que de petites quantités de cellulose et de fibres. Il serait judicieux de s’assurer d’un apport minéral approprié pour minimiser les effets négatifs des phytates sur l'absorption minérale dans les populations vulnérables (pays en voie de développement, végétaliens, végans, etc.). Dans la vie tout est équilibre ! Le caecum ou cécum est un segment riche en bactéries qui joue un rôle dans la fermentation intestinale, chez l’homme il est très petit comparativement à d’autres mammifères herbivores comme la vache et le lapin par exemple. Remarque  : Il n’y a plus d’acide phytique dans les huiles végétales. Par contre, les plantes non biologiques en sont plus riches (phosphates).   Biologie : Bilan minéral et antioxydant : zinc, magnésium érythrocytaire, fer, calcium, cuivre. Vitamines B9 et B12. LBP (Lipopolysaccharide Binding Protein).   Solutions : Limiter la consommation des végétaux riches en lectines et en phytates : légumineuses, céréales , noix, graines. Eviter la consommation de noix, de légumineuses, de céréales et de graines lorsqu’on a des déficits nutritionnels, de l’ ostéoporose , des douleurs articulaires ou que l’on souffre de troubles digestifs et intestinaux ( ballonnements , flatulences, diarrhée, porosité intestinale , MICI , SIBO , ulcères gastroduodénaux, etc.). Consommer un peu de céréales blanchies comme le riz en favorisant le riz Basmati qui possède un faible index glycémique. Oter la peau des pommes de terre. Tremper, germer, fermenter et cuire à haute température les légumineuses pour réduire la quantité de lectines et de phytates. Ne jamais consommer de légumineuses peu cuites ou germées et crues, elles sont très toxiques . Consommer des navets, des panais, du céleri rave, des endives, des oignons, de l’ail, des champignons, de la laitue, de la mâche, de la roquette, des noix de macadamia, des châtaignes, des aromates, des avocats, des choux, du fenouil, des algues, des fruits, etc.  Citations : « Comme l’on déjà affirmé Hippocrate, Catherine Kousmine et Jean Seignalet l’intestin est la clé de voûte de la santé et toute perturbation de cet organe serait à l’origine de la presque totalité des maladies. »  - Dr. Monique Béjat « Les céréales, les pseudo-céréales, les légumineuses, les produits laitiers, les fruits à coque, les graines et les solanacées renferment tous des substances qui augmentent la porosité intestinale, soit directement (en endommageant les entérocytes ou en ouvrant les jonctions serrées entre les entérocytes), soit indirectement (en favorisant la prolifération des bactéries et des levures dans l’intestin grêle). Parmi les substances qui sont au banc des accusés, les lectines, les inhibiteurs enzymatiques, les saponines et l’acide phytique. » -  Dr. Sarah Ballantyne Articles complémentaires : Les céréales et amidons Les aliments mucogènes La porosité intestinale

  • La fièvre

    Article de santé naturo-hygiéniste Donnez -moi le pouvoir de créer une fièvre et je guérirai toutes les maladies ! - Parménid e, médecin et philosophe Grec, 500 avant JC. Le but de la fièvre est de rétablir l’organisme, elle est purificatrice. La maladie prend la forme aiguë quand le potentiel vital est élevé. Les enfants qui possèdent une forte vitalité font une forte fièvre. Les vieillards et les mal portants font une fièvre légère, car ils sont sous-vitaux . La fièvre ne peut jamais être dangereuse pour le corps si on respecte les impératifs de la Nature, le corps ne se suicide pas ! La fièvre est un des plus remarquable agent de défense, et aussi le plus négligé, puisqu’un des premiers actes médicaux est de la faire “tomber”. Ainsi est interrompue l’oxydation, la neutralisation des déchets, virus et germes devenus pathogènes. La fièvre n’est pas le problème, c’est la solution ! La fièvre est un processus régulateur homéostasique , ne cherchons pas à la stopper, elle est utile ! Ce système de défense et de détoxication bienfaisant ne devrait jamais être entravé. L’organisme cherche toujours l’équilibre, le rétablissement et la santé. Arrêter une fièvre avec des médications va à l’encontre des mécanismes naturels de guérison. Ces médications refoulent dans les profondeurs humorales les toxines qui tentent de sortir. Cette erreur provoquera tôt ou tard des maladies plus graves, lésionnelles ou dégénératives. De plus, les antipyrétiques sont des toxiques hépatiques notoires, ils constituent une ineptie dangereuse. Il ne faut jamais nous croire plus intelligents que nos propres cellules qui savent exactement ce qu’elles doivent faire pour rétablir le fonctionnement optimal du corps ( homéostasie ). La température permet de faire fondre les cristaux d’acide urique des “maladies” cristalloïdales causées par les aliments acidifiants . Les maladies d'enfants sont faites entre autres pour éliminer l'héritage toxique des parents et forger le système immunitaire. La température s’élève pour dissoudre les cristaux et activer le système de protection. Plus un enfant a un niveau de vitalité et de toxémie élevé, plus les ‘maladies’ et les expulsions seront importantes et parfois spectaculaires. Par exemple, les otites sont faites pour expulser l'acide qui n'est plus évacué par les reins. Si l'acide n'est pas expulsé, il y aura risque de surdité. Tenter d’éliminer la fièvre, c’est augmenter la durée de l’infection. Dans quelques cas rares, lorsque la température monte trop, soit au-delà de 40,5 °C (convulsions, délire…), si le corps a été déréglé par des médicaments, des vaccins et autres poisons, ses réactions deviennent anormales et la fièvre risque de ne pas pouvoir être contrôlée par l’organisme. Il suffira alors de faire un bain dérivatif ou un bain de siège qui fera baisser la température d’un ou deux degrés. Il ne faut pas l’arrêter, mais la contrôler et même l’entretenir (rester au chaud). La fièvre n’est pas un ennemi à combattre mais un allié protecteur. A partir de 39,5 °C, la fièvre est bactériostatique, les microbes pathogènes sont neutralisés. Le système immunitaire est stimulé, les globules blancs et les émonctoires activés grâce à ce système de défense et de régulation fantastique ! A 40-40,5 °C, la fièvre est bactéricide, les microbes excédentaires sont détruits. La transpiration permet aussi de faire sortir les toxines par les glandes sudoripares, c’est le grand nettoyage salutaire du corps. Avec L’hyperthermie, croissent également la production des interférons, l’action des antiviraux, l’activité antitumorale, le nombre de cellules T, la phagocytose, l’activité bactéricide des polynucléaires neutrophiles et les effets cytotoxiques des lymphocytes. Ceci résulte en l’éradication des micro-organismes pathogènes. Plus la chaleur élevée est maintenue, meilleur est le pronostic de guérison (Filonov, 2008). La médecine conventionnelle palliative propose des traitements anti-symptomatiques, tels que les anti-douleurs, les anti-inflammatoires, les antibiotiques, les antipyrétiques, les anti… et les anti… elle ne traite pas la cause. Heureusement, quelques médecins allopathes commencent à comprendre le fonctionnement de la fièvre et sa finalité. L’adversaire, c’est l’ignorance ! En médecine naturelle, si la vie n’est pas en danger, on préférera accompagner les symptômes, aider le corps à sortir ses toxines et à se restaurer, car les remèdes n’existent pas . Seul l’organisme lui-même possède ses capacités d’auto-guérison. C’est la force vitale qui déclenche les processus d’auto-nettoyage. Il ne faut en aucun cas s’alimenter pendant la fébrilité ! L’énergie vitale étant dirigée vers l’élimination, il ne faut pas la perdre dans la digestion et l’assimilation. Tout au plus prendre des tisanes rénales ou sudorifiques pour aider les acides et toxines à sortir si les reins sont en bon état. L’hydratation avec de l’eau pure et le repos TOTAL sont de mise. L’alimentation peut être reprise en douceur avec des jus de légumes ou des fruits frais et mûrs à la croque 24 h après avoir recouvré une température presque normale ( 36,8 °C -> 24 h à 36,5 °C -> OK), sinon la température risque de remonter en force. Une T° corporelle de 37,5 °C indique une inflammation générale, la T° moyenne normale est de 36,5 °C et varie en fonction des personnes, des heures de la journée et de l’activité physique . La fièvre est le processus le plus rapide et le plus précieux de la Nature en vue du rétablissement. La Nature a ses lois que nous ne pouvons transgresser indéfiniment sans devoir rendre compte un jour ou l’autre. Citations : “Fièvre à laquelle on ne remédiera qu’en ne prenant que de l’eau pendant 3 jours : ce qui souvent suffit pour la guérison.” - Hippocrate “Tout ce qui interfère avec les processus naturels perturbe le bien être.” - Dr. Norman Walker “Le véritable sens de la ‘maladie’ n’est presque jamais perçu dans son entité réelle. Rarement le malade, ni celui qui est considéré comme son guérisseur, ne comprennent le véritable sens de la maladie qui est de libérer l’organisme d’une situation anormale.” - Pr. Désiré Mérien « La maladie est l’effort que fait la Nature pour guérir l’homme. » - Dr. Carl Gustave Jung “Les maladies sont des crises de nettoyage. La fièvre est un agent de guérison” . - Dr. Paul Carton « La fièvre est une réaction vitale défensive déclenchée par la force vitale pour brûler et éliminer les toxines. Elle n’est pas une entité morbide en soi que l’on doit détruire pour retrouver la santé, qui ne sera d’ailleurs que fictive. Au contraire, il faut lui laisser réaliser son œuvre de purification pour obtenir la correction du terrain . La fièvre est un merveilleux agent de guérison. » - Christopher Vasey « Les crises épuratives violentes se manifestent par une grippe, une fièvre, une maladie aiguë, accusée d’être causée par un microbe, par un refroidissement, etc. Ces crises d’auto-défense épuratives affolent les malades et inquiètent le médecin allopathe qui les prend pour des maladies en soi, qu’il ne comprend pas et qu’il s’empresse de réprimer, d’étouffer, de refouler, à l’aide de médicaments anti-symptomatiques, dont l’efficacité n’a d’égale que leur toxicité, d’où les récidives, les complications, les aggravations et, donc, les maladies dites incurables résultant d’une médication maladroite et toxique n’ayant pas su aider le malade à éliminer sa toxémie. » - Pr. Grégoire Jauvais « La plupart des parents sont hantés par le spectre des convulsions et du délire fiévreux, en relation avec leurs propres terreurs enfantines (les angoisses de leurs propres parents) et leur asservissement aux dogmes médicaux en vigueur, une peur irraisonnée entretenue et amplifiée par certains médecins devenus incapables de comprendre la nature profonde de ces processus vitaux. » - Dr. Éric Ancelet « Au cours d’une infection généralisée, l’organisme mobilise toutes ses réserves énergétiques en provoquant l’élévation de température, la fièvre salutaire qui brûle comme un incinérateur toutes les substances nocives qui flottent dans la lymphe, dans le sang et dans les liquides extracellulaires. » - Michel Dogna « On sait depuis longtemps que la guérison spontanée de cancers graves coïncide avec une fièvre élevée et prolongée qui a résisté à tous les antipyrétiques et anti-infectieux. » - Robert Masson Articles complémentaires : Un mot sur l’immunité La maladie et la santé sont-elles le fruit du hasard ? Les lois qui régissent notre santé Notion de terrain L'énergie vitale Les infections ORL chroniques

  • Les ondes électromagnétiques

    Article santé, géobiologie Tout être vivant fonctionne selon des mécanismes électriques et électromagnétiques très précis et très sensibles. Nos cellules fonctionnent à l’électricité, chaque cellule a son propre champ électromagnétique, sa propre fréquence. Elle est capable de capter tous les rayonnements des plus basses fréquences aux plus élevées. Notre sang a une tension électrique de 210 millivolts. Nous avons d’ailleurs besoin d’électrolytes pour fonctionner : sodium, potassium, calcium, magnésium. Les microzymas réagissent aux informations bioélectroniques, électromagnétiques et chimiques... L’électrocardiogramme trace sur papier l’activité électrique du cœur. L’électroencéphalogramme trace sur papier l’activité électrique du cerveau. L’électrogastrogramme trace sur papier l’activité électrique de l’estomac et des intestins. L’homme est un être électromagnétique. « Dans tous les organismes vivants, il existe des champs électriques et des courants endogènes qui jouent un rôle dans les mécanismes complexes de contrôles physiologiques, telle que l’activité neuromusculaire, les sécrétions glandulaires, les fonctions de membranes cellulaires, le développement, la croissance et la réparation des tissus. Il n’est pas surprenant que, suite au rôle exercé par les champs et les courants électriques dans tant de processus physiologiques de base, des questions soient posées quant à des effets possibles de champs artificiels sur les systèmes biologiques. » - Association Internationale de Radioprotection (IRPA). Le Pr. Yves Rocard a étudié scientifiquement le phénomène électromagnétique humain et a conclu que l'homme réagit à toute modification du champ magnétique. Rappelons également que l'homéopathie basée sur les sciences fondamentales de biophysique et biologique fonctionne sur le transfert d'information de type électromagnétique. Quelques définitions : La géobiologie est l’étude de l’influence des ondes sur le vivant. Le champ électromagnétique est un champ produit par des objets chargés électriquement. Celui-ci est la résultante des composantes électriques et magnétiques du champ. Il apparait lorsqu’un courant électrique circule. Son intensité varie selon la consommation d'électricité. Le champ est ce qui se déforme et se déplace dans une onde électromagnétique. L’onde électromagnétique (OEM) est une vibration du champ électromagnétique. C’est une catégorie d’ondes qui peut se déplacer dans un milieu de propagation comme le vide ou l’air, avec une vitesse proche de celle de la lumière (300 000 kilomètres par seconde). Elles correspondent aux oscillations couplées d’un champ électrique et d’un champ magnétique, dont les amplitudes varient de façon sinusoïdale au cours du temps. V = Vitesse de déplacement de l'onde E = Champ électrique B = Champ magnétique © Emmanuel Boutet/Wikimedia Commons Le rayonnement est l’action d’un appareil émettant un champ électromagnétique. La longueur d’onde est la distance séparant les 2 sommets d’une onde. C’est une caractéristique propre à chaque onde. La fréquence d’un champ électromagnétique est le nombre de variations (oscillations) du champ par seconde. Elle s’exprime en Hertz (Hz) ou cycles par seconde, et s’étend de zéro à l’infini. S’il y a 1 vague par seconde, la fréquence est de 1 Hertz. La Terre a une fréquence de 13 Hz, les ondes naturelles se situent entre 0 et 25 Hz. Le corps humain entre 60 et 100 Hz. La téléphonie mobile autour de 600 Hz. Pour la téléphonie mobile, plus on monte en fréquence, plus on a de débit de données et moins ça pénètre les matériaux et les tissus. Le danger ce sont les nouvelles fréquences élevées. Basses fréquences = longues distances = plus de pénétration = données moins rapides. Hautes fréquences = courtes distances = moins de pénétration = données rapides. L’intensité d’un champ est exprimée à l’aide de différentes unités : Pour les champs électriques : le volt par mètre (V/m). Pour le champ magnétique : le tesla (T). Pour convertir l’unité de V/m en W/m² : V/m² / 377. Ex. 6 V/m = 6² / 377 = 0,95 W/m². Les interactions sur le vivant avec les ondes vont dépendre de la fréquence et de l’ intensité de ces ondes. Les champs électromagnétiques peuvent avoir une influence non désirée sur certains équipements électriques ou électroniques, sur la santé des personnes, la faune, la flore ou l'environnement, on parlera alors de pollution électromagnétique ou d’ électrosmog . Les géobiologues préconisent de ne pas dépasser 5 V/m pour la santé humaine. La tête peut baigner dans des champs électriques de plusieurs centaines de volts / mètre avec des appareils électriques domestiques… Normes d'exposition dans d’autres pays ou villes d’Europe, pour le même type d’antennes et à la même fréquence de 900 MHz : Belgique, Bruxelles : 6 V/m - Wallonie : 3 V/m. Luxembourg : 3 V/m. Suisse : 4 V/m. Italie : 20 V/m. Paris : 41,25 V/m. Les ondes basses fréquences : réseau 50 Hz = réseau électrique domestique (1 Hz – 100 KHz) Les ondes hautes fréquences : activité humaine avec la technologie sans fils, Wi-Fi, Bluetooth, téléphonie mobile, etc. (100 KHz – 300 GHz). Le spectre électromagnétique : Tout ce qui différencie ces OEM, c’est la longueur d’onde. Plus la longueur d’onde est faible ou courte, plus l’onde contient d’énergie. Lorsqu’elles traversent un organisme biologique, les ondes interagissent avec ses molécules d’eau. Plus on se déplace vers la droite sur le spectre vers les rayons X et Gamma, plus ça devient dangereux. Les ondes ionisantes sont capables d’arracher des électrons aux atomes, ce qui peut endommager l’ADN des êtres vivants, provoquer des mutations et des cancers. A. Les sources d’électromagnétisme naturelles : Le champ magnétique terrestre Le courant tellurique de la croûte terrestre Les veines d’eau souterraine Le vent solaire Les orages Le radon Les fréquences émises par le cerveau sont semblables à celles des champs électromagnétiques naturels de notre planète (Champ Schumann). Le docteur Jeanne Rousseau nomme les "résonnances cosmiques". Tout est vibration. L’homme est en liaison directe avec l’univers, il est un microcosme dans un macrocosme, il dépend de ce qui l’entoure. L’homme est connecté à son environnement. Le cosmos en perpétuel mouvement agit directement sur l’être humain qui réagit différemment selon les saisons, les climats, le rythme de la terre et les cycles cosmo-telluriques. Pour être en bonne santé, l’homme doit conserver l’équilibre avec l’univers. Le microcosme doit s’intégrer dans le macrocosme. L’humain est à la foi capteur & antenne des énergies exogènes du cosmos et de la terre. Le rayonnement cosmique est conventionnellement de polarité positive et le tellurique, de polarité négative. Ces deux polarités, tout comme celle des batteries que nous utilisons, entraîne dans notre corps un « effet de pile » qui engendre et qui alimente bon nombre de fonctionnements physique, physiologiques et psychologiques dans notre organisme. Les réseaux cosmo-telluriques sont vecteurs d’informations. L’homme est dépendant de l’énergie cosmique ; il y a corrélation entre la matière et l’énergie… B. Les sources d’électromagnétisme artificielles consomment un courant ou utilise une tension qui en sont l’origine : Antennes d’émission TV, radio, téléphonie 3G, 4G, 5G. Bluetooth. Compteurs Linky Babyphones. Radars. Lasers. Chauffage ou plaques de cuisine à induction. Ampoules économiques. Wi-Fi. GPS Micro-ondes. Radiologie médicale rayons-X, IRM, etc. Armes à énergie dirigées. Les appareils électriques. La radioactivité. Etc. Les babyphones présents sur le marché utilisent fréquemment la technologie DECT (1900 – 2400 MHz). Les nuisances en présence sont identiques à celles d’un téléphone sans fil DECT (1880 – 1900 MHz), qui émet en permanence une pollution électromagnétique importante. « Les ordinateurs, les jeux vidéos, la télévision, les téléphones portables, les cuisinières à induction, les fours à micro-ondes tissent une toile d’araignée planétaire déséquilibrant l’électro-magnétisme cellulaire jusqu’à la folie ou au cancer. » - Robert Masson Les armes à énergie dirigées (Active Denial System A.D.S.) sont utilisées par les forces de l’ordre aux USA pour disperser les foules lors d’émeutes. Des ondes à 95 GHz sont envoyées en direction des manifestants, ceux-ci ressentent des brûlures intenses, portée : 1 km. https://www.youtube.com/watch?v=mWrrUJJBjHc La 5 G (5ème Génération de réseau cellulaire) : La 5 G utilise une largeur de bande inexploitée d’ondes millimétriques (MMW), comprise entre 24 et 94 GHz, soit des milliards d’ondulations par seconde, ainsi que certaines basses et moyennes fréquences. La recherche publiée dans Environmental Research , révèle que l’exposition à la 5 G modifie non seulement la perméabilité cellulaire (porosité), mais libère également des peroxinitrites dans le corps. Ce sont des molécules produisant une inflammation qui ravagent d’autres molécules saines qui circulent dans le sang. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013935118300355#t0015 La 5 G est 2 fois plus puissante que la 2, 3 & 4 G réunies. Les normes ICNIRP 5 G sont établies pour une exposition à court terme , ce n’est pas fait pour protéger sur le long terme de 41 V/m à 900 MHz, de 58 V/m à 1.800 MHz et de 61 V/m à 2.100 MHz. Recommandation indépendante de Bioinitiative : 0,2 V/m dans l’habitat. Recommandation indépendante de l’habitat allemand : 0,06 V/m dans l’habitat. La précision de localisation d’un Smartphone et de son utilisateur par les antennes relais 5 G va être supérieure à celle d’un GPS même à l’intérieur d’un bâtiment... Au 1 er janvier 2019, 247 scientifiques de 42 pays ont recommandé un moratoire sur le déploiement de la 5 G. Aucune étude sanitaire n’a été faite sur l’utilisation de la 5 G ! Aucune étude ne prend en compte le cocktail d’ondes auquel nous sommes soumis ! Les champs électromagnétiques émis par les smartphones sont classés comme cancérigènes possibles pour l'homme par l'Agence Internationale de Recherche sur le Cancer. « 2-3 % des Français ont des troubles dus aux ondes électromagnétiques. Si vous avez moins de 20 ans et que vous téléphonez avec un portable une heure par jour pendant 5 ans, il y a une augmentation du risque de tumeur cérébrale du côté où le portable est utilisé qui est multiplié par cinq . Il y a vingt études épidémiologiques qui ont démontrés un lien associatif entre une exposition aux basses fréquences et l’apparition de la maladie d’Alzheimer. La maladie d’Alzheimer est en partie liée à des champs électromagnétiques de basses ou extrêmement basses fréquences. » - Pr. Dominique Belpomme, cancérologue spécialisé dans les personnes électrosensibles. Symptômes : Désordre et épuisement du système nerveux Fatigue Troubles du sommeil Dépression Troubles de la concentration et de l’attention Perte de mémoire immédiate Perte d’équilibre Maux de tête Acouphènes Tremblements, frissons Picotements aux extrémités Plaques rouges sur la peau Douleurs articulaires Porosité de la barrière hémato-encéphalique chez les enfants Pour les personnes plus sensibles, cela peut provoquer des troubles du comportement : agressivité, angoisse, dépression, chute du système immunitaire, maladie, Alzheimer , leucémie… Le sang se gélifie sous l’action des ondes et les globules rouges s’agglutinent rapidement après quelques minutes d’utilisation d’un téléphone portable. Les virus et bactéries se démultiplient à une vitesse incroyable lorsqu’ils sont soumis aux ondes. Les bactéries ont des récepteurs aux ondes électromagnétiques. Les ondes ont un impact très fort sur la fertilité . Les ondes artificielles nous déséquilibrent au niveau des ions, mais le contact avec la nature peut nous recharger en ions négatifs . L’ensemble des rayonnements électromagnétiques favorisent la sur-électrisation et la suroxydation, entraînant une dramatique déviation des coordonnées bioélectroniques vers la zone 3 du diagramme Vincent. Ce qui contribue à dévier le terrain biologique vers les risques de cancers en favorisant l’oxydation et l’alcalinisation du sang. D’après le Pr. Belpomme, tous ces troubles viennent de la baisse du flux sanguin dans le cerveau et donc un manque d’oxygène pour certaines cellules. Tous les malades électrosensibles ont des troubles cognitifs majeures. L’excès de ferritine sanguin pourrait également être une cause des troubles électrosensibles. – Dr. Michel Klein Depuis 2002, l’OMS a positionné l’impact des champs électromagnétiques au niveau II-B : cancérogène probable. De 1962 à 1995, le médecin Gerald Draper de l'université d'Oxford et la société Transco (fournisseur d'électricité) ont établi que, pour l'enfant, habiter à moins de 200 m d'une ligne à haute tension, augmentait de 69 % le risque de leucémie. L'étude a porté sur 70.000 enfants, d'Angleterre et du pays de Galles, dont la moitié atteints de cancer. La ligne à haute tension causerait 1 % des cas annuels du royaume. L’exposition aux rayonnements inhibe l’activité de lymphocytes dits cytotoxiques (Lyle & coll. 1983). Les ondes électromagnétiques peuvent interagir avec des éléments de notre environnement comme les métaux lourds. Les vaccins contiennent des nanoparticules d’aluminium et de dérivés du mercure… Synthèse en français des publications scientifiques sur les effets biologiques des rayonnements électromagnétiques (original anglais 600 pages) : https://www.criirem.org/wp-content/uploads/2015/11/bioinitiative_vf-3.pdf Aides et précautions : L’alimentation vivante spécifique à notre espèce est importante pour s’en protéger. Boire de l’eau pure (amortisseur contre les rayonnements électromagnétiques). Antioxydants ( Vitamines C & E). Vitamines D, B1 & B6. Omégas-3 (oléagineux, huiles vierges 1ère pression à froid). Prise de terre. Connexion physique à la Terre (négativation). Expositions aux ions négatifs. Diminuer la durée d’exposition, par ex. couper le Wi-Fi. Exposition au soleil . Bannir le radio-réveil sur la table de nuit sur secteur (gros pollueur, 16-30 V/m à 30 cm). Smartphone en mode avion et hors secteur pour la nuit. Utiliser une oreillette ou le haut-parleur. Eviter le plus possible le contact direct avec ces appareils, plus ils sont éloignés, mieux c’est. Couper les données mobiles en déplacement, en particulier dans un véhicule. Aux enfants, limiter au maximum l'utilisation de téléphone sans fil. Éviter l'installation d'une famille avec des enfants sous une ligne haute tension. Proscrire l’utilisation d’un ordinateur avec Wi-Fi pour une femme enceinte et utilisation du téléphone portable au strict minimum, le moins possible ! Consulter un géobiologue à domicile. Anecdotes : Les ondes radio pour manipuler les comportements humains Le projet MK-Ultra, dévoilé en 1975, est le nom de code d’un projet de la CIA visant à développer les techniques de manipulation mentale. Le sous-projet du MK Ultra avait pour dessein de réaliser une revue critique du développement scientifique et de la littérature relative à l’interprétation des signaux bioélectriques de l’organisme humain ainsi que l’activation du comportement humain à distance. Plus précisément l’étude regroupait cinq domaines, dont : Les techniques d’activation de l’organisme humain par des moyens électroniques distants. Source : Wikipédia. Avis de spécialistes : Les travaux de trois chercheurs, Allan Widom, Yogi Srivastava et Vincenzo Valenzi montrent que l’activité biochimique de plus de cinquante systèmes biochimiques et même de bactéries peut être induite par des signaux électromagnétiques transmis au travers de solutions aqueuses. Luc Montagnier et Jamal Aïssa ont publié un article qui montre que certaines bactéries émettent un signal électromagnétique spécifique dans des solutions aqueuses. « Les normes actuelles sont obsolètes. Ça veut dire qu’elles ne protègent de rien. Elles ne prennent en compte que les effets thermiques ! » - Michèle Rivasi, biologiste, députée européenne. « La norme est faite pour l’industrie, pour protéger l’industrie et non pour protéger l’être humain. Les personnes qui ont commencé à utiliser le téléphone portable avant l’âge de 20 ans ont 5 fois plus de risques de développer des tumeurs cérébrales. » - Lennart Hardell, professeur d’oncologie. « Le monde entier est infesté par ces ondes. Nous sommes tous les cobayes de la plus grande et de la pire expérimentation. » - Leif Salford, neurochirurgien. « A terme, pour les gens qui utilisent beaucoup le téléphone portable pendant plusieurs minutes, voire plusieurs heures par jour, il pourrait y avoir des modifications dans leur cerveau qui seraient susceptibles de déclencher des maladies graves comme : des crises d’épilepsie ou la maladie de Parkinson, des cellules sont atteintes. » - Alain Privat, neurologue Inserm. « La barrière hématoencéphalique s’ouvre sous l’impact des ondes (étude en laboratoire sur des rats). Ça permet l’entrée de substances qui n’ont rien à faire là, certaines de ces substances peuvent être toxiques et entrainer une réponse inflammatoire. Nous postulons que si ces événements se produisent de façon répétée sur une longue période dans le cerveau humain, cela pourrait présenter un risque pour la santé en raison de l’accumulation potentiel de dommages et de substances dangereuses dans les tissus du cerveau. Il n’y a aucune raison de penser que les résultats obtenus sur les rats ne puissent s’appliquer à l’espèce humaine. » - Pierre Aubineau, ancien directeur de recherche CNRS. « Dans le cadre des radiofréquences par rapport aux effets thermiques , les normes en vigueur protègent le public. » - Dr. Yves Le Dréan, biologiste Inserm. « Le stress oxydatif provoqué par une pollution environnementale d’ondes électromagnétiques attaque les molécules de notre corps pouvant être la cause d’un certain nombre de maladies … Les ondes électromagnétiques pourraient détruire sélectivement de l’ADN ou de l’ARN. Les antennes 5G ont pu contribuer au pouvoir pathogène du virus. » - Pr. Luc Montagnier « Lorsque nous sommes fortement irradiés par des téléphones portables par exemple, nous constatons différents effets biologiques. Nous voyons par exemple un stress oxydatif dans les cellules et nous avons découverts que certaines ondes cérébrales sont modifiées quand on colle un téléphone portable à son oreille avant de se coucher. Il y a des atteintes cognitives chez des adolescents avec effets sur la mémoire. Il est important de continuer à investiguer. » - Martin Röösli, épidémiologiste environnemental, expert en rayonnement non-ionisant, Suisse. « Le fait que l’exposition aux rayonnements non ionisants (RNI) peut affecter les fonctions du système immunitaire de l’homme est largement méconnu du public. En premier lieu, l’exposition peut provoquer une hyper activation du système immunitaire au risque de conduire à un état allergique ou pro-inflammatoire chronique. A long terme, l’atteinte des systèmes de régulation peut entraîner une immunodépression favorisant les infections. Une sollicitation provoque par l’exposition chronique aux RNI sur une longue période peut dégrader les capacités immunitaires de l’organisme, en particulier en modifiant la viabilité des lymphocytes ainsi qu’en diminuant le nombre de cellules NK et de lymphocytes T. Les RNI peuvent diminuer la capacité de l’organisme à récupérer d’infections, notamment virales. » - Pierre Dubochet, ingénieur radio, toxicologue des rayonnements non ionisants. « Les rayonnements autour de 60 GHz sont absents du spectre naturel et les organismes vivants n’y ont encore jamais été exposés dans les conditions environnementales. Les expositions des nouveaux systèmes de communication sans fil pourraient donc avoir des conséquences imprévues sur les systèmes vivants et la connaissance de l’impact potentiel des ondes millimétriques de faible puissance au niveau cellulaire est de la plus haute importance. » - Maxim Zhabodov, thèse de doctorat. “ Cette pollution électromagnétique est particulièrement dangereuse parce qu’elle est incolore, inodore, invisible, insonore, impalpable, indolore et pour qu’elle se manifeste, il faut qu’on y soit soumis durant des années. Tout le monde y est soumis dans les pays industrialisés. La pollution électromagnétique occasionne une lente et progressive électrocution des organismes humains qui, suivant les individus et en fonction de facteurs génétiques, de prédisposition, pourra jouer un rôle important dans les maladies de civilisation : affections rhumatismales, cardiaques et neurologiques.“ - Dr. Jean-Pierre Maschi “L’électro-pollution conduit les pays modernes aux maladies de civilisation (cancer, thrombose, leucémie...) et au vieillissement prématuré des tissus et de l’esprit. Elle est contraire au maintien de la vie et à l’entretien de la santé.” - Louis-Claude Vincent, ingénieur, bioélectronicien. “Les pollutions électriques et électromagnétiques ont une répercussion oxydante sur l’organisme, en raison de la création de radicaux libres toxiques. Ils agissent en neutralisant les électrons disponibles, ce qui entraîne une altération des membranes cellulaires.” - Roger Castell, président de l’association de bioélectronique Vincent A.B.E.V. “La Bioélectronique Vincent”, p. 203, Editions Dangles. “Les champs électromagnétiques alternatifs sont responsables de cancers, de leucémies, de maladie Alzheimer, de maladies de Parkinson, de troubles neurologiques divers, de maladies cardiaques graves, de diminution de la résistance immunitaire et l’exposition à ces champs doit être amenée à des niveaux aussi faibles que possible. L’action délétère de ces champs réside principalement en un stress oxydatif responsable d’un éventail de maladies dégénératives.” - Pr. W. Ross. Adey, neurologue, Conseil National Américain de Protection contre les Radiations. « Selon les capacités de régulation et d’adaptation propres à chacun, nous allons permettre ou non l’émergence, l’activation et la transmission de « microbes » à un moment donné. Il y a donc concordance précise et rigoureuse entre l’environnement électromagnétique de la planète, les données culturelles propres à un lieu et à une époque, l’état du milieu intérieur des individus et l’activation microbienne au sein des populations. » - Dr. Éric Ancelet « Rester en permanence dans un environnement pollué aux ondes-électromagnétiques oxyde notre terrain biologique (perte d’électrons). Il est essentiel de maintenir un rH2 sanguin entre 22-24 maximum pour permettre à la cellule de continuer à utiliser l’oxygène. » - Laurence Gallais, naturopathe, bioélectronicienne. « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. » - Albert Einstein « Il apparait maintenant clairement que les mécanismes profonds de la biologie sont régis par des champs électromagnétiques, soit captés dans l’environnement, soit émis par l’être vivant lui-même. » - Jean-Marie Danze, licencié en science chimique, consultant en biophysique, auteur. « Tout le monde sais bien qu’en changeant la fréquence des champs magnétiques, soit vous arrêtez les tumeurs, soit au contraire vous les relancez. » - Dr. François Plantey « Les femmes enceintes ne travaillant pas sur ordinateur font en moyenne 16% de fausses couches, tandis que pour les femmes enceintes travaillant sur ordinateur, ce taux passe à 36%. » - Robert Masson, naturopathe Etudes et publications : Les champs électromagnétiques perturbent la fonction immunitaire en stimulant diverses réactions allergiques et inflammatoires, ainsi qu'en affectant les processus de réparation tissulaire. De telles perturbations augmentent les risques de diverses maladies, dont le cancer. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0928468009000352?via%3Dihub Les autres effets courants des champs électromagnétiques comprennent les effets sur la peau, la microvascularisation, le système immunitaire et le système hématologique. Il est conclu que les mécanismes sous-jacents aux symptômes de l'hypersensibilité électromagnétique sont biologiquement plausibles et que de nombreuses réponses physiologiques organiques se produisent après une exposition aux champs électromagnétiques.  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32289567/    La perturbation du système immunitaire par les champs électromagnétiques - Une cause potentiellement sous-jacente de dommages cellulaires et de réduction de la réparation tissulaire pouvant conduire à des maladies et à des déficiences. Des études menées sur des humains et des animaux ont montré que l'exposition à des niveaux environnementaux de champs électromagnétiques modernes d'origine humaine provoquait des changements immunologiques importants.   https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19398310/ Références : Livre : Jacques Mandorla : "Les ondes nocives" (éditions Grancher) Livre : Florence Rolando : « Les ondes, la 5G et notre santé ». ( Editions Exuvie ) Livre : Précis de Bioélectronique selon L. C. Vincent Livre : Sylvie Simon : “Votre santé n’intéresse que vous” Livre : Eric Ancelet : "Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique" Livre : Laurence Gallais : "Votre santé vous appartient" CEA : http://www.cea.fr/comprendre/Pages/physique-chimie/essentiel-sur-ondes-electromagnetiques-communication.aspx www.géobiologie.be http://www.ecolefrancaisedegeobiologie.fr/ Étude Des Effets Des Ondes Millimétriques Au Niveau Cellulaire : Cas Des Membranes Biologiques Artificielles Et De L’expression Génétique - Maxim Zhadobov : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00121677/document Publications scientifiques, Bioinitiative Report : https://www.criirem.org/wp-content/uploads/2015/11/bioinitiative_vf-3.pdf "Mauvaises ondes" - Documentaire France 3 Expérience : Wi-Fi sur les plantes : https://vimeo.com/359157026 Expérience : eau micro-ondée sur les plantes : https://www.youtube.com/watch?v=Gt1YAWt_sBA&feature=emb_logo https://environnement.brussels/thematiques/ondes-et-antennes/quelles-sont-les-normes/comparer-les-normes Pr. Belpomme : https://www.youtube.com/watch?v=dgAFvHaBa1c&t=2368s Ondes électromagnétiques, télécommunication et santé, Yves Le Dréan, biologiste : https://www.youtube.com/watch?v=0AXbDnIOSWI David Bruno, ingénieur expert en ondes électromgnétiques : http://www.ondes-expertise.com/ Film : « Fréquences électromagnétiques de l’ADN. » 5G, le danger : https://www.youtube.com/watch?v=jxiGnE9qXvY RTS - 5G et santé : quels sont les dangers ? : https://www.youtube.com/watch?v=Il-lMUqUaiM&t=43s Pierre Dubochet, ingénieur radio : http://www.pierredubochet.ch/l-illustre-nov-2018.html ARRA : https://www.alerte.ch/fr/activit%C3%A9s/agir/231-combattre-le-feu-avec-des-thermom%C3%A8tres.html Sites d’information : https://www.robindestoits.org/ http://www.familyondes.fr/

  • L'hormèse

    Article de physiologie Un mot sur l’hormèse… c’est le principe que « c'est la dose qui fait le poison ». Ce qui ne vous tue pas, vous rend plus fort ! A la base, désigne une réponse de stimulation des défenses biologiques, généralement favorable à des expositions de faibles doses de toxines ou d'autres agents générateurs de stress. À cause de ce mécanisme, un agent polluant ou toxique peut avoir un effet opposé suivant que la dose reçue est faible ou forte. Un tel agent est dit hormétique. Effet paradoxal d'une faible dose d'un agent toxique sur les êtres vivants. Les faibles doses du toxique on en premier un effet positif, puis l'augmentation de la dose engendre l'effet toxique attendu. Dans l’histoire, le roi Mithridate absorbait chaque jour du poison pour se protéger de l’empoisonnement… Les molécules qui induisent l' hormèse semblent omniprésentes dans le monde végétal. Un organisme vivant soumis à un stress intense mais ponctuel, suivi d’un temps de repos suffisant, s’améliore. En pratique au niveau de l’individu, c’est repousser petit à petit les limites et les capacités du corps pour augmenter sa robustesse , dans le domaine physique, psychologique, immunitaire et organique. En bref, c’est l’augmentation des capacités d’adaptation de l’individu. Certaines techniques hormétiques sont pratiquées afin d’augmenter les facultés adaptatives de notre organisme et donc sa résistance. Comme des stress contrôlés intenses et courts par l’exercice physique intense, musculation, yoga, etc. ; soumettre le corps au chaud ( sauna , bains chauds), puis au froid (bains froids) ; ou le priver de nourriture sur une courte période ( jeûne ) ; ou la pratique de certaines techniques respiratoires , vont renforcer ses facultés et lui permettre de rétablir l’homéostasie beaucoup plus efficacement et beaucoup plus rapidement. La réponse essentielle à ces techniques est la multiplication des mitochondries qui sont les centrales énergétiques des cellules. Combinés au repos , ces exercices hormétiques permettent à bon nombre d’individus de sortir de l’épuisement. L’exposition au froid, le jeûne intermittent et l’exercice physique intensif, permettent de convertir les graisses blanches inertes en graisses brunes, productrices d’énergie et de chaleur tout en consommant de la masse grasse. Ceci donc sous contrôle , progressivement et bien dosé, il n’est pas question d’utiliser ces techniques de manière prolongée, l’excès fera plus de mal que de bien, ce qui pourrait mener à l’énervation qui est la première étape des 7 étapes de la maladie (perte d’énergie vitale ). La sédentarité et le confort de la vie moderne diminuent nos capacités d’adaptation et nous fragilisent. L’inconfort nous renforce. Il va de soi que ces techniques ne s’appliquent pas à des personnes très affaiblies ou en soins palliatifs. Tout est question de bon sens et d’équilibre. « L’eau froide est revitalisante par son action sur les glandes surrénales ; et l’eau chaude est désintoxiquante par l’élimination qu’elle provoque. » - Christian Brun

  • Réduire le stress

    Article de santé naturelle L’être humain est conçu pour être soumis à des stress intenses, brefs et occasionnels, mais pas à des stress chroniques. Quand il se prolonge le stress devient chronique et entraîne la sécrétion d’un excès de cortisol qui déprime le système immunitaire et affaibli l’énergie vitale (énervation). Le stress induit la cellule à créer des déchets acides, il augmente l’ oxydation , l' inflammation , le catabolisme, réduit les éliminations, inhibe la digestion, déséquilibre le microbiote intestinal et détruit les membranes neuronale. On finit par dépérir et tomber malade. Voilà quelques idées et techniques à exploiter afin de diminuer le stress, source de bien des maux… Adopter une alimentation physiologique et spécifique à notre espèce, qui équilibrera nos intestins et notre microbiote (intestins 2ème cerveau). L’alimentation a un effet important sur le mental et l’équilibre émotionnel. Eviter les carences et s’assurer d’un apport élevé en vitamine C , en magnésium, en antioxydants et en acides gras oméga-3. Nutrithérapie : magnésium + taurine + vitamine B6. Complexe de vitamines B méthylées, iode , L-théanine. Oligothérapie : Granions de lithium organique. Gemmothérapie : cassis, figuier. Phytothérapie : plantes adaptogènes (éleuthérocoque, ashwagandha , ginseng, réglisse, tulsi, etc.). Safran. Aromathérapie : petit grain bigarade, lavande vraie. Supprimer les aliments mucogènes . Diminuer la toxémie et favoriser l’élimination des toxines. Pratiquer des exercices physiques . Pratiquer des exercices respiratoires ( cohérence cardiaque , respiration en carré, méthode Wim Hof, biorespiration, etc.). Vérifier la fonction surrénalienne et la traiter le cas échéant. Pratiquer le yoga, la méditation. Participer à une ou deux séance(s) de kinésiologie . Essayer de diminuer l’exposition aux rayonnements électromagnétiques . Privilégier les contacts sociaux avec des personnes enthousiastes et positives. Eviter les personnes dépressives, agressives, négatives et pessimistes. Essayer de vivre le moment présent (c’est le secret du bonheur), on ne peut rien changer au passé et le futur n’est pas encore là. Supprimer les excitants (dépresseurs). Se reposer suffisamment. Se coucher plus tôt et se lever à heures fixes. Se réveiller le matin par luminothérapie. Regarder moins la télévision. S'allonger pour écouter une musique agréable et relaxante. Augmenter l’énergie vitale . S’exposer au soleil régulièrement. Supprimer les perturbateurs endocriniens (cosmétiques, produits chimiques, pesticides, médicaments). Sortir et prendre l’air si possible dans la nature. S’exposer aux ions négatifs et s e connecter à la terre, négativation (pieds nus dans l’herbe ou le sable). Confier ses problèmes à un ami ou un professionnel de santé mentale. Se faire masser de manière relaxante et non stimulante (détente et production d’ocytocine). Pratiquer le sauna . Penser aux purges et / ou irrigation colonique. Pratiquer le jeûne est extrêmement efficace pour les pathologies mentales. Prendre du temps pour soi. Prendre des vacances et lâcher prise. Diminuer nos contraintes . Le stress est une réaction adaptative à une contrainte. La cause c’est la contrainte. Il faut faire des choix au niveau des contraintes auxquelles nous nous soumettons. Il est bénéfique d’alléger nos charges, nos obligations et nos contraintes. La vie est faite de choix ! On peut aussi augmenter nos capacités adaptatives pour mieux encaisser la contrainte et ainsi mieux gérer le stress par la loi de l’hormèse , mais dans certaines limites. Ces points vont permettre de rétablir l’harmonie de votre organisme, notamment avec l’équilibrage des systèmes glandulaire, intestinal, hormonal et nerveux . Les contacts sociaux atténuent les effets du stress sur l’organisme, et l’isolement social est nettement corrélé à des taux élevés de mortalité. (Etude de 1993, British Medical Journal). Citations : “Un grand nombre de recherches ont démontré que le bon équilibre entre les bonnes et les mauvaises bactéries présentes dans vos intestins est le fondement du bien-être physique, mental et émotionnel.” - Dr. J. Mercola "95 % de maladies dépressives viennent d’inflammations d’origine digestive. L’intestin est responsable d’au moins 90 % des maladies mentales." - Dr. François Plantey, psychiatre « Le stress est une agression psychologique qui a tendance à nous carencer en certains micronutriments, en certaines molécules de la vie. Il nous carence car il hyper-consomme certains nutriments. Donc, si on n’a pas apporté l’équivalent tous les jours dans son alimentation, le stress va nous vider petit à petit de certaines réserves. » - Dr. Claude Lagarde, docteur en pharmacie, biologiste, expert en micronutrition. « L’état mental négatif, habituel, les conflits et les chocs psychologiques, de même que le stress d’origine externe, produisent des poisons endo-organiques et tendent à freiner, voire à bloquer, les digestions et les éliminations, ce qui induit T.S.L. physio-pathologique ( toxémie ). » - Pr. G. Jauvais « Le stress modifie notre immunité en agissant sur les neurotransmetteurs cérébraux, sous l’effet de la libération de glucocorticoïdes et de catécholamines comme l’adrénaline. » - Pr. Gabriel Perlemuter « Essayer de donner aux évènements, aux contrariétés et au stress, l’importance qu’ils méritent, c’est-à-dire souvent bien peu… » - Robert Masson « Le stress est pro-inflammatoire. Il peut contribuer au surpoids et au diabète. Il est aussi impliqué dans les maladies allergiques, cardiovasculaires et neurodégénératives. »  - Dr. Jean-Paul Curtay

  • Les tempéraments naturopathiques

    Article naturopathique Selon le biologiste et naturopathe Pierre-Valentin Marchesseau, il y a deux groupes et sept tempéraments naturopathiques principaux, avec une multitude de déclinaisons. C’est une aide à l’évaluation du terrain individuel. Voici un bref aperçu de ces typologies. Pour vivre mieux, nous devrons adapter notre hygiène de vie en fonction de notre tempérament. Conserver nos points forts et améliorer nos faiblesses. Notre tempérament peut changer au fil du temps. Le vieillissement accentue nos faiblesses, ce qu’il faut éviter. 1. Les tendances du dilaté, du sanguino-pléthorique (de musculaire à obèse) : Aspect physique Prise de poids facile, enclin à l’embonpoint. Visage rond, rosé, rouge. Lèvres charnues. Trapu, ossature forte. Peau grasse, rouge. Aspect physiologique Il a chaud et transpire facilement Lymphogliase / hémogliase. Hypertendu . Maladies métaboliques type diabète , hypercholestérolémie , etc. Troubles cardiovasculaires. Aime l’eau fraîche. Aspect psychologique Sanguin. Jovial, bon vivant. Prise de décision intuitive. Aspect digestif Grande capacité digestive. Cet haltérophile a un tempérament plutôt sanguin Ils ont en général une bonne force vitale et aiment la fraicheur, le sport , le travail physique (sauf pour l’obèse). Ils se promènent légèrement vêtus l’hiver. Leur capacité digestive est très bonne, mais prenons garde à l’usure de celle-ci (estomac, foie , pancréas). Ils ont plutôt des problèmes de surcharge. Régime leur convenant bien : cure de jus , de jeûne , de monodiètes , de fruits aqueux acides, agrumes, etc. Alimentation plus crue, plus vivante. Diminuer les féculents , les lipides et les plats en sauce. Le mot d’ordre est : attention aux excès ! Pas de charcuteries ni de viandes rouges. Pas trop de fromages ; de temps en temps un peu de fromages de chèvre ou de brebis biologiques au lait cru. Limiter les aliments mucogènes et les excès alimentaires qui pourraient causer des troubles digestifs, émonctoriels , cardiovasculaires et glandulaires, malgré des émonctoires forts. Sport : cardio, judo, boxe, endurance à privilégier pour contrecarrer les problèmes cardiovasculaires et de surcharges. Le musculaire est l’équilibre Vitalité parfaite, équilibre glandulaire et nerveux. Le musculaire a de grandes capacités d’adaptation, il se plait à faire du sport. C’est en théorie le plus haut niveau de santé. 2. Les tendances du rétracté, du neuro-arthritique (de musculaire à nerveux) : Aspect physique Longiligne, ossature fine. Visage creux, allongé. Lèvres fines. Cheveux fins, ternes. Peau sèche, jaune, pâle et même grise chez les nerveux et les grands nerveux. Rhumatisme , arthritisme. Aspect physiologique Déminéralisé . Tendance à l’ acidose . Sensible aux carences . Frileux, aime la chaleur. Épuisé, fatigué. Faiblesses glandulaires. Moins d’énergie hormonale. Aspect psychologique Sensible au stress , déprimé, émotif. Troubles psychologiques. Cérébral. Prise de décision réfléchie. Aspect digestif Capacités d’assimilation faible. Digestion plus lente. Ce coureur de fond reprend plutôt les tendances du rétracté Régime convenant bien aux rétractés : alimentation plus dense, plus riche, surtout l’hiver ; fruits mi-acides et doux en fin d’après-midi, veiller à avoir suffisamment de protéines, de lipides et de minéraux, boissons végétales, jus de légumes , plasma de Quinton , lait d'or . Il veillera à avoir au moins deux apports protéiques quotidiens (œufs, poisson, fruits de mer, volaille) suffisant combinés avec un peu de féculents pour une meilleure assimilation cellulaire. Il limitera les aliments acidifiants . Pas de produits laitiers , pas de fruits acides , pas de végétalisme ou de véganisme, pas d’excès dans le crudivorisme, bien adapter l’ alimentation , à l’environnement, au climat et à l’ activité physique . Eviter les stimulants (alcool, café , etc.) qui épuisent facilement les rétractés. Sport adapté : musculation combinée au repos , à la sieste, etc. Augmenter son énergie vitale . Augmenter ses capacités d’adaptation par l’ hormèse . Consommer des plantes adaptogènes. Le neuro-arthritique aime le massage , la chaleur, le sauna , le hammam, les bains chauds ou bains de soleil . Citation : « Le terrain prédisposé à faire des maladies psychosomatiques est celui des neuro-arthritiques qui sont généralement des introvertis, des êtres hypersensibles et perméables aux stress et vulnérables aux idées. »  - Christian Brun Article complémentaire : Les génotypes

  • Les fruits

    Article d'hygiénisme et de bromatologie Genèse 1.29 : Et Dieu dit : « Voici, que je vous ai donné toute végétation portant semence qui est à la surface de toute la terre et tout arbre dans lequel il y a du fruit d’arbre portant semence. Que cela vous serve de nourriture ! ». Chaque espèce animale sur terre a sa nourriture physiologique propre et adaptée à son organisme. Si on défie les lois de la Nature et qu'on change la nourriture prévue pour son fonctionnement optimal, la dégénérescence, la souffrance et la maladie survient. Un aliment est un produit qui maintient la santé, et donc qui maintient le bon fonctionnement et l'équilibre entre les organes et les systèmes du corps. Un aliment ne doit pas nuire, il doit être ortho-biologique, c'est-à-dire spécifique à l’espèce, naturel et vivant, propre à notre anatomo-physiologie digestive et émonctorielle d’anthropoïde . Une nourriture spécifique ne provoque pas de troubles digestifs, mais elle renforce, régénère, vitalise et draine l’organisme, sans l’encrasser . Plus un aliment possède d'énergie, plus grande est sa capacité de guérison. Voilà pourquoi le fructose et le glucose naturels sont essentiels. Ces sucres simples constituent l'un des facteurs les plus importants pour stimuler les cellules à se régénérer. Le glucose assimilé résultant de la digestion constitue la principale source d'énergie pour les cellules. Ils sont donc vitaux pour l’organisme en tant que principale source de carburant notamment pour les microzymas . Les fruits sont les aliments du cerveau et des nerfs, ainsi que les nettoyeurs des tissus. Ils constituent la meilleure source de sucre naturel nécessaire à l'énergie cellulaire. Les lipides sont également les aliments indispensables pour le système nerveux et les cellules. Les légumes et les protéines sont les constructeurs et conviennent aux tissus musculaires et squelettiques. Les noix et graines sont des aliments structurels et renforcent le corps à un niveau global. Véritables bombes nutritionnelles, les fruits frais, mûrs et biologiques sont classés parmi les meilleurs aliments. Ils contiennent l'énergie de la vie, de l'eau, de la terre et du soleil. Leur valeur nutritionnelle est directement liée à leur stade de maturité. L'eau contenue dans les fruits est complètement saine, c'est à dire qu'elle est sans aucune trace de minéraux inorganiques ou d'autres matières qui soient susceptibles de se combiner avec les fluides corporels et d'obstruer les reins, les vaisseaux sanguins, les cellules ou les espaces interstitiels. Gardons à l'esprit que beaucoup de soi-disant légumes sont en fait des fruits non sucrés comme le concombre et que, techniquement, les noix et les avocats sont des fruits aussi. Parce que nous étions chasseurs-cueilleurs dans l'état primitif de la nature, au paléolithique, et en raison d'un régime abondants en végétaux donnant suffisamment d'eau, les humains n'ont pratiquement jamais développé de mécanismes d'eau potable. Les fruits frais et mûrs contiennent presque tous les facteurs alimentaires nécessaires à la vie humaine : enzymes, macronutriments, micronutriments, phytonutriments, chlorophylle , principes actifs & antioxydants, ainsi que des fibres essentielles au transit, au microbiote (prébiotiques) et au bon fonctionnement du système digestif. Ce sont des aliments physiologiques de tout premier ordre . Ils contiennent de l’acide L-ascorbique ( vitamine C ) qui est un catalyseur pour les microzymas , c’est une molécule essentielle à leur fonctionnement. Les fruits se récoltent sans efforts et à profusion, mais l’homme se casse le dos à planter du riz et du blé qui l’empoisonnent insidieusement ( amidon , gluten) et il laisse pourrir les fruits sur les arbres alors qu’il n’a qu’à tendre le bras pour s’en délecter… Un manguier ne demande aucun entretien et produit jusqu’à 15 tonnes de fruits en une année ! Cherchez l’erreur… Ne nous privons pas des fruits exotiques , en tant qu’anthropoïde d’origine tropicale nos organismes leurs sont génétiquement bien adaptés. Ils seront particulièrement bénéfiques sur le plan de notre santé. Il est important de consommer les fruits mûrs qui nous attirent le plus, ceux dont on a le plus envie, autant qu’on en a envie, mais en limitant la quantité en fonction de notre tempérament et de notre génotype. L’excès de consommation de fruits peut entrainer une stéatose hépatique , du diabète , de l’ hyperuricémie , une faiblesse musculaire et immunitaire. Gardons à l’œil l’équilibre entre protéines , glucides et lipides . Les fruits qui murissent après cueillette sont dits "climactériques". En voici une petite liste : Les mangues. Les bananes. Les avocats. Les ananas. Les kiwis. Les melons. Les papayes. Les poires. Les abricots. Les tomates. Les kakis. Les fruits de la passion. Les fruits et les légumes sont vitalisants , alcalinisants, ce sont des aliments vibratoires à hautes fréquences bioactifs . Ils n’encrassent pas l’organisme, ils ne font pas grossir, les tempéraments dilatés pourront en manger à volonté et toute leur masse grasse excédentaire disparaîtra rapidement. N.B. Les fruits se mangent seuls ! C’est à dire en dehors des autres repas ou au moins 45 minutes avant un repas, à la croque ou en smoothie avec les fibres, pas en jus (insuline). Ne les mélangeons jamais avec d’autres aliments, car ils inhibent radicalement la digestion stomacale et assurent nombre de fermento-putrescences entériques. (Voire : Les compatibilités alimentaires ). Leur digestibilité est exceptionnelle, environ 30 minutes. Pour notre santé, les sucres simples organiques et naturels des fruits (carburant cellulaire) n’ont rien à voir avec le sucre raffiné toxique , industriel et chimique. Un fruit qui commence à pourrir est à jeter parce qu’il est en cours de radio-dévitalisation avancée et parce que sa chair apparemment saine est contaminée par les toxiques de la pourriture. Les personnes qui ont une diarrhée en mangeant des fruits sont en grande intoxination, le corps se purge par les intestins. Vous n’arrivez pas à digérer les fruits ? Cela signifie que vous avez un problème au pancréas et au foie + vésicule biliaire. Voir aussi l'article : Les fruits acides chez les personnes sous-vitales . Texte de Alain Labelle, mars 2017 : Les humains et les singes se différencient des autres espèces par une caractéristique importante : leurs gros cerveaux. Cette réalité permet aux babouins comme aux humains d'utiliser des outils, de trouver de la nourriture et de naviguer dans les relations complexes de la vie de groupe. Une question demeurait toutefois dans l’esprit des scientifiques : qu’est-ce qui a conduit leurs cerveaux à grossir au fil de l’évolution ? Certains avancent que c’est le fait de vivre en groupe qui en est la cause, mais une nouvelle théorie inattendue fait aujourd’hui surface : la consommation de fruits. En effet, selon l’anthropologue Alex Decasien et ses collègues de l'Université de New York, le volumineux et performant cerveau de l'homme moderne est le résultat d'une longue évolution dont l'une des étapes cruciales serait une diète de plus en plus riche en fruits. Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé les mets préférés de plus de 140 espèces de primates pour constater que ceux qui avaient un penchant prononcé pour les fruits avaient des cerveaux environ 25 % plus gros que ceux qui se contentaient de feuilles. Citations : « C'est grâce à ça que nous avons développé nos cerveaux incroyablement volumineux. Nous avons fait exploser l'apport nutritionnel des aliments que nous mangions. » - Alex Decasien « Un excès de fruits dans l’alimentation peut abîmer le foie et augmenter les triglycérides. » - Sylvain Duvel, biologiste et nutritionniste « Que ton aliment soit ta seule médecine ! » - Hippocrate

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