Blog dédié à l'hygiénisme et à la santé naturelle


"La connaissance est une force. La connaissance de
la santé donne de grands pouvoirs." - J.H.Tilden
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- L'hyponatrémie
Nutrition Le sodium est un métal mou de couleur argentée de symbole (Na). En le combinant au chlore (Cl), nous obtenons le sel de table ou chlorure de sodium (NaCl). Il est composé de 40% de sodium et de 60% de chlore. 2,5 gr. de sel apporte donc 1 gr. de sodium. Méfions-nous de la diabolisation du sel qui est, quoiqu’on en dise, indispensable au bon fonctionnement de notre organisme et à la vie. Veillons à obtenir le bon niveau de sodium sanguin car l’excès sera nuisible (hypernatrémie), à l’instar de la carence (hyponatrémie). Les personnes les plus sensibles au manque de sodium sont les personnes âgées, surtout en période de canicule. Chez l’adulte, le taux sanguin normal de sodium (natrémie) se situe entre 135 et 145 mmol/L. L’hyponatrémie légère est comprise entre 125 et 135 mmol/L ; modérée entre 115 et 125 mmol/L ; sévère entre 90 et 115 mmol/L, elle peut entraîner la mort. On estime à 2 gr. le seuil vital minimal d’apport en sel et maximum 6 gr. par jour, soit 2,4 gr. de sodium. Les besoins quotidiens varient selon l’activité physique et la température (transpiration), l’âge, la masse corporelle et la quantité quotidienne d’eau ingérée. Symptômes d'un manque de sodium : Asthénie, léthargie. Etat confusionnel, déficit de l’attention. Faiblesse surrénalienne, musculaire, crampes. Déshydratation. Hypotension. Nausée, vomissements. Vertiges, maux de tête. Résistance à la chaleur limitée. Crise d’épilepsie. Coma. Causes : Un apport d’eau trop élevé. Une transpiration excessive (exercices intenses, fortes chaleurs, etc.). De la diarrhée, des vomissements. La prise de diurétiques. Une thyroïde paresseuse. Une alimentation trop pauvre en sodium. Fonctions du sel dans l'organisme : Hydratation cellulaire, organique et cutanée. Régulation de la tension artérielle. Fonctionnement normal des systèmes nerveux, musculaire et surrénalien. Favorise les échanges cellulaires. Aide au transport d'oxygène vers les tissus. Production des sucs gastriques. Fonctions métaboliques. Équilibre acido-basique. Défense immunitaire. Propriétés anti-inflammatoires et anti-allergiques. Un déséquilibre ou une carence électrolytique (sodium, potassium, calcium, magnésium) peut engendrer : Des crampes. Une faiblesse musculaire. Des douleurs articulaires. De la fatigue. De l’anxiété. Une perturbation du sommeil. Une déminéralisation. Une déshydratation. Un disfonctionnement du système immunitaire et respiratoire. Solutions pour l’hyponatrémie légère à modérée : Boire moins, max. ½ L par jour, 1 L s’il fait chaud. Consommer plus de sel et d’aliments salés, de préférence du sel organique sous forme d'algues et de céleri. Boire du plasma marin de Quinton 2 fois 150 ml en isotonique par jour. Préférer le sel de mer gris pour l’assaisonnement alimentaire. Le niveau normal devrait revenir au bout de 4 jours. N.B. L’hyponatrémie sévère exige une intervention médicale urgente ! Témoignage d'Alexandrine du 18 juillet 2006 : "Bonjour, J'ai souffert d'une grave carence pendant plus de vingt ans sans en connaître la cause, et qu’aucun médecin n’avait su déceler. A une époque, on entendait partout qu'il ne fallait pas manger trop de sel, voire ne pas en manger du tout. Or j'ai suivi scrupuleusement depuis mon adolescence ces recommandations, c’est-à-dire que je n’ai pas rajouté de sel à mon alimentation, puisqu’il m’était dit et répété que c’était inutile. Puis je suis partie trois ans sous l’équateur, allant là-bas suer abondamment pendant des mois. Je me suis déminéralisée et décalcifiée ; à mon retour en France j'ai dû visiter mon dentiste très souvent et couper courts mes cheveux pour la première fois de ma vie (ils ont repoussé depuis heureusement). Il y a 17 ans que je suis rentrée, et depuis j’ai traîné une énorme fatigue et des troubles divers : douleurs articulaires, arythmies cardiaques, tension oscillant entre 9 et 11 , vertiges violents et pertes d'équilibre jusqu'à ne plus pouvoir me tenir debout par moments (il m'est arrivé de me retrouver par terre), fatigue intense m'empêchant de travailler plus de 5 heures sans être obligée de dormir sauf à être épuisée, insomnies nocturnes, acouphènes, intolérance totale à la chaleur, à la lumière (douleurs intenses au fond des yeux), au bruit, éclatement de vaisseaux sanguins sous la peau provoquant des hématomes, douleurs dans le système veineux des jambes, hémorragies intestinales inexpliquées, besoin impératif de boire jusqu’à 3 à 4 l d’eau par jour dans certaines circonstances, diarrhées, incontinence urinaire, affaiblissement de mes capacités intellectuelles, pertes de mémoire et difficultés à réfléchir… et toute la déprime accompagnant cet état presque bi-décennal auquel aucun médecin -allopathes, homéopathes, acupuncteur, dentistes, psychothérapeutes… - n'avait trouvé d'explication… Les nombreuses vitamines, fer en cachets, oligo-éléments en solution aqueuse et autres complémentations n’ayant pu que très partiellement résoudre le problème. Ce n'est pas faute d'avoir insisté sur le fait que ma tension normale oscillait régulièrement il y a vingt ans (avant mon départ sous l’équateur) entre 12/5 et 12/7... La tension augmente normalement avec l'âge, et une tension de 9 ou 10 aujourd’hui ne pouvait pas être normale… Je précise qu'ont toujours été exclus de mon alimentation : charcuterie, conserves, aliments industriels préparés (en sauce, surgelés) et que je ne consomme que légumes, fruits, céréales, laitages, poisson, et peu de viande. Telle les herbivores dans nos prés auxquels on met un bloc de sel à disposition, ou les grands carnivores qui lèchent les concrétions de sel au bord des rivières, j'aurais bien dû, moi aussi, avoir ma dose de sel quotidienne, ce que je n'avais donc pas, avec cette alimentation-là. Oserai-je dire qu'un paquet de chips m'a sauvé la vie ? Suivant là encore les préceptes en vigueur, je m'interdisais les chips, aliment salé et gras chargé en "mauvaises graisses"... et tous les aliments salés. Mes rêves de gruyère, cacahuètes salées et chips quand j’étais sous l’équateur auraient dû m'alerter !! Eh bien, un jour j'en ai eu marre de tous ces principes, et pour une fois, j'ai décidé de me faire plaisir et de céder à la tentation (tout en me délivrant du mal comme on va le voir ; ce n’est donc pas un comble). Et j'ai commencé à manger des chips... Ce qui m’a fait physiquement, et immédiatement, beaucoup de bien ; c’est là que j’ai commencé à avoir la puce à l’oreille. J’ai exploré Internet où j’ai fini par trouver les symptômes des carences en sel. Et j’ai –enfin !– commencé à comprendre… et à arroser mes assiettées de gros sel, savourant la sensation de bien-être que j’avais à croquer de bons gros grains de sel. Cela fait six mois que je mange ainsi du sel gris de mer bien minéralisé. Au début, ma tendance habituelle à manger peu de sel cherchant à reprendre le dessus, dès que j'oubliais d'en manger parce que j’allais mieux les vertiges recommençaient… J’ai dû prendre l’habitude de saler mes aliments systématiquement. Aujourd'hui, j'ai repris une activité normale, je peux de nouveau me mettre au soleil sans avoir des taches sur ma peau (qui bronze de nouveau), ou le cœur qui s'affole, ou la sensation de ne pas pouvoir respirer, et je peux sortir de chez moi un quart d’heure sans avoir à m’encombrer d’une bouteille d’eau... Mes vertiges ont totalement disparu, j'ai retrouvé une vie normale, des forces, je peux de nouveau prendre ma voiture normalement et conduire, je ne risque plus la chute à vélo, j’arrive à marcher sur une pente, et je supporte une journée d’activité sans avoir à dormir 15 heures d’affilée. Ayant retrouvé mes forces, je crois de nouveau en l’avenir, je peux aller de l’avant, faire des projets en imaginant que j’aurai l’énergie nécessaire pour les faire aboutir… Je ne suis plus déshydratée. Mon corps retient de nouveau l’eau. Le sel de ma vie est revenu. Je revis. Ma grand-mère suivait les mêmes préceptes nutritionnels et n'a pas mangé de sel pendant des décennies. Elle avait sur la fin de sa vie les mêmes troubles que ceux dont j'ai souffert si longtemps : problèmes d'arythmie cardiaque, de circulation, d'articulations, pertes d'équilibre de plus en plus fortes, besoin hyper fréquent de boire et d'aller aux toilettes, le corps ne retenant pas l'eau, vertiges de plus en plus handicapants, intolérance grave à la chaleur, etc. Comme il était facile de croire que ce dont je souffrais était dû à un atavisme familial… Eh bien non. Il ne s'agissait que d'une mauvaise information, et surtout d'une négligence de ce que notre corps nous dit. Aucun médecin, pour elle non plus, n'avait décelé l'origine de ses troubles. Elle est morte à la suite d'une chute qui l'a conduite à l'hôpital, alors qu'elle n'avait rien de cassé, mais simplement ne tenait plus debout, et elle s'est laissé mourir. Sept ans plus tôt, elle avait eu un accident vasculaire comme ceux dont je souffrais, mais pour elle, ce fut malheureusement un accident vasculaire cérébral… à la suite de quoi elle a perdu en partie la parole. Ma grand-mère est décédée avec une tumeur au cerveau développée très rapidement, à laquelle je n'aurais peut-être pas échappé si je n'avais miraculeusement compris ce dont je souffrais. Enfin, je me permets d’aller plus loin : on n'a toujours pas expliqué les 15.000 morts que la canicule de 2003 a faits parmi les personnes âgées de notre « douce » France. Cela ne s’est produit dans aucun autre pays européen ! La question que je (me) pose est donc (eu égard à ce qui précède) la suivante : Ne serait-ce pas uniquement en France que l'on s'interdit à ce point de manger du sel ? Cela ne serait-il pas un élément d'explication ? Hypothèse dont je ne connais pas la réponse. Mais si vous vous occupez ou côtoyez des personnes âgées, ne faudrait-il pas –pour certaines d’entre elle tout au moins – les inciter à consommer du sel… ? Comme les Touaregs, et autres peuples des régions chaudes où l'on transpire beaucoup, elles ont peut-être besoin de sel pour ne pas se déshydrater ? Les caravanes qui traversaient le désert transportaient le précieux sel d’un bout à l’autre du Sahara, où des populations le savaient vital pour leur santé… Car le sel RETIENT L'EAU, n’est-ce pas ? tout le monde ne devrait-il pas savoir cela ? Consommer du sel quand il fait chaud et que l'on transpire abondamment, ce peut dans certains cas, n'être qu'une question de bon sens, non ? Merci de me lire. Je souhaiterais tellement que mon témoignage serve à d’autres…" Source du témoignage : https://www.vulgaris-medical.com/forum-sante/hyponatremie-temoignage
- Le fluor
Article santé Le fluor est un déchet industriel neurotoxique qui se stocke dans la glande pinéale (production de mélatonine) la glande va moins bien fonctionner (calcification), insomnie, stress, anxiété, troubles émotionnels, perte de mémoire, dépression, cancer (pinéalome), endormissement de la conscience, altération des performances intellectuelles, baisse immunitaire, etc. On connait sa toxicité depuis les années 30 et les études scientifiques menées dans le monde entier depuis lors n’ont cessé de confirmer sa dangerosité. Pour l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), il est classé T+ : TRÈS TOXIQUE. Pour l’Agence américaine de contrôle des substances toxiques (ATSDR), il figure parmi les 20 substances principales qui constituent la menace la plus significative pour la santé humaine. Pour le NPI australien (Inventaire national des polluants), les composés fluorés se trouvent à la 27ème place des substances toxiques sur les 208 niveaux du total. En toxicologie, il est reconnu aussi toxique que l'arsenic, le mercure et le plomb. Le fluor est un des composant du gaz Sarin et du Prozac. Il était utilisé par les nazis dans les camps pour soumettre les individus via l'eau de boisson. C’est un halogène considéré par les chimistes comme un oxydant parmi les plus puissants et les plus dangereux. En bioélectronique, les oxydants déplacent le terrain biologique dans la zone de dégénérescence. Oxydation = radicaux libres. Suroxydation = manque ou perte d’électrons. Le fluorure est la combinaison de fluor avec une autre substance, ce sont des toxines cumulatives. Il inhibe la synthèse de la glutamine de 100%, la glutamine est un acide aminé qui intervient dans la synthèse des protéines, la protection immunitaire, le maintien de l'intégrité de la paroi intestinale et l'équilibre acido-basique de l'organisme. Le fluor fragilise les os et l'émail des dents, en plus d’endommager la structure osseuse (articulations, colonne vertébrale, etc.). Il diminue la longévité et l’activité thyroïdienne et donc le métabolisme et les fonctions hormonales. Le fluor comme le brome sont des antagonistes de l’iode. Eviter l'eau pétillante qui est généralement remplie de fluorure (sauf : Lidl Sagaro, Spa Reine, lire étiquettes : 'F-') Sources de fluor : Eau (bouteille et robinet) ; Dentifrice ; Aliments industriels ; Lait maternisé ; Céréales ; Boissons gazeuses ; Thé, vin, bière ; Sel de table ; Anesthésiants ; Cigarettes… Citations : « Les fluorures sont cancérigènes comme le montre toutes les études réalisées sur le sujet. Je pense que l’EPA (Environmental Protection Agency) devrait agir plus rapidement pour protéger le public, non seulement parce qu’ils interviennent notoirement dans les cas de cancers, mais également étant donné qu’ils sont à l’origine de fractures osseuses et d’arthrite entraînées par les fluorures. » - Dr. William Marcus « 20 à 30 mg de fluor ingérés quotidiennement pendant 10 à 20 ans altèrent le squelette dans lequel il se fixe : la densité osseuse augmente, les insertions tendineuses et les ligaments articulaires s’ossifient, les cartilages se calcifient. Il en résulte des raideurs, des compressions nerveuses, des déformations invalidantes et douloureuses au niveau des vertèbres. » - Dr. Catherine Kousmine « Il est fondamental de se rappeler que le fluor est si réactif qu’il peut ronger l’acier, le verre, le fer, l’aluminium et la plupart des autres substances : il rejoint le mercure en tant que substances les plus toxiques de la planète. » - Dr. Russel Blaylock « Le fluor est un poison, il n’a pas sa place dans le métabolisme des humains, des animaux ou des plantes. Il détruit les os et les dents et fait des ravages sur tous les systèmes corporels. Le fluor est un des éléments les plus courants des médicaments. » - Lynne Farrow « Quand j’étais enfant, jusqu’à mes 5- 6 ans, je recevais tous les jours du fluor. Tous ceux de ma génération sont maintenant en hypothyroïdie, voilà le résultat et ceux qui disent qui ne le sont pas, c’est qu’ils ne le savent pas. » - Dr. Stéphane Résimont “La connaissance donne la liberté !” Dentifrice sans fluor Recette de dentifrice maison sans fluor : 1 grosse cuillère à soupe d'huile de coco 1 petite cuillère à café d'argile blanche 1 pincée de sel gris marin naturel 3 gouttes d'HE de menthe poivrée 1 goutte d'HE de giroflier 1 goutte d'HE de sauge ou de laurier noble
- Notion de TERRAIN
Article naturo-hygiéniste Fondamentalement la maladie n’a qu’une cause : la dégradation du terrain, c’est la toxémie. On peut comparer le terrain avec le sol, la terre sur laquelle se développent les plantes. Si ce sol n’est plus fertile ou pollué, les plantes se détériorent, dégénèrent et meurent. L’ensemble des liquides organiques, sang, lymphe et sérums cellulaires, jadis appelé « humeurs » constitue le terrain. Notre corps est constitué de 70% de liquide, dans lequel baignent nos cellules et nos microzymas. La composition des ces liquides est primordiale pour la cellule car ils représentent son milieu vital. L’état humoral = le terrain La cellule : apparaît classiquement comme l’unité de base des êtres vivants (voire aussi : Les microzymas). Les organismes sont des associations de cellules, dont chacune mène sa vie propre en coopérant à celles de l’ensemble. Le corps humain adulte est composé de 100.000 milliards de cellules. La lymphe et le sang, sont des courants nourriciers et épurateurs, P-V. Marchesseau disait que la lymphe était à la fois le fleuve nourricier et le tout à l‘égout. Voire fiche : « Le système lymphatique ». Pour maintenir la pureté du milieu intérieur, le corps dispose de différents filtres et émonctoires. Cinq émonctoires principaux : le foie, les reins, les poumons, les intestins, la peau (glandes sébacées et sudoripares) et les muqueuses. Des émonctoires secondaires : l’utérus, les glandes lacrymales. Filtres : le foie, les reins, les ganglions lymphatiques. Lorsque les déchets, toxines et toxiques sont trop nombreux et les émonctoires paresseux ou congestionnés ou déficients, le terrain accumule progressivement des déchets et la situation organique se dégrade, le sang s’épaissit. La toxémie survient lorsque la quantité de toxines accumulées est plus importante que la quantité de toxines éliminées. L’aspect psychologique a également une influence prépondérante sur la qualité des humeurs (nutrition et activation des émonctoires). L’organisme dans son entier subit l’invasion des surcharges. LA NATURE PROFONDE DES MALADIES EST GÉNÉRALE ET UNIQUE : C’EST L’ENCRASSEMENT DU TERRAIN « La TOXÉMIE ». À partir de cette cause unique, peuvent apparaître de multiples symptômes et troubles locaux. La maladie est la conséquence de la transgression des lois naturelles (Voire : Les lois qui régissent notre santé). La cause étant toujours la même (toxémie), les soins seront toujours identiques dans leur essence. Les microbes ne sont que les hôtes d’un terrain surchargé. Ils ne survivent, prolifèrent et occasionnent des dégâts que lorsque le terrain le permet. Le microbe n’est rien, le terrain est tout. La cause première des maladies n’est donc pas le microbe, mais bien le terrain surchargé de déchets qui permet aux microbes de se développer et de s’installer. L’état du terrain est d’une telle importance pour un fonctionnement sain de notre organisme, que constamment celui-ci cherche à le maintenir dans un état de pureté le plus parfait. Les maladies sont le résultat des tentatives de nettoyage opérées par le corps. Le refoulement antinaturel (médication) est une solution de facilité illusoire. Elle ne fait qu’aggraver la situation, tout en donnant l’illusion d’améliorer la santé. À FORCE DE REFOULER LES « PETITES MALADIES » ÉLIMINATRICES, salutaires et régénératrices, celles-ci se transformeront assez vite en maladies chroniques, dégénératives et destructrices. La guérison intervient lorsque les déchets ont été expulsés hors de l’organisme, que les tissus se sont réparés et que l’état humoral est redevenu normal. Soigner, c’est donc expulser et purifier. Le terrain est scientifiquement mesurable grâce à la bioélectronique Vincent (BEV) : En bioélectronique, grâce à la mesure de 3 paramètres : le pH, le rH2 et le rô du sang, de la salive et de l'urine, nous pouvons représenter l'état du terrain sur le graphique BEV. Louis-Claude Vincent a démontré de façon incontournable que, par déplacement du terrain, toute vaccination contre une maladie microbienne prédispose aux maladies à virus et au cancer. Ainsi, la vaccination anti poliomyélite prédisposait à la tuberculose. Citations : « Un microbe ne vit que si le milieu dans lequel il se trouve, lui permet d’exister. » – Dr. Jeanne Rousseau “Il n’est pas envisageable de faire un redressement de terrain, si on ne commence pas à changer l’eau de boisson. Il faut d’abord commencer par l’eau.” - Laurence Gallais, naturopathe, bioélectronicienne. « Quand la maladie éclate, ses manifestations désagréables, douloureuses ou flagrantes accaparent toute l’attention du malade et du thérapeute et font négliger l’état défectueux du terrain qui préexistait à l’éclosion des troubles. Un terrain sain est réfractaire à l’invasion de microbes. Ce n’est que dans un terrain surchargé ou carencé, et très souvent les deux à la fois, que les microbes peuvent survivre et se multiplier, causant ainsi l’infection. Si l’encrassement du terrain augmente, l’infection augmente ; s’il diminue, l’infection diminue. » - Christopher Vasey « Tous les symptômes, aussi variés et exubérants soient-ils, ne sont que l'expression d'un mal unique : l'encrassement du terrain. Seule la correction des causes productrices peuvent les faire disparaître et amener une guérison véritable. La thérapeutique toute entière doit être orientée dans ce sens. Refouler les toxines (médications) est une erreur capitale, car les maladies ne sont en réalité et avant tout que des tentatives du corps pour se libérer des surcharges afin d’assainir le terrain. » - Dr. Paul Carton « Les microbes ne sont pas la cause de la maladie, même en terrain propice, tout ce qui les tue nuit à l’organisme. C’est la toxémie interne qui importe avant tout. Le terrain. » - Albert Mosséri Articles associés : Un mot sur l’immunité Les émonctoires Un mot sur le jeûne et les monodiètes L’équilibre acido-basique Le plasma marin de Quinton Les neufs points de la santé ou de la maladie Les céréales et amidons Les aliments mucogènes Les aliments acidifiants La toxémie Nos amis les microbes Les microzymas et le polymorphisme microbien La lymphe, les humeurs et le système lymphatique La maladie et la santé sont-elles le fruit du hasard ? La Bioélectronique Vincent
- Les microzymas et le polymorphisme microbien
Article de biologie Chapitre de biologie passionnant ! C’est grâce à l’illustre Professeur Antoine Béchamp que nous devons la découverte des MICROZYMAS en 1858. Antoine Béchamp 1816 - 1908 30 années de recherche ont été consacrées à comprendre le rôle de ces “granulations moléculaires” que Béchamp a su isoler. Le microzyma est une micro-cellule mesurant entre 30 et 60 nanomètres de diamètre. Il apparaît comme limité clairement par une membrane et présente en son cœur un cristal de silicium. On trouve des microzymas dans l’air, dans la craie et surtout dans tous les êtres organisés (plantes, animaux), au sein de leurs tissus et de leurs humeurs dans lesquels ils jouent un rôle essentiel. Ils peuvent devenir morbides et évoluer (polymorphisme) en bactéries uniquement si le milieu (terrain) dans lequel ils exercent leur fonction se déséquilibre. Photo de microzymas au microscope à fond noir : petits points blancs 30-60 nanomètres. Ce sont eux qui synthétisent les enzymes ou zymases (d’où leur nom) et qui métabolisent les différents substrats qui constituent les êtres organisés. « Les microzymas sont la racine même de l’organisation ; sans eux pas d’organisation et pas de matière vivante. » - A. Béchamp Photographie d'un microzyma au microscope électronique, on distingue bien sa membrane et son cœur en cristal de silicium à 5 côtés délimité par les flèches En fonction de l’état du milieu les microzymas se rassemblent pour former nos cellules (milieu équilibré) ou nos microbes (milieu déséquilibré), microbes spécifiques à chacun de nous. Nos cellules sont transitoires ; « nous nous putréfions sans cesse » dit-il, une cellule qui se décompose redevient microzymas. Ces microzymas formeront de nouvelles cellules si les conditions sont favorables, sinon ils peuvent se regrouper et former des bactéries en passant par différentes étapes (polymorphisme des microbes). « L’unité vitale, irréductible, physiologiquement indestructible dont la cellule même est formée, n’est autre que le microzyma. Il est la forme vivante, réduite à sa plus simple expression, ayant la vie en soi, sans laquelle la vie ne se manifeste nulle part… Bref, le microzyma est l’unité vivante per se ; et c’est ce qui ne peut être affirmé de la cellule. » - A. Béchamp La cellule n’est donc pas l’unité de base de la vie, mais bien le microzyma. La prise en compte des microzymas permet de démontrer de manière scientifique que les maladies infectieuses viennent de l’intérieur du corps et non de l’extérieur, et, plus précisément des microzymas. Ces derniers, notamment en fonction du pH du milieu extracellulaire, construisent des bactéries ou des bacilles pour réparer l’organisme. Ce sont également eux qui construisent les cellules de l’organisme et le tissu conjonctif. Le travail de Béchamp prouve que ces bactéries sont présentes en tant que résultat et non en tant que cause. Les bactéries évoluent à partir des microzymas qui les construisent de façon à nettoyer les vieux tissus qui se détériorent. Lorsqu'il y a déséquilibre et que le liquide interstitiel (extra-cellulaire) devient acide, toxique et pollué, les microzymas changent alors de forme et deviennent virus, puis bactéries, et finalement levures. Ceux-ci nettoient les détritus, les cellules mortes, les toxines et autres déchets, résultat d'une intoxination (toxémie). C'est le rôle des bactéries et des microbes. La maladie aiguë purificatrice peut virer en maladie chronique, dégénérative ou fatale sous certaines conditions : Niveau de toxémie trop élevé à cause des précédentes tentatives d’expulsion et de nettoyage (crise aiguë) arrêtées par des médicaments, accumulation de toxines refoulées dans les profondeurs humorales. Prolifération anarchique de microbes du fait d’un terrain surchargé. Le métabolisme de ces éboueurs va générer encore plus de déchets. Émonctoires congestionnés, fatigués. Energie vitale faible. Carences. Louis Pasteur, contemporain de Béchamp, a refusé de prendre en compte les microzymas. Ces derniers sont visibles sur le vivant à partir d’un grossissement de 750 et il a donc interdit à ses collaborateurs de dépasser un grossissement de 450 : Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ! Pasteur a élaboré la théorie de la « panspermie atmosphérique » (contagion aérienne) en mettant en route une guerre incessante aux germes venant soi-disant de l’extérieur. Pour les naturopathes orthodoxes et les hygiénistes, l’idée que le microbe est la cause de la maladie est erronée ! Ce ne sont pas les mouches et les asticots qui font les ordures, mais les ordures qui font les mouches et les asticots… La médecine moderne ne traite qu’avec des antibiotiques (anti-vie) et des vaccins qui ne sont absolument pas nécessaires… Puisque ces bactéries sont la conséquence et non la cause. Ce n’est donc pas sur le microbe qu’il faut agir mais sur le terrain de l’individu. Les antibiotiques bloquent le travail des microzymas et ralenti le rétablissement profond. Béchamp jugeait la vaccination scandaleuse, car « elle néglige la vitalité propre, indépendante, des microzymas de l’organisme ». Le microzyma est capable de métaboliser certaines substances par un mécanisme de nutrition. On retrouve les diverses phases classiques que sont la digestion, l’assimilation, la respiration et la désassimilation. Dans certains cas, les microzymas, faute de certains éléments (carences, vitamine C, etc.), rejettent des toxines particulièrement néfastes. Lorsqu’ils n’ont pas su métaboliser complètement les substances ingérées. Les maladies avec germes sont toujours des processus de guérison et de vie. Elles prennent un caractère de gravité qu’en cas de carences importantes ou de détérioration du terrain. Il n’existe donc pas de guerre bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Il est d’ailleurs étonnant de constater que les divers globules blancs sont remplis de microzymas vivants se déplaçant à l’intérieur du cytoplasme. Il semble que l’une des fonctions des divers globules blancs soit justement de transporter les microzymas là où il y a besoin de main d’œuvre… Les cellules contiennent de très nombreux microzymas, il est donc facile de les accuser (assimiler au virus) d’être des parasites intracellulaires… La pureté et la qualité des humeurs, les constantes bioélectroniques, la température, les antioxydants, le sucre et la dimension psychosomatique influencent les microzymas. Pensons donc aux fruits qui sont des nettoyants humoraux non encrassants, des aliments vivants vibratoires à hautes fréquences, riches en antioxydants, en vitamines, notamment en vitamine C, en eau organique et en sucres simples. Tout comme le sucre et la vitamine C, l’oxygène est du carburant pour les microzymas. La théorie d’Antoine Béchamp est confirmée par la bioélectronique et les travaux du Pr. Louis-Claude Vincent sur le déplacement du terrain biologique. Le polymorphisme microbien Voici un exemple d'une des nombreuses observations qu'Antoine Béchamp a faites : Un hiver, il a observé au microscope une plante grasse dont une partie avait été gelée. Qu'a t'il vu ? Dans la partie gelée : des bactéries. Dans la partie saine : des granulations moléculaires (visibles à x 700). Dans la partie intermédiaire : des étapes de formation des bactéries à partir des granulations moléculaires (microzymas). Bien entendu, il a reproduit, comme à son habitude très rigoureuse, en laboratoire en variant divers paramètres. La plante était malade : seulement la cause de la maladie n'est pas la bactérie, mais le froid qui a changé les conditions du milieu (terrain), les bactéries n'en sont qu'une conséquence. Voire même une défense. Le Prof. Antoine Béchamp, qui a eu une expérience hospitalière (ce que n'a jamais eu le chimiste PASTEUR), a découvert les microzymas, ces particules vivantes de la taille du micron (microsomes ? nano bactéries ? cellules-souches ?), constitutives de nos tissus, observables au microscope à fond noir (points blancs animés d‘un mouvement brownien), qui, par agrégation, sont capables de générer des bactéries ou des cellules saines selon la qualité du ‘’ terrain ‘’ sur lequel elles se trouvent (ce qui a été confirmé, indépendamment, par d’autres chercheurs, tout autant occultés voire persécutés…). Plus généralement, bactéries, mycéliums (champignons) et virus sont des formes interchangeables, réversibles (poly- ou pléomorphisme), chaque fois que les caractéristiques du terrain se modifient. Cycle de la somatide (microzyma) de Gaston Naessens Ce sont par conséquent nos terrains déséquilibrés qui sont responsables des maladies qui nous touchent, et pas les microbes et virus ! Ces derniers ne font que se développer sur des terrains qui leur sont momentanément favorables. Il est illusoire de vouloir guérir le malade en tentant de les exterminer, car ils ne sont pas directement responsables, et ils sont capables de changer de forme pour aller se mettre à l'abri ! Une même souche de microbes, cultivée sur des milieux différents donne des microbes différents. C’est ainsi qu’une culture de colibacilles peut donner naissance, au choix, à des streptocoques, pneumocoques, staphylocoques, etc. Ce transformisme microbien permet d’expliquer pourquoi une vaccination contre la diphtérie ou la variole peut déclencher une tuberculose, que la vaccination antivariolique peut trop souvent donner la syphilis, le BCG et le vaccin anticoquelucheux, la polio, etc. De tels accidents restaient jusqu’alors inexplicables scientifiquement. On se contentait de penser que la vaccination, en perturbant les humeurs, avait temporairement abaisser la résistance de l’organisme et permis l’invasion d’une autre ‘race’ microbienne, alors que ce sont les microbes inoculés qui ont évolué de façon ‘anormale’ et sont la cause directe de l’accident. Le Professeur Peter DUESBERG, virologue de l’Université de Californie à Berkeley, dénonce vigoureusement l’ineptie des arguments arrangés par les ‘’ chasseurs de virus ‘’ inconditionnels, alors qu’il s’agit de s’interroger sur les véritables causes des déficits immunitaires qui sont à l’origine du SIDA. Il n'est pas étonnant de rencontrer des virus sur les tissus et organes soumis à des conditions oxydantes, très souvent le siège de mécanismes de dégénérescence… mais il est absolument inutile de les accabler et de les pourchasser (sauf pour quelques laboratoires et quelques industriels…). Nous pouvons donc mettre de côté toutes les peurs, à la mode aujourd’hui, par exemple autour de la soi-disant maladie de Lyme. Les microbes qui peuplent l'humus sain et nos systèmes digestifs (microbiote) sont capables de nous faire profiter d'étonnantes transformations, ce qui signe la solidarité qui nous lie aux microbes. Le professeur de biologie Jules Tissot du muséum d’histoire naturelle de Paris confirma les thèses d’Antoine Béchamp sur le polymorphisme microbien et la nature bactérienne des êtres vivants. Il en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus. Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens qui l'attaquèrent violemment, dès la parution du premier volume de son œuvre magistrale, en 1926. Cette œuvre consacrait la ruine des idées pasteuriennes, en même temps qu'elle était susceptible de porter atteinte à des intérêts privés considérables représentés par la fabrication et la vente de sérums et vaccins, notamment… En Allemagne, le chercheur zoologue, entomologiste, microbiologiste et médecin Günter Enderlein (1872-1968) appelle les microzymas : “Protits”. Il est devenu célèbre avec le concept de pléomorphisme ou polymorphisme des micro-organismes. Plus récemment, Gaston Naessens (1924-2018) avec son 714-X découvert pour le traitement du cancer et ses recherches sur les somatides (microzymas). Dans le cas du cancer, par exemple, 1 à 2 ans avant l’apparition de la tumeur, la somatide commence à présenter des anomalies sans toutefois changer de forme. La tumeur n’est pas encore apparue, c’est le stade précancéreux. Si nous rétablissons la santé à ce moment là, la tumeur n’apparaîtra pas. Les scientifiques travaillent actuellement sur ce qu’ils appellent : les “nanobes ou nanobactéries” (microzymas). « L’Être vivant rempli de microzymas porte donc en lui-même les éléments essentiels de la vie, de la maladie, de la mort et de la destruction totale. » – A. Béchamp et Estor Citations : “Les microbes sont à la base de toutes les structures vivantes (il est aujourd’hui reconnu que nous renfermons plus de bactéries que de cellules), et ils ne demandent qu'à vivre en harmonie, pour le bénéfice de tous les écosystèmes, de toute la biosphère. Les charger de tous nos maux, prétendre qu'ils sont programmés pour nous détruire, et chercher à les exterminer sont d'une incommensurable absurdité, qui nous conduit à altérer et à dégrader de façon irréversible les structures intimes de la nature humaine, que nous léguons à notre descendance. Les microbes rencontrés dans les maladies ne sont pas leur cause, mais ils sont produits par le terrain déséquilibré du malade.” - Pr. André Fougerousse « Il faut bien comprendre que l’hypothèse virale n’a jamais été prouvée et que jamais aucun scientifique n’a pu visualiser de manière objective un virus. Les superbes images proposées ici et là, sont la plupart du temps, des dessins réalisés par des infographistes, ou des montages plus ou moins grossiers. Quand par hasard nous avons une image un peu plus crédible, obtenue en général au microscope électronique, nous pouvons y reconnaître une petite bactérie ou un MICROZYMA ! Les épidémies s'expliquent par la psychosomatique. » - Dr. Alain Scohy “La somatide est une particule élémentaire vivante, c’est un élément indispensable à la vie. Nous la retrouvons dans le domaine végétal et le domaine animal. Sans elle il n’y a pas de division cellulaire. Elle a un polymorphisme.” - Gaston Naessens, biologiste « Les virus n’existent pas ! Ce que l’on prend pour de virus sont en réalité des fragments d’ADN ou d’ARN encapsulés (exosomes) qui sont excrétés, rejetés par nos cellules dans certaines conditions. Les virus n'existent pas selon la définition et les fonctions qui leur sont attribués. La médecine moderne n'est qu'un dogme, et la plupart des humains croient aux virus comme à une religion ! Les événements dramatiques que nous vivons sont la conséquence d'une présence inhabituelle d'ondes électromagnétiques dans notre environnement, dont une partie sont liés aux technologies de communication. » - Dr. Hugues Holleville “Depuis 150 ans, les autorités ont réussi - et parviennent toujours - à imposer la médecine pasteurienne envers et contre tous. Envers et contre le bon sens, envers et contre la nature elle-même. Mais la nature a toujours le dernier mot… malheur à qui l’oublie ! Choisir entre Pasteur et Béchamp, c’est beaucoup plus qu’un choix de santé, c’est un choix de vie. La somatide est immortelle, elle est la source de la vie.” - Dr. Ghislaine Lanctôt “Lorsque j'ai découvert le pléomorphisme, il y a à peu près 15 ans, en tant que médecin éduqué aux USA (22 ans à l'école de médecine), cela a été un choc profond dont je ne me suis sincèrement pas encore remis. Je suis choqué que l'on nous ait tant menti… La biologie que nous avions tous apprise à l'école de médecine est erronée et cela affecte tous les aspects de la médecine, de haut en bas. Le méchant microbe s’attaquant indifféremment à n’importe qui sans raisons, et la nécessité de s’immuniser contre lui, est un conte de fée pour effrayer les ignorants. La réalité de la médecine moderne est une religion juteuse pour ses prêtres et funeste pour ses croyants.” - Dr. Dennis Myers & Dr. Robert Miller, 2006. « Les microbes ne sont pas transmis par contagion, mais fabriqués par les MICROZYMAS pour « poncer » les zones réparées, ou bien opérer des opérations chirurgicales spontanées et naturelles quand il le faut. » - Dr. Jean-Claude Fajeau “Les microbes ne sont pas la cause de la maladie mais son effet. Toute maladie a un sens biologique bien déterminé.” - Dr. Ryke Geerd Hamer « Un microbe ne vit que si le milieu dans lequel il se trouve, lui permet d’exister. Comme on est axé sur les problèmes de microbes, on ne s’occupe pas du terrain, alors qu’on sait très bien qu’une variation de terrain peut très bien faire varier la nature du microbe, on le sait ! Seulement ça fait partie de ce qu’on ne dit pas ! Là aussi il y a un commerce qu’il ne faut pas déranger… » – Dr. Jeanne Rousseau “Un terrain affaibli laisse émerger des constituants qui, normalement, ne se manifestent pas. Les prétendus “agresseurs”, microbes, virus et autres prions sont des produits endogènes et non des “agresseurs venus d’ailleurs”... On prétend éradiquer des maladies alors que l’on en fait émerger de nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant - par méconnaissance des mécanismes du vivant - de reconnaitre les conséquences néfastes du déplacement du terrain.” - Dr. Jacqueline Bousquet, CNRS “Le Dr. Béchamp et d’autres après lui comme Claude Bernard ont depuis longtemps prouvé plusieurs points d’une importance capitale concernant l’origine des microbes et des virus, et ceci s’opposant radicalement aux théories énoncées par Pasteur, théories qui à l’heure actuelle induisent le public en erreur.” - Daniel Kieffer, CENATHO “Le microzyma est l’unité de vie antérieure à la cellule. Il est spécifique à l’individu et à un organe.” - Cédric Mannu, CIRAB "Les microbes ne sont pas la cause des maladies. Ils naissent par mutation de nos cellules. La théorie pasteurienne est un "sophisme". Il n'y a pas d'organisme aseptique ; tout être est une "moisissure organisée", une collection de bons microbes, qui évoluent sous l'influence néfaste du milieu dans lequel ils se trouvent. Nos éléments cellulaires sont des microbes ou des anciens microbes qui peuvent prendre des allures différentes avec les altérations humorales variables selon les idiosyncrasies (apparition de microbes, bactéries, bacilles, virus par autogenèse). En d'autres termes, sous l'influence plus ou moins néfaste (mutante) des poisons des liquides humoraux qui les baignent, nos propres éléments histologiques refont, en sens inverse, le chemin de l'évolution déjà parcouru. Ils redeviennent ce qu'ils étaient à l'aube de la Vie : virus, bactéries, etc." - Dr. Jules Tissot « Les microzymas, il s’agit de particules indestructibles, première manifestation de l’énergie dans la matière, structurant en permanence le corps physique de tous les êtres organisés, du virus à l’homme. Ces particules sont polymorphiques en fonction des paramètres physico-chimiques du milieu intérieur. Les travaux de Louis-Claude Vincent dans les années 50, confirmés par les découvertes les plus récentes de la microbiologie, démontrent en effet la possibilité d’une endogenèse microbienne, l’apparition spontanée de micro-organismes pathogènes ou symbiotes dans le milieu intérieur, par transformation successives de structures cellulaires telles que les microzymas que Béchamp nommait aussi « virus-gènes ». Ces transformations sont consécutives aux modifications de paramètres tels que le pH, le potentiel d’oxydoréduction ou la concentration en ions du milieu intérieur, eux-mêmes étroitement corrélés aux grands cycles cosmotelluriques comme la rotation de la Terre ou les cycles lunaire et solaire. Les épidémies suivent étroitement ces rythmes ‘extraterrestres’ auxquels nous ne pouvons nous soustraire. La constellation mouvante de nos ‘états d’âmes’, pensées et émotions, modifie elle aussi ces paramètres bioélectroniques, et participent donc à l’activation ou à la mise en sommeil des microbes que nous disons ‘pathogènes’ ». – Dr. Éric Ancelet « La théorie microzymienne de Béchamp est à la biologie et à la microbiologie, ce que le tronc est à l’arbre. » - Dr. Marc Emily « Les microzymas sont susceptibles d’évoluer en bactéries, les microbes pathogènes ne sont autres que les microzymas ou vibrioniens émanés d’un organisme malade. Ils ne sont pathogènes qu’au sortir de cet organisme, et leur morbidité s’atténue plus ou moins rapidement, soit dans l’être vivant, soit après culture. C’est un fait que l’on observe naturellement dans le cours des épidémies ou par le fait des expériences de laboratoires : IL Y A SIMPLEMENT CHANGMENT DE FONCTION DU MICROZYMA PAR MODIFICATION DU MILIEU VIVANT OU DU MILIEU ARTIFICIEL DE CULTURE. Nous pouvons comparer le microzyma à l’insecte qui est toujours le même animal sous sa forme de chenille, chrysalide, papillon. » - Pr. Dr. Ing. José Giralt-Gonzalez « Le microzyma est le fondement de toute vie organique et les conditions du milieu physique, chimique, atmosphérique, dynamique déterminent les évolutions de ces micro-organismes avec celles des cellules, tissus, organes, appareils, systèmes divers des macro-organismes (végétaux, animaux, hommes, organiques). » - Dr. Louis De Brouwer « Le microzyma de Béchamp est le facteur organique de la vie et le point de départ de tous les microbes pathologiques qu’amènent ces diverses formes de dégénérescence. Le microzyma est normal et biogène selon les voies physiologiques dans les bonnes conditions de milieu ; celles-ci changées, on voit le microzyma s’altérer et l’évolution cellulaire suivre des voies anormales. D’ores et déjà l’observateur physio-biologiste voit clair et peut conclure que l’évolution de la vie organique – normale ou pathologique – est connexe aux conditions de milieu. […] La nature proclame la loi : La santé s’alimente aux conditions sanitaires du microzyma et des cellules, la maladie se greffe sur les conditions opposées. » - Dr. Jules Vinderogel « Aucun virus n’a jamais été isolé selon le Gold Standard (test de référence). […] L’humanité n’a jamais été capable de trouver les micro-organismes pathogènes. Les micro-organismes sont produits dans nos corps à partir de nos propres particules, les microzymas. Nous ne pouvons pas les transmettre à un autre organisme, c’est impossible. La thèse microbienne est une imposture. » - Dr. Valentina Kiseleva « J'ai défendu durant toute ma carrière scientifique longue de 40 ans la théorie d'Antoine Béchamp, qui me semble, effectivement, bien supérieure à celle de Louis Pasteur. Je n'ai donc aucune leçon à recevoir en ce domaine. Je l'ai fait au plus haut niveau universitaire possible et non par la bande ou en catimini. J'ai ainsi pu constater que la théorie de Pasteur collait beaucoup mieux à l'idéologie capitaliste dominante, que celle de Béchamp. C'est un fait qu'il faut considérer, même si cela ne nous plaît pas. Sachez aussi, que jusqu'à mon dernier souffle, je défendrai la théorie d'Antoine Béchamp contre ses détracteurs. » - Pr. Marc Henry « Il a été établi plus précisément que la morphologie d’un micro-organisme peut se modifier lorsque les facteurs environnementaux changent. » - Dr. Ivan Wallin Articles complémentaires : Nos amis les microbes Notion de Terrain La santé & la maladie sont-elles le fruit du hasard ? Épidémies & contagions La bioélectronique Vincent Sources : Pr. Antoine Béchamps, Les Microzymas https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65140517/f9.image.r=.langFR Pr. André Fougerousse http://www.andrefougerousse-recherche.fr/ Dr. Alain Scohy http://www.alain-scohy.com/ - https://www.youtube.com/watch?v=FvmL4PGn4do&t=5933s Brigitte Fau https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/ Dr. Dennis Myer & Dr. Robert Miller : Le pléomorphisme ou la nouvelle biologie http://fabthygas.myqnapcloud.com/ignoranceestunchoix/images/headers/pdf/microzymas-pl%C3%A9omorphisme.pdf Sylvie Simon : Votre santé n’intéresse que vous, Comment ne plus être dépendant des industries de la santé – Editions Dangles Dr. Éric Ancelet : Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Collection Résurgences Pr. G. Jauvais et P-V. Marchesseau, Cours Complet de Biologie Naturopathique Dr. Ing. José Giralt-Gonzalez : La Bioélectronique pratique - Editions Du Dauphin Fernand Delarue : Science d'aujourd'hui et médecine de demain Dr. Louis De Brouwer : Vaccination : Erreur Médicale du Siècle – Louise Courteau éditrice. Pr. Jules Tissot Dr. Ghislaine Lanctôt Gaston Naessens, biologiste Christian Bauer, ingénieur, naturopathe
- Jala neti avec un lota
Article de santé naturelle / hygiène / ayurvéda Rhume, sinusite, rhinite allergique, poussières, pollution, sécheresse nasale, ne dépensez plus en produits chimiques aussi onéreux qu’inutiles et qui engraissent les multinationales pharmaceutiques. “Investissez” dans un lota (une dizaine d’euros pour des années) pour pratiquer le jala neti (douche nasale). C’est une pratique ayurvédique. Le lota ou “neti pot” est un petit pot qui nous vient d’Inde, on le rempli soi-même avec de l’eau de source faiblement minéralisée ou osmosée ou distillée (pas d’eau du robinet) et une petite dose de sel marin naturel (sérum physiologique). En pratiquant jala neti vous allez nettoyer votre nez en douceur et en profondeur sans aucun risque d’irritation ou d’inflammation. Les sprays nasaux à base d’eau de mer sont des produits stérilisés à chaud et donc irritants. Ils coûtent une fortune et génèrent des déchets. Le nettoyage des cavités nasales est superficiel. Avec un lota, de l’eau et du sel, vous n’avez besoin d’aucun autre produit pour le bien-être de la sphère nasale. Dans le lota on peut par contre utiliser du plasma marin de Quinton en isotonique. Etant filtré à froid, il ne crée aucune irritation. Vous pouvez emmener le lota et un petit pot de sel naturel de mer ou de l’Himalaya avec vous partout, en voyage, au bureau, etc. Il ne pèse rien et prend très peu de place. Il existe des lotas en céramique, en plastique ou en métal. Pensez à offrir un neti pot à vos amis et initiez-les au jala neti. C’est un cadeau original peu coûteux et qui servira de longues années aux personnes que vous appréciez. Lota ou Neti pot en céramique Méthode, très simple, agréable, presque addictif : Remplir le LOTA d’eau tiède (37°C) et ajouter une dose de sel marin naturel non raffiné (dosette fournie avec), remuer afin de dissoudre le sel en totalité. Introduire l’embout anatomique du LOTA dans une narine (la moins bouchée), la tête inclinée sur le côté opposé, et le corps légèrement penché en avant. L’eau s’écoule naturellement par l`autre narine, sans passer par la gorge, procurant une agréable sensation de fraîcheur. Si l’eau descend dans la gorge, c’est que la tête n’est pas assez penchée vers l’avant. Avec un doigt, boucher la narine dans laquelle l’embout était introduit et expirer avec l’autre narine pour chasser les crasses. Se moucher et recommencer le lavage par la narine opposée. Pour terminer, pencher la tête vers le bas une dizaine de secondes, se moucher doucement afin d’expulser le peu d’eau demeurant dans les narines. Les trois points importants à retenir : L’eau doit être une solution saline préparée soi-même avec de l’eau tiède (36-38 °C) de source faiblement minéralisée. Garder la tête penchée. Garder la bouche ouverte. Possibilités : 1 dose de sel naturel de mer ou de l’Himalaya + infusion de thym + quelques paillettes de sel de Nigari Fréquence : En cas de troubles : 2 à 3 fois / J. Entretien : 1 à 2 fois / S. Quand le besoin s’en fait sentir. Démo : https://www.youtube.com/watch?v=IA18NVmkReE
- Sports d'endurance et développement musculaire
Article sport, culture physique C'est incroyable le nombre de personnes qui croient que les sports d’endurance développent les muscles, même chez des sportifs, j'avais donc envie de faire un petit mot explicatif concis. On pense de manière générale que les sports d’endurances, vélo, course à pied, natation, etc. développent les muscles. Si c’était le cas, les marathoniens pèseraient dans les 120 kg, les frères Borlée (athlétisme) également… Vous me direz : « oui mais les nageurs ont une belle carrure », « les cyclistes ont de bonnes cuisses » je vous répondrai : « oui, mais ils ont une préparation en salle de musculation ! » Mais pourquoi ça ne développe pas ? Pour qu’il y ait développement musculaire, il doit y avoir micro-déchirures de fibres musculaires, reconstruites ensuite grâce au repos et à l’apport de nutriments dont les acides aminés font parties. Hors, les sports d’endurance ne provoquent pas ces micro-déchirures car l’effort n’est pas suffisamment violent. En plus comme on le sait, un entrainement long de + d’une heure provoque une montée du cortisol (hormone catabolisante) et un surentraînement une baisse de la testostérone. Tout ceci n’est pas favorable à la croissance musculaire. Les culturistes ‘naturels’ savent qu’ils ne doivent pas dépasser soixante minutes d’entraînement car leur niveau de testostérone commence à descendre après 45 minutes… Par contre, les sports d’endurance sont bénéfiques pour le système cardiovasculaire, le système lymphatique, le métabolisme et la condition physique. Destruction de la fibre musculaire (catabolisme). Pour développer au maximum leurs muscles, les culturistes suivent une stratégie bien précise qui a pour principe de détruire la structure du muscle pour mieux la reconstruire et la remodeler. Au moyen de machines, du poids du corps ou d'haltères, le culturiste fait plusieurs séries de lever de poids pour augmenter progressivement sa résistance. En se contractant, le muscle brûle de plus en plus de sucre, libère de l'énergie, et se fatigue. Le culturiste s'impose des séries d'exercices pour ne pas donner le temps au muscle de récupérer complètement et pour l'obliger à compenser. Multiplication des filaments musculaires (anabolisme). Résultat de ces exercices : les micro-filaments musculaires se déchirent et le sang apporte des éléments de réparation, puis des éléments de reconstructions, les filaments musculaires cicatrisent et leurs nombres augmentent. A chaque séance d'exercice, les différents muscles du culturiste s'adaptent à l'effort et se développent de plus en plus, grâce à la combinaison de l’entrainement (catabolisme) et du repos avec apport de nutriments (anabolisme). C'est ce que l'on appelle la prise de masse musculaire. La culture physique augmente les capacités d’adaptation du corps : l’hormèse et est recommandée en hygiénisme. Article associé : L'activité physique En vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=etKXzi7w8I8
- Le massage californien
Article de santé naturelle, massothérapie Le massage est vieux comme le monde, c’est l’expérience du toucher, primordiale et pourtant si négligée par notre civilisation occidentale. C’est pourtant une clé de notre bien-être tout au long de la vie. La pratique du massage est un moyen extraordinaire de retrouver son corps et de découvrir un autre mode de communication au-delà des mots. Un contact authentique, empathique, le touché d’un individu à un autre est certainement le meilleur moyen de favoriser l’état de détente. Le massage californien recommandé en hygiénisme et en naturopathie, est un massage global, harmonique, neurosensoriel & aromatique aux huiles essentielles à haute teneur en principes actifs, qui vise autant la détente que l'éveil d'une conscience psycho-corporelle. Ce massage utilise de longs mouvements lents et fluides qui englobent tout le corps et qui permettent une profonde relaxation physique et psychique. Huile de massage chaude aux huiles essentielles Partant d'effleurages doux, enveloppants et relaxants, les manœuvres s’enchaînent et s’intensifient pour soulager des tensions plus profondes. Cela peut faire surgir et libérer des émotions cachées, inscrites dans la mémoire corporelle. La personne massée s’abandonne. Les massages relaxants comme le massage californien sont intéressants durant un jeûne pour libérer l’ensemble de nos émotions qui sont parfois bloquées, désirs, sentiments, donc une part de notre psyché qui peut aussi se purifier pendant le jeûne. La massothérapie faite de pétrissage des muscles a pour but de provoquer des drainages et des nutritions à travers ces tissus. Applications thérapeutiques du massage californien : Améliore la circulation sanguine Draine Relaxe Détend les muscles Diminue l’anxiété et le stress Soulage les douleurs chroniques Soulage les douleurs musculaires Accroît l'énergie vitale et l'immunité Stimule la production d'ocytocine Déblocage émotionnel Citations : «Pour favoriser la relaxation et le sommeil, rien n’égale un vrai massage de la tête aux pieds.» - Robert Masson « La main humaine, agissant de concert avec le mental, le cœur et l’esprit, est sans doute l’outil le plus sophistiqué de l’Univers physique connu. Avec son éventail de pressions et sa chaleur unique, elle peut apaiser, harmoniser et prendre soin de l’humain dans toutes ses dimensions. » - David Lauterstein Massage californien à Bruxelles : https://www.facebook.com/Massage-californien-aromatique-361185607842105/
- Les remèdes n'existent pas !
Article hygiéniste par Albert Mosséri Ce sujet est d’importance capitale. Mon plus grand désir dans l’instruction hygiénique est que lecteurs et étudiants comprennent cette loi de la Nature que les remèdes n’existent pas. L’idée de l’existence des remèdes est un non-sens. Elle semble être réellement difficile à concevoir par la majorité des gens, même très instruits. J’essayerai quand même de l’inculquer dans l’espoir chimérique qu’un lecteur sur cent l’aura comprise dans toute son étendue. Peut-être dans quelques siècles, l’idée aura plus de chances d’être comprise. Le point de vue hygiéniste, donc, est que les remèdes n’existent pas, qu’ils soient naturels ou non. Par contre, toutes les écoles en marge de la médecine, de même que l’école naturiste, admettent l’existence de remèdes qu’ils appellent naturels. Voilà ce qui différencie l’hygiénisme de toutes les autres écoles naturistes ou paramédicales. Cette différence est fondamentale. Étudions les raisons pour lesquelles les remèdes n’existent pas : 1) L’existence de n’importe quel remède annulerait la loi universelle de cause à effet. Or cette loi ne peut être annulée au gré des hommes. On ne peut supprimer un effet qu’en supprimant sa cause. Aucun remède ne peut faire éviter les conséquences d’une vie déréglée. Rien ne peut rendre sobre l’ivrogne tant qu’il continue à boire. Aucun remède ne peut annuler l’effet du tabac. On ne peut pas suspendre les lois de la Nature, la chose n’est pas concevable. Aucun remède ne peut défier les lois inébranlables de la Nature. La Nature n’a pas prévu que l’on puisse violer ses lois tout en échappant aux conséquences par le moyen d’un artifice, d’un truc, que ce soit un poison chimique ou un remède dit naturel. La Nature n’a pas créé des remèdes, mais des punitions. Il n’y a que la suppression de la cause qui puisse abolir l’effet. Aucun remède ne peut faire cela. Aucune plante ne peut abolir la cause. Aucun traitement. Il est d’ailleurs absurde de vouloir combattre un symptôme. Quelle est la cause de la maladie ? La seule cause que les hygiénistes puissent accepter est un mode de vie malsain. Voilà la vraie cause. Quand les médecins disent qu’il faut combattre la cause de la maladie, ils pensent que les microbes causent la maladie. Or les microbes ne sont pas la cause et les médecins ignorent tout des vraies causes. Ils devraient chercher la cause de la cause. Quand un praticien de la chiropractie prétend que les luxations causent la maladie, il ignore les vraies causes. Quand on parle de carences, on ignore les vraies causes. Quand on parle de la paresse des glandes, on ignore les vraies causes. Quand on parle de terrain, on ignore les vraies causes ou on les oublie volontiers. Les vraies causent de la maladie sont les habitudes anti-physiologiques. Signalons à ceux qui l’ont déjà oublié que le corps vivant a le pouvoir de se cicatriser de lui-même, de se rétablir seul, de se refaire quand la cause est supprimée. L’organisme a le pouvoir innée de se « guérir » de lui-même dès que la cause est abolie. 2) La maladie est-elle l’ennemie du malade ? Si vous avez bien saisi la nature essentielle de la maladie, vous ne pouvez pas admettre d’une même haleine l’existence des remèdes. En effet, la maladie est une action salutaire, une action vitale de désintoxication et il n’est guère raisonnable de vouloir guérir cette désintoxication par un remède. C’est même absurde. 3) Ne me dites pas que vous voulez aider la désintoxication. Les processus vitaux de notre organisme sont et resteront un mystère insondable. Etes-vous sûr qu’en sondant la Nature, vous ne l’entravez pas ? Non, nous ne pouvons pas aider les processus dont nous ne comprenons pas le fonctionnement. Jusque-là, la Nature s’est tirée d’embarras toute seule, sans l’aide de personne, et même malgré nos maladresses et nos entraves. Nous devrions lui faire un peu plus confiance. Nous devons avoir foi dans la vie. Vouloir aider la Nature par des remèdes, c’est manquer de foi dans le pouvoir de la vie, c’est n’avoir pas de foi. Toutes les méthodes censées aider le travail de la Nature énervent l’organisme souvent au point de supprimer l’élimination. Cette suppression de l’élimination se traduit par une sensation de bien-être et par la disparition des malaises provoqués par la désintoxication. Voilà pourquoi on prend cette suppression pour une guérison alors qu’en vérité l’organisme attend de reprendre ses forces gaspillées pour recommencer la désintoxication. Tout remède énerve l’organisme car le corps lutte contre les matériaux qui ne sont pas normaux et nécessaires à la vie. L’énervation signifie une grande dépense d’énergie nerveuse. Cette dépense retarde l’élimination et cause donc la toxémie. Vous venez de lire l’histoire de cent enrhumés. Ils ont tous guéri par 100 remèdes différents, sauf le centième qui s’est rétabli sans remèdes. Les remèdes ne guérissent jamais rien. Ils n’ont aucun pouvoir guérisseur ou curatif, car ce pouvoir vital est inné aux cellules vivantes. Vouloir guérir une maladie (symptôme) est donc un non-sens. La maladie EST le remède ! Elle est elle-même le moyen de se « guérir ». La maladie est une détoxification salvatrice. Citations : “Utiliser un remède, c’est créer une seconde maladie, artificielle, pour guérir la première.” - Dr. Hufeland “C’est la Nature qui guérit les ‘maladies’, elle trouve elle-même les voies convenables, sans avoir besoin d’être dirigée par notre intelligence.” - Hippocrate “Dans l’organisme comme dans l’univers, il n’y a pas d’effets sans causes et ces causes se rattachent toujours à des désobéissances aux lois naturelles et surnaturelles. La seule médecine logique est donc celle qui enseigne les lois de la santé.” - Dr. Paul Carton “La plupart des gens meurent de leurs remèdes et non de leurs maladies.” - Molière “L’authentique rétablissement de la santé nécessite la suppression des causes des troubles et l’adoption de mesures qui favorisent la récupération de l’énergie nerveuse. Le pouvoir de rétablissement est inhérent à l’organisme vivant ; il n’appartient pas à des agents, à des forces externes extrinsèques. La Nature a institué des sanctions, mais aucun remède. Les procédés utilisés pour guérir les maladies, c’est à dire, en fait, pour lutter contre les symptômes, compliquent les situations, entraînent des destructions, altèrent les défenses immunitaires et préparent de nouvelles pathologies.” - Dr. André Passebecq “Tout ce qui interfère avec les processus naturels perturbe le bien être.” - Dr. Norman Walker. « Le public, au fond, continue de croire à la magie. Il est convaincu qu’il est possible de combiner quelque mixture merveilleuse capable de rétablir la santé sans que l’on ait besoin de supprimer la cause de la maladie. Le jour où le public sera enfin convenablement éclairé sur la nature et la cause réelles des maladies, il pourra enfin saisir toute l’absurdité qui se trouve contenue dans la notion de « guérir une maladie », de créer des « remèdes » pour une maladie. » – Herbert M. Shelton « La confiance dans les pouvoirs magiques des remèdes, émoussent souvent le sens critique en exaltant l’enthousiasme et en provoquant un début d’hystérie collective qui affecte à la fois savants et profanes. L’homme d’aujourd’hui souhaitent des miracles autant que celui d’autre fois et s’il n’adhère à aucun culte religieux, il sacrifie sur l’hôtel de la science. » - René BICKEL “Il n’existe pas de remèdes capables de rendre la santé. C’est la nature elle-même qui rétablit l’ordre perturbé par de mauvaises habitudes. C’est la maladie elle-même qui guérit.” - Roger Le Madec “Les médicaments, poisons et techniques diverses, adoptés au moment de la crise aiguë de la maladie, viennent encore “consommer” une grande quantité d'énergie vitale déjà insuffisante et si précieuse pour mener à bien l’action impérative d’élimination des toxines entreprise par l’organisme.” - Pr. Désiré Mérien “Les médicaments ne guérissent jamais les maladies. Ils ne font qu’étouffer la voix de la nature qui proteste, en détruisant les signaux de détresse qu’elle s’efforce de lancer tout au long de la route de nos transgressions. Il faudra tôt au tard rendre compte pour toute forme de poison introduit dans le corps, même si celui-ci ne fait que supprimer des symptômes. Il est vrai que la douleur peut disparaître, mais le patient ne s’en retrouve pas moins, bien qu’inconsciemment, dans un état pire qu’avant.” - Dr. Daniel H. Kress « La plupart grande partie de toutes les maladies chroniques est créée par la suppression des maladies aigues par empoisonnement médicamenteux. » - Dr. Henry Lindlahr « La santé ne s’achète pas en bouteilles ni à coups de médicaments miracles, mais s’acquiert petit à petit par une hygiène de vie. » - Christian Brun, naturopathe « La notion de « remède » est fausse ; c’est la survivance d’une superstition, comparable aux amulettes du sorcier. Si un remède guérissait, il mettrait en défaut la loi de la causalité sur quoi repose la science entière. En effet, aucune pommade, au monde, ne peut cicatriser un cadavre, ce qui prouve bien que le pouvoir guérisseur est en nous (force vitale) et non dans le produit pharmaceutique (remède ou médicament), qui n’est qu’un trompe-sot (une escroquerie). » - Pr. P.-V. Marchesseau, Pr. G. Jauvais. « Les gens veulent des remèdes, et les médecins et les charlatans font semblant d’en fabriquer. Mais ils n’en retirent tout au plus qu’un soulagement temporaire. » - Dr. John H. Tilden « Remédier, c’est agir en s’opposant à la cause de la maladie et non pas en la laissant persister. » - Hippocrate Albert Mosséri Articles complémentaires : Notion de terrain La toxémie Nos amis les microbes Les émonctoires La chasse aux toxiques La détoxification par paliers L'hygiénisme La fièvre L'homéostasie Médecine conventionnelle Vs médecine traditionnelle L'eau de boisson Quelques règles alimentaires de base L'énergie vitale Les 9 facteurs de la santé intégrale La maladie et la santé sont-elles le fruit du hasard ?
- Les stimulants
Article hygiéniste, par Albert MOSSERI Voire les lois n°14, 15, 17 & 19 des lois naturothérapiques qui régissent notre santé : Loi de l’excitation et de dualité des effets. Les stimulants : café, thé, maté, sodas, alcool, sucre de synthèse, chocolat, tabac, drogues, anabolisants, viandes, médicaments, plantes, etc. La stimulation est un tirage forcé sur les énergies du corps. L'épuisement des énergies du corps est proportionnel à la stimulation qu'il subit. Par contre, la pratique opposée qui consiste à conserver les énergies du patient par le repos est bien plus rationnelle et infiniment plus payante. Toute stimulation est suivie d'une période de dépression (en tant que réaction) proportionnelle à cette stimulation. Un cheval est fatigué et n'arrive plus à poursuivre sa course. Son propriétaire lui donne un coup de fouet. Il court plus vite. Le fouet lui a-t-il donné des forces ? Non. Le fouet a stimulé les forces en réserve et à force d'en dépenser et de tirer sur ses réserves, le cheval finira par s'écrouler. Au lieu de le fouetter, il fallait le laisser se reposer pour récupérer ses forces. La stimulation doit être remplacée par le repos. Il n'y a pas de méthode plus efficace pour augmenter l'élimination que celle du repos. Scientifiquement aussi nous savons que les toniques épuisent les forces plutôt qu'ils n'en donnent à l'organisme, mais la pratique des toniques n'a pas disparu. Le repos, le calme, la relaxation et le sommeil, — voilà les grands processus de récupération. Par contre, l'activité, la surexcitation, la stimulation, sont les grands processus de la dépense. Les gens ajoutent des stimulants dans leurs aliments, versent des boissons stimulantes dans leurs gorges, avalent des médicaments et des drogues stimulantes jusqu'à ce qu'à la fin, à cause de la dépense excessive de leur énergie, ils sont débilités, perdent leur tonus et leur force de fonctionnement. C'est ainsi que nous sommes dosés, drogués, tonifiés et stimulés, alors que nous avons besoin de nous arrêter et de nous reposer, jusqu'à ce que non seulement nos fonctions mais que notre charpente cèdent. Alors, nous avons recours à d'autres toniques et stimulants encore plus forts et nous mourons à un âge où nous devrions être en pleine forme. Tous les processus de stimulation qu'on connaît sont des processus illusoires. Avec le whisky, l'ivrogne se sent mieux. Alors, il en reprend de temps à autre jusqu'à sa déchéance finale. Le tabac soutient les forces nerveuses du fumeur, alors il continue à fumer. L'arsenic, la strychnine, l'opium et le haschisch procèdent exactement de la même manière trompant leurs victimes jusqu'à la décrépitude finale. Plus on dort et plus on se rétablit et si on ne peut pas dormir beaucoup, il faut s'approcher le plus de l'état de sommeil même si on reste éveillé. Notes : Les stimulants énervent, fatiguent, dépriment et élèvent le niveau de toxémie. Ils portent atteinte aux glandes surrénales, aux émonctoires, au système hormonal, au système nerveux et à l’énergie vitale ! La santé, c’est le niveau de toxémie les plus bas possible et le niveau d’énergie vitale le plus haut possible. Les stimulants inverse exactement ce schéma. Les gens qui carburent aux stimulants et qui un jour arrêtent, se rendent compte qu’ils sont des épuisés chroniques qui tiennent par la drogue. Avec le temps, les stimulants peuvent induire une hyperthyroïdie. “Les stimulants sont des produits excitants ou irritants qui provoquent de la part de l’organisme, une action défensive. C’est l’énergie dépensée par le corps au cours de cette action qui est ressentie. L’individu énervé se croit fort, alors qu’en fait il dépense la précieuse quantité d’énergie - déjà insuffisante - qu’il lui reste. Ces stimulants n’apportent aucune compensation énergétique ultérieure. De ce fait, l’individu s'installe de plus en plus dans la spirale de l’énervation qui le mènera à la toxémie et vers les symptômes appelés ‘maladies’.” - Pr. Désiré Mérien « Si tous les faux stimulants tels que le tabac, les boissons alcoolisées, les boissons gazeuses, le café, les drogues, etc., étaient soudainement indisponibles, je me suis souvent demandé combien de personnes s'effondreraient ! » - Dr. Norman W. Walker « Tous ces poisons stimulants sont pathogènes, sclérogènes, cancérigènes, pourvoyeurs d’arthrose et de vieillissement prématuré entre autres. » - Robert Masson « Les stimulants pris sur une longue période, provoquent une détérioration progressive et, finalement, à moins d’arrêter cette habitude, finissent par être fatals. » - Dr. J. H. Tilden Article complémentaire : L'énergie vient du repos et non de l'alimentation.
- L’eau de boisson
Article hygiéniste et bioélectronique Les cinq éléments indispensables à la vie sont : L’eau, l’air, le sol, la lumière (soleil) et la température. L’eau est donc un élément vital. C’est le premier constituant de l’organisme humain. Le corps d’un adulte contient environ 70 % d’eau qui existe sous deux formes différentes : l’eau liée, intégrée aux structures moléculaires et l’eau circulante (sang et lymphe) assurant l’apport nutritif et l’élimination de déchets. La plupart de l’information que notre corps et nos cellules reçoivent pour évoluer et se multiplier se fait au travers de la membrane cellulaire grâce à l’eau. L’eau joue un rôle fondamental pour préserver la santé et peu de personnes en ont conscience. La quantité : L'homme a accès à moins de 1% du volume total de l'eau qui compose la planète. La quantité d’eau à ingérer quotidiennement est tout à fait individuelle, elle dépend de plusieurs facteurs : L’âge La masse corporelle L’activité physique La température environnementale La qualité de la nourriture absorbée En hygiénisme, qui pour rappel est l’art de vivre selon les lois naturelles, en ce qui concerne les adolescents et les adultes en bonne santé, nous y allons au ressenti, à l’instinct. Comme pour tous les animaux de la planète, la soif donne le signal pour boire. La bouche doit toujours être bien hydratée. Avec une alimentation vivante et spécifique, l’homme (anthropoïde frugivore) devrait avoir besoin de boire peu. Plus l’alimentation est anti-spécifique et dénaturée, plus nous avons soif, notamment pour diluer et expulser les poisons ingurgités. Si nous mangeons une salade de fruits frais, nous n’aurons pas soif. Si nous mangeons une pizza, une barre chocolatée, du gâteau, des chips ou de la charcuterie, nous aurons très soif. Les personnes toxémiques consomment en général beaucoup d’eau. Le travail rénal devrait être épargné le plus possible avec le moins d’encrassement possible. Une sur sollicitation et une congestion de l’émonctoire ‘reins’ est à éviter, les unités filtrantes des reins sont très fragiles. Boire trop peut mener à l’hyponatrémie. La qualité : La qualité de l’eau alimentaire joue un rôle capital dans toutes les fonctions organiques, particulièrement au niveau cellulaire. Une eau de bonne qualité est un nettoyant cellulaire et un draineur lymphatique. Nous savons que l’eau la plus pure possible est à privilégier, une eau à très faible teneur en ‘résidus secs’ car les minéraux contenus dans l’eau minérale ou du réseau de distribution sont INASSIMILABLES, INORGANIQUES et ENCRASSANTS. Seuls les minéraux organiques sont bio-assimilables par l’organisme et ne surchargent pas les reins avec leurs cristaux. Les minéraux organiques doivent d’abord être convertis par le règne végétal pour être consommés par le règne animal. L'eau de boisson faiblement minéralisée possède la qualité d'happer les déchets métaboliques tissulaires. Exemples de contenance en résidus secs : Spa Reine : 38 mg/L St Yorre : 3.325 mg/L ! Quand on a modifié la qualité de l’eau, en particulier dans les adductions, on a supprimé les maladies infectieuses (diphtérie, typhus, choléra, dysenterie, etc.), mais à partir des années 30’, en traitant cette eau d’adduction, on a remarqué que l’être humain a commencé à dégénérer sur le plan cardiovasculaire et des cancers. En modifiant la qualité de l’eau on a modifié la santé complète de la population. L’eau parfaite selon la bioélectronique doit être acide (meilleur potentiel d’élimination) et peu minéralisée (pas de surcharge). L’eau du robinet alcaline, surminéralisée, suroxydée, traitée au chlore ou à l’ozone et concentrée en polluants chimiques et hormonaux est dégénérative et cancérigène. (Voire : Bioélectronique Vincent) L’eau du robinet se situe dans le quadrant 3 du bioélectronigramme “eaux traitées”, c’est le quadrant qui correspond aux virus et au cancer. Le terrain biologique va s’oxyder et s’alcaliniser et donc conduire à la dégénérescence. Source : Bio-électronique Vincent. L’eau ne doit normalement pas contenir de toxiques, comme le fluor, le chlore (super-oxydant), l’aluminium, l'amiante, le radon, les nitrates, les perturbateurs endocriniens, les métaux lourds, les nanoparticules, les pesticides, les détergents, les hydrocarbures, etc. Malheureusement, l’eau du robinet contient ces substances en quantités +/- importantes, ainsi que 3.000 molécules pharmaceutiques qui proviennent des déjections de personnes sous traitements médicaux qui aboutissent dans les cours d’eau et finalement dans l’eau du robinet. Ceci contamine la faune et la flore aquatiques, mais aussi les personnes qui consomment cette eau. Les stations d’épuration ne sont pas équipées pour filtrer et capter ces molécules chimiques. L’ingestion de toute molécule chimique de synthèse, augmente la toxémie. En Belgique, pour la Wallonie, 3.000 km de conduites, soit 11% du réseau d’eau d’adduction sont en AMIANTE ! Pour la Flandres c’est 30% des conduites. Ces installations ont 75 ans. Après analyses, dans certaines communes ont peut retrouver plus de 3.000.000 de fibres d’amiante par litre d’eau du robinet. L’amiante est hautement toxique et cancérigène. Les particules ingérées se retrouvent dans le système digestif et peuvent provoquer notamment des tumeurs de l’estomac et du colon. « Les fibres d’amiante plus petites finissent par causer un nombre significatif de maladies. » – Dr. Arthur Frank, professeur de santé publique USA. Les produits de traitement, les pesticides et médicaments contenus dans l’eau du robinet portent une atteinte délétère à notre précieux microbiote intestinal garant de notre immunité. Et ce ne sont pas des carafes filtrantes qui vont régler le problème. Résultats chez les particuliers : « Là, c’est la catastrophe ». « L’analyse de l’eau filtrée par ces carafes chez une trentaine de familles donne des résultats pires que l’eau du robinet avant filtration ». Le plomb, les nitrates, le calcaire, les pesticides, les micro-organismes, le relargage d’argent, sont tous retrouvés dans de plus grandes proportions. « Au final les résultats sont désastreux pour l’eau filtrée » conclu le guide d’achat “Que Choisir”. L’eau issue des adoucisseurs est impropre à boire et pour cuire des aliments. Les analyses que vous pouvez recevoir de votre point de distribution d’eau du robinet ne sont que partielles. Seuls quelques éléments sont analysés et y figurent. La qualification d'eau du robinet de "potable" n'est due qu'au fait qu'on ne tombe pas malade tout de suite… Les eaux les plus pures : 1. L’eau distillée (à ne pas confondre avec de l’eau déminéralisée) est la plus pure, ce procédé permet de supprimer 99,8% des résidus, toxines et contaminants. C’est l’eau naturelle obtenue par évaporation, condensation et précipitation dans le cycle naturel de l’eau. C’est la seule eau qui peut être véritablement consommée sans entraîner de dégâts dans les tissus. Elle dissout les déchets cellulaires de sorte que les toxines puissent être évacuées. L’eau distillée excelle également dans la dissolution des substances minérales inorganiques qui sont logées dans les tissus de l’organisme afin qu’elles puissent être éliminées lors du processus de purification de l’organisme. L’eau distillée possède donc des vertus happantes très fortes. Pour obtenir une eau distillée, il faut acquérir un distillateur en verre et inox (+/- 250 €). Vitaliser cette eau avec quelques gouttes de citron frais, mûr et biologique, ou d’eau de Quinton. Les distillateurs doivent être mis à la terre (information électromagnétique). 2. L’eau de source naturelle faiblement minéralisée : résidus secs < 60 mg/L, pH < 7. Spa Reine, Mont-Roucous, Rosée de la Reine, Montcalm. Par exemple en Belgique au cœur des Fagnes, l’eau de source Spa Reine (depuis 1593) est considérée comme une richesse nationale, le périmètre des sources a été très tôt, en1895, l’objet d’une protection rigoureuse. Une zone de surveillance d’une superficie de 13.177 hectares pour la protection des eaux minérales de Spa a été créée. Ce qui en fait une des plus grandes surfaces de protection d’eaux en Europe. C’est également une des eaux les plus pures d’Europe. Coordonnées bioélectronique de la Spa Reine : pH : 6 rH2 : 27 Rô : 15.500 – 20.000 Ω.cm Résidus secs : 38 mg/L 3. L’eau osmosée : système de filtration par osmose inverse de l’eau de distribution grâce à une membrane semi-imperméable à 0,0001 micron, retenant jusqu’à 98% des impuretés, parasites, minéraux, virus, bactéries… (650 € et plus). 4. L’eau contenue dans les fruits et légumes vivants, mûrs et biologiques (90% d’eau vitale organique). L’eau vivante contenue dans les végétaux, nourrit, hydrate, vitalise, draine et purifie l’organisme. 5. L’eau de coco : organique, vivante, minéralisante, filtrée par la plante. 6. Le plasma marin de Quinton : bourré d’éléments nutritifs organiques bio-assimilables (voire fiche : Le Plasma de Quinton). Conseil : Évitons de boire en mangeant pour ne pas diluer les sucs digestifs et compromettre l’assimilation des nutriments. Voici ce que dit le professeur Joseph Országh ancien chercheur à l’Université de Mons-Hainaut (Belgique) au sujet de l’eau distillée : “Son absence de structure et son manque de sels minéraux disparaissent instantanément dans la bouche et surtout au niveau de l’estomac. Les interactions avec la salive et les sucs gastriques rétablissent les équilibres ioniques. La salive et surtout les sucs gastriques sont des électrolytes forts qui compensent rapidement le manque de sels minéraux. La composition minérale du bol alimentaire qui transite par l’estomac n’est pratiquement pas influencée par la teneur en sels minéraux de l’eau de notre boisson. A titre d’exemple, pour soi-disant « diminuer l’acidification de l’organisme », la consommation d’eaux basiques n’a aucun effet sur la santé. Boire donc l’eau distillée est toujours mieux que la consommation des eaux contenant trop de sels minéraux qui surchargent la fonction rénale.” Citations : “L’eau des robinets joue certainement un grand rôle dans la détérioration de l'état de santé de beaucoup de personnes. L’eau doit être considérée pour ce qu’elle emporte et non pour ce qu’elle apporte. » - Dr. Jeanne Rousseau, spécialiste de l’eau et de la bioélectronique. “Il n’est pas envisageable de faire un redressement de terrain, si on ne commence pas à changer l’eau de boisson. Il faut d’abord commencer par l’eau.” - Laurence Gallais, naturopathe, bioélectronicienne. "L’Etre n’est qu’une masse d’eau organisée. Et le premier des tous les remèdes est l’eau, la plus dénuée possible de polluants, notamment de minéraux (inorganiques, donc inassimilables). Tant qu’il respecte la pureté de son « eau » interne (et externe), il demeure vital, en bonne santé, mais il entre en maladie dès qu’il la pollue par ses vices, nés de fausses croyances sur lesquelles il construit, naïvement, son existence." - Pr. Grégoire Jauvais "Toute altération de l'eau, même à dose infime, au-delà de ce que peut déceler l'analyse chimique ou bactériologique, se répercute au niveau des structures, modifiant dès lors les capacités de résonance, donc d'adaptation ; les modalités intervenant à leur tour en provoquant une altération de l'équilibre physiologique des milieux vivants, altération responsable d'une dégradation progressive de l'état de santé." - Dr. Ing. José Giralt-Gonzalez, bioélectronicien. "Il n’est pas surprenant que la santé s’améliore quand la population renonce à utiliser les eaux usées diluées comme principale boisson." - Dr. Thurman Rice Article complémentaire : Comment est votre pipi ?
- Les aliments à hautes et basses fréquences
Article alimentation humaine hygiéniste Manger ne doit pas être un acte sans conscience, parce qu’on à « l’habitude », que c’est obligé, parfois on mange juste ce que l’on a sous la main, ou seulement ce qui nous fait plaisir, souvent aussi pour compenser un mal-être, sans se soucier de ce que ça nous apporte sur le plan nutritionnel ou vibratoire. Chaque aliment a aussi son énergie, et vous « rempli » ou vous « vide ». Certains aliments ont une fréquence négative ou très basse et nuisent donc à notre santé et bien-être. Il est impératif de prendre la décision d’adopter une alimentation « vivante » haute en énergie qui a gardé ses micronutriments et ses électrons. Nos aliments contiennent la vie sous forme d’ondes vibratoires qui interfèrent avec nos propres vibrations. Nous les consommons tous les jours, ils sont issus de la terre et ils émettent un taux vibratoire qui est calculé en Angströms (A°). Selon André Simoneton, la radio-vitalité d'un organisme humain en bonne santé se situerait entre 6200 et 7000 Angströms. Pour une personne atteinte d'un cancer en général 4875 A°. Ce taux vibratoire ou énergie électromagnétique définit deux catégories principales d’aliments en fonction de leur longueur d’onde par rapport à celle de l’organisme humain : Les aliments supérieurs, vivants à fréquences hautes. Les aliments « morts » à fréquences basses. Leur classification a été établie selon quelques principes fondamentaux comme leur digestibilité et leur assimilation qui permettent notamment de stimuler l’énergie vitale et la régénération de l’organisme. Les aliments à fréquences hautes Ils possèdent un taux vibratoire supérieur à celui du corps humain c'est à dire entre 6.500 et 10.000 A°. Ce sont les aliments les plus sains et les plus riches en micronutriments, ce sont ceux que l'on consommera en priorité si on désire obtenir ou conserver une bonne santé. Ce sont les aliments frais, vivants comme les fruits (8.000-10.000 A°) et légumes (8.000-9.000 A°) mûrs, biologiques, les graines germées, les protéines végétales, les noix, de bonnes huiles vierges extraites à froid, les légumes lactofermentés, les coquillages, le miel artisanal, etc.). Les aliments à fréquences basses Cette catégorie d’aliments est celle des aliments morts. Leur taux vibratoire est très bas, il porte la peur, la souffrance des animaux en fin de vie dans nos abattoirs. Consommer ces produits revient à injecter dans notre corps leur vibration. Dans les aliments morts, nous trouvons le sucre blanc, les farines raffinées (1.500 A°), les conservateurs, pesticides, produits chimiques, fritures, aliments cuits, viandes cuites (0 A°), poissons, œufs, laitages (1.800 A°), les conserves, ainsi que tous les produits transformés par l’industrie. On citera ainsi les pizzas surgelées, surimi, charcuteries, les cubes de bouillon, les plats préparés, les sauces industrielles, les plats surgelés, etc. Et on peut également ajouter les colorants, l’édulcorant, les sodas, les boissons industrielles, le café, le thé, le chocolat, les drogues, l’alcool (Les overtoniens). Ces aliments n’apportent pas d’énergie vitale à notre métabolisme. Ils demandent à notre corps beaucoup d’effort d’assimilation et d’élimination. Ils nous demandent de consommer plus d’énergie vibratoire pour les digérer qu’ils n’en apportent. Il faut à tout prix éviter leur consommation quotidienne, ils fatiguent l'organisme et finissent par l'encrasser sérieusement ce qui est le début de l'intoxication. Ce qui différencie la vie de la mort, c'est l'énergie. Le médecin et diététicien suisse Bircher-Benner fait remarquer que l’énergie solaire est convertie grâce à la photosynthèse des plantes en un état d’ordre supérieur, puis y est stockée dans cet état, et que la qualité de cette énergie se dégrade par toutes sortes de processus physiques et chimiques tels le fait de se faner, la cuisson ou la transformation industrielle. Il en conclut que lorsque nous mangeons les plantes fraîches et crues, nous recevons, directement de notre nourriture, la plus haute forme d’énergie possible. L’alimentation spécifique et non spécifique à l’espèce humaine en 4 catégories : Spécifique : 1. Les aliment biogéniques (ils engendrent la vie) ce sont des aliments vivants à très hautes fréquences, comme : les graines germées ; les jeunes pousses à mettre dans les salades, dans les crudités. Les baies biologiques mûres fraîchement cueillies. Les aliments biogéniques sont des détoxifiants, ils luttent contre la toxémie et sont alcalinisants. 2. Les aliments bioactifs (qui activent la vie) ce sont des aliments vivants à hautes fréquences, comme : les fruits frais mûrs ; les noix (qu’on peut tremper, la digestion sera facilitée) ; les légumes frais ; les baies ; les herbes sauvages ; les céréales crues trempées, germées ; les algues ; les fruits de mer vivants ; les œufs crus bio. La consommation d’aliments biogéniques et bioactifs apporte de l’énergie vitale et la santé à tout âge. Non-spécifique : 3. Les aliments biostatiques (qui ralentissent la vie) ne favorisent pas la santé, comme : les œufs cuits, les viandes, les fruits de mer, les poissons, les ratatouilles, les soupes cuites, les produits laitiers. Ils assurent le fonctionnement minimum de l’organisme et entraînent le vieillissement de nos cellules, car ils n’apportent pas les substances vivantes nécessaires à leur régénération. Ces aliments sont acidifiants et laissent beaucoup de déchets dans notre organisme. Ces sont des aliments de compromis à limiter en quantité. N.B. Les cuissons au barbecue, à la poêle, au four à micro-ondes et les fritures détruisent toute vitalité et sont à éviter au maximum. 4. Les aliments biocidiques (qui détruisent la vie) ce sont des aliments morts à très basses fréquences, ils n’ont aucun intérêt pour l’organisme, au contraire. Citons : le sel, le sucre, les aliments industriels, le café, le thé, l’alcool, le chocolat, les graisses cuites, les charcuteries, les additifs, le gluten, les céréales non germées, les substances chimiques, les aliments frits, grillés, irradiés, pasteurisés… Ces aliments ne possèdent plus de force de vie et sont très acidifiants. Ils empoisonnent peu à peu nos cellules par leurs substances nocives, ils épuisent ainsi notre énergie vitale et notre système de défense, ouvrant la porte à la toxémie et aux maladies dégénératives bien présentes à notre époque. L’alimentation spécifique humaine se digère facilement et rapidement et ne produit pas ou très peu de déchets, elle économise ainsi l’énergie vitale précieuse qui sera dirigée pour l’élimination et la détoxification. « L’alimentation a toujours été liée à la spiritualité et l’est toujours fort heureusement, car on ne se nourrit pas que de matière, mais également de l’énergie qui la constitue. C’est pour cette raison que l’aliment est béni, remercié, respecté, chez tous les peuples de la planète. » - Laurence Gallais, psychologue, naturopathe et bioélectronicienne. « Aliments trop raffinés, souvent trop vieux, privés de facteurs vitaux, tels que farine et sucre blancs, absence de céréales à l’état de graines complète et vivantes, huiles extraites à chaud, surabondance de corps gras inadéquats, insuffisance de corps gras indispensables, excès de viande, abus de conserves, pauvretés des rations en légumes et fruits crus, qui nous apportent des vitamines, des minéraux et des fibres végétales indispensables à une fonction intestinale régulière et normale, telles sont les erreurs les plus courantes que nous commettons quotidiennement dans la composition de nos menus, qui toutes sont faciles à corriger. » - Dr. Catherine Kousmine « Que ton aliment soit ta seule médecine ! » - Hippocrate Articles complémentaires : Quelques règles alimentaires de base. Les jus de légumes et de fruits. La chlorophylle. Les fruits. Les céréales et amidons. Incidence sanitaire d'une alimentation carnée chez l'homme (anthropoïde).
- Les lois qui régissent notre santé
Article naturo-hygiéniste Voici les 35 lois de naturothérapie qui régissent notre santé, en complément de la fiche synthétique des 9 points de la santé ou de la maladie. Loi n°1 : loi du minimum La santé d’un être vivant est fonction des facteurs indispensables dont il est le moins pourvu. La carence de l’un de ces facteurs va venir affecter tous les autres. Prenons l’exemple du sommeil qui s’il est insuffisant va altérer la digestion, arrêter le développement musculaire, perturber le système nerveux même s’il s’avère que les autres facteurs de vie sont respectés. Ceci démontre bien la synergie indispensable entre tous les facteurs prédisposant à l’état de santé. Loi n°2 : loi de Walter La conservation de l’état de santé d’un corps structuré est due à une force inhérente à l’organisme que l’on appelle “force vitale ou énergie vitale ou encore énergie nerveuse”. Plus la force vitale d’un organisme est importante, plus sa capacité de fournir un travail est grande. Mais plus l’organisme travaille, plus cette force vitale diminue. Il conviendra alors de réduire l’activité et d’apporter un temps de repos et de sommeil plus important et peut-être réduire la ration alimentaire ou en modifier la composition. Loi n°3 : loi de préservation vitale Lorsqu’une personne est privée de nourriture pendant une période de jeûne, elle va perdre en premier lieu les tissus non vitaux tels que les tissus adipeux, les toxines, les déchets, les matières étrangères contraires au bon fonctionnement de l’organisme, le pus, les kystes, les tumeurs, etc. Ceux-ci sont oxydés, lysés, etc. Les parties vitales sont préservées en fonction de leurs importances, ainsi les pertes que l’organisme subit à la suite d’une suppression de nourriture jusqu’à la mort sont : Graisse : 97% Rate : 63% Foie : 56% Muscles : 30% Sang : 17% Centre nerveux : 0% Très important : avant d’entreprendre un jeûne long (plus de trois jour), il sera indispensable de vérifier le niveau des réserves vitales du jeûneur. Même précaution en cas de maladie déclarée voire naissante pour certaines pathologies. Loi n°4 : loi de symbiose interne ou loi des synergies fonctionnelles. Dans l'organisme il y a interdépendance des organes. On ne peut prétendre dissocier un quelconque organe sans nuire au parfait fonctionnement des autres. Aucun organe n'est inutile pour une symbiose optimale. (Voire fiche : Ne jamais enlever d’organes) Loi n°5 : loi de distribution vitale La répartition énergétique des différentes fonctions organiques, des organes aux tissus, se réalise proportionnellement à leur importance et à leurs besoins. Si la réserve vitale est faible, la distribution est dirigée de telle sorte que la demande des structures les plus vitales soit satisfaite avant d'autres moins importantes pour la survie de l'organisme. Loi n°6 : loi de Ghram sur le but constitutionnel appliqué à la nutrition et à la conduite de la vie. L'être vivant ne peut faire d'aucun de ses sens une source de plaisir au-delà de la réalisation du but constitutionnel en vertu duquel ils ont été institués, sans compromettre plus ou moins gravement l'équilibre de l'organisme. 2 EXEMPLES : a) NOURRITURE, l'indice qui détermine le besoin nutritif est la faim et non l'appétit. b) COMPORTEMENT SEXUEL, une conduite sexuelle hyperactive hypothèque sérieusement le potentiel vital. Loi n°7 : loi de l’économie spécialisée Durant le repos et le sommeil, le corps emmagasine de l'énergie. Par contre , durant l'activité, le froid, les grandes chaleurs, le corps puise dans ses réserves énergétiques (vitales). Le solde de ces actions doit être positif ; dans le cas contraire, un déficit prépare le terrain à la morbidité (qui se rapporte à la maladie). Loi n°8 : loi de compensation physiologique Les organes n'ont pas d'existence en soi, mais font partie d'un tout physiologique, dont l'efficacité dépend des facteurs synthétiques de symbiose : coopération, subordination et compensation. Ce qui affecte un organe affecte nécessairement tout l'organisme, par un mécanisme de réciprocité et de compensation. Le corps est une unité organique dont toutes les parties se complètent, du point de vue structurel et fonctionnel. Par exemple, il peut s'établir une compensation entre la peau et les poumons, dans l'eczéma alternant avec l'asthme. Loi n°9 : loi de temporisation salvatrice Le comportement de l'organisme vivant envers les stimuli extérieurs est un comportement instinctif dont la base est l'instinct de conservation, grâce auquel l'organisme s'adapte à toutes les influences qu'il ne peut pas détruire. Avec le temps certains médicaments perdent apparemment leurs effets, car l'organisme s'organise mieux pour les supporter. L'organisme économise sa force vitale et reprendra la lutte à un moment ou il sera plus fort. Au début d'un traitement médicamenteux, le corps lutte violemment (état réactionnel), au détriment de ses réserves d'énergie nerveuses, jusqu'à la fatigue et au-delà. Loi n°10 : loi de mode d’adaptation morbide L'adaptation de l'organisme à toutes influences nuisibles s'accomplit toujours, dans le corps, par des changements qui s'éloignent de la norme individuelle et aboutissent à la dégénérescence bio-psychologique. Loi n°10 bis Un organe ou une fonction continuellement assisté s'atrophie progressivement. Exemples : La suralimentation conduit à une diminution des capacités digestives. La phase d'assimilation s'améliore dès que la nourriture est réduite en quantité. L'utilisation prolongée du lombostat conduit à l'affaiblissement des muscles paravertébraux. Les béquilles utilisées de façon continue conduisent à une atrophie des muscles des membres inférieurs. La destruction habituelle des microbes par les antiseptiques conduit à l'affaiblissement des défenses immunitaires à l'égard de cet organisme. Loi n°11 : unité de la santé et de la maladie Dans l'inadaptation et la pathologie, l'organisme met en œuvre les mêmes processus qui ont présidé à son fonctionnement et à son développement normaux. Entre les processus physiologiques normaux et les processus physiopathologiques qui définissent la maladie, il n'y a qu'une différence de DEGRÉ et non de NATURE. Loi n°12 : de Trall sur les relations vitales Quand une action s'accomplit dans l'organisme vivant, consécutive à des agents ou des influences extérieures l'action doit être attribuée à la chose vivante, qui a un pouvoir d'action, et non à la chose inanimée, dont la caractéristique principale est l'inertie au plan vital. Lorsque 2 faits sont réunis par une corrélation de cause à effet : a) La relation est invariable (tant que la cause existe, l'effet existe) ; b) La cause disparaissant fait disparaître l'effet ; c) L'effet varie proportionnellement à la cause. Loi n°13 : de la force Les processus de l'organisme vivant sont dirigés par la force vitale, et non par une force mécanique ou chimique. La force utilisée (et par conséquent dépensée) dans toute action vitale est une force vitale, une force intérieure et non extérieure. Exemple : la force de vomir, la diarrhée, la fièvre, l'inflammation, etc. correspondent à la force vitale de l'organisme en action. Loi n°14 : de dualité des effets (Lindlahr) Tout ce qui est introduit dans le corps, ou en contact avec lui, est soit utilisé, soit expulsé, étant profitable ou nuisible, "nourriture" ou "toxique". Tout ce qui est introduit dans le corps, ou en contact avec lui, occasionne une action vitale, double et contraire. La seconde action, réactive est l'opposée de la première action (effet rebond). Tout ce qui soulage momentanément et refoule les symptômes, tout ce qui stimule au moment même est suivi par une recrudescence des symptômes initiaux, ainsi que par une dépression. Loi n°15 : de l’alternance Les activités des organismes vivants sont, dans tous les domaines de type rythmique. Exemple : les ovaires, le cerveau, l'estomac, les glandes, les muscles, etc. ont un rythme particulier d'activité et de repos. L'irrespect de ces rythmes désorganise l'homéostasie (équilibre physiologique) de l'organisme, en engendrant en premier lieu les troubles rythmiques et fonctionnels, qui peuvent ensuite se compliquer et s'aggraver. Le degré de toute stimulation détermine le degré de la dépression qui s'en suivra. Loi n°16 : de principe de Walter sur le mise en évidence de l’énergie Dans quelque circonstance que ce soit, et quelle que soit sa nature, la vitalité ou l'énergie est mise en évidence et perçue en tant qu'énergie dans sa dépense et non dans son accumulation. Loi n°17 : de l’excitation On distingue 3 variétés de stimulants : Les vigorants ou rénovateurs, exemples : lumière solaire, air, eau, aliments… Les inspirateurs ou toniques, exemples : la chaleur, la fraîcheur, les variations positives d'humeur : joie, enthousiasme, la persévérance, l'ambition, etc. Les excitants ou irritants, exemples : la grande chaleur, le froid intense, la violence, certaines habitudes alimentaires, le thé, le café, etc. En conclusion, on peut en déduire que : Les rénovateurs et toniques sont des STIMULANTS COMPENSES, tandis que les excitants sont des STIMULANTS NON COMPENSES. Là ou les excitants semblent faire le plus grand bien, ils font le plus grand mal, car leur effet nuisible est proportionnel à la quantité d'énergie dont ils provoquent la dépense. Toute irritation produit un effet secondaire de dépression, ou la fonction est moins vigoureuse qu'avant l'emploi de l'excitant. Loi n°18 : du repos de Shelton 1) Repos mental : éviter toute cause de troubles ou d'énervement (peur, bruits, soucis, anxiété, etc.), qui conduisent à l'énervation (privation de l'énergie nerveuse). 2) Repos physique : garder le lit ou se relaxer. 3) Repos physiologique : reposer l'estomac, les intestins, le foie, les reins, etc. par une abstinence ou une réduction de nourriture ; reposer les yeux, l'ouïe, etc. Ce triple repos est nécessaire pour renforcer l'énergie vitale de l'organisme. Exemple : la douche froide ne stimule qu'en soutirant de l'énergie nerveuse, contrairement au repos qui en accumule. L'organisme fatigué et surmené réclame du repos pour se reconstituer, récupérer ses énergies et sa substance. Durant la période d'inaction ou de prostration, l'organisme se rétablit alors que durant la période d'excitation l'organisme tend vers l'épuisement. Loi n°19 : de la limitation Quand la dépense des forces vitales, ou qu'elle se produise, arrive à la limite d'un épuisement fatal imminent, un frein tend à mettre fin à la dépense initiale des forces, et l'organisme se révolte contre l'emploi continu, fût-ce de l'excitant habituel. Un excitant agira de moins en moins, malgré l'augmentation des doses. Quand la sur-stimulation a épuisé les énergies vitales, une limitation intervient visant à empêcher la catastrophe, en freinant la dépense. La loi de limitation s'applique aussi à un organe ou à un groupe d'organes , pour sauver l'intégrité de tout l'organisme. Loi n°20 : de l’énervation L'énervation représente la diminution de l'énergie nerveuse provoquée par toutes les dépenses, qu'elles soient normales ou anormales, quand elles dépassent la quantité récupérée grâce aux vigorants ou stimulants compensés. Causes d'énervation : Toutes les fonctions de l'organisme volontaires ou involontaires (respiration, digestion, circulation, croissance). Toutes les habitudes malsaines (bruits, veilles tardives, tous les excès) Le surmenage mental et physique Les abus diététiques L'usage habituel de toxiques excitants L'abus des traitements même physiothérapiques Les causes émotionnelles : la peur, les soucis, la jalousie, l'envie, la haine L'égoïsme les conflits, la malhonnêteté, la cruauté y compris les joies excessives ou les festivités répétées Les carences en tout genre Le climat : chaleur ou froids excessifs et les variations brusques de température Les causes sociales ou économiques Les perversions, Les pollutions diverses. Voire : Les 7 étapes de la maladie selon J. H. Tilden Loi n°21 : de l’affaiblissement fonctionnel L'énervation est l'épuisement des énergies nerveuses , qui affaiblit les fonctions vitales de l'organisme, réduisant les sécrétions, l'assimilation et l'élimination. L'énervation, en amoindrissant l'énergie, affaiblit toutes les fonctions organiques telles que la digestion, les fonctions intestinale, rénale, respiratoire, glandulaire, musculaire, mentale, sensorielle, etc. L'affaiblissement de l'efficacité fonctionnelle des organes peut amener une digestion incomplète et même une inassimilation totale. Loi n°22 : de Tilden sur la toxémie La toxilymphémie ou toxémie est la présence dans le sang, la lymphe, les organes, les tissus et les cellules de toutes substances incompatibles avec la santé. La réduction de l'élimination et des sécrétions produit la toxémie qui marque le départ de la pathologie générale. La toxémie est la cause immédiate de la maladie. Tous les toxiques doivent être drainés. La toxémie se divise en plusieurs catégories : 1) Sur le plan interne ou TOXINIE a) Toxémie naturelle des déchets cellulaires. b) Toxémie intestinale, produits de décomposition dans les voies digestives. c) Toxémie organique: par exemple le pus. 2) Sur le plan externe ou TOXÉMIE a) Toxémie chimique par les médicaments et les produits de synthèse, les colorants. b) Toxémie des substances naturelles toxiques (végétaux, vaccins, sérums, etc.) Voir aussi la fiche : Les 9 points de la santé ou de la maladie. Quelques remarques : La DIATHÈSE (prédisposition) chaque individu possède sa propre constitution, qui pourrait, selon les conditions incorrectes de vie, provoquer telle ou telle affection. Les PARASITES ne peuvent affecter l'organisme que dans des conditions défavorables de toxémie, d'affaiblissement et d'insuffisance immunitaire. D’où l'importance du terrain en pathologie infectieuse. Les ÉPIDÉMIES sont avant tout consécutives à un type de vie, de conditions malsaines qui affectent tous les habitants d'une région. Ces conditions peuvent être les fêtes, le climat, les orgies alimentaires ou les carences, les guerres, etc. Loi n°23 : loi de Shelton sur les situations émotionnelles Les perturbations émotionnelles (le stress), sont préjudiciables à la santé, notamment lorsqu'elles se produisent sur un fond toxémique préexistant. Loi n°24 : loi de compensation Toute surcharge toxilymphémique dans l'organisme produit un terrain morbide, et la maladie est une action vitale d'expulsion. Les organes vigoureux suppléent l'insuffisance et la faiblesse des organes qui sont incapables d'éliminer normalement. Exemple : une faiblesse des reins est compensée par l'activité de la peau, sur laquelle peuvent se former des abcès ou d'autres altérations (ulcères, par exemple). Loi n°25 : de l’élimination sélective Les substances nuisibles introduites ou produites de n'importe quelle façon à l'intérieur du domaine vital sont neutralisées et éliminées, de telle manière et par des voies telles qu'elles produisent la moindre usure de l'organisme et au moindres frais pour celui-ci. Exemple : certains purgatifs sont rejetés par les intestins, certains médicaments par les reins, d'autres par le foie, etc. Loi n°26 : loi de Trall, la maladie est une action vitale de l’organisme Toute action qui s'accomplit dans l'organisme vivant est le fait de celui-ci. Il s'ensuit que la maladie est une action organique vitale, un mécanisme de défense de l'organisme contre une agression interne ou externe. Loi n°27 : de Jennings sur l’orthopathie (corollaire de la loi de Trall) La maladie vise à la préservation de l’intégrité physique et fonctionnelle de l’organisme, au moyen d’une action vitale émanant de celui-ci. Loi n°28 : l’organe malade est l’organe le plus fort Le travail d'élimination étant une fonction vitale, qui nécessite une dépense d'énergie nerveuse, il est naturel que l'organe le plus fort se charge du travail d'élimination. C'est donc surtout lui qui révèle des symptômes de maladie et qui supporte la charge du travail d'élimination et de restauration. Il est important de savoir que l'organe le plus résistant n'est pas le même chez tous les individus (notion de diathèse individuelle). Ce facteur est déterminant car il explique le nombre et la diversité des symptômes et des maladies. Changement de symptômes Les symptômes de l'organe "malade" sont combattus ordinairement par l'allopathie. Cet organe s'affaiblit et ne joue plus son rôle. La répression symptomatique s'adresse alors à un autre organe ou fonction, qui prend le relais du travail d'élimination en suspens. Voilà comment l'allopathie "guérit " une maladie en en provoquant une autre. En fait ni l'une ni l'autre, n'est guérie car les causes des troubles n'ont pas été supprimées. Loi n°29 : loi sur la maladie aiguë La maladie prend la forme aiguë lorsque le potentiel vital défensif est puissant. La maladie est d'intensité proportionnelle au potentiel vital. Une personne vigoureuse fera donc une maladie aiguë. Les enfants et les sujets vitaux ont une symptomatologie violente . Les organismes débilités ne présentent que des troubles d'élimination peu accentués ; la reconstruction de leurs structures est faible et lente. La répression répétée des crises de DÉSINTOXICATION et de REGENERESCENCE par des moyens plus ou moins violents conduit à une baisse de l'énergie nerveuse, à une altération des structures vitales et à une incapacité de l'organisme à rétablir son intégrité fonctionnelle et organique. Les crises de désintoxication se font alors plus rares et faibles. L'organisme se dirige vers l'épuisement et la déchéance prématurée . Loi n°30 : classification des “Maladies” (biogonies) La maladie est une biogonie ( bios = vie ; et Agon = lutte ). On distingue 2 formes de situations troublées : 1) Les biogonies, 2) L'état pathologique. 1) Les biogonies On distingue deux espèces : - a) la biogonie dynamique ou active que l'on appelle couramment la "maladie aiguë" ; - b) la biogonie adynamique ou passive que l'on appelle couramment la "maladie chronique". 1a) La biogonie dynamique ou active (symptômes vitaux de libération et de régénérescence) La suractivité de certaines fonctions a pour but la neutralisation des toxiques et leur élimination ainsi que la réparation des tissus lésés. Exemple : fièvre, pouls rapide, douleur, inflammation, prostration, respiration rapide, toux, diarrhée, vomissements, cicatrisation, etc. sont actifs dans la biogonie dynamique. 1b) La biogonie adynamique ou passive (symptômes vitaux de conservation) ; La diminution de certaines fonctions conserve la vitalité et vise à assurer un modus vivendi avec les facteurs pathogènes. L'organisme "compose" avec les facteurs de troubles. Exemple : faible appétit, réduction des sécrétions, constipation, fatigue, faiblesse du tonus mental, etc. 2) L'état pathologique Les symptômes de dégénérescence représentent les altérations des tissus et des fluides dues aux causes pathogéniques. Ces altérations sont les vrais états pathologiques, alors que les biogonies sont des actions correctes. Loi n°31 : unité, continuité et évolution de l’état pathologique La biogonie (maladie), négligée ou incorrectement traitée, évolue de l'état dynamique à l'état adynamique (passif ou chronique), puis vers l'état pathologique installé dans l'ordre général suivant : 1) Biogonie aiguë : inflammation (fièvre, appendicite, furonculose, pneumonie, arthrite, R.A.A, poliomyélite, méningite, otite, névrite, gastrite, urétrite, cervicite, ovarite, etc.) 2) Biogonie chronique : insuffisance (constipation, troubles digestifs "installés", déséquilibre glandulaire, dépression, arthrose, etc.) 3) états pathologiques : *Scléroses hépatiques ; *Angine de poitrine, hypertension ; *Atrophie musculaire, cardiaque, nerveuse… *Hypertrophie, tumeurs bénignes ou malignes… *Dégénérescence: diabète, tuberculose… La maladie est rarement subite, mais résulte souvent d'antécédents bénins et imperceptibles, qui se développent lentement et graduellement. C'est une "échéance". Il n'existe pas de symptôme isolé pas plus qu'il n'existe de pathologie isolée. Loi n°32 : étapes du rétablissement La maladie en s'aggravant passe de l'état aigu à l'état chronique. Il s'ensuit que l'individu en voie de rétablissement devra passer de l'état chronique à l'état aigu, par le chemin inverse de celui qu'il a connu tout au long de la perte progressive de son énergie nerveuse et du développement des processus pathologiques dont il a été le siège. Par exemple : le rhumatisant chronique connaîtra à nouveau, au cours du processus de guérison, des épisodes aigus semblables à ceux dont il avait antérieurement souffert. Loi n°33 : loi sur le pouvoir récupérateur "Le pouvoir récupérateur" de guérison est inhérent à la structure vivante. Aucun médicament, aucune herbe, aucun rayon, aucune substance ne possède le pouvoir de guérir l'organisme vivant (Voire : Les remèdes n’existent pas !). L'énergie ne peut être dépensée dans toutes les directions à la fois avec la même intensité. Un ordre d'urgence est assuré par l'organisme lui-même. L'amoindrissement de l'action organique conserve les énergies, afin qu'elles puissent être utilisées ailleurs. Ainsi le repos mental, physique et psychologique permet au corps d'utiliser son énergie nerveuse pour des tâches positives et urgentes. Rappelons que la nature vise à favoriser les organes les plus vitaux. Par exemple, les yeux, le cerveau et le cœur sont plus protégés que les cheveux et la peau. (Loi n° 3) Loi n°34 : loi de rétablissement de la santé Le rétablissement dépend des facteurs suivants : - La suppression de la ou des causes immédiates et déclenchantes ; - L'institution des conditions de la santé ; - L'accumulation ou la récupération du pouvoir vital ou réparateur ; - Le temps indispensable aux processus réparateurs. 1) La suppression de la ou des cause(s) comprend : a) La correction de toute pratique ou influence d'énervation ; b) L'abstention de tous toxiques venant de l'extérieur. 2) La récupération du pouvoir réparateur s'accomplit par le repos. 3) Le repos comporte les aspects physiques , mental, sensoriel et physiologique. Le jeûne en est l'expression la plus radicale. En combattant les symptômes, la médecine allopathique et les pratiques suppressives s'opposent à l'orthobiogonie de l'organisme et aggravent le pronostic initial par une incompréhension notoire de la nature même et des troubles de santé. Loi n°35 : unité de la maladie et des traitements La "maladie" comporte une unité pathogénique générale, une unité clinique essentielle et une unité morbide essentielle . Il s'ensuit qu'elle répond à une unité thérapeutique essentielle fondée sur la détermination des causes de troubles et la rectification de ces causes. Alors entrera en jeu spontanément la capacité homéostasique inhérente à l'organisme vivant. Pour plus d'informations: se reporter à l'ouvrage d'André PASSEBECQ "Cours d'Harmonisation Énergétique / Initiation à la Santé Intégrale" - Editions Naturazur.












